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  • La politique de Macron est-elle dictée par la rue arabe?

    L’actualité ne cesse de nous prouver que le cancer antisémite se propage à grande vitesse en France et en Europe. Il n’est plus possible pour les Juifs de France de vivre en sécurité, ou tout simplement de vivre sans subir des insultes, des menaces et des discriminations, dignes des pires dictatures qui persécutent leurs minorités.

    Ici, c’est un gérant de parc de loisirs qui refuse d’accueillir 150 mineurs israéliens en vacances, "pour convenances personnelles".

    Là, on diffuse des vidéos montrant des familles juives dans un parc d’attractions, en les agrémentant de slogans antisémites qui n’ont rien à envier au nazisme.

    Être juif en France en 2025, c’est porter sur son dos le poids écrasant du conflit israélo-palestinien, totalement instrumentalisé par la rue musulmane et une bonne partie de la gauche. Il est évident que Macron n’est pas étranger à cette aggravation de l’antisémitisme, qui avait pratiquement disparu dans notre pays, pour finalement renaître avec l’immigration de masse de populations arabo-musulmanes.

    En 1960, les communautés juive et arabe étaient d’un poids équivalent, environ 500 à 600.000 personnes. Aujourd’hui, notre pays compte plus de dix musulmans pour un juif dans sa population.

    On peut se demander pourquoi le CRIF a pu laisser la situation se dégrader à ce point. Sans doute a-t-il été aveuglé par son combat permanent contre le FN de JMLP depuis 40 ans. Car défendre l’immigration par peur d’être accusé de marcher sur les plate-bandes du FN, durant des décennies, cela mène là où nous en sommes: un antisémitisme musulman omniprésent, que l’État se montre incapable de combattre.

    Toute occasion est bonne pour les ennemis d’Israël, qu’ils soient musulmans ou farouches défenseurs de la cause palestinienne, pour crier "Free Palestine" ou pour planter un drapeau palestinien sur un toit, en distillant la haine des Juifs.

    La France est encore le pays qui accueille la deuxième plus importante communauté juive après celle des États-Unis. Mais pour combien de temps?

    Chassés du 9-3 depuis plus de vingt ans, dans une indifférence aussi odieuse que criminelle de la part de l’État, les familles juives voient leur quotidien se dégrader de jour en jour, la France ne leur offrant plus aucun havre de paix et de sécurité.

    Dans une lettre ouverte à l’ambassadeur de France en Israël, lequel justifie la reconnaissance d’un État palestinien souhaitée par Macron, le diplomate israélien Freddy Eytam écrit:

     

    "Vous évoquez " l’ampleur de la tragédie à Gaza et l’urgence de mettre fin à la crise humanitaire à Gaza. Une situation qui alimente le terrorisme et l’antisémitisme dans le monde entier.

    Nous sommes convaincus du contraire: c’est la reconnaissance de l’État palestinien qui renforce les islamistes et provoque des vagues de haine contre les communautés juives. "

    Freddy Eytam a raison.

    Reconnaître un État palestinien virtuel, sans frontières ni gouvernement, alors que la guerre à Gaza se poursuit et que des otages israéliens sont toujours captifs, est totalement irresponsable et ne fait qu’attiser les braises antisémites.

    Car à qui confier cet État palestinien?

    Au Hamas, entité terroriste qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007 en jetant les combattants du Fatah du haut des toits et en chassant Mahmoud Abbas vers la Cisjordanie?

    À l’Autorité palestinienne, dont la Charte de 1968 est un clone de celle du Hamas, qui prévoit de chasser Israël de la Palestine? La Charte de l’AP, ce sont 33 articles sur la libération de la Palestine par la force. Et c’est la négation de l’histoire du peuple juif, présent en Terre sainte depuis 3000 ans.

    Avant de reconnaître un État palestinien, il serait bon que Macron comprenne que cet État ne verra jamais le jour aussi longtemps que 28 États musulmans persisteront à ne pas reconnaître l’État hébreu. Sans parler des multiples organisations islamistes qui veulent rayer Israël de la carte.

    Mais voici la Charte de cette Autorité palestinienne qu’on dit modérée!

    https://www.axl.cefan.ulaval.ca/asie/palestine-charte1968.htm#:~:text=Le%20peuple%20arabe%20palestinien%20revendique,en%20tutelle%20et%20de%20satellisation.&text=Le%20peuple%20palestinien%20d%C3%A9tient%20le,et%20de%20recouvrer%20sa%20patrie

    LISEZ ET VOUS SAUREZ!

    Voilà qui a le mérite d’être clair. Pour le Fatah que l’Occident juge "modéré" et donc très fréquentable, libérer la Palestine, ce n’est pas la partager avec Israël, c’est chasser les Juifs de leur terre historique.

    Chacun sait que la politique étrangère de Macron est en partie guidée par la rue arabe, de plus en plus présente, mais si cette politique de soumission doit se traduire par la disparition de la communauté juive de France, ce sera une tache indélébile dans l’histoire de notre nation.

    Il serait grand temps que Macron comprenne qu’il est urgent de pacifier notre pays qui glisse inexorablement vers le chaos, au lieu de s’investir dans des conflits qui ne sont pas les nôtres ou de faire de l’ingérence dans la politique de certains pays souverains.

    C’est la France qu’il faut protéger de la menace intérieure, pas l’Ukraine.

    Si la communauté juive de France fuit notre pays comme elle a quitté le 9-3, ce sera la fin de la patrie des Droits de l’homme et de ses valeurs humanistes, dont nos élites se gargarisent à longueur de temps. Des valeurs que nos politiques revendiquent haut et fort mais sans avoir le courage de les défendre.

    C’est une France libanisée que Macron nous léguera en partant et certainement pas la start-up nation ayant dix ans d’avance qu’il prétend bâtir.

     

    Jacques Guillemain

  • Et si on abolissait leurs privilèges?

    "Je ne consentirai jamais à dépouiller mon clergé, ma noblesse… C’est alors que le peuple français pourrait m’accuser d’injustice et de faiblesse. Monsieur l’archevêque, vous vous soumettez aux décrets de la Providence; je crois m’y soumettre en ne me livrant point à cet enthousiasme qui s’est emparé de tous les ordres, mais qui ne fait que glisser sur mon âme. Si la force m’obligeait à sanctionner, alors je céderais, mais alors il n’y aurait plus en France ni monarchie ni monarque".

    Lettre prémonitoire du Roi Louis XVI à l’archevêque de Chartres)

    Mince alors, parti en vadrouille pendant une semaine, j’ai failli rater la célébration de la nuit du 4 août 1789. En réalité, je n’ai rien raté car notre République maçonnique, nourrie aux idéaux des Lumières et qui a fait de la Révolution un marqueur historique, ne fête jamais la nuit du 4 août 1789.

    Il est vrai que, lorsqu’on voit l’arrogance, le train de vie, les privilèges et les passe-droits de nos petits marquis de la politique, il serait malvenu voire incongru de critiquer l’Ancien Régime.

    En ce temps-là, les petits hobereaux de province, souvent pauvres comme Job, respectaient le peuple. De nos jours, Emmanuel Macron voit, dans les gares, "des gens qui ne sont rien" et il dénigre ou insulte son peuple chaque fois qu’il est à l’étranger; ce qu’aucun chef d’État français avant lui n’aurait osé faire. Ce type déteste le vulgum pecus, qui l’a pourtant élu par deux fois.

    Mais faisons un bref rappel de cette fameuse "nuit de 4 août 1789"; une nuit de folie!

    En fait il s’agit d’un vent de panique et d’une surenchère démagogique lors d’une séance nocturne de l’Assemblée Constituante au cours de laquelle fut votée la suppression des privilèges féodaux. Débutée à sept heures du soir, elle allait se prolonger jusqu’à deux heures du matin.

    L’Assemblée Constituante mettait à terre le système féodal. C’était l’abolition pure et simple de tous les droits et privilèges féodaux ainsi que de tous les privilèges des classes, des provinces, des villes et des corporations, à l’initiative du "Club breton", le futur "Club des Jacobins".

    L’Assemblée Constituante élaborait la future Constitution (ainsi que la "Déclaration des droits de l’homme") lorsqu’elle reçut des récits très alarmistes sur les mouvements populaires qui sévissaient un peu partout dans le pays. L’Assemblée envisageait alors deux hypothèses:

    soit réaffirmer les valeurs de la propriété, et donc contrôler la révolte. Solution rejetée, car on avait peur de la colère paysanne.

    Soit instaurer des "bureaux de secours", qui permettraient d’aider les plus pauvres. Mais cette suggestion ne répondait en rien à l’urgence de la situation.

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  • La débâcle des imposteurs climatiques que les médias refusent de voir

    Sainte Greta est éplorée. Il y a de quoi. En plein mois de juillet, la température de l’eau sur la Côte d’Azur équivalait à celle de la Manche. Même si des savants Cosinus expliquent que c’est à cause du réchauffement, ça a de quoi vous refroidir.

    Du coup, la mongolotte a troqué le réchauffisme contre l’amour des fedayin au goût sauvage. Une esquive à point nommé.

    Le FBI s’intéresse à l’usage des milliards de dollars attribués à des associations bidon pour sauver le monde. Même si elle n’a rien fait de mal, la proximité avec des assassins ternit sa réputation.

    La plupart des bénéficiaires des largesses ont été incapables de présenter une comptabilité justifiant leurs dépenses. Le FBI a perquisitionné plusieurs officines aux USA, et les inculpés ont préféré passer des deals avec la justice pour éviter des procès publics. Ça valait mieux pour eux. Car la CIA subodore qu’une partie des sommes détournées par des ONG l’ont été au profit des terroristes du Hamas.

    Michael E. Mann, Prix Nobel, condamné pour fraude

    Golden boy du climat, idole des téléphages friands de talk shows, l’homme est un géophysicien, expert en cristaux liquides et en matériaux supraconducteurs. Mais c’est aussi un caractériel souffrant d’un ego hypertrophié, toujours en quête de notoriété.

    Son graphique dit "en crosse de hockey" a servi au GIEC pour appuyer le discours sur le réchauffement et récolter des fonds. Mais ce graphique (900 ans de plat puis une montée en flèche sur les 80 dernières années) est une énorme fraude. Une tricherie sophistiquée reposant sur un algorithme truqué pour produire cette forme quelles que soient les données saisies.

    Démonstration faite par le docteur Tim Ball dans son ouvrage La corruption de la science du climat. N’appréciant pas d’être traité de fraudeur, Mann a poursuivi son accusateur en justice pour diffamation. Mais il a refusé de remettre aux experts l’algorithme du graphique et les points de données, révélant un manque total de transparence et d’intégrité scientifique. La cour a rejeté ses prétentions et l’a condamné à indemniser son adversaire.

    On doit aussi à Tim Ball une étude pluridisciplinaire écrite avec 7 co-auteurs concluant que "les températures de l’air printanier autour du bassin de la baie d’Hudson au cours des 70 dernières années ne montrent aucune tendance significative au réchauffement, et en conséquence, la disparition annoncée des ours polaires est infondée".

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  • "Par le sang versé"

    "Qui sait si l’inconnu qui dort sous l’arche immense,

    Mêlant sa gloire épique aux orgueils du passé,

    N’est pas cet étranger devenu fils de France,

    Non par le sang reçu mais par le sang versé". (Capitaine Pascal Bonetti, 1920)

    La bataille de Camerone, le 30 avril 1863, se fête avec Légionnaires, à Nîmes, Aubagne, Orange ou… La Rochelle.

    Camerone, c’est ce combat épique qui opposa une soixantaine de Légionnaires, assiégés dans l’hacienda de Camarón de Tejeda, à une armée de 2000 fantassins et cavaliers mexicains. Après onze heures de combat, par une chaleur torride, les six survivants encore debout, mais à court de munitions, chargèrent baïonnette au canon. Un officier mexicain – d’origine française – somme alors les survivants de se rendre.

     

    Le caporal Maine lui répond:

    "Nous nous rendrons si vous nous faites la promesse la plus formelle de relever et de soigner notre sous-lieutenant et nos camarades atteints, comme lui, de blessures ; si vous nous promettez de nous laisser notre fourniment et nos armes. Enfin, nous nous rendrons, si vous vous engagez à dire… que, jusqu’au bout, nous avons fait notre devoi ".

    L’officier mexicain lui répond: "On ne refuse rien à des hommes comme vous". Les rescapés sont présentés au colonel Milan, qui s’écrie:

    "¡Pero estos no son hombres, son demonios!" (" Mais ce ne sont pas des hommes, ce sont des démons").

    Plus tard, on construisit, au Mexique, un monument sur lequel sont gravés les mots suivants: "Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée. Sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats français".

     

    Depuis, chaque fois qu’un détachement militaire mexicain passe devant le monument de Camarón de Tejeda, il présente les armes.

    Camerone, une défaite contre un ennemi mieux armé, à un contre trente, est entrée dans l’histoire – comme Bazeilles pour les "Marsouins" ou Diên-Biên-Phu pour les paras et (encore!) la Légion – parce qu’elle symbolise l’acte gratuit, le courage, la volonté, l’honneur et la fidélité à la parole donnée.