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  • Taxe d’habitation: le retour…

    La taxe d’habitation, créée en 1974, permettait de financer les services publics au niveau des communes. Elle contribuait par exemple à financer des dépenses sociales et scolaires, des équipements sportifs et culturels ainsi qu’à l’entretien de la voirie. En 2017, pour sa dernière année pleine, elle avait rapporté 22,3 milliards, dont 15,2 étaient revenus aux communes.

    Sa suppression progressive pour les résidences principales, entre 2018 et 2023, a été présentée par Emmanuel Macron comme un gain de pouvoir d’achat. L’État était censé compenser à l’euro près le manque créé pour les finances des collectivités locales, mais les communes ont depuis augmenté leur taxe foncière, de 20% en moyenne entre 2018 et 2023, selon l’Union nationale des propriétaires immobiliers, pour pallier le manque de financement. Et pour le budget 2025, les moyens alloués aux collectivités locales par l’État devraient diminuer de 6,5 milliards d’euros l’an prochain. Dans ce contexte, plusieurs responsables politiques militent ouvertement pour un retour de cette taxe.

    À gauche, le député LFI David Guiraud a déposé un amendement dans le cadre de l’examen du budget afin de rétablir la taxe d’habitation sur les résidences principales pour les 20ù des ménages les plus riches. L’idée est également portée par Jean-François Copé (LR) et de nombreux élus locaux.

    Catherine Vautrin, ministre en charge des Collectivités, songe à une nouvelle taxe d’habitation avec un autre nom: "Sans recréer une forme de taxe d’habitation, responsabiliser chacun sur l’importance du coût me paraît correspondre à une exigence dont on ne peut pas se passer", argumente-t-elle, expliquant qu’il "faut réfléchir à une participation possible au fait de vivre dans la ville ou le village".

    "Chaque foyer l’acquitterait et son montant pourrait représenter seulement quelques euros par mois pour les foyers les plus modestes sans peser sur la fiscalité. On pourrait même prévoir un mécanisme pour ne pas en faire un impôt supplémentaire en permettant, par exemple, que cette ‘cotisation territoriale universelle’ soit soustraite de l’impôt sur le revenu", propose André Laignel, vice-président de l’Association des maires de France (AMF). Une idée qui pourrait coller avec l’objectif de Catherine Vautrin: que le taux global de prélèvements obligatoires "n’augmente pas". Un vœu pieux

    Avec 3 200 milliards de dette, la marge de manœuvre du gouvernement est nulle. La dégradation de la dette de la France par les agences de notation majore les taux d’intérêts de nos emprunts sur les marchés internationaux. Alors qu’il était interrogé sur le dérapage du déficit public français, le ministre allemand des Finances, Christian Lindner, a récemment averti le gouvernement français qu’il ne fallait "pas plaisanter" avec "la crédibilité des finances publiques vis-à-vis des marchés financiers". "Nous devons réduire de manière crédible notre déficit et notre endettement afin de pouvoir nous financer de manière stable et efficace", a-t-il souligné, dans une référence implicite aux hausses de taux d’intérêt sur les marchés qui augmentent le coût du financement des pays très endettés comme la France.

    La seule manière de "rester crédible" est d’augmenter les impôts des Français, alors que notre pays doit déjà supporter le plus important taux de prélèvement obligatoire de l’OCDE.

     

    Henri Dubost

  • Noir, c'est noir... il n'y a plus d'espoir....

    Il faut remplacer le "Blanc" par tous les moyens mais également le "Noir"

    Il y a une cinquantaine d’années, on nous mettait en garde contre les images subliminales (ces images que notre œil ne détecte pas mais que notre cerveau enregistre et imprime inconsciemment) incorporées dans de nombreuses publicités et destinées à nous procurer, malgré nous, le désir de goûter, de consommer les produits en question. Ce fut le cas notamment des publicités Coca-Cola et autres marques mondiales.

    Aujourd’hui il n’est plus nécessaire d’employer de tels stratagèmes pour manipuler et imprimer l’esprit de notre jeunesse et des Français en général, et cela à longueur de journée et de soirée.

    Les images (qui ne sont plus subliminales) s’affichent plein écran dans les publicités, les films, les séries, etc. et l’objectif est désormais très clair: il s’agit d’inculquer à notre jeunesse et à une majorité de citoyens pas encore convaincus la notion que le multiculturalisme fait partie de notre existence et que l’on peut s’y adonner sans aucun a priori.

    Il n’y a plus un film, une série télé, un documentaire, un court-métrage, etc. où ne figure pas dans le casting une personne de couleur ou d’origine maghrébine qui, comme par hasard, a toujours le beau rôle et démontre sa supériorité intellectuelle.

    Ainsi dans une série policière il est inutile de monopoliser votre attention sur l’un de ces "rôles" car ce ne sera jamais lui le coupable, le méchant, bien au contraire, ce sera toujours lui l’incompris, celui qui souffre et qui aide les Blancs à comprendre l’absurdité de leurs soupçons!

    Car il sera soupçonné, bien évidemment, à cause de sa couleur ou de son origine, mais soyez rassurés, il n’aura ni volé, ni violé, ni assassiné, ce sera toujours l’autre, le Blanc, le coupable!

    Si vous ne l’avez pas encore constaté, ce qui m’étonnerait tout de même, prêtez-y attention:

    Il y a quelques décennies les personnages incarnés par des comédiens de couleur ou d’origine maghrébine étaient toujours sous les ordres des Blancs (Navarro par exemple). Aujourd’hui, les policiers, gendarmes, médecins, cadres, pompiers, etc., qu’ils soient de couleur ou d’origine maghrébine, sont, en général, les supérieurs des Blancs: commandants de police ou de gendarmerie dans les polars (RIS police scientifique, Section de Recherches, Sur les quais, etc.), juges, avocats, médecins, etc. dans d’autres séries (exemple, Plus belle la vie) ou Caïn (où la nouvelle recrue, un jeune et sympathique Noir, est d’une intelligence remarquable, ce qui stupéfie Caïn et subjugue la jeune policière jusqu’alors paraissant amoureuse de ce dernier). Chérif, un enquêteur qu’on ne peut qu’apprécier et qui "tombe" toutes ses collègues.

    Toujours plus sympathiques et plus intelligents face à la bêtise et à la vulgarité de leurs subordonnés à la face pâle (je me demande d’ailleurs comment policiers et gendarmes peuvent accepter d’être présentés d’une manière souvent ridicule dans ces réalisations).

    Cette liste pourrait se poursuivre sur des pages…

    Trop c’est trop! À vouloir tant démontrer, on finit par lasser.

    Certaines gendarmettes de couleur sont même affectées, les malheureuses, dans des gendarmeries de haute montagne, par grand froid et neige.

    Fort heureusement, dans la vraie vie, il y a des policiers, gendarmes, médecins, cadres pompiers… de couleur ou d’origine maghrébine, qui font leur métier et se dévouent avec passion et intelligence.

    Mais, et nous le constatons trop souvent, il y a également des individus de couleur ou d’origine maghrébine qui sont des "méchants", qui volent, qui violent, qui tuent, j’allais dire comme tout le monde, mais on ne l’affiche pas sur nos écrans et, très souvent même, on le dissimule volontairement ou sur ordre.

    Peut-être d’ailleurs cela n’existe-t-il que dans notre imagination raciste? Bien entendu.

    Mais alors comment expliquer que 15% de la population française, de couleur ou d’origine maghrébine, composent 70% de la population carcérale? (Statistiques du ministère de l’Intérieur)

    À l’origine, la dénomination commune de ce racisme "anti-blanc" était la "décolonisation": l’Occident était responsable, il fallait défendre les opprimés, de couleur ou d’origine maghrébine.

    À présent, l’idée directrice, vous l’avez parfaitement compris, est d’endoctriner la population française, la préparer insidieusement aux bienfaits du multiculturalisme, de viser, en tous les cas, les Français qui ne le sont pas encore et conforter dans leur opinion ceux qui le sont déjà.

    L’objectif recherché est, mais vous l’avez également bien compris, l’accueil des migrants, des "Chances pour la France" venues d’Afrique, du Maghreb ou d’ailleurs.

    L’objectif recherché est, mais vous l’avez également bien compris, l’accueil des migrants nécessaires à notre main-d’œuvre, à notre faible démographie, à ces "Chances pour la France" venues d’Afrique, du Maghreb ou d’ailleurs.

    Il faut remplacer le Blanc, autant que faire se peut (même dans les compresses, dixit Rokhaya Diallo) mais également le "Noir" quand il peut être mal interprété (par exemple "travail au noir", il y a quelques jours à l’Assemblée nationale).

    Hier Jeanne d’Arc a été métissée, Arsène Lupin a changé de couleur!

    Pourquoi pas demain Charlemagne, Louis XIV et même… De Gaulle?

    Manuel Gomez

  • Féministes en France: mon œil!

    Bien discrètes quand les musulmans violent des Françaises ou des Européennes – voir Clémentine Autain – allant même jusqu’à faire casser la gueule des militantes de Némésis par leurs nervis gauchistes comme Raphaël Arnault, nos vaillantes féministes ont enfin trouvé deux os à ronger.

    La cabale menée, dix-sept ans après sa mort, contre l’abbé Pierre leur permet de cibler l’Église catholique, une fois encore, elles si discrètes sur la vie de Mahomet,

    Mais leur plus sordide récupération a lieu à Mazan. On rappelle le contexte. Un homme a drogué sa femme pendant une dizaine d’années, et l’a offerte à des dizaines d’hommes, trouvés sur des sites de rencontre. Cela se passe dans la France rurale et 51 personnes, des Français moyens de tous âges, se retrouvent devant les juges. Des “violeurs” idéaux pour les féministes gauchistes…

    https://www.liberation.fr/societe/droits-des-femmes/proces-des-viols-de-mazan-un-appel-a-manifester-samedi-en-soutien-a-gisele-pelicot-et-aux-victimes-de-viols

    https://www.tiktok.com/discover/proces-avignon-mazan

    On rappellera par ailleurs que quand il s’agit de violeurs de la haute, les féministes sont d’une discrétion absolue. 4 exemples :

    Gérard Miller, qui violait des jeunes filles après les avoir hypnotisées, toujours en liberté !

    https://www.liberation.fr/societe/droits-des-femmes/affaire-gerard-miller-de-nouveaux-temoignages-mettent-en-cause-le-psy-quand-il-enseignait-a-luniversite-paris-8

    Olivier Duhamel, président du Siècle, qui a reconnu avoir violé son jeune beau-fils, par ailleurs fils Kouchner, toujours en liberté !

    https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/affaire-olivier-duhamel/inceste-olivier-duhamel-reconnait-des-agressions-sexuelles-sur-son-beau-fils

    Laurent Bigorgne, très proche de Macron, ancien patron de l’institut Montaigne, qui a drogué sa belle-sœur, toujours en liberté !

    https://www.leparisien.fr/faits-divers/affaire-bigorgne-lex-patron-de-linstitut-montaigne-condamne-a-12-mois-avec-sursis-pour-avoir-drogue-une-collaboratrice

    Le sénateur Guerriau, qui a drogué la député Sandrine Josso, toujours sénateur, toujours en liberté !

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/11/17/le-senateur-joel-guerriau-soupconne-d-avoir-drogue-une-deputee-mis-en-examen-et-place-sous-controle-judiciaire

    Quand il s’agit de protéger les drogueurs de la haute, les féministes se taisent, quand il s’agit de protéger les violeurs musulmans, les féministes se taisent, mais quand il faut enfoncer l’Abbé Pierre et instrumentaliser Mazan, on n’entend plus qu’elles…