Huit enfants ont été victimes d’intoxications alimentaires dans l’Aisne après avoir consommé des produits vendus par des boucheries halal. Une fillette de 11 ans est même décédée… Deux boucheries halal de Saint-Quentin ont été fermées à titre préventif par la préfecture mais le mal est malheureusement déjà fait. En réaction à ce drame, Jean-Yves Le Gallou a évoqué sur Twitter des éléments essentiels à rappeler sur le halal. Nous vous renvoyons également ci-dessous à plusieurs articles essentiels publiés par Polémia sur cette pratique islamique.
L’analyse de Jean-Yves Le Gallou sur le danger du halal en 10 points
L’abattage sans étourdissement est autorisé par dérogation pour respecter les règles religieuses musulmanes.
Cette pratique tend à se généraliser: sous pression, les cantines scolaires et restaurants d’entreprise proposent de plus en plus du halal. Les Européens, par tolérance, l’acceptent; l’islam, religion intolérante, l’impose à ses fidèles. Résultat: une prime à l’intolérance.
Les abattoirs doivent ouvrir des filières halal et, pour des raisons économiques, les utilisent aussi pour des animaux destinés au circuit classique.
Cela concerne surtout poulets, moutons, et bœufs d’entrée de gamme, souvent abattus sans étourdissement. Les Français modestes mangent halal par défaut.
Conséquences:
Souffrances prolongées pour l’animal (plusieurs minutes d’agonie).
Risques sanitaires dus à la contamination par des germes intestinaux.
Ces faits sont connus, documentés, mais ignorés par les autorités sanitaires et les défenseurs autoproclamés de la cause animale.
Le Dr de Peretti tente d’alerter, mais son association vigilancehalal.com subit plus de procès qu’elle ne reçoit de subventions.
Ni le Parlement européen ni l’Assemblée nationale n’ont imposé l’étiquetage précisant le mode d’abattage.
Cette défiance envers les boucheries traditionnelles profite à certains mouvements " animalistes " financés par les promoteurs de la viande artificielle.
La boucle est bouclée.
Jean-Yves Le Gallou
https://www.polemia.com