De la dangerosité des lardons, ou la nuisance des magistrats politisés
Illustration d'un acte de résistance pouvant vous conduire en prison
L’information a été révélée par l’Est Républicain : un justiciable de 38 ans, père de famille, inconnu des services de police ou de gendarmerie, a été interpellé en flagrant délit pour avoir déposé, quelques heures après l’égorgement d’un prêtre de 86 ans dans l’église de St-Etienne-du-Rouvray par des terroristes islamistes, des lardons dans la boite aux lettres d’une mosquée de Nancy.
Placé sous le régime de la garde à vue, l’homme a été déféré devant le parquet de Nancy avant d’être jugé en comparution immédiate.
Le Parquet a requis une peine de… six mois de prison ferme. Le président du Tribunal Correctionnel a quant à lui littéralement sermonné, il n’y a pas de vocable plus juste, le mis en cause, estimant que son geste revenait à « faire le jeu de Daech », et insistant sur sa « dangerosité », avant de le condamner à six mois d’emprisonnement avec sursis.
Vous l’aurez compris, la Justice en France considère que l’utilisation de la viande de porc, fusse-t-elle en représailles à des actes de terrorisme islamistes, est un délit passible d’une peine d’emprisonnement, ce qui pourtant n’est absolument pas prévu par un quelconque texte en droit positif, mais relève de la pure interprétation « souveraine » du juge qui à l’évidence a rendu une décision de justice plus proche du « blasphème » , d’outrage à musulman », ou du « hallal » que du principe bien connu des juristes relatif à la légalité de la peine (« nullum crimen sine lege » : pas de crime sans texte).
Cette « horreur » judiciaire n’est pas la première, puisque deux justiciables ayant déposé une carcasse de sanglier devant la mosquée En Nour de Nice, ouverte au premier jour du ramadan 2016 sur décision de justice alors même que son financement par l’Arabie Saoudite est avéré, ont été interpellés, placés sous le régime de la garde à vue et renvoyés devant le Tribunal Correctionnel de Nice en septembre 2016 pour « incitation à la haine ou à la discrimination envers une communauté de personnes en raison de son appartenance à la religion musulmane ».
La question dès lors se pose, quand on connait les suites judiciaires relatives aux individus ayant tenté de tuer des policiers ou des gendarmes, pour ne prendre que cet exemple, de la réalité du principe selon lequel la justice serait, dans notre république, rendue « au nom du peuple français ».
Il serait tentant de considérer que les juges en ont « trop pris », pour paraphraser ceux qui connaissent les mœurs inavouées de la « gauche pétard », ou de constater (ce qui est encore pire), que l’Ecole Nationale de la Magistrature (ENM), forme celles et ceux qui demain pourront appliquer sans scrupule ce que nos ennemis (les islamistes) appellent de leurs vœux: la Charia.
En tout état de cause, il est urgent que cette « justice » soit remise à sa place, afin qu’elle soit de nouveau légitime, impartiale, au service de la société, et non rendue au nom de dogmes ou d’idéologies contraires à nos valeurs, voire à nos intérêts fondamentaux.
Il n’est pas étonnant, au regard de l’Histoire, qu’aucun magistrat n’ait jamais été membre de la Résistance. La collaboration semble couler dans les veines de cette institution dont les dysfonctionnements sont l’une des causes essentielles de la gravité de ce que nous vivons.
A quand l’élection des magistrats ?
http://ripostelaique.com/de-la-dangerosite-des-lardons-ou-la-nuisance-des-magistrats-politises.html
Pas de flics pour éviter un massacre au camion, mais dès qu’un lardon approche d’une mosquée… flagrant délire!
Quand on connaît les lenteurs habituelles de la justice…il est plutôt surprenant de voir une telle réactivité pour une affaire de lardons. Nos magistrats appliqueraient-ils déjà la charia?…
Si on avait dit aux gens il y a 40 ans que l’utilisation mal appropriée de lardons pouvait vous mener en prison ils auraient rigolé ou nous auraient pris pour des fous.
“C’est aux pieds des cons qu’on voit le mur“.
Vive la cansalade! Vive le cochon qui est si bon!
Si vous aimez la bonne cansalade toulousaine, c'est par ici, sur mon autre blog