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Science/Tech

  • Il fait chaud l'été, froid l'hiver

    Aux États-Unis, le premier amendement de leur Constitution garantit la liberté d’expression. Les réchauffards ont beau glapir qu’il s’agit d’un déni de faits sur lequel tous les scientifiques seraient d’accord… Les plus de 35.000 signataires de l’Oregon Petition, universitaires, ingénieurs et chercheurs du monde entier leur rentrent leurs mensonges dans la gorge.

    On ne peut bâillonner tous les hérétiques. Tout au plus les discréditer. En mettant en cause leurs compétences. Quand on sait que le GIEC a été dirigé par des gens qui n’avaient qu’une formation et une pratique très limitées en climatologie. Un ingénieur ferroviaire et un physicien atomiste auxquels ont succédé des laborantins et des petits profs. Le dernier en date serait un expert en énergies renouvelables.

    En Europe, et tout particulièrement en France où fleurissent les délits d’opinion, on voudrait vous faire rentrer les bonnes pensées dans le crâne à coups de marteau sur la tête. Interdits de séjour sur les médias audio-visuels, leurs éditeurs menacés de contrôle fiscal, leurs sites web caviardés ou fermés sans préavis, les climato-réalistes semblaient en mauvaise posture depuis le début du troisième millénaire.

    Les réchauffards s’en félicitaient cyniquement au moment de l’Accord de Paris de 2015 qui était censé nous donner le coup de grâce. Entre fermetures des labos, mises à la retraite d’office ou déclassement dans des bureaux des scientifiques fonctionnaires, seuls des électrons libres pouvaient continuer le combat pour dénoncer ces supercheries.

    Mais au désarroi des verdâtres qui fêtaient leur victoire idéologique, un retournement d’opinion s’est opéré. Les gesticulations du lunatique Macron pour capter quelques voix écolos ont déconsidéré le réchauffisme. La loi Climat Résilience de 2021 votée à la hâte a fait pschitt.

    Difficile de faire gober au plus grand nombre les fariboles du réchauffement quand les moyens de communication modernes montrent qu’il a neigé plusieurs fois dans le Sahara et en Arabie, que des otaries de l’Antarctique viennent batifoler dans les eaux de la Polynésie, que les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu comme prévu, et que les atolls qui devaient être engloutis avant 2020, sont toujours là…

    Le bon sens semble reprendre ses droits malgré le matraquage des médias serviles. Pas besoin d’être titulaire d’un Ph.D pour comprendre qu’il est normal qu’il fasse froid l’hiver et chaud l’été, et que les cycles climatiques ont toujours existé, de façon naturelle, en fonction des variations d’intensité du soleil et des évolutions de l’orbite terrestre. Même si Greta croit que Milankovitch était un vendeur de bicyclettes.

    FINALEMENT, TOUT ÇA C’EST LA FAUTE DE L’EXTREME DROUATE!

    Un certain Christophe Cassou du CNRS (la planque des chercheurs qui ne trouvent rien), membre éminent du Gang International des Escrocs du Climat, s’est plaint d’avoir été critiqué par des climato-sceptiques sur le web. C’étaient des patriotes qui plus est.  Circonstance aggravante !

    Cet homme qui se dit ouvert à la discussion ne palabre que si on est d’accord avec lui. Toute argumentation susceptible de remettre en cause ses croyances est perçue comme une agression haineuse et violente. Pour ce militant "les attaques climato-sceptiques sont nauséabondes, délétères et puantes". On retrouve là toute la dialectique pavlovienne des gauchistes frénétiques. Entre secte et croyances aveugles.

    Sous divers aspects, le réchauffisme est une religion laïque comme le communisme au siècle dernier. Avec son dogme, ses rites, ses grand messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa bureaucratie, sa sainte gourdasse, sa propagande, ses interdits alimentaires ("devenez végétariens pour sauver le monde") et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

    Cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable!

     

    "REPORTERRE"  CELLULE GAUCHISTE RIPOLINEE EN VERT S’AFFOLE

    Ils se disent "indépendants". Mais ils défendent les escrolos violents qui nous bassinent. Soutiennent les opposants à Poutine, comme ils attaquaient naguère Bolsonaro. Et bien sûr prennent le parti du Hamas contre les Israéliens. Symptômes de la peste gauchiste qui veut donner des leçons au monde entier. Alors qu’ils ne représentent qu’eux-mêmes.

    C’est dire si j’ai été heureux de lire l’aveu dépité de ces crapules, reconnaissant leur échec. "Alors que les effets du changement climatique (fini le réchauffement?) sont de plus en plus couverts par les médias, les climato-sceptiques prospèrent".

    Ces prophètes de malheur admettent mal qu’un nombre croissant de scientifiques, en dehors du microcosme des subventionnés et des médiatisés, récupèrent les mêmes données satellite, croisent les mêmes statistiques et utilisent les mêmes algorithmes qu’eux… Et en tirent, par le raisonnement et le calcul, des conclusions diamétralement opposées.

    Lueur de réalisme dans ces esprits bornés, ils avouent que, selon un sondage IPSOS et Cevipof de 2023, la moitié des Français ne croient plus à la fable du réchauffement anthropique. Et cette lucidité est partagée par des chefs d’États comme Xi Jinping (Chine), Vladimir Poutine (Russie), Javier Milei (Argentine), Salman Al Saoud (Arabie), des leaders en orbite d’attente comme Geert Wilders (Hollande) et Trump (USA), et d’anciens présidents influents comme Jair Bolsonaro (Brésil).

    En outre, en Australie, aux USA, au Canada, en Finlande, en Norvège, une forte proportion de la population, jusqu’à 65%, ne gobe plus les fables du GIEC. Malgré la cenSSure de Google, YouTube, MSN, Chrome, Twitter, Facebook, au service des réchauffards… Le CO2 peut-il faire oublier la pédophilie de certains de leurs dirigeants, clients assidus de Jeffrey Epstein et autres salopards du même tonneau?

    Plutôt que de reconnaître leurs erreurs, les enfumeurs du GIEC voudraient punir les coupables de leur perte d’influence

    Les climato-réalistes reviennent de loin. Les brimades et exclusions des réseaux dont certains ont changé de nom comme des voyous après un mauvais coup ne sont rien à côté des menaces de quelques fous furieux menés par le fantasque ex vice-président US Al Gore.

    Cet autre "Mozart de la finance" qui, lors de la crise des subprimes a planté Goldman Sach de 10 milliards de dollars, renfloué sur des fonds fédéraux, voulait instaurer un crime contre l’humanité de climato-scepticisme. Avec une cour pénale façon Nuremberg pour condamner à la prison à vie tous ceux qui réfuteraient les élucubrations du GIEC.

    PREDICATEURS OU PREDATEURS, LES OBJECTIFS DES RECHAUFFISTES

    Les gens du GIEC racontent n’importe quoi pour satisfaire leurs sponsors. Ils en attendent des dividendes sous forme d’honneurs, de postes convoités, de crédits de recherche, de publications favorisées et bien sûr de rémunérations confortables. À ce tarif-là, ils justifient par tous les moyens trois objectifs principaux :

    D’abord assujettir les États-Nations à une plate-forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats financiers. Avec au début des simulacres d’élections, sans que les dirigeants désignés soient responsables devant le peuple. Le tout enrobé d’une propagande menaçante que chacun doit reprendre en chœur s’il veut éviter l’exil intérieur.

    Ensuite détourner le regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle de l’invasion migratoire qui est en train modifier radicalement leurs équilibres sociétaux ainsi que leurs modes de vie… Tout en attirant au profit des banksters des foules de manœuvres aisément manipulables ou remplaçables, pour peu qu’on satisfasse leurs lubies religieuses.

    Enfin parachever une paupérisation généralisée compensée par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation.

     

    Avec à la clé une restructuration économique destinée à favoriser la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure... Sans se priver du bonus de la docilité des peuples muselés. Abrutis par les mass médias et assez soumis pour avoir subi, sans se rebiffer, les diktats expérimentés de façon concluante lors de la crise sanitaire provoquée.

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/

  • Les ARN utilisés comme vaccins ou traitements

    ... doivent encore être améliorés

    Il faut avoir fait de sacrées études pour comprendre cette note mais bon, on voit qu'il y a des effets secondaires reconnus et documentés

    L’utilisation d’ARN a été un progrès spectaculaire qui a permis, dans des délais très courts, la mise au point de vaccins efficaces contre la covid-19. A la suite de recherches menées depuis des années, dont celles des deux prix Nobel de médecine 2023, Katalin Karikó et Drew Weissman, qui ont démontré le potentiel de cette approche et permis de lever plusieurs obstacles, les laboratoires Moderna et Pfizer-BioNTech ont pu produire des vaccins dont l’antigène (en l’occurrence, la protéine S du virus de la covid-19) est remplacé par une chaine d’ARN capable de diriger la synthèse de la protéine dans les cellules des personnes vaccinées.

    Pour atteindre leur cible, les ARN sont encapsulés dans des nanoparticules lipidiques qui fusionnent avec la membrane cellulaire. La méthode a plusieurs avantages, qui ont été exposés dans une actualité du 22 novembre 2020. Elle permet en particulier de s’adapter rapidement à des antigènes modifiés ou nouveaux, puisqu’il suffit de modifier la séquence codante de l’ARN en utilisant toujours la même plateforme de synthèse.

    L’ARN utilisé dans les vaccins n’a pas tout à fait la même composition que les ARN produits naturellement dans les cellules des êtres vivants. En effet, bien que l’ARN ne soit pas normalement considéré comme antigène par notre système immunitaire, certains ARN peuvent être reconnus comme étrangers par des mécanismes de défense innés (système des récepteurs Toll-like).

    Ils déclenchent alors des mécanismes qui aboutissent à leur dégradation et à l’activation de processus inflammatoires, ce qui contribue à la protection contre certaines infections. Comme les ARN introduits dans les vaccins ont des séquences d’origine virale, il a fallu inventer un moyen de limiter les effets indésirables en relation avec des réactions de défense et d’éviter la dégradation des molécules pour leur laisser le temps de diriger la synthèse des protéines antigéniques.

    On s’est appuyé pour cela sur les travaux des deux prix Nobel, qui ont montré que le remplacement de l’une des quatre bases qui composent l’ARN, l’uridine, par une forme modifiée, la N1-méthylpseudouridine, améliorait la tolérance et la durée de vie des ARN artificiels. Les vaccins développés contre la covid-19 ont utilisé cette modification, ils ont été administrés à des centaines de millions de personnes, souvent plusieurs fois, et se sont montrés efficaces et très généralement bien tolérés.

    A côté des cas de myocardite-péricardite apparus surtout dans certains groupes de population (préférentiellement des hommes jeunes), restés rares (et moins fréquents après vaccination qu’après infection) et d’évolution généralement favorable, les effets indésirables ont été ceux habituellement rencontrés avec les vaccins, quelle que soit leur nature.

    L’étude qui vient de paraître dans Nature indique toutefois que des améliorations des ARN utilisés comme vaccins ou médicaments chez l’Homme pourraient être nécessaires et sont possibles (1). Les travaux publiés, commencés il y a plus d’un an, montrent que la modification de l’ARN utilisée dans les vaccins anti-covid peut être à l’origine d’altérations de la traduction, l’étape durant laquelle la machinerie cellulaire "lit" l’ARN pour synthétiser la protéine antigénique.

    Les résidus de méthylpseudouridine entrainent des décalages de lecture ("frameshifting") qui aboutissent soit à des interruptions de la synthèse, soit à la synthèse de protéines dont une extrémité est "aléatoire", en tout cas différente de celle qui était programmée. Bien que le phénomène soit minoritaire, inconstant et limité dans le temps, puisque tous les ARN finissent par être dégradés, il peut faire apparaître des protéines non attendues en quantité suffisante pour provoquer, elles aussi, une réponse immunitaire. Les auteurs de l’étude ont d’ailleurs mis en évidence, de manière inconstante, une réponse immunitaire de type cellulaire contre ces protéines issues du décalage de lecture, à côté de celle correctement dirigée contre la protéine S du virus, chez des individus ayant reçu le vaccin covid-19 de Pfizer.

    Malgré un recul important sur l’utilisation des vaccins à ARN et une surveillance soutenue, aucun effet indésirable n’a jusqu’ici pu être imputé au mécanisme mis en évidence. Toutefois, on peut penser que des conséquences pourraient se manifester en cas d’utilisation d’ARN modifiés en grande quantité, de façon prolongée ou répétée, comme cela pourrait être le cas dans d’autres applications que les vaccins. Des pistes sont déjà évoquées pour corriger le problème constaté, comme l’introduction de codons "stop" dans tous les cadres de lecture pouvant résulter d’un "frameshifting".

    Référence

    T.E. Mulroney, T. Pöyry et coll. N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribosomal frameshifting

  • UNE VERITE DE PLUS

    35.000 signataires de l’Oregon Petition, dont de prestigieux universitaires et directeurs de recherche, ainsi qu’une brochette de Prix Nobel, pour qui « Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat.» Un article mis en ligne le 4 juillet, intitulé "L’humanité n’est pas responsable du réchauffement climatique". Son auteur, un certain Pascal Mainsant, ingénieur de recherche à l’Inrae y développe des arguments connus depuis les premières mises à plat de Claude Allègre qui, déjà en 1995, dénonçait un danger imaginaire inventé par des lobbies. Mais il est toujours utile de rappeler ce qui, pour les scientifiques non sponsorisés par le GIEC, officine de propagande du gouvernement mondial, relève de connaissances élémentaires du niveau d’un étudiant de première année. Les réchauffements climatiques du passé historique L’auteur écrit : « Aussi bien au Moyen Âge que pendant l’Empire romain, les glaciers alpins étaient encore plus reculés qu’aujourd’hui » En effet, en l’an 218 avant notre ère, Hannibal a fait franchir les cols des Alpes à 40 éléphants de guerre pour attaquer les Romains par surprise. Et sur leur route, les pachydermes ne sont pas gelé les orteils dans les glaciers et les neiges éternelles. En 985, les Vikings s’étaient installés au Groenland libre de glaces… Et, en 994, Hugues Capet régnant en France, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs, témoins à l’époque, relatent une "chaleur infernale" pendant plus de 3 mois! Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1684… Et ça continua ainsi jusqu’au XXème siècle. Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit en France 45.000 morts sur 40 millions d’habitants (en 2003, 19.000 morts pour 60 millions de personnes) Emmanuel Leroy Ladurie (pourtant pro GIEC auparavant) relève dans son "Histoire du climat depuis l’an mil"» que des lieux dits des Alpes, qui n’ont pas changé de nom jusqu’à aujourd’hui, figuraient au Moyen Âge comme fermes, pâturages ou forêts sur des actes notariés, alors qu’ils sont en partie ou en totalité recouverts par des glaciers de nos jours. Les mensonges du GIEC pour affoler les populations L’auteur qui s’adresse aux décideurs nationaux, exécutifs régionaux et hauts fonctionnaires, expose qu’il n’y a pas plus de canicules, de cyclones, d’inondations, de sécheresses ni de record de température maintenant que depuis 3000 ans. Et que les mensonges sur la réalité de la situation climatique servent l’objectif inavouable du GIEC: convaincre l’humanité de sa responsabilité dans un réchauffement cataclysmique. Tout cela pour accéder au statut de sauveur avec les récompenses que l’on peut en attendre: Renommée, argent et pouvoir. Le dioxyde carbone, obsession des réchauffards, n’est pas un poison Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C’est l’aliment de base des plantes. Avec l’eau et le rayonnement solaire. Sans le CO2, qui ne représente que 0,04% de l’atmosphère, il n’y aurait pas de plantes et une grande partie de l’air que nous respirons ne se renouvellerait plus. D’ailleurs, si la concentration de CO2 dans l’atmosphère a légèrement augmenté à la fin du siècle dernier, aujourd’hui le niveau est stable, et même en très légère baisse sans que l’intervention humaine y soit pour quelque chose. Dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s’est accrue de 20%. La déforestation est un autre mythe des catastrophistes. Au temps des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million ou 106) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l’époque d’une flore et d’une faune géantes d’une extraordinaire diversité. D’ailleurs est-ce un hasard si les agriculteurs en serres y injectent trois fois plus de CO2 qu’il n’y en a dans l’atmosphère? Résultat observable: Les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes, leurs fruits sont plus gros, et grâce à une photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau. Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l’ordre de 400 ppm, conduirait inexorablement à l’extinction d’une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s’en nourrissent. Avec à l’horizon la famine pour la plupart des humains. Incluant les végans qui divaguent. En outre, rappelons que près des trois quarts de l’oxygène que nous respirons provient du phytoplancton (et pas des forêts!) C’est le vrai poumon de la planète, lequel se nourrit de CO2. Réduire de façon drastique le CO2 mènerait à une catastrophe planétaire. Les dépenses pour une transition énergétique fantasmée sont de l’argent dilapidé, mais pas perdu pour tout le monde Un minimum de 90.000 milliards de US dollars est prévu afin de réduire la teneur en CO2. Le seul résultat tangible sera d’engraisser les multinationales ripolinées en vert du Nouvel Ordre Mondial, les apôtres de la bonne pensée subventionnée, les commissaires politiques du comportement conforme, et les politicards qui prélèveront leur dîme au passage. L’auteur continue sur sa lancée, provoquant l’effroi puis la haine de ses critiques. Il ose écrire : "La hausse des températures provient d’une augmentation du champ magnétique du soleil qui favorise l’ensoleillement. Et si un réchauffement naturel tendait à augmenter la teneur de l’atmosphère en CO2, l’activité humaine y serait marginale. Conclusion : La thèse du GIEC est dépourvue de toute base scientifique. Sa diabolisation des énergies fossiles est notoirement fausse". LES VARIATIONS DE TEMPERATURE DEPENDENT A 99% DU SOLEIL Avant l’ère spatiale, les scientifiques croyaient que l’irradiation solaire totale était constante. À partir de 1978, on a pu la mesurer par les satellites. Leurs données combinées ont prouvé que la TSI (total solar irradiance) varie d’environ 0,1 % du minimum au maximum du cycle solaire. Ça paraît peu. En astronomie c’est énorme. L’intensité de la radiation de notre étoile varie en fonction des taches solaires qui sont plus sombres et plus froides que la surface du Soleil. Ces taches s’accompagnent de points lumineux qui augmentent l’intensité des radiations solaires qui régulent nos climats. Dès lors une période avec peu de taches n’annonce pas un réchauffement mais un refroidissement ! Ainsi, le petit âge glaciaire entre 1550-1860 a correspondu à un très faible nombre de taches solaires. Et même à une disparition complète de celles-ci entre 1665 et 1700. Et en 2020 alors que l’Europe subissait une canicule "jamais vue" selon les médias-menteurs, l’Institut Météorologique Danois affirmait que "L’Arctique connaît son été le plus froid depuis 64 ans". Les réchauffards s’étranglent quand Christian Gérondeau, polytechnicien, ancien haut fonctionnaire et scientifique climato-réaliste, conclut que "la vision uniformément négative de l’évolution de la planète et de l’humanité qui nous est constamment ressassée ne correspond pas à la réalité". Graphiques sur https://climatorealist.blogspot.com

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  • Des grillons au repas : la dérive

    Et voilà que de nouveaux ingrédients sont autorisés dans la composition des pains: poudre d’Acheta domesticus (grillons) partiellement dégraissés. Ce joli cadeau de nos instances européennes pour permettre une alimentation plus écocompatible n’est probablement pas vraiment adaptée à nos organismes qui bien qu’étant omnivores nous fera renouer avec les belles époques de famine où le peuple mangeait des racines et des rats…

    Plus grave ! Depuis plusieurs années les professionnels de la boulangerie se sont ingéniés à éliminer tous les numéros E autorisés et soumis à déclaration comme les propionates, acidifiants, conservateurs, émulsifiants qui faisaient tache sur les étiquettes.

    Pour obtenir des produits clean label les ingrédientistes ont élaboré une machine de guerre pour produire des pains à mie bien alvéolée et des croûtes bien dorées. Pour le goût ils inventent des poudres de perlimpinpin et faux levains qui colorent et aromatisent lesdit pains qui bientôt n’auront plus de pain que le nom…

    Le secret: les enzymes

    Pour qu’une pâte devienne pain on peut agir sur deux composantes de la farine : l’amidon et le gluten. Le premier qui est un sucre source de CO2 qui agit sur le "gonflement" de la pâte et le deuxième qui devient la structure permettant de retenir la production gazeuse du premier. Un peu comme un ballon : l’enveloppe permet de retenir l’air insufflé.

    Les pains modernes ont donc soit ajouté du gluten au mélange en corrigeant par des émulsifiants (E471-E472 par exemple) soit corrigé l’activité enzymatique. Cette dernière est dépendante de la qualité du blé qui contient naturellement des enzymes (alpha, beta amylases par exemple) mais de qualité variable car dépendantes des sols, de la technique de culture, de la pluviosité, du climat etc.

     

    Donc nos petits chimistes bricoleurs ont cultivé des enzymes fongiques OGM à forte activité. De plus, ils ont également bricolé des enzymes bactériennes qui ont la particularité de résister à la chaleur et donc ne sont pas tuées pendant la cuisson du pain. Ces dernières vont donc se retrouver dans nos estomacs avec des conséquences encore non identifiées.

    LE MONDE DU LAIT ET DES FROMAGES notamment pasteurisés utilise cette technique des enzymes depuis bien longtemps et il n’est pas étonnant que nous n’ayons plus aucun fromage français dans le top ten mondial…

    De MEME LES VIGNERONS s’amusent également à bricoler des enzymes…

    Les allergies alimentaires ont de beaux jours devant elles…

    Le scandale dans toute cette affaire c’est que nos penseurs européens (et français) ne songent pas un instant à obliger les fabricants à déclarer les enzymes entrant dans la composition de leurs produits.

    Douce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !

    Des grillons pour les gueux et des côtes de boeuf pour nos élus. Ça permet de limiter l’élevage de ruminants péteurs

    Le monde devient fou. On s’active à interchanger les " genres », maintenant on veut modifier le système alimentaire. La Re-création est en marche. L’Homme veut devenir dieu.

     

  • La méthanisation: un danger pour nous

    La méthanisation est la nouvelle lubie de nos dirigeants. En quoi est-elle problématique pour vous? La méthanisation est la nouvelle "tarte à la crème" promue afin de ne plus dépendre du " gaz de Poutine". C’est une nouvelle preuve du primat de l’idéologie sur le réel et le bon sens.

    EN QUELQUES MOTS CE QU’EST LA METHANISATION.

    La méthanisation consiste à récupérer des "déchet " (déjections animales, boues de stations d’épuration, déchets d’abattoirs, œufs pourris…), à les mélanger avec du carbone (végétaux) à hauteur de 25%. Le tout est mis dans une grande cuve et brassé pendant des jours en milieu anaérobie (sans oxygène). Des réactions chimiques vont avoir lieu sous l’action de micro-organismes et générer du gaz: le méthane. Ce méthane sera (après épuration) injecté dans les conduites de GRDF ou brûlé dans une turbine afin de produire de l’électricité qui sera vendue à EDF.

    À la base, il était question de "méthanisation à la ferme". En clair cela devait permettre à un petit agriculteur de recycler ses déchets et d’obtenir un peu de gaz ou d’électricité, constituant un petit complément de revenu l’aidant à lutter contre les difficultés que rencontrent les agriculteurs pauvres, dont 1 à 2 se suicident chaque jour. Mais certains ont vite compris qu’il y avait beaucoup d’argent à gagner et la "méthanisation à la ferme" n’est resté qu’un argument pour "vendre" le concept initial.

    Des structures beaucoup plus lourdes sont vite apparues. D’autant que les subventions pleuvent, représentant de 20 à 40% d’un projet et pouvant aller jusqu’à 70%. Il convient aussi d’ajouter à ces subventions des contrats sur 15 à 20 ans avec prix garantis, pour ceux qui se lancent dans l’aventure. Aventure qui n’en est pas une puisque c’est ceinture et bretelles pour le méthaniseur.

    Il suffit donc d’avoir des garanties suffisantes pour que le banquier vous accorde un prêt, et dès lors avec les subventions et les contrats à prix garantis, c’est le jackpot. Évidemment, les petits agriculteurs n’y ont pas accès et sont abandonnés à leur triste sort.

    J’ai indiqué qu’il fallait du carbone pour que la méthanisation se fasse. Sachant qu’une petite méthanisation rentre environ 30 tonnes de déchets par jour et qu’il faut environ 25% de carbone, il faut 7,5 tonnes de carbone par jour. C’est impossible avec les coupes de gazon et les tailles de haies. Alors comment faire? La solution s’appelle les CIVE (Cultures intermédiaires à vocation énergétique). En clair, ce sont des cultures dont l’objectif est de produire le carbone indispensable aux méthaniseurs. Oui, vous avez bien lu. Des cultures seulement pour fournir le carbone nécessaire.

    À ce jour, IL Y A UN PEU PLUS DE 1 000 METHANISEURS EN SERVICE EN FRANCE. Le CSNM (Collectif scientifique national méthanisation), constitué de scientifiques et d’agronomes, a calculé que les surfaces agricoles nécessaires à la production du carbone utilisé par ces 1 000 méthaniseurs représentaient la surface de 3 à 4 départements français.

    L’objectif de l’ADEME (l’agence gouvernementale qui s’occupe des déchets, donc de la méthanisation) pour 2030 est d’avoir 8200 méthaniseurs en service en France. Si cet objectif est atteint, il faudra la surface de 30 à 40 départements français pour produire les CIVE nécessaires. Un délire complet… qui, en plus, risque de porter atteinte à notre indépendance alimentaire.

    S’agissant de l’aspect économique de la méthanisation, c’est tout simplement consternant. Pour 1 tonne de déchets qui entre, on obtient 90% de déchet et 10% de gaz. Une fois épuré (on enlève le gaz carbonique), il ne reste que 6% de méthane. Pour obtenir 6% de méthane, on dépense "un pognon de dingue", comme dirait M. Chéri-Bibi.

    Venons-en aux DANGERS DE LA METHANISATION. Dans le processus de méthanisation, il faut savoir que 90% des quantités qui rentrent deviennent des déchets de la méthanisation après production du méthane. Cela s’appelle du "digestat". C’est réputé être un engrais "bio". Ce digestat sera épandu à la surface des champs. Et c’est là que les problèmes deviennent sérieux.

    Le digestat est composé à 80% de liquide. Notamment de l’azote ammoniacal. Lorsqu’il est épandu à la surface des champs, cet azote ammoniacal, au contact de l’air, va s’oxyder et se transformer en protoxyde d’azote. Un gaz qui part dans l’atmosphère dont le pouvoir d’effet de serre est presque… 300 fois plus puissant que le CO2 avec une durée de vie de 100 ans. Mais ça, ce ne n’est dit nulle part par l’ADEME.

    De plus, TOUTES LES ABEILLES AUX ALENTOURS SONT TUEES PRESQUE INSTANTANEMENT. Quant aux vers de terre, indispensables aux processus de création de l’humus (couche fertile du sol), ils subissent le même sort. On nous dit que le digestat est "bio" et sans danger. Mais, le 17 août 2020, à Chateaulin (29) une cuve de digestat a débordé et son contenu s’est déversé dans l’Aulne, un petit cours d’eau en amont d’une station d’eau potable. Résultat: le préfet a interdit la consommation d’eau pendant 5 jours sur 50 communes. Sans doute parce que le digestat est sans danger…

    Les problèmes ne s’arrêtent pas là. LE METHANE ÇA BRULE ET ÇA EXPLOSE. Ainsi, la méthanisation de Saint-Gilles-du-Méné (35) a été entièrement détruite par une explosion et l’incendie que cela a provoqué. Enfin, il y a quelque jours – fin août –, deux ouvriers d’une méthanisation dans l’Aisne (02) ont été intoxiqués. L’un d’eux est mort. La liste des accidents est longue, il suffit d’aller sur Internet pour les découvrir.

    LA METHANISATION EST UNE ESCROQUERIE SUR TOUS LES PLANS: économique, environnemental et pour la population. Comme la façade est peinte en vert, nos politiques, qui ne cherchent même pas à savoir de quoi il s’agit, applaudissent et votent tout ce qui concerne ce domaine. C’est un exemple patent du triomphe de l’idéologie et de la faillite pour ne pas dire de la nullité de nos gouvernants ainsi que des principaux dirigeants politiques du pays.

    Éolienne, méthanisation mais aussi voiture électrique: la fin de vie de ces installations n’est jamais évoquée. Pensez-vous que le véritable danger serait là?

    Effectivement, qu’il s’agisse des éoliennes ou des méthaniseurs, rien n’est prévu pour la fin de vie de ces installations. Leur démontage sera certainement laissé à la charge de la collectivité. Dans 20 à 30 ans puisque c’est la durée de vie de ce type d’installations.

    Les voitures électriques, en voilà une belle escroquerie. On a demandé aux Français d’acheter du diesel pendant des dizaines d’années. Subitement on leur dit, alors que les diesels modernes ne polluent pratiquement pas, de changer leur véhicule pour un modèle électrique. Et tout devrait être réglé pour 2035, sur demande de l’Europe.

    Comment vont faire les gens pour acheter une voiture électrique? Il y a bien des aides, mais elles laissent un reste à charge très lourd pour la population, beaucoup trop élevé pour nombre de personnes. Par ailleurs, il n’y a que très peu de bornes de recharge. Et l’autonomie des véhicules reste assez faible. Enfin, avec la crise de l’énergie et la flambée impressionnante du prix de l’électricité, il sera bientôt hors de prix de recharger sa voiture lorsque le bouclier tarifaire va s’arrêter au 31 décembre de cette année. Et, cerise sur le gâteau, on ne sait pas – à ce jour – recycler les batteries de ces véhicules.

    Mais cela ne fait rien, nos gouvernants continuent à chanter la même chanson. Toujours au nom de l’idéologie. Ce qui est certain, c’est qu’au plan de l’emploi, cela va être une véritable boucherie, singulièrement pour tout ce qui touche à l’industrie automobile classique.

    Les populations rurales et les paysans sont-ils les premières victimes des méfaits des énergies vertes pour vous? Pour la population, ces énergies vertes sont une catastrophe. Le prix de l’immobilier s’effondre de 30 à 40% dès qu’une méthanisation s’installe. Comme pour les éoliennes.

    Une méthanisation, ça ne fonctionne pas dans un silence absolu. En particulier à cause de la noria des camions qui amènent les déchets, le carbone et enlèvent le digestat.

    Et puis, il y a les odeurs souvent insupportables. Sans parler de la défiguration des paysages de nos campagnes. Bref… que du bonheur! Quant aux petits paysans, leur nombre baisse dramatiquement. En parallèle, les exploitations deviennent de plus en plus grandes et recourent évidemment à une agriculture toujours plus intensive et industrielle.

     

    Les petits paysans sont une population en voie d’extinction. Rien n’est fait pour les aider à produire à des prix leur permettant de vivre dignement de leur travail. Les grandes enseignes imposent des prix qui les condamnent. Dans l’indifférence de nos gouvernants. Même la méthanisation, qui était soi-disant faite pour eux, a été confisquée par des agriculteurs aisés.

    Parce qu’ils ont les moyens, ces derniers deviennent des " énergiculteurs " qui n’ont que faire de l’agriculture qui devient pour eux une activité secondaire. Ces énergies vertes sont une catastrophe pour ceux qui habitent les campagnes. Il n’y a que les bobos des villes qui n’auront jamais d’éoliennes ou de méthaniseurs à leurs portes pour soutenir ces projets insensés.

    Comme on le voit avec la crise du gaz russe et la hausse des produits pétroliers, l’État stratège n’est plus qu’une illusion. Comment expliquer la nullité de nos dirigeants en matière énergétique? "L’ÉTAT STRATEGE" N’EXISTE PLUS. S’il devait exister, sa fonction serait de prévoir ("diriger, c’est prévoir") et décider de la politique conforme à la défense des intérêts de la France.

    Or, cela fait longtemps que nos gouvernants sont des européistes convaincus. Ce qui compte pour eux, c’est la politique de l’Europe dont ils sont de serviles exécutants. En matière énergétique, l’Allemagne, qui ne supportait pas que la France fût bénéficiaire en vendant son énergie électrique grâce à son parc nucléaire, a imposé que l’Europe lie le prix de l’électricité à celui du gaz, dont elle est principalement dépendante.

    Par ailleurs, au nom de la libre concurrence, l’Europe a obligé EDF à vendre 25% de sa production à un prix dérisoire à des "concurrents" qui la revendent ensuite sur le marché à un prix bien plus élevé.

    Dans le même temps en France, les gouvernements successifs ont décidé la réduction de la part du nucléaire. Il n’était plus question de moderniser notre parc, ni de l’élargir.

    Les conséquences sont aujourd’hui visibles. Des centrales nécessitant d’importants travaux de maintenance (39 centrales à l’arrêt). Des pertes de compétences dramatiques alors que nous étions une référence mondiale. Un manque de personnel qualifié. Puisqu’il fallait fermer des sites, les embauches n’étaient donc pas à l’ordre du jour. Le tout aboutissant à de possibles coupures de courant cet hiver. La crise du gaz russe a jeté toute l’Europe dans une terrible crise dont nous ne sommes pas près de sortir.

    Les Allemands en tête. Pour "punir" Poutine, on ne lui achète que peu de gaz. Mais pour compenser, nous avons vu que l’Allemagne, qui dépend à 100% du gaz russe, va rouvrir 27 centrales à charbon. De plus, on achète aux Américains du gaz de schiste qui constitue une authentique catastrophe pour l’environnement.

    Et s’agissant de la France, comme nous avons accepté que le prix de l’électricité soit lié à celui du gaz, nous prenons en pleine face l’explosion du prix du gaz… donc de l’électricité. La "nullité" de nos dirigeants n’a qu’une seule cause: leur soumission à la politique européenne.

    Pour sortir de cette crise, il faut impérativement dénoncer ce système qui lie le prix du gaz à celui de l’électricité, IL FAUT CESSER D’IMPOSER A EDF DE VENDRE 25% DE SA PRODUCTION A PRIX CASSE aux "concurrents", il faut rénover et développer notre parc nucléaire, il faut stopper ce délire qu’est la filière des "énergies renouvelables".

    Il faut retrouver notre indépendance énergétique et redevenir un pays exportateur d’électricité assurant de substantielles rentrées financières dont nous aurions bien besoin vu l’état de notre balance du commerce extérieur.

    Faire cela serait défendre la France et ses intérêts, et conduirait l’État à redevenir stratège. Mais c’est l’inverse qu’il pratique, avec obstination. Dernier exemple en date: il prépare une loi pour accélérer et simplifier l’implantation d’éoliennes. Errare humanum est, perseverare diabolicum.

     

    Entretien repris sur E&R (Égalité & réconciliation)

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-escroquerie-des-energies-vertes-Entretien-avec-Bernard-Germain-69683.html

  • Non mais, on rêve!!!!!!

    La Norvège s’accuse d’avoir participé au racisme dans le monde!!

    “Comment la Norvège a rendu le monde plus blanc.” Voilà l’intitulé du projet de recherche NorWhite de l’université de Bergen en Norvège, que révèle Fdesouche. Un projet par ailleurs financé à hauteur de plus d’un million d’euros par le gouvernement. Et ce, à quelle fin ? Expliquer que les Norvégiens ont contribué au racisme en diffusant la “blanchité” dans le monde par le biais du colonialisme et de la peinture.

    Le document de présentation décrit la “blanchité” comme " l’une des principales préoccupations sociétales et politiques actuelles ". L’objectif est donc d’aborder " un champ de bataille distinctement différent avec la politique de la blanchité dans l’art et l’architecture ". Très simplement, ces chercheurs expliquent que les chimistes norvégiens ont révolutionné la peinture blanche en 1916, la dotant de bien meilleures couverture et opacité que celle qui était utilisée jusqu’alors. Ce qui a eu pour conséquence que de nombreux bâtiments du pays ont été peints en blanc brillant… et prouverait donc que la blanchité a été imposée comme une valeur supérieure. 

    En introduction, les chercheurs affirment: "La blanchité n’est pas seulement une condition culturelle et sociétale liée à la couleur de la peau, aux privilèges et à l’exclusion systématique, mais elle se matérialise partout autour de nous ", et poursuivent : " Bien que la Norvège ne soit pas une puissance coloniale conventionnelle, ce projet montrera comment le pays a joué un rôle de premier plan au niveau mondial dans l’établissement du blanc comme couleur supérieure.

    " Voilà, maintenant vous le savez, de votre maison peinte en blanc à l’apartheid, c’est de la faute de la Norvège.