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santé

  • Fraude Sécu:

    le coup des audioprothèses et des "mal-entendants" migrants

    Vous savez probablement que nous avons un gros déficit de la Sécurité sociale. Eh bien, je vais vous raconter une fraude pour ceux qui sont encore naïfs.

    Le marché des lunettes commence à être saturé et la nouvelle mode est aux audioprothésistes, vous savez ces centres qui fleurissent et même vous appellent pour faire des tests d’audition.

    Ces audioprothèses sont vendues entre 2500 € et 4000 €, ce qui est très cher pour un simple amplificateur.

    Pensez qu’un iPhone qui est un ordinateur ultra-puissant vaut 1000 € et qu’un simple amplificateur vaut 2 à 4 fois plus cher.

    Pourquoi aussi cher? Car bien entendu ces appareils sont pris en charge par les mutuelle ou par la CMU pour les étrangers, ce qui signifie qu’ils ne leur coûtent rien et que c’est vous et moi qui payons.

    Que font certains centres, et beaucoup d’étrangers africains, pakistanais, afghans ou autres? Ils arrivent avec une ordonnance qui leur prescrit ces appareils.

    À la différence des Français, aucun test phonique/verbal par la parole avec des mots à répéter n’est possible puisque beaucoup d’entre eux ne parlent pas français. Il leur suffit de dire qu’ils n’entendent rien et de jouer la comédie 5 minutes.

    Ils se foutent littéralement des testeurs.

    FAISONS LE CALCUL.

    – L’appareil est vendu 2000 €

    – On déduit 200 € d’achat au fournisseur chinois

    – Le faux malentendant prend 500 € en cash comme complice du centre et garde les prothèses qu’il revendra dans son pays.

    Il reste bien:

    – 1300 € de bénéfice au centre qui fraude la Sécurité sociale en toute connaissance de cause.

    – Et le simulateur afghan a acquis contre rien, un appareil qu’il revendra 600 € en Afghanistan ou en Algérie et qui ne lui a rien coûté, sauf à vous qui avez payé 2000 € via la CMU.

    Addition:

    Centre d’audioprothèses escroc: + 1300 €

    Fraudeur étranger: 500 € en cash par le centre + 600 € de revente de la prothèse = + 1100 € de bénéfice

    Trou pour la sécurité sociale: 2000 €

    La personne qui m’a raconté cette histoire a travaillé dans un centre d’audioprothèses près de la gare du Nord et m’a dit qu’il voyait une personne toutes les 10 minutes…

    Il y a quasiment des recruteurs et des réseaux pour trouver de faux malentendants étrangers.

    Ce n’est qu’un type de fraude sur des milliers…

    Voilà, vous qui êtes un bon citoyen, un Nicolas qui paie comme on dit, êtes à présent un peu moins bête.

     

    Albert Nollet

  • CBD: les cas d’intoxication explosent en France,

    Les autorités s’alarment

    Les autorités sanitaires alertent sur une recrudescence d’intoxications liées à des produits vendus comme du CBD mais contenant, sans l’indiquer, des cannabinoïdes de synthèse. Un phénomène en hausse depuis le début de l’année 2024, dans un contexte de flou juridique persistant.

    Par valeursactuelles.com

    L’Agence du médicament (ANSM) et l’Anses ont alerté en juin sur une recrudescence d’intoxications liées à des produits vendus comme du cannabidiol (CBD) mais contenant, sans l’indiquer, des cannabinoïdes de synthèse, rapporte 20 Minutes le lundi 6 octobre. Plusieurs centaines de cas ont été recensés depuis début 2024.

    Les deux régulateurs tirent la sonnette d’alarme: plusieurs produits estampillés CBD (huiles, fleurs, e-liquides, gummies) contiennent des cannabinoïdes de synthèse non déclarés. Ces molécules, conçues en laboratoire pour imiter les effets du THC, sont parfois aspergées sur des fleurs ou intégrées à des préparations, avec des effets indésirables sévères.

    "Quand un urgentiste m’a parlé d’une intoxication au “CBD”, j’ai d’abord dit que c’était impossible", confie à 20 Minutes Joëlle Micallef, présidente du réseau d’addictovigilance à Marseille. Depuis mars, près de 100 cas y ont été signalés, un chiffre sans doute sous-estimé, puisque moins de 1% des cas sont remontés.

    UN CADRE LEGAL FLOU

    Depuis l’interdiction du HHC (dérivé du THC) en juin 2023, d’autres composés ont pris le relais, comme le 10-OH ou l’EDMB-4en-PINACA, récemment repéré par les douanes sur une fleur de CBD. Ce cannabinoïde de synthèse, puissant et bon marché, serait largement utilisé par des organisations criminelles. Pensées pour contourner les listes de stupéfiants, ces molécules échappent parfois aux analyses courantes.

    Le tout se déroule dans un flou juridique persistant. Les aliments au CBD sont théoriquement interdits en France faute d’autorisation européenne, mais toujours commercialisés. Environ 2 000 boutiques opèrent, souvent en s’approvisionnant à l’étranger. Résultat: des produits “HE” (High Effect) ou brownies au Delta 7, fabriqués aux États-Unis, sont en rayon.

    "Beaucoup de professionnels sont perdus, ils ne savent pas eux-mêmes ce qui est légal ou illégal", explique un acteur du secteur. Il plaide pour trancher: "Soit on interdit tout effet psychotrope à la fleur, soit on encadre la légalisation du cannabis. Si demain on légalise le THC, toutes ces molécules de synthèse disparaîtront ".

    En attendant, les autorités appellent à la prudence: éviter tout produit sans composition claire, fuir les effets "forts", et consulter en urgence en cas de symptômes inhabituels (palpitations, confusion, nausées…).

    La consommation n’est pas marginale: 10% des adultes déclaraient avoir consommé du CBD en 2022, selon Santé publique France.

  • Comment trouver son médecin traitant?

    Selon une récente étude, près d’un médecin sur deux n’accepte plus de nouveaux patients en ville. Une décision que les généralistes justifient par le fait qu’ils ont déjà un grand nombre de patients et qu’ils ne pourraient pas les suivre correctement s’ils en acceptaient davantage.

    Les professionnels qui préparent leur départ en retraite limitent également leur patientèle. Une situation qui rend difficile le fait de trouver un médecin traitant quand on n’a pas de médecin de famille, ou suite à un déménagement.

    La surcharge de travail dont ils sont victimes incite des nombreux professionnels de santé à ne plus accepter de nouveaux patients. Un choix qui compromet l’accès à un médecin traitant et à un bon suivi de santé pour les malades.

    UN MEDECIN GENERALISTE A-T-IL LE DROIT DE NE PLUS PRENDRE DE NOUVEAUX PATIENTS?

    Face au refus d’un médecin généraliste de prendre un nouveau patient, même en cas de maladie, on peut se poser la question de la légalité de ce choix. En France, la loi autorise un médecin à refuser d’accepter de nouveaux patients et à refuser d’être le médecin traitant d’un malade.

    Le seul cas où un praticien est obligé de délivrer des soins est celui de l’urgence. Dans un cadre de médecine de ville classique, il est donc tout à fait légitime pour un docteur de ne plus prendre de nouveaux patients.

    CONSEILS POUR TROUVER UN MEDECIN QUI PREND DE NOUVEAUX PATIENTS

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, il existe plusieurs solutions. La première consiste à faire une recherche sur le site de la caisse d’assurance maladie "ameli". Ce site recense tous les médecins généralistes par secteur.

    La plate-forme Doctolib peut aussi aider à trouver les médecins qui prennent de nouveaux patients. Au moment de lancer une recherche, il suffit de sélectionner ce critère dans les filtres.

    COMMENT FAIRE QUAND ON N’A PAS DE MEDECIN TRAITANT?

    Avoir un médecin traitant permet de bénéficier d’un remboursement des consultations à 70% par l’assurance-maladie. C’est aussi l’assurance d’être mieux soigné pour le patient qui a un interlocuteur de confiance qui connaît bien son dossier de santé. Le médecin traitant est d’autant plus utile en cas d’urgence, ou face à des maladies comme la Covid-19 qui nécessite un suivi soigneux.

    Les patients qui ne parviennent pas à trouver de médecin traitant malgré leurs recherches peuvent saisir le conciliateur de l’assurance-maladie. Ce professionnel a pour rôle d’aider les malades à trouver un médecin traitant généraliste, afin qu’aucun assuré ne reste sans solution pour prendre soin de sa santé.

     

    Le conciliateur ne peut pas forcer un médecin à devenir le médecin traitant d’un patient, mais il peut tenter une médiation pour inciter ceux qui ont refusé de revenir sur leur décision.

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, la meilleure solution est d’utiliser un site comme Doctolib pour rechercher les généralistes disponibles près de chez soi. En cas de problème, le conciliateur de l’assurance-maladie peut également aider les assurés à trouver un généraliste référent.

  • ATTENTION!

    ATTENTION: pour les personnes de plus de 75 ans!

    TOUS les médecins et spécialistes ont reçu un courrier pour leur demander de ne pas trop "aider" les personnes de plus de 75 ans à se soigner et à faire, pour cela, des examens médicaux: radios, scanner, IRM..

    de leur donner des doliprane et autres rivotril pour les calmer et de résister le plus possible à leurs demandes

    J'en ai la preuve, l'hôpital a refusé de me faire un IRM

    sous un prétexte fallacieux…

    je me suis renseignée auprès de divers soignants qui n'ont pas aimé répondre à cette question!

    Résistez, ne vous laissez pas faire  et parlez-en à ceux de votre âge autour de vous!

  • Il faut être idiot pour signer la pétition contre la loi Duplomb

    Ces dernières semaines, l’agriculture conventionnelle a subi une violente campagne de désinformation médiatique, dans la presse, à la télévision et sur les réseaux sociaux. Une manipulation de l’opinion publique scandaleuse, disons-le d’emblée, qu’il est nécessaire de dénoncer: car les faits scientifiques eux, ne mentent pas.

    La campagne, d’une rare virulence, vise l’irrigation des cultures et les retenues d’eau appelées "bassines", le glyphosate et la loi Duplomb adoptée récemment à l’Assemblée nationale.

    Celle-ci poserait un problème majeur de santé publique; en cause, la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride, néonicotinoïde pourtant autorisé partout en Europe et dans le monde.

    Une pastèque, Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Ecologie Les Verts, parle de la loi "poison". Le 8 juillet, sur X, elle estimait que "tous les députés qui voteront pour la loi Duplomb voteront pour l’empoisonnement de vos enfants et la destruction de la biodiversité".

    SANS RIRE

    Une nouvelle étude au protocole bancal pour dénigrer le glyphosate

    Le 12 juin dernier, la presse relaye abondamment une nouvelle étude italienne qui démontrerait "qu’une exposition prolongée au glyphosate, dès la vie prénatale, entraîne une augmentation significative des cas de leucémies et de nombreux autres types de tumeurs".

    Le journal Charente Libre, qui ne rate pas une occasion de vilipender l’agriculture et la viticulture, estime que c’est un "scandale sanitaire en puissance" ignoré par les autorités sanitaires.

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  • La gauche antisémite multiplie les images mensongères pour salir Israël

    Les images d’un enfant de Gaza, prétendument atteint de famine, diffusées par des médias occidentaux antisémites, comme Libération la semaine dernière, montrent en réalité un enfant de Gaza atteint d’une maladie génétique rare, qui a été exfiltré par Israël il y a plusieurs semaines avec sa famille et qui est actuellement soigné en Italie!

    Encore une fois, des médias de gauche ont répandu d’abjects mensonges, dans le but délibéré de provoquer le racisme anti-juif et de pousser la population occidentale à s’en prendre aux Juifs.

    Cette diabolisation rappelle les accusations de crimes rituels juifs que lançaient les pogromistes médiévaux. Cette abjecte manipulation de Libération est similaire à celle dont L’Humanité s’est rendue coupable il y a un mois, en publiant sur sa couverture la photo d’un enfant de Gaza atteint de mucoviscidose, en prétendant que sa maigreur était due à une prétendue famine.

     

    https://israelnationalnews.com/news/412365

     

    Pendant ce temps-là, toujours dans l’objectif de salir Israël, la clique de gauche victimise deux députés LFI, Gabrielle Cathala et Emma Fourreau, arrêtées par Tsahal pour avoir voulu, en toute illégalité, approcher des eaux territoriales de l’État hébreu pour forcer le prétendu blocus de Gaza.

    D’après ce qu’on comprend, l’une va être expulsée, et l’autre refuse de l’être, se lançant dans une grève de la faim, comme Rima Hassan.

    Bref, la mascarade continue, le cinéma se poursuit, avec un seul objectif de la part des complices des nazislamistes: nazifier l’État d’Israël.

    Sal….s!

    Lucette JEANPIERRE