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éducation

  • Le pédagogisme, grand responsable de l’effondrement de l’école

    image générée par moi avec une I.A.

    La pédagogie désigne l’art de l’éducation, les méthodes et pratiques d’enseignement pour transmettre un savoir, des connaissances, un savoir-faire, des capacités, un savoir-être, des attitudes. Et en effet, la pédagogie est un art.

    Le terme pédagogisme désigne un ensemble de méthodes d’enseignement scolaire qui s’appuient sur les conceptions du constructivisme.

    Le but est de faciliter la construction par l’élève lui-même de ses savoirs et d’améliorer ainsi ses propres stratégies d’apprentissage.

    Le rôle de l’enseignant ne serait plus de transmettre des savoirs déjà constitués, mais surtout de mettre en oeuvre une pédagogie permettant à l’élève de mieux s’approprier les savoirs en les reliant à des expériences vécues et à d’autres savoirs.

    Le terme pédagogisme est utilisé aussi pour critiquer l’approche traditionnelle. Ses tenants agissent uniquement au motif de l’épanouissement de l’enfant, font oeuvre d’éducation. Ils renoncent aux méthodes classiques qui consistaient à lui enseigner directement des savoirs.

    D’un point de vue de l’historique, ces préceptes pédagogiques qui imprègnent le système éducatif prennent leurs racines au XIXe siècle.

    Les pédagogues dits " progressistes " sont inspirés par Jean-Jacques Rousseau et par les travaux de psychologues et de comportementalistes américains.

    Ils partent du principe que la transmission des connaissances par le professeur n’est que la reproduction de schémas archaïques qui enferment l’élève.

    L’élève doit être "créateur de son savoir", et le pédagogue un "accompagnateur".

    Le rôle de l’école n’est plus de transmettre des savoirs, mais des "savoir-faire" et des "savoir-être". Cette idéologie triomphe aux Etats-Unis dès les années 1930.

    En 1960, dans La Crise de la culture, Hannah Arendt en dénonce les effets pervers sur le système éducatif américain.

    Peu importe, il s’impose en France en se colorant d’une teinte politique, et en plusieurs étapes. Dans les années 1960, les thèses de Pierre Bourdieu décrivent l’école comme lieu de transmission de la culture dominante et comme lieu de reproduction des inégalités.

    Ces thèses achèvent de convaincre la majorité des enseignants et nombre de politiques d’adapter l’école d’une part, aux "nouveaux publics" drainés par la massification du système, version de gauche, d’autre part, aux évolutions du monde en mouvement, version de droite.

    Mai 1968 remet complétement en cause l’idée d’autorité. On commence à saper la possibilité même de transmission.

    En 1975, la Loi Haby sur le collège unique a des effets délétères pour les enseignements disciplinaires.

    Les années 1970 et 1980 voient se multiplier les postes en sciences de l’éducation dans les universités.

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  • L’écologie, notre nouvelle religion, selon Thierry Godefridi

    Les églises se vident, les croyants sont de moins en moins nombreux et, pourtant, l’être humain a besoin d’une religion pour lui donner force et espoir tout en le tenant sous contrôle. Grâce au dernier livre de Thierry Godefridi, Ces vaniteux nous enfumant et leurs drôles d’idées, il apparaît que l’écologie est devenue notre nouvelle religion.

    Thierry Godefridi a des qualités que beaucoup de scientifiques ne peuvent plus se permettre en ces temps de totalitarisme (adhésion active de l’individu au conditionnement par l’État) "vert"; il est exceptionnellement cultivé, s’instruit à toutes les sources et son esprit critique lui a donné matière à écrire ce dense petit livre  sans préjugés, sans peur de "perdre sa place" ou d’avoir des ennuis avec les grands prêtres de la nouvelle religion.

    Sans que cela soit avoué, il apparaît que nos responsables, presque tous, ne s’instruisent pas, se laissent manipuler et il est plus que temps que les citoyens se renseignent et réagissent ! Nous devons savoir que l’amour de la vérité est de plus en plus remplacé par l’idéologie et les énergies "vertes" en sont un exemple bien clair.

    Ainsi, nous investissons des centaines de milliards dans des éoliennes, des centrales solaires qui ne donnent que très peu d’énergie… et doivent être complétées quasi 100 % du temps par  des centrales "à énergie primaire". Et Samuel Furfari dit bien que pour réduire un peu les émissions de CO2, il n’y a que deux moyens: l’énergie nucléaire ou la décroissance.

    Mais il ne faudrait pas oublier – et on oublie trop souvent – que, si les humains consomment les bienfaits de la nature, ils en sont aussi les cultivateurs ! Et avec suffisamment d’énergie on peut tout espérer.

    On ne fera pas n’importe quoi car la peur règne et notre peur est indispensable à ceux qui nous gouvernent à leur avantage. Machiavel disait déjà: "Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes". Et celui qui a peur n’est pas intéressé par la connaissance… mais nous devons savoir que "les lois de la physique s’imposent à nous, toutes les lois, écrit Husson, et pas seulement celle que l’on sélectionne indûment pour étayer un discours à sens unique". (p.143)

    Ce discours à sens unique, le discours qui doit nous faire peur, nous rendre obéissants à ceux qui prétendent vouloir nous éviter un réchauffement climatique anthropique, une montée du CO2 dans l’air susceptible de détruire notre monde, ce discours doit être soumis à de vrais scientifiques – non les journalistes, juristes et autres du GIEC – et nous devons agir pour que la vérité triomphe, pour que cesse cette PEUR destructrice de notre civilisation, pour que cesse la "domination totalitaire" qui s’impose chaque jour plus. Le GIEC élimine d’office les découvertes dérangeantes.

    NON, l’Occident ne doit pas régresser, il doit inciter les pays défavorisés à se prendre en charge. Arrêtons de vouloir l’effondrement  de l’Occident "grâce" au péril climatique. Ce déclin ne peut que détruire le reste de la planète – et surtout les pays actuellement défavorisés – ce n’est vraiment pas un but à atteindre par des citoyens réfléchis et instruits et l’auteur présente de nombreuses escroqueries promues dans notre société.

    Arrêtons de croire à la destruction, à l’effondrement, la ruine, instruisons-nous et commençons par le livre de Thierry Godefridi, pensons au programme politique de Platon: "Revenons au gouvernement  "naturel" de la foule des ignorants par la minorité des sages".

    Et j’oserai dire: actuellement nous pouvons tous nous instruire – ce n’était pas le cas à l’époque de Platon – instruisons-nous, quittons "la pensée unique" de faux scientifiques diplômés qui veulent s’imposer par la peur, qui n’hésitent pas à trahir la science.

    Mia Vossen

  • NON… MAIS….. QUOI?  QUOI?  Encore!

    Un sondage montre de graves lacunes en Histoire chez les jeunes: 46% ne savent pas quand a commencé la Révolution française

    À peine plus d’un jeune Français sur deux capable de dire quand a débuté la Révolution Française. C’est un des alarmants résultats d’une étude réalisée par l’institut de sondage OpinionWay et publié dans La Tribune du Dimanche ce 7 janvier.  À la question "Avez-vous déjà entendu le terme Shoah?" seulement 63% des jeunes qui ne lisent aucun livre répondent "oui"

    Ce rapport, dirigé par la politologue Chloé Morin, jette une lumière crue sur les lacunes des Français de 16 à 24 ans en histoire, et ce alors qu’Emmanuel Macron se montrait pourtant clair lors de son intervention sur le plateau de l’émission "C à vous" le 19 décembre. "L’école, c’est la mère de toutes les batailles", martelait le chef de l’État, ajoutant que l’éducation était «une partie du rendez-vous» qu’il donnerait aux Français en janvier, sans donner plus de détails.

    Rapport à l’Histoire, à l’information, présomption d’innocence ou encore laïcité: les questions, qui portent sur des thématiques diverses et variées, pointent le faible niveau de connaissance historique de la génération née entre 1999 et 2007. Seulement 54% des 986 personnes interrogées sont capables de dire que la Révolution française a commencé en 1789, quand 46% donnent une mauvaise réponse. 40% peuvent affirmer que le mur de Berlin est tombé en 1989, quand moins d’un quart des jeunes Français avance 1948 pour la date de la création de l’État d’Israël.

    Ces réponses sont également croisées avec d’autres données, comme «la proximité partisane, les sources d’information, mais surtout le temps de lecture mensuel et celui passé quotidiennement devant l’écran de son smartphone», détaille encore La Tribune. À la question "Avez-vous déjà entendu le terme Shoah?", seulement 63% des jeunes qui ne lisent aucun livre répondent "oui", alors que presque 90% des 16-24 ans qui lisent trois livres ou plus chaque mois peuvent répondre par l’affirmative. […]

    Des résultats qui s’expliquent en partie par la façon dont les jeunes s’informent : les réseaux sociaux sont la première source d’information pour 45% des personnes interrogées, devant les chaînes de télévision. Seulement 8% d’entre eux s’informent grâce à la presse écrite.

    Le Figaro

  • Ils ne sont pas prêt à apprendre le français!....

    Une institutrice

    "J’ai proposé une dictée à mes élèves, un inspecteur m’a demandé de cesser ces méthodes bourgeoises"

        Blanquer a beau dire, certaines habitudes ne changent pas dans l’Education nationale.

        A lire dans @MarianneleMag demain ! pic.twitter.com/UKJbHaAEDT

     

        — Louis Hausalter (@LouisHausalter) December 12, 2019

  • Envoyé par une amie qui n'en peut mais...

    Je pense que l'Iliade et l'Odyssée sont sexistes aussi...c'est extrêmement choquant de passer des années à faire de la tapisserie en attendant que son mec revienne.. ca rime à rien.... elle aurait du avoir un travail... :-)) un vrai, ou se remarier. (Pénelope aussi était " harcelée" par des prétendants qui la sommaient de se remarier)

    des avenues

    des avenues et des fleurs

    des fleurs

    des fleurs et des femmes

    des avenues

    des avenues et des femmes

    des avenues et des fleurs et des femmes et

    un admirateur

     

    Ainsi est né ce poème: Eugen Gomringer a reçu en 2011 le prix de poésie de l’école supérieure et a créé “avenidas“ en guise de remerciement.

    Mais voici maintenant que des étudiants se plaignent que le poème est sexiste et ils exigent qu’il soit retiré. Le Conseil des étudiants de l’école supérieure (Asta) déclare à ce propos dans une lettre ouverte: “Ce poème ne reproduit pas seulement la classique tradition d’un art patriarcal, où les femmes sont exclusivement les belles muses qui inspirent les artistes mâles dans leurs créations, il évoque aussi de façon désagréable le harcèlement sexuel auquel les femmes sont quotidiennement exposées“.

    NDLR

    1) si c'est un poème, moi, je suis Zorro

    2) si c'est cela l'intelligence de la future élite de la nation Française, tremblons, tremblons!

    3) à force de se masturber la cervelle pour inventer de genre de conn…., ces “étudiants“ (sic) vont perdre encore plus de neurones qu'en fumant leurs joints quotidiens!

     

  • Baisse du QI un peu partout en Europe? CQFD

    Selon l’OCDE un immigré avec une licence a le niveau de ... compréhension/création/communication/logique d’un Français avec le bac

    En France, d'après les chiffres de l'OCDE (https://t.co/UMsEYhYJ9o), les immigrés ayant une licence ont en moyenne le même niveau de compétence que les Français qui ont seulement le bac. pic.twitter.com/cciFs7VOne

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

        (Voir le site mis en lien au dessus pour les détails sur les compétences mesurées dans le cadre de l'enquête PIAAC de l'OCDE, d'où sont tirés les chiffres présentés dans les tableaux.)

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

        Notez également que, aux États-Unis, on constate des différences importantes entre groupes ethniques ayant un niveau de diplôme identique même quand on se restreint aux gens nés sur place. pic.twitter.com/gPB9ZL5c4Q

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

        Il est probable que la même chose soit vraie en France, mais les données ne sont pas disponibles. En tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'il peut être extrêmement trompeur de ne regarder que le niveau de diplôme.

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

        L'existence de ces différences biaise aussi les résultats de la plupart des études sur la discrimination, qui se contentent généralement de contrôler pour le niveau de diplôme, ce qui conduit à une surestimation de l'effet de la discrimination.

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

    Les gouvernements et les autres parties prenantes sont de plus en plus intéressés par l’évaluation des compétences de leurs populations adultes afin de déterminer dans quelle mesure elles sont bien préparées aux défis de la société moderne fondée sur le savoir. On s’attend à ce que les adultes utilisent l’information de façon complexe et qu’ils maintiennent et améliorent leurs compétences en ‘literacy’ afin de s’adapter à des technologies en constante évolution. La ‘literacy’ est importante non seulement pour le développement personnel, mais aussi pour des résultats éducatifs, sociaux et économiques positifs.

    (…)

    Dans le CCIAIP, " la ‘literacy’ est la capacité d’identifier, de comprendre, d’interpréter, de créer, de communiquer et de calculer, à l’aide de documents imprimés et écrits associés à divers contextes. La ‘literacy’ implique un continuum d’apprentissage qui permet aux individus d’atteindre leurs objectifs, de développer leurs connaissances et leur potentiel, et de participer pleinement à leur communauté et à la société dans son ensemble".

    Qu’est-ce que le PIAAC?

    Le Programme d’évaluation internationale des compétences des adultes (PIAAC) est une étude cyclique à grande échelle qui a été élaborée sous les auspices de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Les adultes ont été interrogés dans 24 pays participants en 2012 et dans 9 autres pays en 2014.

    L’objectif du PIAAC est d’évaluer et de comparer les compétences de base et le large éventail de compétences des adultes du monde entier. L’évaluation porte sur les compétences cognitives et professionnelles nécessaires à une participation réussie à la société du XXIe siècle et à l’économie mondiale. Plus précisément, l’ACVIP mesure les relations entre le niveau d’instruction des individus, les expériences et les compétences en milieu de travail, le niveau de réussite professionnelle, l’utilisation des technologies de l’information et des communications et les compétences cognitives dans les domaines de la ‘literacy’, de la ‘numeracy’ (calcul) et de la résolution de problèmes.

    (…)

    nces.ed.gov/surveys/piaac/