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Savoir

  • Les canicules du passé étaient plus chaudes que celle d’août 2025

    En l’an 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Les humains mouraient, desséchés.

    Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 5 à 6 semaines. Les témoins d’époque, clercs et tabellions, évoquent une "chaleur infernale" pendant près de 3 mois!

    Les ecclésiastiques y voyaient la main du diable comme Greta y sent l’odeur du CO2.

    Peu importe la vérité historique, il faut affoler les gens, ça les rend plus dociles et malléables

    Des canicules de plusieurs mois tarissaient puits et fontaines, faisaient des fleuves de simples ruisseaux et généraient des incendies monstrueux contre lesquels on n’avait pas les moyens de s’opposer sinon en faisant la part du feu, l’expression vient de là, en arasant toute la végétation sur des dizaines d’hectares de zones sacrifiées alentour.

    Ces chaleurs insupportables détruisaient les récoltes et les arbres fruitiers, tandis que les hommes et le bétail crevaient littéralement de soif, puis de faim.

    ON CONNUT 8 CANICULES MAJEURES DE L’AN MIL JUSQU’EN 1682.

    Suscitant autant de jacqueries qu’on qualifierait aujourd’hui d’émeutes de la faim. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tua 500.000 Français.

    Plusieurs dizaines de canicules moins sévères, comparables à celle de cette année, se succédèrent.

    En plus des phénomènes extrêmes, les fortes chaleurs cycliques n’étaient pas exceptionnelles

    En 1684, l’Académie Royale des Sciences releva 25 jours d’une température d’au moins 31° et 16 jours avec 35° à l’ombre à Paris où le thermomètre marqua plusieurs fois 40° en 1701 selon l’échelle de Santorio.

    Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893.

    Avec des pics de mortalité et de chaleur en 1846 et 1859. Et ça continua ainsi jusqu’au XXe siècle.

    Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (19.000 pour celle de 2003 attribuée au léger réchauffement cyclique) pas plus que du pic de chaleur de 56,7°C enregistré en Californie en juillet 1913.

    Les réchauffards sont les premiers à dire d’un ton docte et inspiré qu’il ne faut pas confondre météo contingente et climat rémanent. Mais dès qu’il s’agit de canicule, changement de discours: le casuel et le provisoire, liés à des phénomènes localisés, deviennent l’expression du réchauffement planétaire global.

    C’EST DANS LEURS TÊTES QUE ÇA CHAUFFE!

    Pour les bateleurs du GIEC fédérés en 1990 en chamanes de la religion réchauffarde, la température moyenne de la terre vers 2040 dépasserait de 1,5°C celle du début de l’ère industrielle, deux siècles plus tôt, si les émissions de gaz à effet de serre dont leur obsessionnel CO2 devaient se poursuivre au rythme actuel… Et ce serait la fin du monde!

    La belle affaire quand on sait que lors de l’optimum médiéval de 950 à 1350, les moyennes (hors pics de chaleur) accusaient selon les endroits entre 3°C et 6°C de plus qu’aujourd’hui. En un temps où le Groenland était la terre verte des Vikings.

    Quand la vigne poussait en Scandinavie, à Terre-Neuve et sur la côte Nord Est des USA actuels.

    Les évolutions étaient, comme toujours, fonction de la latitude, des reliefs qui orientent les vents et influent sur les précipitations, ainsi que des courants marins et aériens qui pérennisent la répétition des phénomènes.

    Et si on remonte plus loin dans le temps, Hannibal a pu franchir discrètement les Alpes avec ses éléphants il y a 22 siècles parce qu’il n’y avait pas de glaciers sur sa route. L’optimum climatique romain redécouvert par Nature en 1999 a duré de 250 avant JC à 400 après.

    La Tondelière n’a pas osé incriminer les camions, les avions et les centrales à neutrons. Mais on n’est pas passé loin.

    L’EFFET DE SERRE A TOUTES LES SAUCES… UNE IMPOSTURE POUR TERRORISER LES MASSES

    Il n’y a aucun lien démontré entre un léger réchauffement de la planète et les émissions de CO2. Ce gaz a un effet de serre négligeable. Le CO2 ne représente que 0,04% de la composition de l’air. Une légère variation de ppm (partie par million) n’aurait aucune incidence sur les températures.

    D’ailleurs, la teneur en CO2 est stable depuis 35 ans qu’on la surveille. Le surplus est absorbé par les océans, et par la végétation avec des forêts en constante expansion. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau aux effets plus significatifs. Puisque H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2.

    Dans leurs modèles, le CO2 vire à l’obsession quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède des bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1.

    C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infra-rouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’empile comme des couches de lasagnes.

    En outre, les gugusses du GIEC oublient le gradient thermique vertical. L’air chaud monte et perd 2°C/1000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 5°C à 3000 m (9842 ft). Ils ne tiennent pas compte non plus du cycle de l’eau qui produit avec la chaleur un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

    L’antienne "Sauvons la planète" sans préciser en asservissant les humains est un mantra de propagande dépourvu de tout fondement scientifique.

    Les prédictions catastrophistes du GIEC qui prétend " guider les actions des gouvernements du monde entier" s’appuie sur l’ignorance des foules dans les domaine de la science et de l’histoire, et la cécité de ceux pour qui le JT tient lieu d’évangile. Sous la surveillance de l’ARCOM, la Gestapo des médias, qui sanctionne quiconque apporte la contradiction aux théories réchauffardes et veille à ce que des scientifiques de réputation internationale, hors doxa, soient ostracisés.

    Les articles de la foi ont été rédigés par de médiocres petits profs cooptés, pillant sans vergogne les travaux de leurs collègues quand ils y trouvent matière à étayer leurs prédictions. Quitte à modifier ou effacer les données qui ne vont pas dans leur sens. Pour servir un triple objectif:

    D’abord l’assujettissement des États-Nations à une plate forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats industriels et financiers.

    Avec au moins au début, des simulacres d’élections, sans que les dirigeants désignés soient responsables devant le peuple. Le tout enrobé de diktats auxquels chacun est tenu de croire pour éviter l’exil intérieur et la mort sociale.

    Ensuite le détournement du regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle d’une déferlante migratoire qui est en train de modifier radicalement les équilibres géopolitiques et sociétaux ainsi que nos modes de vie…

    Tout en remplissant au profit des banksters et des oligarques des viviers grouillant de manœuvres et de nervis, hors syndicats et aisément manipulables, pour peu qu’on satisfasse leurs lubies religieuses.

    Enfin le parachèvement d’une paupérisation généralisée par la multiplication des faillites accroissant un chômage structurel compensé par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation. Avec une restructuration économique destinée à parachever la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure…

    En attendant un nouveau minimum de Maunder (petite ère glaciaire) qui pourrait commencer après 2030.

     

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.com/

     

  • Une vaste étude montre que l’aluminium présent dans plusieurs vaccins

    n’augmente pas le risque de maladie auto-immune ou allergique et de trouble du développement cérébral chez les jeunes enfants

    La vaccination se heurte à des réticences ou des oppositions aux motivations variées et complexes, parmi lesquelles figure la crainte d’effets délétères mal évalués ou cachés.

    Tous les composants des vaccins sont suspectés d’avoir des effets autres que celui qui justifie leur présence, les rendant potentiellement responsables d’altérations passagères ou durables de certains organes et de leurs fonctions. Parmi ces composants, les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants depuis des décennies et présents dans plusieurs vaccins administrés dès le plus jeune âge (diphtérie, tétanos, coqueluche, Haemophilus influenzae, pneumocoque, hépatites) sont régulièrement mis en cause.

    Les adjuvants ont pour rôle d’augmenter l’efficacité de la vaccination en élevant le niveau de la réponse immunitaire, parfois en l’orientant vers ses composantes les plus actives. Ils permettent aussi de réduire la quantité d’antigène présente dans les doses de vaccins.

    A la différence d’autres métaux, l’aluminium n’a pas de rôle dans l’organisme, mais il s’y trouve présent en petites quantités en raison de sa très large répartition dans l’environnement.

    En cas d’absorption excessive ou de troubles de l’élimination (altération des fonctions hépatiques et surtout rénales), il peut s’accumuler, principalement dans les os et le système nerveux.

    Il peut alors être responsable d’une fragilité osseuse, ou de troubles neurologiques (anomalies du développement cérébral chez les sujets jeunes, altérations diverses chez les adultes).

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  • L’aventure "morale" des ONG, c’est terminé!

    Les organisations non gouvernementales (ONG) sont aujourd’hui sur la sellette. Les crédits leur sont coupés.

    LICENCIEMENTS EN SÉRIE

    Une enquête menée dans 160 pays par le Conseil international des agences bénévoles (ICVA) a révélé que 54  % des ONG humanitaires opérant dans 150  États ont dû licencier du personnel après le démantèlement de l’USAID.

    L’USAID, l’agence qui distribuait l’aide au développement du gouvernement fédéral américain, a fermé boutique : les 35 milliards de dollars distribués en 2024 ont été réintégrés dans le budget fédéral en 2025, et les 10 000 salariés de l’Agence ont presque tous été licenciés.

    International Rescue Committee (IRC), dont le budget a été réduit de 650 millions de dollars, a licencié plusieurs milliers de personnes ; Mercy Corps qui tirait 26 % de ses financements de l’USAID, a licencié les deux tiers de ses effectifs affectés à des programmes étrangers  ; Save the Children a licencié 2300 personnes et a fermé ses bureaux dans cinq pays ; Amref Health Africa a perdu 30 millions de dollars, a licencié 692 personnes et arrêté plus de vingt programmes; Danish Refugee Council a licencié 2000 salariés en raison d’un budget en baisse de 70 millions de dollars ; World Vision a licencié 3000 salariés ; Norwegian People’s Aid a licencié plus de 1700 employés ; Catholic Relief Services s’apprête à licencier jusqu’à 50  de son personnel mondial, ce qui affectera le travail dans 120 pays; FHI 360 a licencié 700 employés, etc.

    LE DEMANTELEMENT DE L’USAID N’A RIEN EU D’ISOLÉ

    Les 15,3 milliards de livres sterling (17,6 milliards d’euros) que la Grande-Bretagne a consacrés à l’aide au développement en 2023 (0,58 % du PIB) devraient chuter à 9,2 milliards de livres sterling (10,5 milliards d’euros) en 2027.

    En France, le projet de budget 2025 envisageait déjà un recul de 34 % des crédits affectés aux pays pauvres.

    Aux Pays-Bas, les coupes budgétaires totaliseront 2,4 milliards d’euros d’ici 2027.

    Le 16 avril 2025, l’OCDE a révélé qu’après cinq années consécutives de hausse, le montant de l’aide au développement a baissé en 2024 de 7,1 % par rapport à 2023. On n’ose imaginer le chiffre de 2025.

    GRANDEUR ET DÉCADENCE DES ONG

    L’aide au développement est une curiosité budgétaire propre aux pays occidentaux. La Chine ne dépense pas un yuan pour le tiers-monde, ni la Russie un kopeck, sans parler des pays arabes producteurs de pétrole.

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  • Comment ils détruisent notre Nation...

    Incendies de forêts, arrachage de vignes,

    abattage des troupeaux: hasard ou nécessité?

    Quand la France brûle, Macron plante des panneaux solaires. Ce n’est pas une série de malchances, c’est une stratégie. Le feu est un outil, il dégage, il efface, il prépare le terrain. Et sur ce terrain dévasté, on installe une autre France.

    Une France sans paysans, sans éleveurs, sans vignerons. Une France des serveurs, d’objets connectés et de dépendance énergétique.

    MAIS AVANT DE CONSTRUIRE CE MONDE-LA, IL FAUT DÉTRUIRE L’ANCIEN.

    On ne modernise pas un pays enraciné, on le déracine.

    On commence par la vigne. En 2023, l’État propose une prime à l’arrachage, pas pour relancer, pour mettre fin. On appelle ça la réduction définitive du potentiel viticole.

    On offre de l’argent pour arracher, mais surtout on interdit de replanter. C’est le signal. Le vin français, ce pilier culturel et économique, devient une variable d’ajustement.

    La main de l’Etat n’aide pas les vignerons. Elle les paye pour abandonner. Une fois les ceps arrachés, les terres deviennent vides. Et ces terres vides sont alors convoitées.

    Non pas pour du maraîcher, non pas pour de l’agro écologie, mais pour du photovoltaïque. LES MULTINATIONALES INSTALLENT DES CHAMPS DE PANNEAUX SUR LES CADAVRES DE NOS VIGNES, DES MEGAWATTS.

    C’est l’écologie selon Macron: remplacer des hectares de biodiversité et l’histoire par des champs de silicium. On ne soutient pas le vin français, mais on importe des cuves d’Espagne, des bouteilles du Chili, des vins synthétiques des Etats-Unis. La viticulture française est vendue à la découpe.

    Août 2025. L’Aude s’embrase. 17000 hectares partis en fumée.

    Une femme meurt, des pompiers blessés.

    Et où est l’Etat? Absent.

    Quatorze Canadairs pour tout un pays, mais c’est une blague.

    Et encore, ce sont des modèles anciens, parfois cloués au sol pour maintenance. Macron avait promis quatre appareils supplémentaires. Il en a commandé deux.

    Et les crédits votés pour la flotte aérienne ont été supprimés en douce par décret.

    En parallèle, quatre-vingts dix véhicules blindés Centaure sont livrés à la gendarmerie pour réprimer les manifestations.

    LES FEUX DE FORET, NON. LES FEUX SOCIAUX, OUI.

    Ce n’est pas une négligence, c’est une hiérarchie des priorités. Ils laissent cramer les forêts, mais ils sont prêts à écraser la moindre flamme de colère.

    Et dans l’Aude, hasard étrange, le feu ravageait dans une zone promise à une centrale solaire. Un projet bloqué par les riverains, ralenti par les recours. Une fois le feu passé, plus d’obstacle, le terrain est libre, la végétation n’existe plus.

    Comme par enchantement, les travaux peuvent commencer. Le feu devient un bulldozer.

    Chaque incendie devient une opportunité.

    Une forêt qui brûle, ce sont des terres libérées de contraintes agressives. Des sols désencombrés, moins de haies, moins de biodiversité, donc moins de freins aux projets industriels.

    Les investisseurs arrivent après les flammes comme des vautours sur un champ de bataille.

    Des panneaux solaires, des éoliennes, des centres logistiques. L’incendie devient la première étape d’un chantier. Derrière les discours sur la sobriété, il y a une réalité: la marchandisation du vide.

    Les terres agricoles deviennent des déserts énergétiques stériles, gérés depuis des tours à Paris ou à Bruxelles. Les paysans, eux, sont expulsés du paysage, remplacés par des techniciens sous-payés. Le Green Deal (l’accord vert) est une opération immobilière.

    PENDANT QUE LES FORETS S’EFFACENT, NOS ELEVEURS CRIENT DANS LE VIDE.

    Une épidémie nommée DNC, dont personne n’avait entendu parler, devient le prétexte pour abattre des cheptels entiers. Même quand les animaux ne présentent aucun symptôme, même quand les tests sont négatifs, ordre est donné: euthanasie totale.

    Dans le Cantal, la Savoie, les Alpes, des éleveurs assistent à l’abattage de leurs vaches, de leurs veaux, de leur vie. Une femme raconte avoir nourri ses veaux au biberon le matin pour les voir mourir l’après-midi. Aucun recours, aucune pitié.

    C’est la politique du vide.

    Chaque troupeau supprimé ouvre la voie à autre chose.

    Importations sud-américaines, viande synthétique, solutions alternatives promues par les start-ups financées par Bill Gates ou BlackRock.

    Et les fermes, que deviennent-elles? Soit des friches, soit des terrains vendus pour d’autres usages: solaire, logistique, technologique. L’animal vivant gêne, la nourriture connectée rassure.

    LA VACHE MEURT, LE LABO PROSPÈRE.

    Dans ce pays qu’on déshabille, les moyens de secours s’effondrent, mais les moyens de contrôle explosent. Pas d’argent pour les Canadairs, mais des milliards pour l’armement, pour l’Ukraine, pour les intérêts de l’OTAN.

    Pas d’aide réelle pour les éleveurs, mais des chèques pour Amazon, Pfizer ou Microsoft. On privatise les profits, on nationalise les pertes.

    Les terres agricoles partent à l’étranger. Les subventions alimentent des programmes numériques absurdes. Les ZAP, zones agricoles protégées, conditionnent les exploitants à devenir dépendants. On appelle ça modernisation. En réalité, c’est un asservissement.

    Chaque feu de forêt est une justification pour accélérer la mutation. On prépare une agriculture sans hommes, sans terres, sans saisons. Et ceux qui refusent ce modèle sont traités d’extrémistes, d’anti-progrès.

    Ils sont ignorés jusqu’au jour où ils se révoltent. Pendant ce temps A PARIS, LA CASTE RIT.

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  • Sur un autre blog

    On nous prends pour des idiots ou quoi?????

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2025/08/11/j-ai-une-grosse-colere-6558642.html

  • 43 milliards d’euros: déficit commercial record au premier semestre

    Le Premier ministre François Bayrou a récemment décrit une accumulation de la dette de la France qui augmente de 5.000 euros "chaque seconde de chaque jour et de chaque nuit" . Il évoque aussi le chiffre astronomique de 100 milliards d’euros de charge de la dette en 2029 si rien n’est fait pour enrayer le phénomène.

    Un autre chiffre est tout aussi alarmant, celui du déficit de notre commerce extérieur: la différence entre nos importations et nos exportations a été de 43 milliards d’euros pour le premier semestre, soit 4,5 milliards de plus que la même période de l’année dernière.

    Ce déficit s’explique d’abord par la baisse de la facture énergétique: nous avons exporté moins d’électricité, et comme les prix de l’énergie ont reculé, nous y avons moins gagné au change. Le secteur aéronautique a également plombé notre déficit commercial avec, notamment, moins de ventes d’avions. Airbus a eu du mal à tenir les cadences de livraison d’appareils à ses clients internationaux.

    Parallèlement, nous avons importé plus de médicaments, essentiellement en provenance de Chine. Signe de notre perte de souveraineté dans ce secteur, les importations de produits pharmaceutiques ont atteint un record historique: les importations de produits pharmaceutiques depuis Pékin ont plus que doublé en valeur à 1 milliard 100 millions entre janvier et juin de cette année contre 500 millions au premier semestre 2024.

    Les surtaxes douanières annoncées par Donald Trump n’étaient pas entrées en vigueur pour le calcul du déficit rendu public par les douanes ce 7 août. Ce qui inquiète le gouvernement car ces surtaxes qui sont entrées en vigueur ce 1er août vont plomber encore davantage nos exportations, et donc alourdir notre déficit commercial.

    Dans un entretien au journal Le Monde du jeudi 7 août, le ministre du Commerce extérieur, Laurent Saint-Martin, parle d’un " vrai signal d’alerte ". Le tissu productif français est malade: coût du travail trop cher, fiscalité pénalisante, lourdeurs administratives… Les politiques de gauche menées depuis des décennies, qui consistent à toujours plus taxer l’outil productif sont directement responsables de cette autre faillite.

     

    Henri Dubost