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Education

  • 736 000 jours de grève dans la fonction publique de l’État en 2024!

    Le rapport annuel sur l’état de la fonction publique qui paraît chaque année à cette période est une mine d’informations. Il regorge de chiffres sur les effectifs, les rémunérations, le temps de travail, la mobilité des agents, etc.

    Il contient également des données sur les "journées perdues pour fait de grève". En 2024, il y en a eu 736.000. Largement moins qu’en 2023 où 1.574000 jours de grève avaient été recensées, notamment du fait de la mobilisation contre la réforme des retraites. Mais c’est bien plus qu’en 2022 où on n’en a compté que 333.000.

    Le document nous apprend que 91% des jours de grève ont été le fait des agents des ministères de l’Éducation nationale et de l’enseignement supérieur (contre 80% en 2023).

    Ce sont donc ceux qui travaillent le moins et qui se plaignent constamment du manque d’effectif qui font le plus grève.

    Un calcul rapide nous indique que les 669.760 jours de grève des enseignants (91% des 736.000) équivaut à ce que 4.134 personnes fassent grève pendant une année entière, les élèves français ayant 162 jours de classe dans l’année.

    Quand on sait qu’à la rentrée scolaire 2025, il manquait, selon la ministre Elisabeth Borne, l’équivalent de 2.500 enseignants, on se dit que, sans tous ces grévistes, le manque d’effectif ne se poserait pas!

    Lors de la dernière réunion (4 novembre 2025) du comité social d’administration du ministère de l’Éducation nationale (CSAMEN), instance de " dialogue social ", les syndicats ont reproché au nouveau ministre, Edouard Geffray, de réduire les effectifs enseignants (ce qui est faux comme nous l’avons montré) au détriment des élèves. Et si les syndicats commençaient par ne plus appeler à faire grève pour un oui ou pour un non, les élèves ne s’en porteraient-ils pas mieux? Toutes ces heures perdues ne contribuent-elles pas à faire des élèves des cancres?

  • La vérité sur les chemtrails

    La théorie des chemtrails est apparue aux États-Unis en 1996, en même temps que le développement du web où la parole d’un ignorant l’emporte sur celle d’un prix Nobel, s’il est relayé par une kyrielle d’ignares.

    En 1996, sept militaires de l’université de l’Air publient une étude faite à l’instigation de l’US Air Force. Intitulée "Le climat comme un multiplicateur de force". Après les déboires de l’agent orange au Vietnam, des hauts gradés voulaient voir comment l’armée pourrait maîtriser le climat en agissant sur les pluies, les tempêtes et le brouillard afin de s’assurer un avantage militaire tactique par des armes climatiques.

    Les premières recherches dataient de la guerre froide et reposaient sur le détournement d’une géo-ingénierie balbutiante d’avant WW2 pour réduire les grandes sécheresses du Midwest qui, en temps ordinaire, assure entre le quart et le tiers de la production des céréales aux USA. C’est à la suite de l’étude de l’Air Force que se propage sur les réseaux sociaux la certitude que le gouvernement crée des nuages artificiels à l’aide de produits chimiques avec des intentions maléfiques.

    Les incantations des grands sorciers supposées faire venir la pluie ont été remplacées par l’ensemencement des nuages avec la pulvérisation de neige carbonique et d’iodure d’argent pour initier la glace, et de chlorure de sodium ensuite pour agréger les gouttes. Avec des succès mitigés car les vents, le soleil, l’hygrométrie et les précipitations ne sont pas réductibles au déterminisme des équations.

    Bien évidemment, cette technique en grande partie gérée par des avions, moins souvent par des ballons ou des fusées, crée des nuages artificiels qui peuvent s’étirer dans un ciel bleu avec les vents en altitude. Des écolos au bagage scientifique succinct ont découvert il y a quelques années cette "nouvelle pratique" mise au point en 1946 (!) et l’ont déclarée dangereuse par manque de retours (sic).

    Des nuages de pluies provoquées avec une réussite aléatoire sont devenus des chemtrails, synonymes de crimes contre l’humanité dont les finalités font dérailler le train-train de la raison.

    Ces nuages, quand ils n’explosent pas en pluie, peuvent s’agréger en masses compactes susceptibles d’initier exceptionnellement des cumulonimbus générateurs d’orages et de tornades. Ceux-ci peuvent se former à des altitudes plus basses et rester dans le ciel plus longtemps que les traînées de condensation des avions.

    Selon les professeurs Tournesol qui les dénoncent, les chemtrails seraient constitués de particules de métaux lourds comme des sels d’aluminium ou de titane, des corpuscules de métaux alcalins comme le baryum, le strontium et le calcium, et des polymères microscopiques. Autant de produits nocifs pour la santé et l’environnement, provoquant la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson et des problèmes respiratoires.

    La science expérimentale exige des preuves. Or les aéronefs envoyés recueillir des échantillons de cette pollution atmosphérique n’ont rien trouvé d’autre que de la vapeur d’eau. Quant aux maladies induites, les relations causales sont hypothétiques. Les malades examinés n’avaient pas dans leurs tissus des concentrations de ces métaux et polymères.

     

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  • Notre véritable ennemi est le mondialisme

    De 622 à 1700, l’Occident chrétien a résisté victorieusement à la poussée et aux assauts de l’islam et a précipité l’engourdissement de l’agresseur. Les souverains européens se sont unis à maintes reprises pour refouler et chasser les envahisseurs musulmans. Ils manifestèrent la volonté politique de s’opposer à l’islam et de maintenir le christianisme.

    La Révolution de 1789 change la donne. Le pouvoir passe à la haute bourgeoisie et à la haute finance apatride. Après la période de léthargie musulmane et la colonisation, à partir de 1945, les dirigeants européens accompagnent et favorisent la politique d’islamisation en terre occidentale.

    L’Europe, elle-même otage du terrorisme, introduit sur son territoire les tribunaux et la finance conformes à la charia. Elle fait voter des lois draconiennes contre le racisme, la xénophobie, l’incitation à la haine.

    En France, l’anticléricalisme, né sous la IIIe République, et qui unissait alors les républicains divisés, a toujours montré une profonde aversion envers le christianisme, en particulier le catholicisme. Les gauchistes anticléricaux souhaitent la disparition du catholicisme. Ils accueillent l’islam avec ferveur, sans voir de contradiction. L’islam est pour eux un moyen d’éliminer le christianisme, de se débarrasser d’un intrus encombrant et honDans ce contexte d’immigration de masse et d’islamisation, la guerre civile menace, une guerre sauvage, sanglante et meurtrière entre d’une part les musulmans aidés par les traîtres gauchistes, et d’autre part, les patriotes et identitaires. Quelle serait l’issue de cette guerre? Les gouvernants redoutent-ils cette confrontation? Ou bien au contraire la souhaitent-ils? La guerre ne permettrait-elle pas d’étouffer et d’éteindre les échecs de Macron et de sa bande de gangsters? De réduire la population? D’établir une Europe supranationale et une armée européenne? D’instaurer un gouvernement mondial? De réaliser tous les rêves mondialistes?

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  • Propagande autour de la sexualité dans l’Éducation nationale: le scandale

    L’extrême centre est une dystopie. Comme dans Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, le ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, veut commencer l’orientation dès le jardin d’enfants. C’est Parcoursup, dès mat’ sup, la maternelle supérieure!

    Comme dans 1984 d’Orwell, il faut endoctriner les enfants avec les dogmes du parti et donc enseigner la sexualité et la théorie du genre dès le plus jeune âge. Claude Meunier-Berthelot, contributrice régulière de Polémia et auteur de Cette révolution scolaire qui tue la France, décrypte ci-dessous la circulaire ministérielle du 4 février 2025 sur l’éducation sexuelle, nouvelle étape de la révolution scolaire qui éloigne chaque jour davantage l’école de sa mission première d’instruction et de transmission au profit d’un gloubi-boulga politiquement correct. Polémia.

    LA CHUTE CONTINUE

    Nous sommes en train de toucher le fond de la perversité éducative avec l’introduction de programmes d’éducation sexuelle à l’école, de la maternelle à l’université! Révolution qui touche aussi bien l’école publique que l’école privée sous contrat.

    Ceux qui sont censés nous gouverner continuent d’exercer leurs méfaits à la tête des institutions publiques malgré la levée de boucliers émanant notamment d’associations diverses dénonçant cette aberration éducative. Mais ne " baissons pas la garde " face à ce dévoiement organisé de l’Éducation nationale et de ses satellites, car l’avenir de nos enfants, l’avenir de la France en dépend.

    Quelques pépites glanées dans différents établissements scolaires et relevées par l’association SOS Éducation

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  • Combien de temps l’humanité survivrait-elle si l’on arrêtait de faire des enfants?

    Suffit-il de calculer l’espérance de vie maximale d’un humain pour deviner combien de temps mettrait l’humanité à disparaître si l’on arrêtait de se reproduire? Pas si simple répond l’anthropologue américain Michael A. Little dans cet article à destination des plus jeunes.

    Très peu de personnes vivent au-delà d’un siècle. Ainsi, si plus personne n’avait d’enfants, il ne resterait probablement plus d’humains sur Terre dans 100 ans. Mais avant cela, la population commencerait à diminuer, à mesure que les personnes âgées mourraient sans qu’aucune nouvelle naissance ne vienne les remplacer. Même si toutes les naissances cessaient soudainement, ce déclin serait au départ progressif.

    UN EFFONDREMENT DES SOCIETES

    Mais peu à peu, il n’y aurait plus assez de jeunes pour assurer les tâches essentielles, ce qui provoquerait un effondrement rapide des sociétés à travers le monde. Certains de ces bouleversements mettraient à mal notre capacité à produire de la nourriture, à fournir des soins de santé et à accomplir tout ce dont dépend notre quotidien. La nourriture se ferait rare, même s’il y avait moins de bouches à nourrir.

    En tant que professeur d’anthropologie ayant consacré ma carrière à l’étude des comportements humains, de la biologie et des cultures, je reconnais volontiers que ce scénario n’aurait rien de réjouissant. À terme, la civilisation s’effondrerait.

    Il est probable qu’il ne resterait plus grand monde d’ici 70 ou 80 ans, plutôt que 100, en raison de la pénurie de nourriture, d’eau potable, de médicaments et de tout ce qui est aujourd’hui facilement accessible et indispensable à la survie.

    L’ELEMENT DECLENCHEUR: UNE CATASTROPHE MONDIALE

    Il faut bien reconnaître qu’un arrêt brutal des naissances est hautement improbable, sauf en cas de catastrophe mondiale. Un scénario possible, exploré par l’écrivain Kurt Vonnegut dans son roman Galápagos, serait celui d’une maladie hautement contagieuse rendant infertiles toutes les personnes en âge de procréer.

    Autre scénario: une guerre nucléaire dont personne ne sortirait vivant – un thème traité dans de nombreux films et livres effrayants. Beaucoup de ces œuvres de science-fiction mettent en scène des voyages dans l’espace.

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  • Madame la Ministre: notre École est en péril

    Ces derniers mois une vaste enquête intitulée La Grande Enquête sur l’École. 13 379 répondants, citoyens engagés, parents concernés, enseignants ou simples observateurs, ont livré leur jugement.

    Et ce jugement est sans appel.

        80,3% considèrent que le niveau en lecture, écriture et mathématiques est insuffisant.

        91,7% réclament un retour massif aux savoirs fondamentaux.

        92,9% estiment que les sanctions à l’égard des élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

        72,1% jugent que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

        76,5% dénoncent l’insuffisance de la prévention et du traitement du harcèlement scolaire.

        75,7% considèrent que l’école oriente idéologiquement les élèves.

        86,6% souhaitent une orientation possible en voie professionnelle dès la 4e.

        76,5% rejettent la réforme du lycée, notamment la suppression des filières.

        72,7% sont favorables aux classes de niveau au collège.

        Et 91% ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, qu’ils jugent dévalorisé.

     

    Madame la Ministre, ces résultats traduisent un désaveu populaire massif, mais aussi un appel au courage. Ce que demandent les Français, ce n’est pas un énième "ajustement" bureaucratique, mais un changement de cap total:

    ■ Le retour de l’autorité dans les classes,

    ■ La restauration de la transmission du savoir,

    ■ L’affirmation d’un cadre national exigeant,

    ■ Et la réhabilitation de notre héritage culturel et de la méritocratie républicaine.

    C'est le même constat sur l’école depuis trente ans.

    AUJOURD’HUI, 75.000 PARENTS, CONFIRMENT LEURS INQUIETUDES.

    Les résultats de l’enquête PISA 2022 l’ont démontré:

    nos élèves régressent, en mathématiques comme en compréhension écrite. La France se retrouve désormais en queue de peloton des pays de l’OCDE, alors même qu’elle consacre chaque année un budget plus important que l’écrasante majorité d’entre eux à son système éducatif.

    Les analyses nationales ne sont pas plus rassurantes. La Cour des comptes, dans son rapport de 2025, dénonce l’inefficacité de notre système et un niveau scolaire "inacceptable".

    Il est des constats que l’on ne peut plus éluder, des chiffres que l’on ne peut plus dissimuler, et des réalités que des millions de familles vivent dans la douleur.

    L’École française, autrefois fierté nationale, s’est effondrée sous nos yeux.

    Vous êtes en poste depuis désormais huit mois, et rien ne change. Vous êtes aujourd’hui responsable d’un ministère dont dépend l’avenir de notre pays.

    Il vous appartient de trancher: persister dans l’aveuglement ou choisir la refondation.

    Madame la Ministre, les Français vous appellent solennellement à entendre leurs voix, à prendre acte de l’état de délabrement de notre École, et à engager sans délai les réformes que la nation attend.

    L’heure n’est plus aux demi-mesures.

    L’avenir de la France passe par la reconquête de son École.

    ARTICLE ECRIT APRES LECTURE DE:

     

    ANNEXE – RÉSULTATS DE" LA GRANDE ENQUÊTE SUR L’ÉCOLE"

    Enquête menée par Reconquête! et le réseau des Parents Vigilants

    13 379 répondants – 2025

    Dans le cadre de ses travaux sur l’avenir de l’école, le mouvement Reconquête a lancé une consultation nationale inédite entre septembre 2024 et mai 2025. L’objectif était clair: redonner la parole aux Français sur l’état de l’Éducation nationale et recueillir leurs attentes concrètes. Les résultats de cette enquête révèlent une inquiétude massive et une volonté partagée de changement radical.

    ⊲ DES SAVOIRS FONDAMENTAUX EN RECUL

    ■ 80,3% des personnes interrogées jugent que le niveau enseigné en mathématiques, lecture et écriture est insuffisant.

    ■ 91,7% souhaitent que davantage de temps soit consacré aux savoirs fondamentaux à l’école primaire.

    ⊲ UN CLIMAT SCOLAIRE PREOCCUPANT

    ■ 72,1% estiment que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

    ■ 76,5% considèrent que la prévention et le traitement du harcèlement scolaire sont insuffisants.

    ■ 92,9% jugent que les sanctions contre les élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

    ⊲ UNE ECOLE ACCUSEE DE DERIVES IDEOLOGIQUES

    ■ 75,7% estiment que l’école oriente idéologiquement les élèves, au détriment de la neutralité et de l’objectivité.

    ⊲ UN SYSTEME D’ORIENTATION CRITIQUE

    ■ 86,6% des répondants souhaitent que l’orientation vers les filières professionnelles soit possible dès la classe de 4e.

    ■ 76,5% ne sont pas satisfaits de la réforme du lycée (disparition des filières, système de spécialités).

    ■ 72,7% se déclarent favorables aux classes de niveau au collège.

    ⊲ LE BACCALAUREAT, SYMBOLE D’UN DECLASSEMENT

    ■ 91% des répondants ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, jugé dévalorisé et déconnecté des exigences réelles.

    CONCLUSION

    Cette enquête révèle un diagnostic sans appel:

    Les Français sont lucides sur l’effondrement de l’école et réclament un retour à l’exigence, à l’autorité et à la transmission.