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LA VERITE! - Page 4

  • Combien de temps l’humanité survivrait-elle si l’on arrêtait de faire des enfants?

    Suffit-il de calculer l’espérance de vie maximale d’un humain pour deviner combien de temps mettrait l’humanité à disparaître si l’on arrêtait de se reproduire? Pas si simple répond l’anthropologue américain Michael A. Little dans cet article à destination des plus jeunes.

    Très peu de personnes vivent au-delà d’un siècle. Ainsi, si plus personne n’avait d’enfants, il ne resterait probablement plus d’humains sur Terre dans 100 ans. Mais avant cela, la population commencerait à diminuer, à mesure que les personnes âgées mourraient sans qu’aucune nouvelle naissance ne vienne les remplacer. Même si toutes les naissances cessaient soudainement, ce déclin serait au départ progressif.

    UN EFFONDREMENT DES SOCIETES

    Mais peu à peu, il n’y aurait plus assez de jeunes pour assurer les tâches essentielles, ce qui provoquerait un effondrement rapide des sociétés à travers le monde. Certains de ces bouleversements mettraient à mal notre capacité à produire de la nourriture, à fournir des soins de santé et à accomplir tout ce dont dépend notre quotidien. La nourriture se ferait rare, même s’il y avait moins de bouches à nourrir.

    En tant que professeur d’anthropologie ayant consacré ma carrière à l’étude des comportements humains, de la biologie et des cultures, je reconnais volontiers que ce scénario n’aurait rien de réjouissant. À terme, la civilisation s’effondrerait.

    Il est probable qu’il ne resterait plus grand monde d’ici 70 ou 80 ans, plutôt que 100, en raison de la pénurie de nourriture, d’eau potable, de médicaments et de tout ce qui est aujourd’hui facilement accessible et indispensable à la survie.

    L’ELEMENT DECLENCHEUR: UNE CATASTROPHE MONDIALE

    Il faut bien reconnaître qu’un arrêt brutal des naissances est hautement improbable, sauf en cas de catastrophe mondiale. Un scénario possible, exploré par l’écrivain Kurt Vonnegut dans son roman Galápagos, serait celui d’une maladie hautement contagieuse rendant infertiles toutes les personnes en âge de procréer.

    Autre scénario: une guerre nucléaire dont personne ne sortirait vivant – un thème traité dans de nombreux films et livres effrayants. Beaucoup de ces œuvres de science-fiction mettent en scène des voyages dans l’espace.

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  • La taxe Zucman: beaucoup de bruit, très peu de recettes.

    Notre dette est plus préoccupante que jamais. La classe politique, de LFI au RN, n’a qu’un mot à la bouche: "augmenter les impôts".
    La nouvelle mode? La taxe Zucman!

    La mesure est désastreuse, le remède serait pire que le mal. Il est temps de le prouver.  Quelle est l’idée de Gabriel Zucman, cet économiste très à gauche, qui signe des tribunes de soutien à la NUPES de Mélenchon et que l’on voit partout sur les antennes du service public? Taxer chaque année 2% des patrimoines de plus de 100 millions d’euros. Il prétend que cela rapportera 20 milliards d’euros par an à l’Etat. Même si son chiffre était correct, notre déficit annuel est de 170 milliards d’euros, donc sa taxe ne résoudrait pas le problème.
    Mais surtout, ce chiffre est très LARGEMENT EXAGÉRÉ.
    D’après Philippe Aghion et 6 autres économistes (Le Monde, 9/09/25), les recettes de cet impôt atteindraient péniblement… 5 milliards d’euros, soit 3 fois moins que ce que nous dépensons chaque année dans l’aide au développement! Pour leur chiffrage, ces économistes s'appuient sur l'étude de Jakobsen (2024), qui montre que pour chaque euro d’impôt supplémentaire, l’adaptation des comportements aboutit à une perte de recettes fiscales de 74 centimes. Bref, la réalité se venge.

    Les contribuables s’adaptent. Les entrepreneurs lèvent le pied: pourquoi faire des efforts dont les fruits vous seront presque tous confisqués? Les contribuables se lancent dans une optimisation fiscale qui nous coûte cher, quand ils ne partent pas tout simplement vivre et travailler à l’étranger.
    Retenez, en règle générale, que trop d'impôt tue l’impôt: à partir d’un certain taux, plus on augmente les impôts plus les recettes fiscales baissent. C’est la courbe de Laffer.

    1. Zucman l’avoue lui-même: cette taxe a un objectif idéologique, bien plus qu’économique.
      M. Zucman le dit noir sur blanc dans son livre: “détruire une partie de l’assiette fiscale peut être l’intérêt de la collectivité”. Traduction: sa taxe n'a pas réellement vocation à rapporter de l'argent à l'Etat, mais uniquement à punir les riches.
      On s’étonnait, en effet, de voir la gauche la plus radicale, qui ne s’est jamais préoccupée de nos finances publiques, réclamer aujourd’hui une taxe au nom de la réduction des déficits. On apprend donc, quand on creuse un peu, que ce qui l’obsède, ce n’est pas le peu de recettes qu’une nouvelle taxe engendrera, mais le fait d’assouvir ses pulsions idéologiques.

    TAXER LES RICHES, ON LE FAIT DÉJÀ ET CELA N’A JAMAIS PERMIS DE RÉDUIRE LA DETTE.

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  • En France,

    10% du patrimoine religieux sera détruit ou abandonné d’ici cinq ans

    Entre actes de vandalisme, incendies, attentats et profanations, les églises sont constamment dégradées.

    https://christianophobie.fr/carte

    En 2024, près de 50 tentatives d’attaques et incendies criminels contre des lieux de culte catholiques ont été recensés. Le plus surprenant, c’est la vitesse supersonique à laquelle la christianophobie se propage. La stratégie est toujours la même, la tactique évolue, devient de plus en plus imaginative.

    https://escaledenuit.com/la-liste-des-eglises-brulees-en-france/

    D’une part, les églises qui brûlent, de l’autre, les profanations et les vols. L’incendie de l’Immaculée Conception à Saint-Omer, avec sa flèche et tout le reste, engloutis par les flammes sur le modèle de Notre-Dame, n’est qu’un exemple des plus récents et des plus spectaculaires, sans le moindre coupable.

    Saint-Hilaire-le-Grand de Poitiers, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et où deux incendies se sont déclarés en octobre, détruisant toutes ses statues, cinquième victime d’actes de vandalisme en deux ans rien qu’à Poitiers.

    Trois au cours des six derniers mois seulement: l’église Saint-Porchaire qui a vu l’antique statue du Sacré-Cœur de Jésus brisée en mille morceaux; l’église de Sainte-Thérèse qui aujourd’hui ne possède plus aucune statue intacte et dont les bancs ont été incendiés; tandis qu’à Saint-Jean-de-Montierneuf le tabernacle a été volé. "

    Toute la France est touchée par la férocité antichrétienne. La barbarie des "jeunes".

    Célébrations eucharistiques perturbées. À Saint-Germain-en-Laye, par exemple. À Noël une racaille montait sur l’autel, criant “Allah Akbar” exhibant ses fesses aux fidèles.

    À Pâques l’année dernière, un attentat planifié par l’État islamique contre plusieurs églises pendant la Nuit Sainte, déjoué.

    Il devient impossible de prétendre que ces attaques, au nom d’Allah, n’ont rien à voir avec l’islam! C’est le christianisme qui est visé en tant que tel. L’assassinat du père Hamel, les trois personnes massacrées à Nice, en sont des exemples.

    Remarquons que presque personne ne manifeste sa solidarité avec les chrétiens lorsqu’ils sont attaqués. Certains sont même pris d’un fou rire.

    Aucun Laurent Nuñez ne mettra tout en œuvre pour retrouver les auteurs de ces "actes abjects".

    Les autorités ignorent sciemment la gravité et l’ampleur du désastre. Entre 2015 et 2019, une vague de raids contre des croix installées le long des Pyrénées. Auteurs jamais identifiés.  Des croix qui pèsent plus de 40 kilos: pour les abattre, ils arrivaient équipés de broyeurs et, une fois déracinées, les jetaient dans le vide. Aujourd’hui, toutes les croix qui caractérisaient le paysage là-haut ont disparu.

    Macron, exaspéré (on comprend son ire, touché personnellement, le vénérable nom figurait en toutes lettres sur la partie faciale supérieure d’une des bestioles!) a pompeusement  exprimé son "soutien" à la communauté musulmane. Lui qui gloussait avec son acolyte, alors que la Dame de pierre était livrée aux flammes comme une sainte au bûcher.

    Chez nous, une église disparaît toutes les deux semaines, incendiées, vendues, démolies. Les deux tiers sont d’origine criminelle: si nous continuons ainsi, notre héritage sera complètement détruit.

    Mais personne pour évoquer "Une lâcheté insondable" (expression réservée aux crânes de porcs)

    L’Observatoire recense un millier d’attaques antichrétiennes par an, des incendies, des destructions de statues et des vols d’hosties. Cela signifie que cinq mille églises risquent de disparaître à cause du manque de volonté – tant de la part des hiérarchies politiques que religieuses – de maintenir vivant un patrimoine qui est l’esprit de la France.

    Les autorités devraient s’attaquer à la question de l’investissement de plus de ressources pour poursuivre les auteurs. Mais, aujourd’hui, entre leur paresse et leur indolence, nous n’assistons qu’à l’accélération d’une déchristianisation oppressive et violente. (Sources: Europe1/La Nuova Bussola Quotidiana – Trad. à partir de belgicatho/DICI n°454 – FSSPX.Actualités)

    Pas mieux en Allemagne: selon le service de communication de l’Église protestante en Saxe, 70 églises, dont 55 protestantes, ont été vandalisées en un an. Ces églises ont été victimes d’actes de vandalisme près de 70 fois au cours des douze derniers mois. L’Église régionale protestante a enregistré à elle seule 55 cas, tandis que le diocèse catholique de Dresde-Meissen en a recensé douze.

    “Les églises prennent des mesures pour lutter contre le vandalisme, en installant des systèmes d’alarme, en appliquant des revêtements anti-graffiti sur les bâtiments et en faisant appel à des agents de sécurité bénévoles”. Et ce sont les nigauds qui paient.

    Vite, vite, un chapelet de protestataires dans nos rues. Et un apport généreux de ZemmourVita®, cure de vitalité citoyenne. Serions-nous plus lâches que les Anglais?

    Anne Schubert

  • France: Pays d’une censure délirante, copiée par l’Union européenne

    Henri Queuille (1884 – 1970), radical socialiste français qui fut trois fois Premier ministre sous la IV° République écrivit: "L’art de la politique ne consiste pas à résoudre des problèmes mais à faire taire ceux qui les mettent en lumière".

     Même si on pourrait à raison être scandalisé par le cynisme d’une telle déclaration, ce qui est surtout frappant c’est l’actualité de ces mots qui collent à merveille à la situation que connaît la France, mais également l’Europe. Ce que J.D. Vance, vice président des États-Unis a confirmé dans un discours prononcé à la mi-février 2025 à Munich qui constitua un sacré pavé jeté dans la mare. Ainsi, il pointa à la stupéfaction générale trois dangers majeurs que l’Europe générait: une censure totale de la liberté d’expression, une persécution avérée des chrétiens et une politique délibérément favorable à l’immigration de masse. Nous nous limiterons à la liberté d’expression et à la censure en Europe et surtout en France dans cet article.

    En préalable, nous rappellerons ce que dit le 1er amendement de la Constitution américaine au sujet de la liberté d’expression: "Le Congrès ne fera aucune loi qui touche l’établissement ou interdise le libre exercice d’une religion, ni qui restreigne la liberté de la parole ou de la presse, ou le droit qu’a le peuple de s’assembler paisiblement et d’adresser des pétitions au gouvernement pour la réparation des torts dont il a à se plaindre".

    En lisant le contenu de ce 1er amendement personne ne peut s’étonner de la déclaration de Vance à Munich. Durant la domination démocrate aux États-Unis les autorités avaient abondé dans le sens des pratiques de censure en vigueur en Europe. Mais à son retour au pouvoir début 2025, Trump a mis un terme à ces dérives totalitaires et imposé un retour au strict respect du 1er amendement.

    La démocratie et la liberté d’expression signifient à nouveau quelque chose aux États-Unis et de ce point de vue, l’Europe et surtout la France ne peuvent apparaître que pour ce qu’elles sont: des dictatures qui ne disent pas leur nom mais sont pourtant bien réelles. Comment les choses se passent-elles dans notre pays en matière de liberté d’expression et de censure? Petit tour d’horizon.

    En préalable, ayons à l’esprit quelques éléments importants. Le premier réseau social en ligne a été créé en 1996 et vu le jour en 1997, celui-ci s’appelait sixdegrees.com, il fut créé par Andrew Weinreich et la société Macroview à New York. S’agissant des principaux réseaux sociaux, en 2003 apparaît LinkedIn, en 2004 c’est Facebook, en 2005 YouTube, en 2006 Twitter (devenu X), en 2009 WhatsApp, en 2010 Instagram, en 2011 Snapchat et en 2016, c’est au tour de TikTok de voir le jour.

    Quant au nombre de personnes qui s’y connectent on les compte en milliards pour la planète et en millions en France. Ainsi, en 2025, 67,9% de la population mondiale utilise Internet. On compte 5,24 milliards d’utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux soit une hausse de 4,1% en un an. Plus de 50 millions de Français utilisent les réseaux sociaux, soit trois Français sur quatre.

    Enfin, en France l’utilisation des réseaux sociaux par tranche d’âge se répartit ainsi: 12-17 ans… 76%, 18-24 ans… 93%, 25-39 ans… 82%, 40-59 ans… 59%, 60-69 ans… 34% et 70 ans et plus… 14%. Ce qui représente donc pour la tranche d’âge 12-60 ans… une moyenne de 78% en arrondissant c’est-à-dire près de 80%, ce qui est absolument considérable.

    Autre élément à garder en tête, avant l’apparition des réseaux sociaux, les gens n’avaient guère que le mail pour s’échanger rapidement des messages. Si le premier mail fut envoyé en 1973 sur le réseau Arpanet, la technologie en restera limitée aux états, universités et armées pendant encore de longues années. Le véritable envol des mails se fera à partir de 1996 avec la création de Hotmail, promptement racheté par Microsoft en 1997.

    En résumé, on peut donc noter que jusqu’à la fin des années 1990 – début des années 2000, la circulation de l’information pour les citoyens était très restreinte et les pouvoirs n’avaient guère de difficulté à la contrôler. Les seuls moyens de circulation de masse étant la télévision, les radios et les journaux, tous beaucoup moins nombreux qu’aujourd’hui et surtout sous contrôle pour la plupart. Le tournant des années 2000 va donc poser un sérieux problème aux autorités: comment contrôler cette circulation d’information avec l’apparition et la généralisation des nouveaux outils numériques? Comment cacher certaines informations? Comment faire circuler de fausses informations ou à l’inverse empêcher des vérités d’être annoncées largement à travers le pays?

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  • Les retraités ont des revenus inférieurs aux actifs,

    mais ils sont jetés en pâture à la vindicte publique

    Les retraités sont désignés comme les boucs émissaires des dépenses publiques. Pour réduire celles-ci, rien de plus facile que de ne plus indexer leurs pensions ou d’en retarder l’échéance, ce que propose le gouvernement Barnier en reportant l’indexation sur l’inflation du 1er janvier au 1er juillet, soit 4Md€ de gain pour le budget public.

    L’ETAT NE RESPECTE PAS SES ENGAGEMENTS

    Pourtant, les retraites françaises, assurées selon un système dit de répartition, relèvent d’une sorte de contrat tacite entre l’Etat, les actifs et les pensionnés. La puissance publique exige des actifs de cotiser à une caisse de retraite qui distribue aussitôt (ou presque) l’argent reçu aux pensionnés. Les actifs acceptent de cotiser à des niveaux élevés (28% de leur salaire brut, soit un des taux les plus élevés au monde) en échange de la promesse de recevoir ensuite à leur tour les cotisations de leurs successeurs en activité quand ils prendront leur retraite.

    Mais alors que la démographie et le nombre d’actifs sont à la baisse tandis que le nombre de retraités augmente significativement par suite d’allongement de la durée moyenne de la vie, les systèmes de répartition sont tous en difficulté.

    De plus, l’Etat utilise depuis des lustres les caisses de retraite pour faire de la politique. Il verse aux agents publics des retraites très supérieures (d’environ 40 md€) à leurs cotisations, il prend en charge les déficits des retraites avantageuses accordées dans divers régimes spéciaux (SNCF, RATP, Industries d’électricité et gazières…), il a multiplié les réductions de cotisations retraite (environ 15 Md€) sur les bas salaires…

    La conséquence est que les caisses de retraite sont en déficit. Elles ont de plus en plus de peine à verser les pensions dues aux retraités. L’Etat qui assume le tiers (130 Md€ en 2023) de la charge totale des pensions versées aux retraités français et qui de fait est appelé à combler les déficits du système, a trouvé un moyen simple pour réduire sa charge: ne pas respecter ses engagements.

    Selon les articles L 161 et suivants du Code de la sécurité sociale, les pensions sont revalorisées chaque année par indexation sur la moyenne annuelle des prix à la consommation, hors tabac. Mais l’Etat piétine allègrement la loi, en la changeant à sa guise.

    Bien sûr, comme l’a dit M. Retailleau, quand la loi est mauvaise il faut la changer, ce qui ne s’appelle pas nécessairement une violation de l’Etat de droit. Mais quand l’Etat a pris des engagements, il doit les tenir. L’une des caractéristiques majeures de l’Etat de droit tient au fait que le droit est respecté par le souverain lui-même. En France, il s’en exonère promptement, ouvrant la voie à l’arbitraire.

    LE PRÉTEXTE DE L’EGALITE

    Pour justifier la baisse des pensions, le gouvernement et certains partis ont instillé dans l’opinion l’idée que la justice et l’égalité la commanderaient dès lors que les revenus des retraités seraient en moyenne supérieurs à ceux de la population en âge de travailler.  Mais cette assertion est erronée.

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  • dans mon autre blog

     

    http://saga-mandarine.hautetfort.com/archive/2025/09/14/il-y-a-40-ans-le-10-mai-1981-avec-mitterrand-naissait-un-eta-6562624.html