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humain

  • Une vaste étude montre que l’aluminium présent dans plusieurs vaccins

    n’augmente pas le risque de maladie auto-immune ou allergique et de trouble du développement cérébral chez les jeunes enfants

    La vaccination se heurte à des réticences ou des oppositions aux motivations variées et complexes, parmi lesquelles figure la crainte d’effets délétères mal évalués ou cachés.

    Tous les composants des vaccins sont suspectés d’avoir des effets autres que celui qui justifie leur présence, les rendant potentiellement responsables d’altérations passagères ou durables de certains organes et de leurs fonctions. Parmi ces composants, les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants depuis des décennies et présents dans plusieurs vaccins administrés dès le plus jeune âge (diphtérie, tétanos, coqueluche, Haemophilus influenzae, pneumocoque, hépatites) sont régulièrement mis en cause.

    Les adjuvants ont pour rôle d’augmenter l’efficacité de la vaccination en élevant le niveau de la réponse immunitaire, parfois en l’orientant vers ses composantes les plus actives. Ils permettent aussi de réduire la quantité d’antigène présente dans les doses de vaccins.

    A la différence d’autres métaux, l’aluminium n’a pas de rôle dans l’organisme, mais il s’y trouve présent en petites quantités en raison de sa très large répartition dans l’environnement.

    En cas d’absorption excessive ou de troubles de l’élimination (altération des fonctions hépatiques et surtout rénales), il peut s’accumuler, principalement dans les os et le système nerveux.

    Il peut alors être responsable d’une fragilité osseuse, ou de troubles neurologiques (anomalies du développement cérébral chez les sujets jeunes, altérations diverses chez les adultes).

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  • Comment ils détruisent notre Nation...

    Incendies de forêts, arrachage de vignes,

    abattage des troupeaux: hasard ou nécessité?

    Quand la France brûle, Macron plante des panneaux solaires. Ce n’est pas une série de malchances, c’est une stratégie. Le feu est un outil, il dégage, il efface, il prépare le terrain. Et sur ce terrain dévasté, on installe une autre France.

    Une France sans paysans, sans éleveurs, sans vignerons. Une France des serveurs, d’objets connectés et de dépendance énergétique.

    MAIS AVANT DE CONSTRUIRE CE MONDE-LA, IL FAUT DÉTRUIRE L’ANCIEN.

    On ne modernise pas un pays enraciné, on le déracine.

    On commence par la vigne. En 2023, l’État propose une prime à l’arrachage, pas pour relancer, pour mettre fin. On appelle ça la réduction définitive du potentiel viticole.

    On offre de l’argent pour arracher, mais surtout on interdit de replanter. C’est le signal. Le vin français, ce pilier culturel et économique, devient une variable d’ajustement.

    La main de l’Etat n’aide pas les vignerons. Elle les paye pour abandonner. Une fois les ceps arrachés, les terres deviennent vides. Et ces terres vides sont alors convoitées.

    Non pas pour du maraîcher, non pas pour de l’agro écologie, mais pour du photovoltaïque. LES MULTINATIONALES INSTALLENT DES CHAMPS DE PANNEAUX SUR LES CADAVRES DE NOS VIGNES, DES MEGAWATTS.

    C’est l’écologie selon Macron: remplacer des hectares de biodiversité et l’histoire par des champs de silicium. On ne soutient pas le vin français, mais on importe des cuves d’Espagne, des bouteilles du Chili, des vins synthétiques des Etats-Unis. La viticulture française est vendue à la découpe.

    Août 2025. L’Aude s’embrase. 17000 hectares partis en fumée.

    Une femme meurt, des pompiers blessés.

    Et où est l’Etat? Absent.

    Quatorze Canadairs pour tout un pays, mais c’est une blague.

    Et encore, ce sont des modèles anciens, parfois cloués au sol pour maintenance. Macron avait promis quatre appareils supplémentaires. Il en a commandé deux.

    Et les crédits votés pour la flotte aérienne ont été supprimés en douce par décret.

    En parallèle, quatre-vingts dix véhicules blindés Centaure sont livrés à la gendarmerie pour réprimer les manifestations.

    LES FEUX DE FORET, NON. LES FEUX SOCIAUX, OUI.

    Ce n’est pas une négligence, c’est une hiérarchie des priorités. Ils laissent cramer les forêts, mais ils sont prêts à écraser la moindre flamme de colère.

    Et dans l’Aude, hasard étrange, le feu ravageait dans une zone promise à une centrale solaire. Un projet bloqué par les riverains, ralenti par les recours. Une fois le feu passé, plus d’obstacle, le terrain est libre, la végétation n’existe plus.

    Comme par enchantement, les travaux peuvent commencer. Le feu devient un bulldozer.

    Chaque incendie devient une opportunité.

    Une forêt qui brûle, ce sont des terres libérées de contraintes agressives. Des sols désencombrés, moins de haies, moins de biodiversité, donc moins de freins aux projets industriels.

    Les investisseurs arrivent après les flammes comme des vautours sur un champ de bataille.

    Des panneaux solaires, des éoliennes, des centres logistiques. L’incendie devient la première étape d’un chantier. Derrière les discours sur la sobriété, il y a une réalité: la marchandisation du vide.

    Les terres agricoles deviennent des déserts énergétiques stériles, gérés depuis des tours à Paris ou à Bruxelles. Les paysans, eux, sont expulsés du paysage, remplacés par des techniciens sous-payés. Le Green Deal (l’accord vert) est une opération immobilière.

    PENDANT QUE LES FORETS S’EFFACENT, NOS ELEVEURS CRIENT DANS LE VIDE.

    Une épidémie nommée DNC, dont personne n’avait entendu parler, devient le prétexte pour abattre des cheptels entiers. Même quand les animaux ne présentent aucun symptôme, même quand les tests sont négatifs, ordre est donné: euthanasie totale.

    Dans le Cantal, la Savoie, les Alpes, des éleveurs assistent à l’abattage de leurs vaches, de leurs veaux, de leur vie. Une femme raconte avoir nourri ses veaux au biberon le matin pour les voir mourir l’après-midi. Aucun recours, aucune pitié.

    C’est la politique du vide.

    Chaque troupeau supprimé ouvre la voie à autre chose.

    Importations sud-américaines, viande synthétique, solutions alternatives promues par les start-ups financées par Bill Gates ou BlackRock.

    Et les fermes, que deviennent-elles? Soit des friches, soit des terrains vendus pour d’autres usages: solaire, logistique, technologique. L’animal vivant gêne, la nourriture connectée rassure.

    LA VACHE MEURT, LE LABO PROSPÈRE.

    Dans ce pays qu’on déshabille, les moyens de secours s’effondrent, mais les moyens de contrôle explosent. Pas d’argent pour les Canadairs, mais des milliards pour l’armement, pour l’Ukraine, pour les intérêts de l’OTAN.

    Pas d’aide réelle pour les éleveurs, mais des chèques pour Amazon, Pfizer ou Microsoft. On privatise les profits, on nationalise les pertes.

    Les terres agricoles partent à l’étranger. Les subventions alimentent des programmes numériques absurdes. Les ZAP, zones agricoles protégées, conditionnent les exploitants à devenir dépendants. On appelle ça modernisation. En réalité, c’est un asservissement.

    Chaque feu de forêt est une justification pour accélérer la mutation. On prépare une agriculture sans hommes, sans terres, sans saisons. Et ceux qui refusent ce modèle sont traités d’extrémistes, d’anti-progrès.

    Ils sont ignorés jusqu’au jour où ils se révoltent. Pendant ce temps A PARIS, LA CASTE RIT.

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  • La France condamnée en sursis

    En sursis avant sa mort, la France n’a pas besoin d’aide à mourir. Voilà 40 ans qu’elle s’empoisonne au vivre-ensemble, en distribuant généreusement des sursis aux racailles.

    Selon le ministère de l’Intérieur en 2023, 544.000 condamnations ont été prononcées à 454.000 condamnés (pour 890.000 infractions, une même condamnation peut concerner plusieurs infractions). Autant que dans les années 88/93 ou de 98 à 2000. Selon les spécialistes en racaillerie, en 2023, il n’y a pas plus de racailleries qu’en ces années-là. Ce que vous voyez n’est pas la réalité, la réalité est différente selon que vous soyez simple citoyen ou haut fonctionnaire macronien.

    248.000 peines d’emprisonnement ont été prononcées sur les 544.000 condamnations et seulement 83.000 ont été exécutées.

    165.000 condamnés à l’enfermement de  moins d’un an ont bénéficié de différents sursis ou aménagement de peine.

    2023 il y avait 61.000 places, pour 77.000 prisonniers (3 % en semi-liberté ce qui a favorisé 15 évasions) Comment ont-ils pu faire rentrer 83.000 prisonniers  supplémentaires?

    En 2023, plus de 40 % des peines de prison ferme sont aménagées ou converties avant l’incarcération. Ce chiffre est en hausse depuis 2019. Depuis cette loi, la majorité des aménagements sont prononcés directement par le tribunal à l’audience, passant de 8 % en 2019 à 57 % en 2023. La détention à domicile sous surveillance électronique est le mode d’exécution des peines aménagées ou converties, le plus courant, représentant 80 % des cas en 2023.

    https://www.justice.gouv.fr/documentation/etudes-et-statistiques/plus-40-peines-prison-ferme-amenagees-ou-converties-incarceration

    Pour l’année 2024 vous devrez attendre encore un an, la France manquant de fonctionnaires et aussi d’ordinateurs pour tenir les comptes à jour.

    https://www.justice.gouv.fr/sites/default/files/2024-12/Rapport%20annuel%20sur%20les%20condamnations%20en%202023_corr.pdf

    En 2024 le nombre de places de prison était monté à 62.500 pour 83.000 prisonniers.

    Parmi les sorties de prison pour délit en 2024, 47 % ont fait l’objet d’un aménagement. Les libérations anticipées sont en constante augmentation, elles s’élevaient à 33 % en 2022. Comme tous les ans il faut faire rentrer de plus en plus de prisonniers dans des places de prisons qui n’augmentent pas. La France généreuse fait bénéficier ces racailles des remises de peines toujours plus nombreuses.

     

    Voilà le tour de passe-passe des prestidigitateurs. En attendant les 15.000 places prévues en 2017, voulues par Macron, Bayrou fait du vide. 22 établissements ont été livrés (soit 6494 places brutes et 4521 places nettes, une fois prises en compte des fermetures d’établissements). Il  reste 10.500 places à construire en 2 ans (ce qui n’avait pas été fait en 8 ans) afin de porter la capacité du parc immobilier pénitentiaire à plus de 75.000 places en 2027.

     

    https://www.info.gouv.fr/politiques-prioritaires/renforcer-l-ordre-republicain-et-encourager-l-engagement/poursuivre-le-plan-de-creation-de-15-000-places-nouvelles-en-prison

     

    En 2027, il manquera encore 8000 places de prison (si tout va bien) pour les 83.000 prisonniers d’aujourd’hui et beaucoup plus. Combien? 10.000/15.000 places, puisque Bayrou et Darmanin font du vide à tour de bras, le nombre de racailles qu’il faudra embastiller sera sûrement plus près des 90.000. Pendant encore combien de temps, 10 ans, 15 ans, la France va-t-elle abuser des sursis, des remises de peine, des aménagements et bracelets électroniques?

    C’est ainsi que sur Google, dans tous les articles consultés, tous les spécialistes vous affirment que les racailleries n’augmentent pas et que ce que vous voyez n’est pas ce que vous voyez, en se basant sur les condamnations prononcées et exécutées.

    Avec tous ces sursitaires dans nos rues, c’est vous qui êtes maintenant en sursis.

    Ce qui suit n’a rien à voir avec cet article car, comme tout le monde le sait, l’islam est une religion d’amour et de paix.

    https://www.cath.ch/newsf/france-pres-de-3-600-conversions-a-l-islam-chaque-annee-selon-la-croix

    Le phénomène des conversions à l’islam toucherait 3600 personnes par an en France. À côté d’une séduction intellectuelle et spirituelle, c’est dans les banlieues que ces conversions sont les plus fréquentes. Ces éléments ressortent d’une étude publiée le 25 août par le quotidien catholique français La Croix, signée de Pierre Schmidt.

    Combien sont-ils aujourd’hui en France à s’être convertis à l’islam? Difficile à dire, mais des chiffres circulent. Évaluation basse: 30.000. Haute: 70.000.

    D’année en année, le nombre de catéchumènes venus de l’islam reste très faible, et en 2024 il y aurait ainsi 350 personnes issues de l’islam parmi les catéchumènes en France

    Aujourd’hui sur LCI Luc Ferry en parlant de Macron il a dit que c’est un gamin avec un cerveau de bulot. Il a affirmé que si rien ne change, Ed. Philipe et Eric Retailleau ne seront pas au 2e tour de la présidentielle. Ce qui donne toutes les chances au RN de l’emporter avec une bonne partie des LR.

    Je le redis une nouvelle fois, Bardella est aussi un gamin inexpérimenté, pour figurer dans toutes les  "festivités " internationales, surtout en ce moment, avec toutes les crises que nous allons devoir affronter. Crise de la dette, d’une ou plusieurs guerres, krach boursier avec Trump et effondrement civilisationnel sans remigration.

    Ça suffit… Arrêtez les conneries, la France a assez souffert, trouvez-nous un autre chef.

    Daniel Faguet

  • Danger

    Recrudescence importante des infectons invasives à méningocoque en France

    En France, Santé publique France signale une recrudescence importante des infectons invasives à méningocoque (IIM) a été observée au cours de la saison 2024-2025 avec un nombre exceptionnellement élevé de cas au mois de janvier 2025 (90 cas, données non consolidées). En janvier 2025, les IIM du sérogroupe B étaient majoritaires (45% des cas), suivies des sérogroupes W (30%) et Y (25%). Les IIM W et Y ont fortement augmenté ces dernières années par rapport à l’incidence relevée avant la pandémie de COVID-19.

    Le nombre de cas déclarés et survenus en janvier 2025 est équivalent à celui observé au pic atteint en décembre 2022 dans le contexte d’un rebond post-pandémie de COVID-19 et d’une épidémie grippale marquée associée à la circulation importante d’autres virus respiratoires (Sars-CoV-2 et VRS). L’augmentation des IIM en janvier 2025 pourrait être liée en partie à l’épidémie de grippe particulièrement importante pendant la saison 2024-2025. En effet, il a été montré que les infections par le virus de la grippe peuvent augmenter le risque d’infection invasive à méningocoque.

    Depuis le mois de juillet 2024, 50 décès ont été déclarés soit une létalité de 13,7%. Les souches du sérogroupe W restent à l’origine de formes plus sévères, avec une létalité de 19,8% pour ce début de saison 2024/25, contre 12,5% pour les IIM B et 10,4% pour les IIM Y. En janvier 2025, 13 décès sont survenus, essentiellement chez des adultes dont des jeunes adultes, ce qui témoigne de la sévérité de ces infections.

    Pour l’ensemble de l’année 2024, 615 cas d’IIM ont été déclarés en France, correspondant au plus grand nombre annuel de cas depuis 2010.

    La Direction Générale de la Santé a alerté ce jour les professionnels de santé sur cette situation, appelant à une vigilance accrue et rappelant l'importance de la vaccination.

    Dans la population générale, le calendrier vaccinal prévoit:

    Concernant la vaccination contre les sérogroupes A, C, W et Y:

        Chez les nourrissons, la vaccination tétravalente est obligatoire selon un schéma vaccinal à deux doses: une dose à l’âge de 6 mois (NIMENRIX) suivie d’une dose de rappel à l’âge de 12 mois (NIMENRIX ou MENQUADFI),

        Chez les adolescents, la vaccination est recommandée:

            De 11 à 14 ans selon un schéma une dose quel que soit leur vaccination antérieure (NIMENRIX ou MENQUADFI ou MENVEO),

            De 15 à 24 ans dans le cadre du rattrapage vaccinal avec un schéma une dose (NIMENRIX ou MENQUADFI ou MENVEO).

    Concernant le sérogroupe B:

        La vaccination par le vaccin BEXSERO est obligatoire chez l’ensemble des nourrissons depuis le 1er janvier 2025 selon un schéma à trois doses (M3, M5, M12).

        Un rattrapage jusqu’à 24 mois est prévu pour les nourrissons jamais vaccinés ou au statut vaccinal incomplet ou inconnu.

    Des recommandations vaccinales particulières viennent compléter l’approche du calendrier vaccinal particulier chez les personnes à risque élevé d’IIM (personnes immunodéprimées et leur entourage familial) ainsi qu’en milieu professionnel et chez les voyageurs

    Source: Santé publique France, Direction générale de la santé

  • Chaque clandestin peut rapporter plus de 5000 euros

    au cabinet d’avocats qui le défend…

    C’est nous, Français, qui payons les avocats de l’aide juridictionnelle…

    Il faut en effet que tous les Français sachent que chaque clandestin peut rapporter jusqu’à 5300€ d’argent public, de leur argent, à un cabinet d’avocat.

    Multipliez cela par les centaines de milliers de personnes sous OQTF, et cela pourrait coûter des centaines de millions aux contribuables. En prenant en compte le nombre total de clandestins présents en France, on arrive à des milliards d’euros…

    Or, quelques heures à peine après la sortie du mensuel de Frontières, le "Conseil National des Barreaux", représentant 78.000 avocats en France, a annoncé saisir le procureur de la République contre le jeune média Frontières qui n’a peur de rien et dénonce, sans crainte et sans reproche,  tous les scandales et notamment celui du coût de la délinquance commise par des clandestins.

    Non seulement les clandestins nous coûtent cher à entretenir, mais, en plus, champions es délinquance, ils nous coûtent une blinde, comme dirait l’autre, en frais d’avocats pour qu’ils échappent à leur peine et/ou à leur expulsion. Ils ont droit à l’aide juridictionnelle pour faire appel de leurs condamnations et expulsions! Un énorme scandale et une rente juteuse pour nombre de cabinets d’avocats. C’est ce qu’Eric Teigner appelle l’industrialisation de la défense des clandestins.

    Une fois de plus, merci au Conseil constitutionnel qui a décidé, le 28 mai 2024, d’accorder l’aide juridictionnelle aux clandestins qui veulent faire annuler leurs OQTF ou refus de titres de séjour.

    Eric Tegner et son équipe d’enquêteurs sans peur et sans reproche ne lâchent rien, même s’il est évident que tout est mis en branle pour les  faire couler. Que peut-on nous reprocher si ce n’est de faire notre travail de journaliste?

    On leur reproche de rendre visible aux Français ce qu’ils payent à leur insu… Sans surprise, nombre de barreaux locaux (Bordeaux, Marseille, Nîmes, Strasbourg…) ont traité Frontières de média d’extrême-droite et ont dit haut et fort qu’ils défendraient les clandestins, quel que soit le cas de figure…

    Bel engagement politique, belle preuve d’indépendance de la justice! Et évidemment les dhimmis de Libé tapent sur Frontières...

    C’est une énorme partie de bras-de-fer que Frontières a engagée contre des avocats et les magistrats qui les soutiennent, au nom de la justice, au nom du droit, au nom de la France. N’hésitez pas à les aider à résister, ils vont être massacrés par la justice pour leur imposer le silence en les accablant de frais, d’amendes, de peines de prison peut-être. Soutenez Frontières, abonnez-vous, achetez leur dernier supplément…

    Frontières est attaqué car les journalistes font… leur travail de journaliste!

    Proposition d’Eric Tegner aux donneurs de leçon:  ces avocats qui aiment tant les migrants n’ont qu’à travailler gratuitement pour la défense de leurs protégés, au lieu de se servir des impôts de ceux qui n’ont rien demandé.

    Les gauchistes, qui sont si généreux avec l’argent des autres, n’ont qu’à créer une cagnotte avec leurs copains, au lieu de prendre l’argent durement gagné de nos concitoyens.

    Que même le MEDEF y participe, lui qui veut tant régulariser les clandestins. Gauche et droite, main dans la main, mais hors des poches des Français.

    Christine Tasin

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)