"Je ne veux plus d’ici la fin de l’année avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois. La première bataille est de loger tout le monde dignement. Je veux une vraie politique de reconduite aux frontières".
Le Président de la République française parlait bien mais il voyait mal!
Où sont les femmes? C’est ce que je lui demandais alors qu’il venait de faire cette déclaration, en 2017, lors de sa première élection.
Où avait-il vu des femmes à Calais, à la porte de la Chapelle, sur les trottoirs de nos cités et dans nos bois?
Des femmes il n’y en avait point, et fort heureusement d’ailleurs pour elles, car alors je ne vous dis pas ce qu’elles subiraient.
Non, Monsieur le Président, il n’y a pas de femmes parmi les centaines de milliers de migrants que vous accueillez, mais uniquement des hommes, jeunes, vigoureux, qui ne fuient pas des pays en guerre mais, et c’est vrai, uniquement la misère de leurs pays.
Au cours des prochaines années ils seront des millions à envahir l’Europe, à nous remplacer, et vous n’y pouvez rien, et nous n’y pouvons rien, il est déjà trop tard.
Il serait de votre devoir, de notre devoir, d’accueillir dignement les " demandeurs d’asile " qui fuient une guerre, des massacres, la mort et nous ne pouvons pas le faire justement à cause des centaines de milliers de migrants qui occupent leurs places, les places que nous pourrions leur réserver.
Ces "demandeurs d’asile" devraient avoir pour vocation, on peut du moins l’espérer, de retourner chez eux, une fois la guerre terminée, pour participer à la reconstruction de leurs villes, de leurs villages, ce qui n’est pas le cas des "migrants économiques" qui, eux, s’incrusteront chez nous puisqu’ils préfèrent s’enfuir plutôt que de participer à la défense de leurs terres!
Suivez l’exemple de l’Italie, de l’Allemagne (le nouveau " Patron " vient de supprimer toutes les subventions offertes aux ONG pro-migrants. Demandez à votre gouvernement, avant qu’il ne disparaisse, de prendre une décision identique.)
Vous n’avez jamais souhaité une vraie politique de fermeture et de reconduite aux frontières! Ceux qui ont voté pour vous ont été particulièrement naïfs et prêts à croire à toutes les promesses que vous leur aviez faites lors de vos campagnes pré-présidentielle (vraiment très naïfs) mais c’est bien fini: ils ne vous entendent plus et même si vous leur promettiez, aujourd’hui, de tenir au moins une partie de vos promesses – et je ne peux pas croire une seule seconde que ce sera le cas – vous ne la tiendrez même pas. Vous êtes, vos services sont, devant l’impossibilité de reconduire aux frontières les centaines de milliers de migrants illégaux déjà " installés " dans notre pays et, bien évidemment, d’interdire de pénétrer les centaines de milliers qui continuent à nous envahir.
La seule solution, et vous le savez parfaitement, ce serait de supprimer toutes les aides sociales qui leurs sont offertes. Mais ce n’est ni sous votre présidence, ni sous vos gouvernements que ces décisions pourraient être prises.
Adieu et bon vent, Monsieur le Président! Une magnifique carrière vous attend mais hors de France, dans votre Union européenne étatisée.
Manuel Gomez