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Savoir - Page 2

  • La décarbonation:

    image générée par I.A.

    une lubie dogmatique qui sacrifie la France sur l'autel de l'idéologie

    La décarbonation est devenue le nouveau credo de la secte climatiste. Drapés dans leur vertueuse indignation, nos gouvernants et les technocrates de Bruxelles nous imposent un carcan réglementaire suicidaire, pendant que la Chine et l’Inde rient sous cape, brûlant chaque jour davantage de charbon et de pétrole pour alimenter leur expansion économique.

    Ce dogme absurde repose sur une vision partiale et biaisée du carbone, qui serait le mal absolu à combattre. Or, la science nous enseigne que le carbone est un élément fondamental à la vie sur Terre: il est le socle de la photosynthèse, le moteur de la croissance végétale et un régulateur climatique naturel depuis des millénaires.

    La France, déjà l’un des pays les moins émetteurs de CO2 grâce à son parc nucléaire exemplaire, s’acharne pourtant à expier une faute imaginaire. Les fermetures de centrales à charbon, la fiscalité punitive sur l’essence et le gaz, les restrictions absurdes sur l’industrie automobile sont autant de boulets que nous nous imposons volontairement. Résultat? Une destruction de notre industrie, une flambée des prix de l’énergie pour les ménages et une perte de compétitivité face à des nations moins scrupuleuses. Pendant ce temps, l’Allemagne, pourtant donneuse de leçons, relance son industrie charbonnière. Où est la logique?

    Mais cette folie n’est pas seulement écologique et économique: elle est aussi financière. L’arnaque du marché du carbone, avec ses " droits à polluer " achetables et revendables, est devenue une manne pour les spéculateurs. Qui profite de ce système? Sûrement pas les citoyens français, ni les entreprises, rackettés à coups de taxes écologiques et de réglementations liberticides, mais bien les financiers et les bureaucrates européens, toujours plus gourmands en fonds publics.

    Il est temps de réagir. Plutôt que de nous flageller en écoutant les prêches catastrophistes des nouveaux inquisiteurs du climat, reprenons le contrôle de notre politique énergétique. Défendons notre industrie, refusons cette hystérie collective et remettons la science et la raison au centre du débat. La France a besoin d’énergie, de croissance et de liberté, pas d’une austérité écologique mortifère.

    Thomas Joly

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Danger

    Recrudescence importante des infectons invasives à méningocoque en France

    En France, Santé publique France signale une recrudescence importante des infectons invasives à méningocoque (IIM) a été observée au cours de la saison 2024-2025 avec un nombre exceptionnellement élevé de cas au mois de janvier 2025 (90 cas, données non consolidées). En janvier 2025, les IIM du sérogroupe B étaient majoritaires (45% des cas), suivies des sérogroupes W (30%) et Y (25%). Les IIM W et Y ont fortement augmenté ces dernières années par rapport à l’incidence relevée avant la pandémie de COVID-19.

    Le nombre de cas déclarés et survenus en janvier 2025 est équivalent à celui observé au pic atteint en décembre 2022 dans le contexte d’un rebond post-pandémie de COVID-19 et d’une épidémie grippale marquée associée à la circulation importante d’autres virus respiratoires (Sars-CoV-2 et VRS). L’augmentation des IIM en janvier 2025 pourrait être liée en partie à l’épidémie de grippe particulièrement importante pendant la saison 2024-2025. En effet, il a été montré que les infections par le virus de la grippe peuvent augmenter le risque d’infection invasive à méningocoque.

    Depuis le mois de juillet 2024, 50 décès ont été déclarés soit une létalité de 13,7%. Les souches du sérogroupe W restent à l’origine de formes plus sévères, avec une létalité de 19,8% pour ce début de saison 2024/25, contre 12,5% pour les IIM B et 10,4% pour les IIM Y. En janvier 2025, 13 décès sont survenus, essentiellement chez des adultes dont des jeunes adultes, ce qui témoigne de la sévérité de ces infections.

    Pour l’ensemble de l’année 2024, 615 cas d’IIM ont été déclarés en France, correspondant au plus grand nombre annuel de cas depuis 2010.

    La Direction Générale de la Santé a alerté ce jour les professionnels de santé sur cette situation, appelant à une vigilance accrue et rappelant l'importance de la vaccination.

    Dans la population générale, le calendrier vaccinal prévoit:

    Concernant la vaccination contre les sérogroupes A, C, W et Y:

        Chez les nourrissons, la vaccination tétravalente est obligatoire selon un schéma vaccinal à deux doses: une dose à l’âge de 6 mois (NIMENRIX) suivie d’une dose de rappel à l’âge de 12 mois (NIMENRIX ou MENQUADFI),

        Chez les adolescents, la vaccination est recommandée:

            De 11 à 14 ans selon un schéma une dose quel que soit leur vaccination antérieure (NIMENRIX ou MENQUADFI ou MENVEO),

            De 15 à 24 ans dans le cadre du rattrapage vaccinal avec un schéma une dose (NIMENRIX ou MENQUADFI ou MENVEO).

    Concernant le sérogroupe B:

        La vaccination par le vaccin BEXSERO est obligatoire chez l’ensemble des nourrissons depuis le 1er janvier 2025 selon un schéma à trois doses (M3, M5, M12).

        Un rattrapage jusqu’à 24 mois est prévu pour les nourrissons jamais vaccinés ou au statut vaccinal incomplet ou inconnu.

    Des recommandations vaccinales particulières viennent compléter l’approche du calendrier vaccinal particulier chez les personnes à risque élevé d’IIM (personnes immunodéprimées et leur entourage familial) ainsi qu’en milieu professionnel et chez les voyageurs

    Source: Santé publique France, Direction générale de la santé

  • Europe, le canard sans tête

    Tout comme le canard qui continue de courir après qu’on lui ait coupé la tête, l’Europe continue d’avancer dans le monde d’après l’élection de Donald Trump. Mais les dirigeants européens ne savent plus où aller, car le maître américain ne donne plus de consignes ou des consignes inverses à celles données depuis 40 ans. Alors que vont donc pouvoir faire nos dirigeants?

    Après Musk, et ses critiques envers le Premier ministre britannique Starmer et le chancelier Scholz, voici le vice-président Vance et ses critiques à tous les dirigeants européens: vous n’êtes pas réellement démocrates et vous ne respectez pas la volonté de vos peuples, en particulier en matière d’immigration! Vous devez changer et renouer avec les valeurs en vigueur dans une vraie démocratie. Le choc du discours de Munich fut rude!

    Après l’intervention du président Trump au forum de Davos pour expliquer que le libre-échangisme et la mondialisation c’était fini, c’était le coup de trop.

    Que pourront faire les dirigeants européens si leur suzerain leur donne des consignes inverses à celles données pendant 40 ans?

    Car la main-mise américaine en Europe était claire: vous ne bougez pas une oreille et surtout vous nous obéissez et mettez en place l’agenda dont nous vous avons chargé. Or là, c’est différent: nous passons à la glasnost à la Gorbatchev! Les dirigeants d’Europe de l’Ouest connaissent avec 40 ans de retard le même phénomène que l’on a connu à l’Est à la fin du communisme.

    Car les attaques vis-à-vis des dirigeants d’Europe de l’Ouest sont les mêmes que celles faites à l’époque envers Honecker en RDA, Ceaucescu en Roumanie ou Raïkov en Bulgarie!

    Et bien sûr la réaction est la même: refus du réel, refus de prendre en compte le changement de période et la fin d’une idéologie ; donc on se contracte. Les dirigeants européens privés de consignes décident que désormais ils essaieront de conserver leur pré carré en maintenant le libéralisme et son extension finale le wokisme jusqu’à la fin. D’où l’idée d’accentuer la censure et de créer un système visant à encadrer les élections qui donneraient des résultats non souhaitables. En réalité opposés à leurs vœux.

    Mais on n’arrête pas l’histoire, le mouvement qui a commencé continuera sur sa lancée, on ne pourra indéfiniment maintenir les peuples en cage. Les dirigeants d’Europe de l’Est n’ont pu empêcher la démocratisation, ceux d’Europe de l’Ouest n’y arriveront pas non plus. L’ouverture des dossiers aux Etats-Unis, ceux des assassinats des deux Kennedy, le dossier concernant la présidence française… mettront en lumière toutes les basses manœuvres des services secrets de l’Ouest.

    Et les peuples se réveilleront un jour en se rendant compte que les deux systèmes ne valaient pas beaucoup mieux l’un que l’autre! Car si d’un côté, celui de l’Est, ce fut l’empire du mal, de l’autre côté, celui de l’Ouest, ce fut Qui veut faire l’ange fait la bête!

    Christophe Bugeau

    Lien:  https://france-vigilante.fr

    https://www.youtube.com/@ChristopheBugeau/videos

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Le scandale "France Travail"…

    dénoncé par Sarah Knafo (élue Reconquête!) mérite à lui seul une Révolution

    Quand j’ai parlé de France Travail et ses 54 000 salariés, le directeur général a répondu "enfumage" et "mensonge".

    Pourtant, je n’avais encore rien dit. Salaires mirobolants, scandales, souffrance des salariés, fêtes somptuaires, défaillances…

    D’abord, sachez que LE MECENE DE FRANCE TRAVAIL, C’EST VOUS.

    Pour financer les 43 milliards dont dispose France Travail, vous devez payer une assurance chômage: une partie au cas où vous seriez au chômage, le reste pour France Travail. C’est 4% de votre salaire tous les mois. France Travail, c’est #NotreArgent.

    Source: INSEE

    Or, quand une agence est financée par le fruit de notre travail, son efficacité doit être scrutée au microscope.

    Il faut nous interroger en permanence sur l’emploi de #NotreArgent.

    En tant qu’élue du peuple, c’est même mon devoir.

    Alors, qui est ce directeur général de France Travail, M. Thibaut Guilluy, qui se démultiplie dans les médias, comme dans un véritable plan de communication de crise, pour m’attaquer parce que je fais mon travail?

    Ami d’Emmanuel Macron, M. Guilluy fut candidat LREM aux législatives en 2017, avec pour suppléante… la fille de Brigitte Macron. Un engagement politique qui n’a manifestement pas nui à sa carrière. (Patience, vous connaîtrez bientôt le salaire d’un DG de France Travail.)

    Monsieur Guilluy est donc un homme politique. Il a perdu les élections, mais a vite été recasé…

     → En 2020, il est nommé "Haut-commissaire à l’emploi": encore un organisme très utile. Je vous laisse voir par vous-même en quoi cela consiste…

    → Fort de cette expérience, il est nommé en 2023 DG de France Travail.

    → Il préside aussi deux agences publiques créées en 2018 et en 2022, comme si la France manquait d’agences publiques…: le Conseil de l’inclusion dans l’emploi et Les entreprises s’engagent, pour une société "inclusive et durable", ainsi que de nombreuses associations, toujours pour une société "inclusive et durable".

    Qu’est-ce que France Travail? Ex-Pôle emploi, c’est une agence publique avec deux missions principales: indemniser les chômeurs et les accompagner dans leur recherche d’emploi, en collectant les offres des entreprises pour les mettre en relation avec les demandeurs.

    Il y a 22 000 conseillers chargés de "collecter les offres des entreprises et de les mettre en relation avec les demandeurs".

    Cela vous rappelle quelque chose? C’est normal! C’est aussi ce que font des dizaines de plate6formes sur Internet, des centaines de cabinets de recrutement et des milliers d’agences d’intérim!

    Mais c’est avec #NotreArgent que France Travail emploie 54 000 personnes.

    Soit trois fois plus que LinkedIn, qui emploie 16 000 personnes dans le monde entier, accueille 900 millions d’utilisateurs dont 30 millions en France, et permet, chaque minute, à 8 personnes d’être embauchées… Sans vivre de nos charges sociales.

    MEME FRANCE TRAVAIL LE RECONNAIT…

    Or, que remarque-t-on? Que sur une année, France Travail ne permet qu’à 12,9% des chômeurs de trouver un emploi. Si vous avez trouvé un travail avec France Travail, vous faites donc partie des exceptions.

    Ce chiffre est accablant! Et c’est sans doute pour cela qu’il est si difficile à trouver… France Travail ne le publie pas. Et il m’a fallu remonter à un rapport de 2017 publié par l’INSEE pour l’obtenir. À combien sommes- nous aujourd’hui? Nous serions curieux d’avoir les chiffres!

    France Travail échoue donc pour 87% des chômeurs inscrits chez elle, qui trouvent un emploi par d’autres moyens.

     

    Dans le privé, 87% d’échec, c’est la faillite, ou au minimum, le responsable renvoyé… mais pas chez France Travail!

    La Cour des comptes, elle aussi, écrit: "Les résultats obtenus par Pôle Emploi en matière de taux de retour à l’emploi sont décevants".

    Et devinez quoi? Quand la Cour a publié son rapport, le DG de l’agence a hurlé pour dénoncer un rapport "exclusivement à charge"!

    Même face à la Cour des comptes, la combine de France Travail, c’est toujours d’attaquer le messager pour éviter de se remettre en question.

    Maintenant que nous savons qui est M. Guilluy et ce qu’est France Travail, voyons ce qu’il trouve à redire à mes arguments. Sans en contester aucun, il leur oppose seulement des bons sentiments et une liste de moyens déployés… en oubliant tout simplement de parler des résultats.

    Le problème, c’est que personne n’accuse France Travail de ne pas mettre les moyens! Bien au contraire. Ces moyens sont énormes, avec #NotreArgent. Et cet argent, il n’en prend pas du tout soin. Il le dilapide. Il le gaspille… à 87%.

    QUANT AUX RESULTATS…

    1. Guilluy n’ose pas contester mes chiffres, alors il bafouille sur TPMP: "Son 12%…. oui, d’accord, bon… Sarah Knafo, elle va sortir des rapports de l’INSEE là, ou je sais pas quoi… mais je l’invite dans une agence qu’elle voie la réalité derrière les chiffres".

    Ah? Manifestement, devant des arguments d’une telle pauvreté et qui révélaient de telles défaillances, les téléspectateurs ne se sont pas trompés.

    Autre argument de M. Guilluy? Il nous parle d’énormes moyens déployés pour prescrire des formations aux chômeurs.

    Alors, expliquons ce système à ceux qui n’ont pas eu la joie de le connaitre. Quand vous êtes au chômage, vous pouvez être obligés de suivre une formation pour continuer de toucher des indemnités chômage. D’anciens chômeurs me racontent "je savais que ça ne me servirait à rien, je cherchais un poste dans un autre secteur, mais c’était obligé, sous peine d’être radié! ".

    Et ça, c’est non seulement dégradant, mais c’est encore un gaspillage terrible, car ces formations, c’est toujours vous qui les payez. Regardez encore les réponses à la publication de M. Guilluy.

    Pour les résultats, M. Guilluy nous donne uniquement un chiffre de 4 millions de contrats signés. "C’est pas rien!" dit-il. Certes. Mais, en réalité, c’est très peu.

     → Il faut savoir qu’en 2022, 47,3 millions de contrats de travail ont été signés, rien que dans le secteur privé (INSEE).

    Dont 43 millions sans l’aide de France Travail, sans argent public, sans #NotreArgent.

    → Sur les 4 millions de contrats célébrés par M. Guilluy, combien sont, en fait, des contrats précaires de quelques semaines, renouvelés plusieurs fois dans l’année, ou des "emplois aidés", donc des emplois financés encore avec #NotreArgent, qui masquent la situation catastrophique du chômage en France? Là aussi, nous attendons ces chiffres avec impatience!

    D’ailleurs, dans la même émission, M.Guilluy, pensant nous donner un argument de poids, nous apprend qu’il participait, la veille "à une réception pour fêter la signature de… 40 contrats de travail". Comment mieux illustrer mon propos?

    Le DG de France Travail fait la fête pour à peine 40 contrats quand LinkedIn permet de signer 11 520 embauches par jour?!

    Encore de l’argent gaspillé pour fêter un service rendu minuscule… À elle toute seule, la fête coûtait peut-être plus cher que le salaire des 40 personnes embauchées!

    Chez France Travail, on aime ces fiestas. Eh oui, le Canard enchaîné nous apprend que les dirigeants sont tellement fiers de leurs résultats, qu’ils se payent des réceptions à 300.000 euros avec #NotreArgent.

    Quelle entreprise privée se permettrait de telles dépenses pour fêter de tels résultats? Et le scandale ne s’arrête pas là!

    On apprend que le salaire du DG de Pôle emploi était de 20 000 euros par mois en 2009 (dernier chiffre disponible)! On serait curieux de connaître le montant en 2025.

    → 20.000 euros par mois, pour 87% d’échec dans sa mission, ça n’est jamais arrivé ans le privé et ça n’arrivera jamais

    On découvre aussi que les dirigeants de France Travail profitent de largesses invraisemblables et de rémunérations géantes, malgré un service rendu défaillant  Avec des salaires à 14.000 euros par mois, si vous hésitiez entre une carrière dans la banque d’affaires et un poste de cadre chez France Travail, n’hésitez plus!

    La Cour des comptes avait alerté dès 2020. Vous arrivez à la fin et au plus absurde dans cette machine infernale.

    Sur TPMP, M. Guilluy nous parle d’une convention qu’il a signée avec LinkedIn "pour recruter". Étudions cet argument, ou plutôt, cet ÉNORME but contre son camp.

    J’AI CREUSE LA QUESTION…

    Nous apprenons donc que nous payons tous les mois 54 000 personnes pour qu’ils mettent sur leur site des offres venues d’autres plate-formes?!

    Oui, vous ne rêvez pas. C’est bien ce que nous dit fièrement M. Guilluy: "Nous travaillons avec les plate-formes pour mettre en visibilité leurs offres". Et c’est écrit noir sur blanc sur le site de France Travail. C’est-à-dire qu’on finance avec #NotreArgent des annonces de recrutement réceptionnées et passivement mises en ligne, sans plus-value?

    Des demandeurs d’emploi me l’ont confirmé: les conseillers France Travail vous proposent souvent des offres auxquelles vous avez déjà postulé sur d’autres plate-formes.

    Plus on creuse, plus on découvre.

    Savez-vous que France Travail paye des entreprises pour former ses salariés au "développement des compétences", c’est-à- dire à son propre cœur de métier? Voilà une agence dont l’expertise est censée être le développement des compétences des chômeurs pour les aider à retrouver un emploi… qui paye des entreprises pour former ses salariés… à leur expertise?

    Et il y a pire… France Travail paye aussi une myriade de sous-traitants pour qu’ils exercent directement à sa place ses propres missions. Celles pour lesquelles nous rémunérons déjà 54 000 salariés!

    Vous payez donc deux fois, quand France Travail vous fait croire que son service est gratuit!

    Oui, l’agence va, par exemple, jusqu’à payer des entreprises pour qu’elles effectuent À SA PLACE les entretiens avec des demandeurs d’emploi, facturés à France Travail, donc à nous, 90 euros par entretien!

    LE COUT GLOBAL DE CETTE SOUS-TRAITANCE?

    1,2 milliard d’euros sur une seule année selon la Cour des comptes en 2018.

    Même la CGT écrit en juin 2024: "Le gouvernement détourne donc les allocations chômage pour engraisser des entreprises privées ". Et là, une fois n’est pas coutume, je rends hommage au long travail d’enquête de la CGT Chômeurs (eh oui, ça ne manque pas de sel…) qui a publié un rapport instructif sur ces scandales de la sous-traitance chez France Travail. Nous en tirons certainement des solutions opposées, mais les faits sont là.

    POURQUOI EST-CE SI GRAVE?

    Parce que le but d’un service public est de rendre un service que le privé ne rend pas. Mais si le service public se met à payer le privé pour rendre ce service: c’est pire qu’un non-sens, c’est une gabegie, une double destruction de#NotreArgent.

    À la lecture de ces faits, des questions de bon sens se posent:→ Pourquoi payer autant de conseillers France Travail pour vous proposer des offres d’emplois que des tas de sites internet ou d’agences d’intérim proposent déjà?

    → Quelle est aujourd’hui la plus-value de France Travail en matière de recherche d’emploi, par rapport au secteur privé, puisque même France Travail lui achète des formations, voire lui sous-traite son travail?

    → A-t-on besoin que cette activité reste un service public, qui embauche autant de monde, payé avec #NotreArgent, alors qu’il y a déjà des structures qui fonctionnent dans le privé?

    Et le scandale France Travail n’est pas uniquement financier. Il est aussi humain.

    Parlons de la souffrance des salariés de France Travail! Des articles, des livres, des dizaines de témoignages que j’ai reçus relatent tous la même chose: un mal-être profond, une perte de sens dans une telle lourdeur bureaucratique. Parfois même des suicides. Certains parlent de véritable "machine à broyer". Je profite donc de ce texte pour remercier infiniment tous les conseillers de France Travail intègres, en particulier ceux qui m’ont contactée et ont apporté de nombreux éléments à ma réflexion.

    Mettez-vous à la place d’un conseiller de France Travail qui souhaite vraiment faire son travail, aider le demandeur d’emploi qui est en face de lui. Sa direction l’oblige à prescrire des prestations (coûteuses et non sollicitées) qui concurrencent son cœur de métier pour écouler un stock déjà monnayé.

    Imaginez être payé au SMIC quand vos dirigeants se paient des salaires de 14.000 à 20.000 euros, organisent des fêtes à 300.000 euros et font semblant de vous défendre uniquement sur les plateaux télévisés. Pensez à ces conseillers qui n’ont pas les moyens de répondre aux attentes des demandeurs d’emplois et qui subissent un déluge d’indicateurs à renseigner et respecter à des fins statistiques au lieu d’accompagner des personnes.

    On vide de sens leur vocation qui est d’accompagner des humains. C’est Kafkaïen. Que dire des chômeurs aux prises avec cette bureaucratie absurde? Je reçois des dizaines de témoignages et le même terme revient: "La Machine infernale".

    Même la CGT Chômeurs accable cette "usine à gaz technocratique". Et il n’y a qu’à lire les commentaires sous chaque publication de M. Guilluy.

    NOUS ARRIVONS A LA FIN.

    Je vous en ai dit beaucoup, mais il y a encore des dizaines d’autres sujets: la quantité délirante de données que FranceTravail collecte sur nous, le nombre de personnes employées uniquement pour faire des reportings et construire des indicateurs, la collusion avec certains employeurs pour délivrer les attestations permettant d’embaucher des clandestins, la politique "inclusive" à tendance woke de France Travail, le business du chômage qui fait profiter tant d’acteurs par #NotreArgent qui transite par France Travail, etc.

    Bref, vous l’avez compris: il y a peut-être un tout petit pourcentage de gens satisfaits par France Travail, mais il y a des dizaines de millions de victimes de France Travail. Les chômeurs qui ne retrouvent pas d’emploi, qui sont perdus dans un système bureaucratique qui les déshumanise et les désespère, les salariés de France Travail honnêtes, qui sont déprimés par cette bureaucratie qui les rend inefficaces.

    Et bien sûr, les contribuables! Qui paient beaucoup, qui paient toujours, et qui constatent que leur argent est jeté par la fenêtre. Cela fait beaucoup, beaucoup de victimes. Beaucoup trop pour que M. Guilluy s’arroge le droit de parader dans les médias, et de s’indigner quand on ose légitimement lui demander des comptes.

    Devant l’évidence des chiffres et des témoignages, M. Guilluy défend bec et ongles un système dans lequel il a mené toute sa carrière et dont il a gravi tous les échelons: ce n’est pas lui qui sera lucide et objectif.

    Mais vous, avec tous les éléments en main. Je tiens à dire que j’ai tenté d’en débattre avec M. Thibaut Guilluy depuis des semaines, mais sans succès. Alors, je suis allée visiter des agences par moi-même, j’ai creusé, j’ai travaillé… Et voilà le résultat de mes recherches.

    J’ai tenté de vous donner l’essentiel ici. France Travail est un exemple éclairant de la destruction de vos efforts par la bureaucratie. Il y en a tant d’autres! Dès qu’on les regarde de plus près, on se rend compte que c’est encore pire que ce que l’on imaginait.

    Je continuerai de vous informer régulièrement. C’est un travail fondamental: si l’on veut relever l’économie de notre pays, il faut mettre les mains dans cette machine infernale et en démêler tous les fils. Comptez sur moi pour faire toute la lumière dessus, pour faire toute la lumière sur les gabegies qui détruisent notre argent.

    SARAH KNAFO

    SCANDALE-FRANCE-TRAVAIL.FR

    Transcription Christine Tasin

  • La justice, quand elle est politisée, n’a plus rien de démocratique

    La célèbre morale de la Fontaine, "Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir", semble ne plus être d’actualité puisque la justice n’hésite plus à s’attaquer à un ancien président ou à un ministre, y compris le premier d’entre eux. Une égalité devant la loi qu’une large majorité de citoyens apprécie à juste titre.

    Mais cela ne fait pas pour autant de nos juges des modèles d’impartialité et de rigueur morale, vertus élémentaires que tout citoyen d’une démocratie digne de ce nom est en droit d’attendre de ceux qui sont censés le protéger contre l’arbitraire.

    Car force est de constater qu’une majorité de nos juges, très politisée, rend une justice de gauche. C’est incontestable pour 70% des sondés, selon une étude d’Odoxa-Backbone Consulting pour le Figaro, de 2023.

    Selon ce sondage, seuls les Ecologistes et les sympathisants LFI estiment que nos juges sont impartiaux. C’est tout dire. En clair, face à de nombreux juges, avoir une étiquette de droite, ou pire, d’extrême droite, constitue un sévère handicap devant le tribunal.

    Un second sondage montre que 77% des Français estiment que nos juges sont laxistes.

    C’est également une vérité incontestable, puisque selon l’Institut pour la justice, sur 100 plaintes déposées pour des agressions passibles de prison ferme et arrivant devant les tribunaux, seulement 4 aboutiront à un emprisonnement réel des coupables. Si les prisons sont pleines malgré tout, ce n’est pas parce que la justice est sévère, c’est avant tout parce que la délinquance a été multipliée par cinq depuis les années 1970 et parce que l’Etat refuse de construire les prisons promises depuis quarante ans.

    Très jaloux de leur indépendance face à l’exécutif, les juges n’apprécient guère qu’on s’interroge sur leurs décisions, aussi révoltantes soient-elles. Ils oublient trop souvent qu’ils sont avant tout au service des citoyens de la République. Ils oublient que dans une démocratie, c’est le peuple qui est souverain, pas les juges.

    Leur totale liberté d’interprétation des faits ou des textes, leur accorde un pouvoir exorbitant. Un pouvoir dont certains juges abusent impunément, les poussant à des dérives totalement antidémocratiques, tout en prétendant défendre l’Etat de droit.

    Ils devraient être les défenseurs de nos droits fondamentaux. L’égalité devant la loi, la sécurité et surtout la liberté d’opinion et d’expression. Or, toute justice politisée ne peut que violer ces droits fondamentaux.

    Quand la justice n’est plus impartiale, il n’y a plus de démocratie. C’est la négation de la souveraineté populaire. C’est donc le règne de l’arbitraire.

    Et quand trois citoyens sur quatre n’ont plus confiance en leur justice, c’est que la République n’est plus capable de protéger le peuple.

    Eric Zemmour a parfaitement résumé les dangers du pouvoir des juges:

     " L’Etat de droit* et la démocratie, ça n’a rien à voir. La démocratie, c’est le pouvoir du peuple par le peuple, pour le peuple.

    L’État de droit, c’est une théorie du XIXe siècle allemande, qui s’est répandue après la Seconde guerre mondiale en Europe, qui dit que toute action politique doit être contrôlée par le juge. Qu’est-ce que ça veut dire? D’un côté, on a la démocratie, c’est le pouvoir du peuple ; de l’autre, on a l’Etat de droit, c’est le pouvoir des juges".

    Jacques Guillemain

     

    *L'état de droit ou les tas de droits??? NDLR

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur

  • IMPENSABLE! PROTÉGEZ VOS JEUNES FILLES PRE ET ADOLESCENTES

    … et les jeunes garçons aussi

    Plus de 10000 mineures sont exploitées dans des réseaux de prostitution en France,
    des chiffres 10 fois supérieurs à ceux de 2015. Une victime et des mères témoignent.
    Elle a fini par être retrouvée au bout de six jours, à 500 kilomètres de chez elle, dans un état second. Lilou, 16 ans, a disparu le 23 octobre 2024 de Metz, alors qu’elle devait aller faire une course au pressing dans le cadre d’un stage. Après une énorme mobilisation de sa mère sur les réseaux sociaux, l’adolescente a réapparu le 29 octobre dans un train en gare de Voiron (Isère). 

    “Saine et sauve” comme le veut la formule. Mais la mise en examen pour proxénétisme aggravé d’un homme, quelques jours plus tard, laisse imaginer ce qu’il s’est passé.
    Ce mardi après-midi-là, Lilou, 16 ans, marche une demi-heure, hagarde, avant de comprendre où elle se trouve. “Gare de Grenoble”. Elle monte dans le premier train, sans billet et sans connaître sa destination. Elle espère se faire arrêter par des contrôleurs qui la conduiront à la police. Le train entame son voyage, Lilou est dans un état second, encore en partie sous l’effet de la drogue. 

    Une dame, intriguée, vient la voir. Et la reconnaît. Car le visage de Lilou est partout sur les réseaux sociaux depuis six jours, depuis que sa mère a lancé un appel à témoins après la disparition de sa fille. La passagère appelle la mère de l’adolescente, reste avec elle, puis descend en gare de Voiron pour aller chercher des policiers.

    LES MAINS ATTACHÉES, SOUS L’EMPRISE DE LA DROGUE
    Et aux enquêteurs, Lilou a beaucoup de choses à dire, mélange d’images précises, de souvenirs flous et de trous noirs. L’adolescente explique s’être fait enlever par deux automobilistes à qui elle a demandé son chemin alors qu’elle s’était perdue en périphérie de Metz après s’être trompée de bus. Un homme l’attrape, ferme la porte. 
    “’étais tétanisée, je ne savais pas quoi faire“. Puis la jeune fille est droguée, “des bonbonnes de protoxyde d’azote” détaille-t-elle. Le voyage dure cinq heures, l’équipage arrive dans un appartement de location de courte durée. 
    Lilou reste enfermée pendant que les deux hommes vont acheter “de la lingerie, du maquillage, des habits“. Ils lui coupent les cheveux, les teignent en noir, puis font des photos pour mettre une annonce en ligne. “Ensuite, il y avait des appels, ils répondaient par message, donnaient les tarifs, et ensuite les gens venaient.“
    Les gens, ce sont des clients de tous âges. Difficile d’imaginer qu’ils ne comprennent pas que Lilou n’est pas consentante : “Non seulement j’étais paralysée à cause de la consommation de protoxyde d’azote, d’alcool. Mais j’avais aussi les mains attachées et je ne pouvais rien faire, pas les repousser“.
    Et pas un client ne semble gêné: “Personne ne me demande si ça va, n’essaye de me détacher, ne me demande mon âge. Ils faisaient ce qu’ils avaient à faire, dit-elle pudiquement, et ils partaient“.
    Mais au bout de quelques jours, les proxénètes voient sur les réseaux sociaux le visage de Lilou, et leur description. Car la mère de la jeune fille est en train de remuer ciel et terre. Ils la jettent dehors en sous-vêtements avec un sac, la menacent de représailles si elle parle et lui disent de partir. Quelques heures plus tard, Lilou retrouvera sa mère.

    L’ENQUÊTE PARALLÈLE
    Quand Pauline arrive au commissariat de Metz pour signaler la disparition de sa fille le 23 octobre, elle sait que quelque chose de grave est en cours: “Je le sentais dans mon ventre“. Mais les policiers lui conseillent de signer une déclaration de fugue. En rentrant chez elle, la mère de famille décide de mener elle-même son enquête. 
    Elle prend l’ordinateur de Lilou, et fouille ses comptes Snpachat, Tiktok: “On a tout piraté!“. Elle envoie des messages aux contacts des comptes de sa fille, puis aux contacts de ses contacts. Elle tente de localiser le téléphone et repère où sont les caméras de vidéo-surveillance sur une ébauche de trajet que Lilou aurait emprunté.
    “Chez moi, c’était rempli de papiers avec des itinéraires et des chronométrages“. Pauline obtient vite un premier témoignage qui lui donne la description d’un homme et d’une voiture. Elle publie les résultats de ses recherches sur Facebook. “Ce qui est exceptionnel dans ce dossier, c’est la mobilisation de la mère de Lilou par les réseaux sociaux et l’emballement médiatique qui a suivi“, souligne une source judiciaire. 
    Car selon le témoignage de l’adolescente, c’est bien la très forte présence des messages de recherche sur les réseaux sociaux qui a déterminé sa libération.

    Parmi les anonymes qui ont contacté Pauline, il y a Patricia. Chez elle, l’histoire de Lilou résonne particulièrement fort. Parce que sa fille de 15 ans, originaire de la même région, est elle aussi tombée dans un réseau de prostitution quelques semaines plus tôt. Parce que Patricia a elle aussi mené sa propre enquête pour l’en sortir. Audrey (le prénom a été changé) pensait partir quelques jours avec une vague connaissance pour aller prendre du bon temps à Paris. 
    Mais une fois sur place, c’est la douche froide. Son “amie” est en fait une rabatteuse. Et Audrey se retrouve elle aussi droguée, prise en photo pour des annonces, et prostituée par un petit réseau.

    UN PROXÉNÈTE QUI GÈRE SON RÉSEAU DEPUIS SA CELLULE DE PRISON
    Ce réseau est dirigé, selon le récit d’Audrey, par un homme qui est actuellement en prison, condamné à six ans pour proxénétisme. Il donne ses consignes depuis sa cellule par téléphone, en visio; et menace la jeune fille de représailles, et de violences contre sa famille, si elle ne s’exécute pas. L’adolescente est surveillée par un jeune homme et par la rabatteuse. Durant les deux à trois semaines de prostitution, elle est trimballée d’un Airbnb à un autre en région parisienne.
    Le nom de la rabatteuse apparaît d’un coup dans certains commentaires sous les messages liés à la disparition de Lilou. “Ça a fait tilt, je me suis dit qu’elle avait recommencé, et que la fille de cette dame allait passer là où était passée ma fille“. Patricia contacte Pauline, et la soutient dans les jours qui suivent, même si la piste de cette rabatteuse semble s’être éteinte dans le dossier de Lilou. 
    Car la mère d’Audrey s’est elle aussi sentie bien seule durant la disparition de sa fille, incomprise par les policiers.

    DES PHOTOS ENVOYÉES AUX HÔTELS, ET UNE RABATTEUSE PISTÉE SUR SNAPCHAT
    Alors pendant des jours et des nuits, elle a arpenté les réseaux sociaux, à la recherche de toutes les pistes possibles. Elle demande à son opérateur de téléphonie de lui fournir la liste des appels de la ligne de portable de sa fille, passe des coups de fil, et comprend qu’elle est à Paris. Elle appelle tous les hôtels qu’elle peut, leur envoie la photo d’Audrey pour savoir si elle est passée par là. 

    Patricia finit par retrouver la trace de la rabatteuse, et, aidée de ses enfants, la contacte, tente de la piéger. Puis la menace. Audrey est finalement “déposée” dans un poste de police. L’adolescente explique qu’elle a été prostituée de force par le jeune homme qui l’a amenée. “Les policiers se sont mis à rire” soupire-t-elle. Sa mère saute dans une voiture et vient la chercher.

    Aujourd’hui, comme Lilou, Audrey a beaucoup de mal à dormir, hantée par ses souvenirs. Elle non plus n’est toujours pas retournée à l’école. Elle a déposé plainte mais son dossier est pour l’instant au point mort. 
    Dans l’affaire de Lilou, un homme de 24 ans – condamné en 2020 pour des faits de vol et recel de vol – est en détention provisoire, mis en examen pour proxénétisme aggravé. Des clients pourraient être prochainement poursuivis pénalement selon le parquet de Grenoble (où l’enquête est dirigée).
    Depuis 2015, le nombre d’enquêtes menées par l’OCRTEH (Office central de lutte contre la traite des êtres humains) pour prostitution de mineurs a été multiplié par dix. 
    Mais le nouveau visage de cette prostitution, qui s’organise en ligne, de façon plus invisible, avec des victimes déplacées très fréquemment d’une location courte durée à une autre, rend les investigations difficiles.
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