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LA VERITE!

  • Education sexuelle scolaire

    Le programme EVARS promeut la tolérance, la liberté, l’égalité, le rejet des persécutions

    Depuis des années, l’éducation à la sexualité suscite de telles controverses qu’Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale, a concocté une nouvelle mouture.

    Le premier programme d’éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité, proposé par le ministère de l’Education nationale, a été publié au Journal officiel le 6 février 2025. Sa mise en œuvre est prévue pour la rentrée de septembre 2025. C’est le plan EVARS.

    L’éducation à la sexualité est apparue avec la loi de Martine Aubry du 4 juillet 2001. Le Code de l’éducation indique que "Une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles par groupes d’âge homogène".

    L’éducation à la sexualité, créée par la loi n° 2001-588 du 4 juillet 2001, se déploie de manière progressive de l’école maternelle jusqu’aux classes du lycée, à travers une approche globale, positive et bienveillante.

    Le programme EVARS précise ses orientations. Dans ses objectifs comme dans ses démarches, l’éducation à la sexualité permet l’apprentissage du respect de l’intimité corporelle et psychique des élèves, en tenant compte de leur rythme de croissance et de développement, de leurs différences et de leurs singularités. En particulier:

    Egalité de considération et de dignité, égalité entre les femmes et les hommes, lutte contre les discriminations opérées entre les personnes sur le fondement "de leur sexe", "de leur identité de genre", et "de leur orientation sexuelle", prévention des violences sexistes et sexuelles, repérage de l’inceste.

    L’éducation à la sexualité promeut des relations respectueuses et participe au développement de compétences psycho-sociales.

    L’éducation à la sexualité s’ordonne selon trois questions:

    Comment se connaître, vivre et grandir sereinement avec son corps?

    Comment rencontrer les autres, construire avec eux des relations respectueuses et s’y épanouir?

    Comment trouver sa place dans la société, y être libre et responsable?

    L’éducation à la sexualité nécessite un ajustement à l’âge et à la maturité des élèves, et se construit en deux étapes successives: Dans le premier degré, éducation à la vie affective et relationnelle. Dans le second degré, prévention et information, parcours progressif visant l’épanouissement personnel et relationnel, tout en cultivant une réflexion sur les dimensions affectives, sociales et culturelles de la sexualité.

    Les professeurs conçoivent et organisent collégialement la mise en œuvre pédagogique de cette éducation sous le pilotage et avec le soutien des directeurs d’école ou des chefs d’établissement.

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  • Les fonds de pension étrangers dictent la politique énergétique de la France

    Depuis quelques années, des fonds de pension internationaux accentuent leur présence dans les énergies renouvelables en France. Par exemple, CPP Investments (Canada Pension Plan) a acquis 49 % des parts dans Éolien Maritime France, aux côtés d’Enbridge et EDF Renouvelables, finançant trois parcs éoliens offshore (Saint Nazaire, Fécamp, Courseulles sur Mer), pour un investissement initial de 80 M€, avec 120 M€ supplémentaires prévus, et potentiellement plus de 150 M€ de plus sur les projets suivants: cppinvestments.com+10cppinvestments.com+10offshorewind.biz+10.

    À Fécamp, le parc de 497 MW, dont CPP est copropriétaire, fournit de l’électricité à environ 770 000 personnes: cppinvestments.com.

    https://www.pwc.com/gx/en/issues/business-model

    https://www.reuters.com/business/finance/who-owns-frances-debt-why-it-matters-2024-06-26/?utm_source=chatgpt.com

    Ces montants ne sont pas anecdotiques: ce sont des investissements à long terme – avec des attentes de rentabilité via des tarifs garantis, souvent indexés sur des cadres réglementaires incitatifs.

    LES MÊMES FONDS DÉTIENNENT LA DETTE FRANÇAISE.

    Clé du système: ces grands investisseurs ne sont pas seulement actionnaires d’actifs renouvelables, ils sont également créanciers de la France. Environ 50 % de la dette publique française est détenue par des non-résidents, parmi lesquels se trouvent des fonds de pension, des assureurs et des hedge funds .

     

    https://www.reuters.com/business/finance/who-owns-frances-debt-why-it-matters-2024-06-26/?utm_source=chatgpt.com

     

    Banques non françaises, investisseurs institutionnels et hedge funds sont les plus gros porteurs. En période de volatilité politique ou économique, ces acteurs peuvent réduire fortement leurs avoirs, faisant grimper les taux d’intérêt exigés par le marché.

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  • Réforme de l'audio-visuel français

    La situation financière du service public.

    En 2024 le budget fut de 4,024 milliards d’€ contre 3,8 milliards un an avant. C’est sans contestation possible un puits sans fond pour des résultats médiocres si on regarde les audiences qui n’évoluent nullement dans le bon sens. Depuis la suppression de la redevance audio-visuelle en 2022, c’est la TVA qui finance donc tous les Français. Rien n’a donc changé pour les Français. C’est un puits sans fond où se perdent des milliards d’€ chaque année. D’ailleurs c’est officiel, le déficit voté sera de 41,2 millions d’€ pour le budget 2024.

    C’est pas grave, comme dirait l’autre "c’est Nicolas qui paye".

    S’agissant de la répartition des fonds, on note que France TV reçoit 2,57 milliards d’€, Radio France 622 millions d’€, et l’INA 108 millions d’€. Montants dilapidés dans des émissions et des salaires indécents. Certaines émissions d’Élise Lucet sont facturées 400.000€. Élise Lucet touchant 25.000€/mois de salaire. Quant aux sociétés de production privées, elles siphonnent ces budgets et s’en mettent plein les poches. Jusqu’à la PDG Delphine Ernotte 27.000€/mois + 78.000€ de bonus annuel en fonction des résultats. Un rapport sénatorial de 2023 a dénoncé " des dépenses non maîtrisées et des salaires élevés ". Pour la cour des Comptes 191 cadres touchent plus de 120.000€ bruts par an et 547 salariés touchent plus de 96.000€ bruts par an. Et pourtant, malgré ces salaires mirobolants, les audiences sont faméliques, sanctionnant un manque de qualité que le public voit bien.

    À cela s’ajoute un manque flagrant de neutralité dans les programmes. En mai 2024, l’institut Thomas More a publié un rapport accablant, analysant plus de 200 émissions sur une période donnée, de France TV et Radio France, ils relèvent un déséquilibre criant (que l’ARCOM n’a pas jugé utile de relever)… 25% des invités étaient de gauche, 21% de la macronie et seulement 4% de la droite, alors que tous les sondages le disent: la droite est majoritaire en France.

    Quant au contenu des émissions, 68% des débats privilégient des positions progressistes contre 12% pour des opinions conservatrices. On voit bien que sur le service public, il n’y a pas de pluralisme mais de la propagande.

    Et la PDG n’est nullement choquée par cette situation, elle qui affirmait le 5 juillet 2023 devant une commission parlementaire, sous serment, " on ne représente pas la France telle qu’elle est mais telle que nous voudrions qu’elle soit ". On ne peut pas être plus clair.

    Quant aux journalistes vedettes, ils font de même, tel Patrick Cohen qui, après avoir déclenché une monumentale polémique en réécrivant l’histoire du meurtre de Thomas à Crépol, recommence en mentant à propos du meurtre d’Élias par deux racailles, qui auraient dû être en prison, en déclarant " Elias a refusé de donner son téléphone " alors que c’est totalement faux. Sans parler de l’émission honteuse de C5 qui a assassiné une seconde fois la pauvre Lola. Enfin, on n’oubliera pas de souligner l’ignoble émission pseudo-scientifique " Sommes-nous tous racistes? " réalisée dernièrement sur la France2 pour démontrer qu’en France, le racisme est partout.

    France TV et Radio France sont d’infâmes outils de propagande et n’ont plus rien à voir avec une information honnête et objective. C’est indiscutable.

    En vérité, que cette pseudo-réforme ait une suite ou pas n’a guère d’importance. Si elle était passée, ce n’aurait été qu’une réforme à l’eau très tiède. Ce qu’il faut, c’est un vrai coup de pied dans la fourmilière. Il faut privatiser entièrement tout ce secteur afin qu’un juste équilibre économique devienne la règle et que ceux qui la transgressent soient virés sans autre forme de procès au lieu de les laisser se gaver sur le dos du pays.

    De plus, politiquement, il est plus que temps qu’on mette un terme à ce " service public de l’information " qui n’est qu’un système de propagande digne de l’URSS de Staline. Que les journalistes redeviennent des professionnels qui informent sans travestir les faits ni les opinions. Sans propagande, mais avec objectivité.

    Bernard GERMAIN

  • Les faux demandeurs d’asile sont tous des hommes

    "Je ne veux plus d’ici la fin de l’année avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois. La première bataille est de loger tout le monde dignement. Je veux une vraie politique de reconduite aux frontières".

    Le Président de la République française parlait bien mais il voyait mal!

    Où sont les femmes? C’est ce que je lui demandais alors qu’il venait de faire cette déclaration, en 2017, lors de sa première élection.

    Où avait-il vu des femmes à Calais, à la porte de la Chapelle, sur les trottoirs de nos cités et dans nos bois?

    Des femmes il n’y en avait point, et fort heureusement d’ailleurs pour elles, car alors je ne vous dis pas ce qu’elles subiraient.

    Non, Monsieur le Président, il n’y a pas de femmes parmi les centaines de milliers de migrants que vous accueillez, mais uniquement des hommes, jeunes, vigoureux, qui ne fuient pas des pays en guerre mais, et c’est vrai, uniquement la misère de leurs pays.

    Au cours des prochaines années ils seront des millions à envahir l’Europe, à nous remplacer, et vous n’y pouvez rien, et nous n’y pouvons rien, il est déjà trop tard.

    Il serait de votre devoir, de notre devoir, d’accueillir dignement les " demandeurs d’asile " qui fuient une guerre, des massacres, la mort et nous ne pouvons pas le faire justement à cause des centaines de milliers de migrants qui occupent leurs places, les places que nous pourrions leur réserver.

    Ces "demandeurs d’asile" devraient avoir pour vocation, on peut du moins l’espérer, de retourner chez eux, une fois la guerre terminée, pour participer à la reconstruction de leurs villes, de leurs villages, ce qui n’est pas le cas des "migrants économiques" qui, eux, s’incrusteront chez nous puisqu’ils préfèrent s’enfuir plutôt que de participer à la défense de leurs terres!

    Suivez l’exemple de l’Italie, de l’Allemagne (le nouveau " Patron " vient de supprimer toutes les subventions offertes aux ONG pro-migrants. Demandez à votre gouvernement, avant qu’il ne disparaisse, de prendre une décision identique.)

    Vous n’avez jamais souhaité une vraie politique de fermeture et de reconduite aux frontières! Ceux qui ont voté pour vous ont été particulièrement naïfs et prêts à croire à toutes les promesses que vous leur aviez faites lors de vos campagnes pré-présidentielle (vraiment très naïfs) mais c’est bien fini: ils ne vous entendent plus et même si vous leur promettiez, aujourd’hui, de tenir au moins une partie de vos promesses – et je ne peux pas croire une seule seconde que ce sera le cas – vous ne la tiendrez même pas. Vous êtes, vos services sont, devant l’impossibilité de reconduire aux frontières les centaines de milliers de migrants illégaux déjà " installés " dans notre pays et, bien évidemment, d’interdire de pénétrer les centaines de milliers qui continuent à nous envahir.

    La seule solution, et vous le savez parfaitement, ce serait de supprimer toutes les aides sociales qui leurs sont offertes. Mais ce n’est ni sous votre présidence, ni sous vos gouvernements que ces décisions pourraient être prises.

    Adieu et bon vent, Monsieur le Président! Une magnifique carrière vous attend mais hors de France, dans votre Union européenne étatisée.

    Manuel Gomez

  • Cette semaine, au Parlement européen,

    un texte hallucinant qui exigeait:

     

    1️⃣ Davantage d’aide au développement, alors que nos finances s’effondrent

    2️⃣ De nouvelles taxes (sur les carburants, les transactions financières…) pour la financer

    3️⃣ D’imposer " une perspective de genre " dans 85% des actions et de renforcer " les efforts pour le climat " - le mot " climat " revient 24 fois et les termes " égalité de genre " 11 fois en quelques pages!

    4️⃣ De s’inquiéter de la dette des pays du tiers monde… tout en ignorant celles des Etats européens, bien plus abyssales.

    Victoire: ce texte a été rejeté grâce à l’union des droites!

    Halte à la fuite en avant! Vive vous et surtout vive la France!

  • Intoxications alimentaires: le halal, danger pour la France?

    Huit enfants ont été victimes d’intoxications alimentaires dans l’Aisne après avoir consommé des produits vendus par des boucheries halal. Une fillette de 11 ans est même décédée… Deux boucheries halal de Saint-Quentin ont été fermées à titre préventif par la préfecture mais le mal est malheureusement déjà fait. En réaction à ce drame, Jean-Yves Le Gallou a évoqué sur Twitter des éléments essentiels à rappeler sur le halal. Nous vous renvoyons également ci-dessous à plusieurs articles essentiels publiés par Polémia sur cette pratique islamique.

    L’analyse de Jean-Yves Le Gallou sur le danger du halal en 10 points

        L’abattage sans étourdissement est autorisé par dérogation pour respecter les règles religieuses musulmanes.

        Cette pratique tend à se généraliser: sous pression, les cantines scolaires et restaurants d’entreprise proposent de plus en plus du halal. Les Européens, par tolérance, l’acceptent; l’islam, religion intolérante, l’impose à ses fidèles. Résultat: une prime à l’intolérance.

        Les abattoirs doivent ouvrir des filières halal et, pour des raisons économiques, les utilisent aussi pour des animaux destinés au circuit classique.

        Cela concerne surtout poulets, moutons, et bœufs d’entrée de gamme, souvent abattus sans étourdissement. Les Français modestes mangent halal par défaut.

        Conséquences:

            Souffrances prolongées pour l’animal (plusieurs minutes d’agonie).

            Risques sanitaires dus à la contamination par des germes intestinaux.

        Ces faits sont connus, documentés, mais ignorés par les autorités sanitaires et les défenseurs autoproclamés de la cause animale.

        Le Dr de Peretti tente d’alerter, mais son association vigilancehalal.com subit plus de procès qu’elle ne reçoit de subventions.

        Ni le Parlement européen ni l’Assemblée nationale n’ont imposé l’étiquetage précisant le mode d’abattage.

        Cette défiance envers les boucheries traditionnelles profite à certains mouvements " animalistes " financés par les promoteurs de la viande artificielle.

        La boucle est bouclée.

     

    Jean-Yves Le Gallou

    https://www.polemia.com