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éducation

  • NON… MAIS….. QUOI?  QUOI?  Encore!

    Un sondage montre de graves lacunes en Histoire chez les jeunes: 46% ne savent pas quand a commencé la Révolution française

    À peine plus d’un jeune Français sur deux capable de dire quand a débuté la Révolution Française. C’est un des alarmants résultats d’une étude réalisée par l’institut de sondage OpinionWay et publié dans La Tribune du Dimanche ce 7 janvier.  À la question "Avez-vous déjà entendu le terme Shoah?" seulement 63% des jeunes qui ne lisent aucun livre répondent "oui"

    Ce rapport, dirigé par la politologue Chloé Morin, jette une lumière crue sur les lacunes des Français de 16 à 24 ans en histoire, et ce alors qu’Emmanuel Macron se montrait pourtant clair lors de son intervention sur le plateau de l’émission "C à vous" le 19 décembre. "L’école, c’est la mère de toutes les batailles", martelait le chef de l’État, ajoutant que l’éducation était «une partie du rendez-vous» qu’il donnerait aux Français en janvier, sans donner plus de détails.

    Rapport à l’Histoire, à l’information, présomption d’innocence ou encore laïcité: les questions, qui portent sur des thématiques diverses et variées, pointent le faible niveau de connaissance historique de la génération née entre 1999 et 2007. Seulement 54% des 986 personnes interrogées sont capables de dire que la Révolution française a commencé en 1789, quand 46% donnent une mauvaise réponse. 40% peuvent affirmer que le mur de Berlin est tombé en 1989, quand moins d’un quart des jeunes Français avance 1948 pour la date de la création de l’État d’Israël.

    Ces réponses sont également croisées avec d’autres données, comme «la proximité partisane, les sources d’information, mais surtout le temps de lecture mensuel et celui passé quotidiennement devant l’écran de son smartphone», détaille encore La Tribune. À la question "Avez-vous déjà entendu le terme Shoah?", seulement 63% des jeunes qui ne lisent aucun livre répondent "oui", alors que presque 90% des 16-24 ans qui lisent trois livres ou plus chaque mois peuvent répondre par l’affirmative. […]

    Des résultats qui s’expliquent en partie par la façon dont les jeunes s’informent : les réseaux sociaux sont la première source d’information pour 45% des personnes interrogées, devant les chaînes de télévision. Seulement 8% d’entre eux s’informent grâce à la presse écrite.

    Le Figaro

  • Ils ne sont pas prêt à apprendre le français!....

    Une institutrice

    "J’ai proposé une dictée à mes élèves, un inspecteur m’a demandé de cesser ces méthodes bourgeoises"

        Blanquer a beau dire, certaines habitudes ne changent pas dans l’Education nationale.

        A lire dans @MarianneleMag demain ! pic.twitter.com/UKJbHaAEDT

     

        — Louis Hausalter (@LouisHausalter) December 12, 2019

  • Envoyé par une amie qui n'en peut mais...

    Je pense que l'Iliade et l'Odyssée sont sexistes aussi...c'est extrêmement choquant de passer des années à faire de la tapisserie en attendant que son mec revienne.. ca rime à rien.... elle aurait du avoir un travail... :-)) un vrai, ou se remarier. (Pénelope aussi était " harcelée" par des prétendants qui la sommaient de se remarier)

    des avenues

    des avenues et des fleurs

    des fleurs

    des fleurs et des femmes

    des avenues

    des avenues et des femmes

    des avenues et des fleurs et des femmes et

    un admirateur

     

    Ainsi est né ce poème: Eugen Gomringer a reçu en 2011 le prix de poésie de l’école supérieure et a créé “avenidas“ en guise de remerciement.

    Mais voici maintenant que des étudiants se plaignent que le poème est sexiste et ils exigent qu’il soit retiré. Le Conseil des étudiants de l’école supérieure (Asta) déclare à ce propos dans une lettre ouverte: “Ce poème ne reproduit pas seulement la classique tradition d’un art patriarcal, où les femmes sont exclusivement les belles muses qui inspirent les artistes mâles dans leurs créations, il évoque aussi de façon désagréable le harcèlement sexuel auquel les femmes sont quotidiennement exposées“.

    NDLR

    1) si c'est un poème, moi, je suis Zorro

    2) si c'est cela l'intelligence de la future élite de la nation Française, tremblons, tremblons!

    3) à force de se masturber la cervelle pour inventer de genre de conn…., ces “étudiants“ (sic) vont perdre encore plus de neurones qu'en fumant leurs joints quotidiens!

     

  • Baisse du QI un peu partout en Europe? CQFD

    Selon l’OCDE un immigré avec une licence a le niveau de ... compréhension/création/communication/logique d’un Français avec le bac

    En France, d'après les chiffres de l'OCDE (https://t.co/UMsEYhYJ9o), les immigrés ayant une licence ont en moyenne le même niveau de compétence que les Français qui ont seulement le bac. pic.twitter.com/cciFs7VOne

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

        (Voir le site mis en lien au dessus pour les détails sur les compétences mesurées dans le cadre de l'enquête PIAAC de l'OCDE, d'où sont tirés les chiffres présentés dans les tableaux.)

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

        Notez également que, aux États-Unis, on constate des différences importantes entre groupes ethniques ayant un niveau de diplôme identique même quand on se restreint aux gens nés sur place. pic.twitter.com/gPB9ZL5c4Q

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

        Il est probable que la même chose soit vraie en France, mais les données ne sont pas disponibles. En tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'il peut être extrêmement trompeur de ne regarder que le niveau de diplôme.

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

        L'existence de ces différences biaise aussi les résultats de la plupart des études sur la discrimination, qui se contentent généralement de contrôler pour le niveau de diplôme, ce qui conduit à une surestimation de l'effet de la discrimination.

        — Philippe Lemoine (@phl43) 15 janvier 2018

    Les gouvernements et les autres parties prenantes sont de plus en plus intéressés par l’évaluation des compétences de leurs populations adultes afin de déterminer dans quelle mesure elles sont bien préparées aux défis de la société moderne fondée sur le savoir. On s’attend à ce que les adultes utilisent l’information de façon complexe et qu’ils maintiennent et améliorent leurs compétences en ‘literacy’ afin de s’adapter à des technologies en constante évolution. La ‘literacy’ est importante non seulement pour le développement personnel, mais aussi pour des résultats éducatifs, sociaux et économiques positifs.

    (…)

    Dans le CCIAIP, " la ‘literacy’ est la capacité d’identifier, de comprendre, d’interpréter, de créer, de communiquer et de calculer, à l’aide de documents imprimés et écrits associés à divers contextes. La ‘literacy’ implique un continuum d’apprentissage qui permet aux individus d’atteindre leurs objectifs, de développer leurs connaissances et leur potentiel, et de participer pleinement à leur communauté et à la société dans son ensemble".

    Qu’est-ce que le PIAAC?

    Le Programme d’évaluation internationale des compétences des adultes (PIAAC) est une étude cyclique à grande échelle qui a été élaborée sous les auspices de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Les adultes ont été interrogés dans 24 pays participants en 2012 et dans 9 autres pays en 2014.

    L’objectif du PIAAC est d’évaluer et de comparer les compétences de base et le large éventail de compétences des adultes du monde entier. L’évaluation porte sur les compétences cognitives et professionnelles nécessaires à une participation réussie à la société du XXIe siècle et à l’économie mondiale. Plus précisément, l’ACVIP mesure les relations entre le niveau d’instruction des individus, les expériences et les compétences en milieu de travail, le niveau de réussite professionnelle, l’utilisation des technologies de l’information et des communications et les compétences cognitives dans les domaines de la ‘literacy’, de la ‘numeracy’ (calcul) et de la résolution de problèmes.

    (…)

    nces.ed.gov/surveys/piaac/

  •  Le quotient intellectuel moyen baisse en France alors qu’il explose en Asie

    Laurent Alexandre, spécialiste de l’intelligence artificielle, dénonce les retards pris dans ce secteur par l’Europe. Et donne ses conseils, décapants, pour reprendre l’avantage.

    L’intelligence artificielle envahit peu à peu notre vie quotidienne. Finance, santé, loisirs… une révolution est en cours. Aux Etats-Unis et en Asie, les géants du web sont en pointe dans cette technologie. Laurent Alexandre, chirurgien et fondateur de Doctisimmo.fr, s’inquiète du retard pris par la France et l’Europe dans ce secteur. Business, emplois, dangers… il nous éclaire sur les enjeux de l’intelligence artificielle.

     (…)

    Comment augmenter le cerveau?

    "D’abord en se nourrissant sainement, en ne fumant pas, en ne picolant pas trop, en ne prenant pas de haschisch, en faisant du sport, en lisant, en faisant des études. Tout cela est une façon d’augmenter naturellement son cerveau. Ensuite, il faut améliorer l’école. Le QI moyen en France est de 98, alors qu’il est de 108 à Singapour. La différence n’est pas génétique.

    Avant, le niveau des Singapouriens était inférieur au nôtre. Mais eux ont modernisé l’école et paient très bien leurs professeurs… Nous faisons le contraire ! Le QI moyen baisse en France alors qu’il explose en Asie. Avant de parler de "neuro-enhancement ", d’augmentation du cerveau, il faut arrêter le naufrage de nos propres capacités intellectuelles. A l’ère de l’intelligence artificielle, le QI ne peut pas être un tabou."

    Seuls les Américains et les Chinois sont dans la course à l’intelligence artificielle. C’est inquiétant pour les Européens…

    "Nous sommes devenus une colonie numérique et ne progresserons pas si nous continuons à être mauvais, à geindre et à avoir une législation ultraprotectrice pour le consommateur mais hostile aux industriels. Il faut regarder les choses en face : si nous sommes des crapauds numériques, ce n’est pas à cause d’un complot mondial, ni à cause des Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon) qui tricheraient. C’est parce que les Gafa sont excellents et que nous sommes nuls.

    Cela fait vingt ans que les Européens ne voient pas arriver Internet et l’intelligence artificielle. Vingt ans qu’on a des gouvernements et des autorités administratives indépendantes de type Cnil qui ne comprennent pas la partie en train de se jouer. En face, on a des acteurs américains et chinois qui sont d’une intelligence et d’une détermination extrêmes. Nous, nous avons 28 législations particulières en Europe, 28 Cnil, nous avons toujours réfléchi à la protection du consommateur, mais jamais à la constitution de bases de données industrielles. Si on empêche les firmes du Vieux Continent de constituer de telles bases, on ne pourra jamais avoir d’intelligence artificielle à nous, puisque ce sont les données qui permettent aux machines d’apprendre. "

     Capital

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    Les Français auraient perdu 3,8 points de QI en 10 ans

    Plusieurs études scientifiques démontrent que le quotient intellectuel moyen a dangereusement diminué dans les pays occidentaux ces quinze dernières années.

    Après un siècle d’augmentation généralisée de la moyenne des quotients intellectuels, notamment liée à l’amélioration des conditions sanitaires et sociales au cours du XXe siècle, la tendance semble s’inverser. A en croire plusieurs études publiées dans la revue Intelligence, le QI moyen de la population baisserait en effet de manière spectaculaire depuis une quinzaine d’années.

    Alors que les Britanniques auraient en moyenne perdu 14 points de QI depuis la seconde révolution industrielle, les Français auraient eux accusé une chute de 3,8 points entre 1999 et 2009. […]

     

    Ouais, ben: j'ai toujours pensé que les Français étaient handicapés de la cervelle... quand on voit comment se comporte les ponctionnaires et autres gens de la gauchiasse!

  • Et la prononciation? un désastre, un naufrage épouvantable!....

    La faute d'orthographe ou le nivellement par le bas du français

    Par Claude Duneton

    Le niveau du français a baissé ces dernières années. L'individu francophone ayant subi depuis deux ou trois générations «une mithridatisation au pédantisme». Le chroniqueur du Figaro Claude Duneton (1935-2012) analysait ce phénomène avec humour.

    Je faisais la queue devant les guichets du RER, à la gare du Nord, à Paris, lorsque j'avisai une pancarte bleue, posée sur un pied à la manière d'un instrument de musique, qui disait: «Patientez ici qu'un guichet se libère.» Bizarre formulation! Patienter n'est pas un verbe transitif: on ne patiente pas quelque chose, ou quelqu'un. On patiente cependant quelques minutes, mais on ne patiente pas son copain - on ne patiente pas qu'il arrive. On l'attend!

    La gare du Nord est une gare internationale, la plus achalandée de France paraît-il, avec près d'un million de voyageurs chaque jour. La foule canalisée par des sangles bleues parlait des tas de langues diverses, je me suis cru un instant projeté en pays étranger avec cette pancarte insolite où l'on avait substitué «patientez que» à l'ordinaire «attendez que»... Qui donc a écrit cette ânerie? Qui a fabriqué les pancartes (il y en avait plusieurs)? Qui les a installées devant les guichets? Sûrement pas le même employé.

    Il est curieux que dans une entreprise d'État de l'envergure de la SNCF il n'y ait personne qui sache suffisamment le français - des ingénieurs, des chefs de secteur, que sais-je? - pour faire corriger une erreur aussi grossière qui ne donne pas une haute idée du niveau d'instruction du personnel, pourtant recruté sur concours. Quelle gêne!

    Le seuil du tolérable s'est abaissé

    Faut-il voir là un exemple caricatural de ce que Pierre Merle décrit dans un livre comme étant du français mal-t-à-propos (L'Archipel)? Il désigne sous ce vocable emprunté aux liaisons mal placées que faisaient les anciens ignorants: «un français mal bâti, mal fagoté, perdant comme à plaisir sa grammaire, son orthographe, son légendaire sens des nuances et le reste, un français d'à-peu-près»?.. Il est parfaitement exact que le seuil de ce qui est tolérable s'est beaucoup abaissé au cours des quarante dernières années. L'idée même de faute de français s'est progressivement effacée à cause de la connotation moralisante du mot «faute», qui l'a fait bannir du vocabulaire des gens avisés dans une société où la notion de morale est finalement rendue suspecte.

    Toute «déviance» devient donc normale, ou même enrichissante selon certains: un mot pris pour un autre - chose qui, naguère, faisait sursauter l'auditeur - ne trouble plus personne, tant l'idée que rien n'a d'importance s'est répandue dans le public français. L'autre jour, une amie a entendu à la radio un journaliste dire sans se reprendre: «Le témoin a déclaré sans encombre»- il voulait dire sans ambages. Une autre personne expliqua lors d'une cérémonie qu'elle venait«pour le recueil», au lieu de «se recueillir»... On pourrait compter des centaines de ces distorsions lexicales dont nul ne fait plus cas. C'est ce que Pierre Merle appelle benoîtement les fautes tranquilles ; «le garçon que je vous parle» ne fait plus réagir, pas plus que «la ville dont je suis allé».

    Du moment que l'on discerne ou devine le sens, quelle importance?

    L'auditeur sent bien (pour l'instant!) que quelque chose cloche, mais il ne s'estime plus autorisé à intervenir par crainte, le plus souvent, de se trouver politiquement indésirable. Et puis, du moment que l'on discerne ou devine le sens, quelle importance? Vive l'évolution! s'écrient certains linguistes friands de nouveauté. Bien sûr, mais c'est de cette manière aussi qu'une langue évolue à petit feu vers sa fin...

    Il est malaisé d'analyser les raisons de cette résignation massive. À l'évidence, l'affaiblissement de l'enseignement lui-même, par abandon calamiteux des exercices de grammaire pratique, indispensables à la maîtrise du français, joue un rôle déterminant. Les grammairiens ont laissé la place aux «linguistes», qui sont des gens que tout amuse et instruit. Les linguistes sont comparables à des amateurs d'émotions fortes qui regardent un enfant se noyer sans faire un geste pour lui porter secours, tant le mécanisme de la noyade - l'enfant crie, fait des gestes désordonnés - leur paraît fascinant à observer.

    Il y a, à mon avis, une lente érosion du sens des mots et des phrases que l'on peut attribuer à l'habitude qu'ont prise les gens normalement lettrés de ne plus chercher à comprendre dans le détail. Pourquoi? Parce que depuis un demi-siècle on a trop abusé du charabia pseudo-scientifique, qui s'est propagé comme un chancre mou dans tous les domaines de la vie courante. L'individu de langue française subit depuis deux ou trois générations une mithridatisation au pédantisme. À force de ne comprendre qu'à moitié, il s'est empoisonné le cerveau!

    .... et le goubli-boulga de mélange de mots anglais dans notre langue par ces gauchiards de nournaleux copiés-collés de sous-cultures et autres mecs de télé barbus pour ne pas qu'on les prennent pour des lopettes -et c'est raté?