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LA VERITE! - Page 4

  • Quelle catastrophe, ces juges rouges

    Toulouse (31): un squatteur de piscine se blesse gravement et devient tétraplégique. Il attaque en justice la copropriété pour négligence, qui devra prouver que l’entretien de la piscine était aux normes…

    Les propriétaires de piscines ont de quoi avoir des sueurs froides.(…) Même si votre logement est squatté, vous devez le rénover, s’il est mal entretenu, selon une décision du Conseil constitutionnel qui avait fait grand bruit jusque dans les couloirs de l’Assemblée nationale, il y a un peu plus d’un an. (…)

    Chaque été, des individus n’hésitent pas à squatter [des piscines] (…). Ils en profitent «de manière bruyante», se plaignent les voisins scandalisés. Le squat peut durer le temps d’une simple baignade mais il peut virer au cauchemar pour la copropriété. C’est arrivé à Toulouse (31) où un individu s’est blessé gravement après avoir squatté une piscine. Aujourd’hui, il est tétraplégique et a attaqué en justice la copropriété…pour négligence.

    Le Figaro Immobilier

    … ou comment se faire du fric grâce à des avocats pourris…

  • J'en suis!

    Ils nous appellent “les personnes âgées”

    Nous sommes nés dans les années 40-50-60.

    Nous avons grandi dans les années 50-60-70.

    Nous avons étudié dans les années 60-70-80.

    Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.

    Nous nous sommes mariés et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.

    Nous nous sommes aventurés dans les années 80-90.

    Nous nous sommes stabilisés dans les années 2000.

    Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.

    Et nous allons fermement jusqu’en 2020 et au-delà.

    Il s’avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes…

    DEUX siècles différents… DEUX millénaires différents…

    Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longue distance aux appels vidéo partout dans le monde.

    Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et WhatsApp.

    Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.

    Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.

    Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des giga-octets et des méga-octets sur nos smartphones.

    Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs, des Oxfords, des pattes d’éléphant, des combinaisons et des jeans bleus.

    Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.

    Nous avons fait du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l’essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.

    Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eue !

    Ils pourraient nous décrire comme des « ex annuels » ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.

    Nous avons en quelque sorte « tout vu » !

    Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.

    C’est notre génération qui s’est littéralement adaptée au « CHANGEMENT ».

    Un grand bravo à tous les membres d’une génération très spéciale, qui sera UNIQUE.

    Un message précieux et très vrai que j’ai reçu d’un ami…

    LE TEMPS NE S’ARRÊTE PAS.

    La vie est une tâche que nous nous sommes amenés à faire à la maison.

    Quand tu regardes… il est déjà six heures de l’après-midi ;

    Quand tu regardes… c’est déjà vendredi ;

    Quand on regarde… le mois est fini.

    Quand on regarde… l’année est finie ;

    Quand on regarde… 50, 60 et 70 ans ont passé !

    Quand tu regardes… on ne sait plus où sont nos amis.

    Quand tu regardes… on a perdu l’amour de notre vie… et maintenant, il est trop tard pour revenir en arrière.

    Donc…

    N’arrêtez pas de faire quelque chose que vous aimez par manque de temps.

    N’arrêtez pas d’avoir quelqu’un à vos côtés. Vos enfants ne seront bientôt plus les vôtres et vous devrez faire quelque chose avec ce temps restant, où la seule chose qui nous manquera sera l’espace qui ne peut être apprécié qu’avec les amis habituels si vous avez la chance de les avoir.

    Le temps qui malheureusement, ne revient jamais…

    * Le jour est aujourd’hui ! *

    * NOUS NE SOMMES PLUS À L’ÂGE DE REMETTRE À PLUS TARD. *

    J’espère que vous aurez le temps de lire puis de partager ce message… ou bien laissez-le pour “Plus tard” et vous verrez que vous ne le partagerez jamais surtout si vous passez de l’autre côté !

    Patrick Granville

    Transmis d’un auteur inconnu, pour l’histoire traversée par les personnes âgées

  • Les races n’existent pas, mais les races supérieures, si!

    Dire qu’on croyait que les races n’existaient pas. Les racistes, si! Mais les races, non… Certains même, pour convaincre les esprits les plus obtus – ô combien! – voudraient d’ailleurs que cette vérité soit inscrite dans la Constitution française, Ve du nom… Pourquoi pas?

    Mais hélas, trois fois hélas! notre Constitution indique dans son article premier que la France se doit d’" assure(r) l’égalité de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion "… c’est ballot!

    Les races n’existent pas, mais non, mais non! Mais à l’évidence, la ou les race(s) supérieure(s), elle(s), oui… La preuve par l’histoire.

    De Léon Blum, dont on reparle un peu ces jours derniers avec le Nouveau Front populaire (lui, c’était le modèle original de 1936) qui déclarait dans un discours à l’Assemblée nationale du 9 juillet 1925: "Nous admettons qu’il peut y avoir non seulement un droit, mais un devoir de ce qu’on appelle les races supérieures, revendiquant quelquefois pour elles un privilège quelque peu indu, d’attirer à elles les races qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de civilisation", en passant par Adolf Hitler et son désormais obligatoirement exécré régime national-socialiste qui considérait que la race aryenne constituait la catégorie supérieure de l’humanité… jusqu’aux Jeux de la XXXIIIe Olympiade de cet été 2024 et son humanoïde nouveau, l’existence d’une supériorité raciale, changeant au gré des régimes, des coutumes, des mœurs et des exigences politiques, ne fait pas de doute.

    Le metteur en scène Thomas Jolly, désigné directeur artistique des cérémonies, nous a ainsi offert un grandiose spectacle pour nous en convaincre ; seuls des esprits chagrins peuvent en critiquer le fond, la forme et le coût, oubliant que lorsqu’on veut prouver, c’est comme lorsqu’on aime, on ne compte pas (surtout l’argent du contribuable, diront des esprits non plus grincheux mais alors là, franchement discourtois!).

    Ainsi donc, grâce à Thomas Jolly, le monde entier a découvert – pour ces quelques milliards d’habitants qui l’ignoraient encore – la nouvelle race supérieure de l’humanité: des êtres dégenrés, de préférence obèses, aux chevelures décolorées, dandinant du croupion et moulés dans des tenues autrefois réservées à ces gens de petite vertu qui aguichaient le chaland sur le bitume des rues de Paname, voire, pour les plus bucoliques, dans les allées du Bois de Boulogne.

    Avec cette cérémonie d’ouverture, on était fort loin donc des stéréotypes tant admirés par l’humanité d’antan et plus encore aux antipodes de cette " pseudo-culture musculaire " prônée par Pierre de Coubertin, rénovateur des JO et fondateur du Comité international olympique (CIO) dont " les pionniers de la sociologie du sport, Jean-Marie Brohm en tête, dézinguent ses “idées réactionnaires”", comme l’a rappelé Pierre Godon dans un article de Franceinfo (" Pourquoi Pierre de Coubertin, père des Jeux modernes, n’est vraiment pas prophète en son pays ").

    Concluons que moins les races existent, plus on en parle… À croire que, contrairement au diable, la plus grande ruse des races est de vous persuader qu’elles existent!

    Philippe Randa

  • Lettre ouverte a thomas jolly, organisateur de la cérémonie d’ouverture des JO

    EXTRAITS

    Des propos narcissiques et de mauvaise foi?

    Vous avez dit lors de votre conférence de presse pour répondre à la critique:

    "En France, on a le droit de s’aimer, comme on veut, avec qui on veut, en France on a le droit de croire et de ne pas croire. En France, on a beaucoup de droits".

    Vous avez ajouté ne pas vouloir:  "être subversif, me moquer ou choquer".

    Vous avez osé dire: "C’étaient des idées républicaines, d’inclusion, de bienveillance, de générosité et de solidarité".

    Comment expliquez-vous alors que des chaînes de télévision – et non des moindres, que des pays aient décidé de ne pas diffuser certains passages?

    Comment expliquez-vous la réprobation de très nombreux évêques partout dans le monde, et même la timide conférence des évêques de France qui vous a reproché cette scène de la Cène?

    Comment expliquez-vous cette critique forte exprimée par tant d’intellectuels tout aussi respectables que d’autres, en France et à l’étranger?

    Les idées républicaines sont, me semble-t-il: liberté, égalité, fraternité. Au nom de la liberté, je me réfrène pour ne pas atteindre celle des autres nous dit Rousseau. Il me semble aussi que les valeurs de l’Olympisme invitent à la laïcité sage et prudente, au respect des croyances de chacun, sans exhiber un esprit partisan.

    Or, cette Marie-Antoinette décapitée est-elle pour vous le symbole de votre République, celle qui a commis des crimes que la raison réprouve depuis, celle de ces excès de la Terreur que l’histoire enregistre mais que l’homme raisonnable ne peut cautionner, sauf à faire l’apologie du ferment des totalitarismes?

    Avez-vous oublié que de nombreux pays de l’Union européenne sont dirigés par des rois et des reines: Angleterre, Espagne, Belgique, Danemark, Suède, Hollande, Luxembourg, etc.? Avez-vous oublié que de nombreux autres pays ont des monarchies parlementaires où l’on respecte ces personnes? Ne les avez-vous pas méchamment insultés, provoqués, choqués?

    Est-ce bien fraternel d’exhiber une femme innocente décapitée, en des temps ou tant de femmes sont battues, humiliées, maltraitées dans le plus grand silence?

    Est-ce bien fraternel de laisser planer l’équivocité douteuse et sournoise qu’il y a un droit à la décapitation révolutionnaire alors que des fonctionnaires enseignants ont été récemment décapités sur notre sol, dans des gestes barbares d’un autre temps?

    Avez-vous bien réfléchi au sens de ce symbole, aujourd’hui, ici et ailleurs quand certains se battent pour éviter les décapitations et les pendaisons des hommes de Daech? D’ailleurs, comment poursuivre madame Le Pen pour apologie du terrorisme lorsqu’elle diffuse les images des décapitations de Daech et ne pas vous poursuivre, vous, pour apologie du terrorisme et de la violence séculaire subie par les femmes?

    Que vouliez-vous vraiment dire à l’assemblée universelle des spectateurs?

    Votre message est troublant, équivoque, insultant pour les femmes et les innocentes victimes des mouvements révolutionnaires, islamistes ou réactionnaires qui détruisent des vies sans vergogne.

    Vous en avez fait, au fond, l’apologie. C’est simplement, au 3e millénaire, une faute morale, un geste artistique réactionnaire, violent, patriarcal même, car cette femme fut la victime et le bouc-émissaire d’hommes sanguinaires et vous l’approuvez.

    L’exclusion permanente de tout ce que vous haïssez

    Vous parlez d’inclusion. Savez-vous ce qu’est l’inclusion? C’est une fonction de la théorie des ensembles qui s’appuie sur une propriété commune pour décider que des éléments appartiennent ou non à un ensemble. Les objets verts, les fleurs, etc. Or, pour inclure il faut exclure, et toute inclusion exclut.

    L’auriez-vous oublié? En incluant vos drag-queens, dont personne n’ignore qu’elles sont la figure de subversion théorisée par Judith Butler, votre papesse, sans doute, de la théorie du genre qui est visiblement votre idéologie affichée avec agressivité à la face du monde, en dépit de l’esprit olympique, vous insultez les hommes et les femmes du monde.

    Là encore, avez-vous pensé au milliard de musulmans, aux milliards d’Africains et aux autres pour qui votre inclusion les exclut, eux, de votre monde dans lequel ils ne se reconnaissent pas? Cette figure serait-elle un symbole d’unité ou de division?

    Vous les avez choqués, et leur regard vaut plus que votre propos encore plus obscène et pervers, digne du tortionnaire feignant de nous dire qu’il ne voulait ni choquer, ni moquer. Leur perception et souffrance n’aurait donc pas de réalité?

    La lâcheté du blasphème sélectif

    Vous parlez de bienveillance quand vous singez la Cène, le moment le plus important de la religion chrétienne. Êtes-vous bienveillant?

    Serait-il bienveillant de faire un spectacle caricaturant les homosexuels? Serait-il bienveillant de singer et caricaturer des dignitaires religieux et politiques? Serait-il bienveillant de moquer d’autres religions?

    Que votre propos consiste à dire: je n’ai pas voulu, est une défense de petite frappe et de lâche ; car la vérité n’est pas ce que vous dites de votre œuvre, mais ce qu’en perçoivent des milliards de personne dont l’avis compte au moins autant que le vôtre jusqu’à pouvoir vous imposer de les respecter, au nom même de la République dont vous vous dites le propagandiste ; car votre liberté n’est pas indéfinie.

    Et vos commanditaires partagent avec vous ce goût malsain de l’insulte au nom du règne autoritaire de votre bien-pensance: artiste digne du petit clergé diffusant la propagande du temps avec servilité; là est votre nature sans aucun doute: ni courage, ni grandeur, mais artiste pompier, artiste convenu dont aucune des mises en scène n’a été spectaculaire, inventive, inédite et même artistique.

    Vous parlez enfin de générosité et de solidarité. En quoi avez-vous été généreux? Avez-vous fait la place à des jeunes artistes plein de promesse comme Zaho de Sagazan par exemple? Non, vous avez été dans la convenance de personnalités installées à la renommée mondialement établie. Auriez-vous été généreux que vous auriez fait place à d’autres artistes représentatifs des mondes que vous ignorez, en provenance d’Afrique, d’Amérique ou d’Asie. Personne!

    Votre monde nous est apparu étriqué, petit, convenu, réduit à l’espace des poncifs idéologiques qui vous animent; au service du Régime, comme les artistes de cours de cet Ancien Régime que vous prétendez dépasser.

    Et la solidarité semble très loin de votre spectacle. Vous avez mis le public dans une position de grande passivité, spectateur de votre ego, mais en rien participant et actif comme il le fut à Londres où il fut festif, heureux, solidaire, joyeux, bruyant, chantant, acteur de sa fête. Non, votre spectacle petit-bourgeois sent le spectacle narcissique et rance qui impose sa vue, excluant le premier des humains: le spectateur rabaissé au rang de faire-valoir inactif.

    La discorde plutôt que la concorde pour une fête de la paix: étrange perversité de l’esprit

    Pour conclure, vous avez été un homme de l’exclusion totale ; celle des spectateurs, celles de milliards de personnes humiliées, choquées, dérangées dans leurs valeurs, leurs fois et leurs convictions; dont vous ne seriez être le juge sans devenir un Robespierre refusant d’entendre la plainte, la souffrance et le désaccord profond qu’a suscité votre prétendu spectacle.

    Vous avez oublié une valeur chère à la République: la concorde civile. Celle-là, vous l’avez piétinée, balayée, écrasée sous le poids de votre dogmatisme et de votre intolérance. Personne ne vous souhaite de vivre ce que nous avons vécu en subissant votre méchanceté, votre agressivité et votre haine de ce qui n’est pas vous et votre petit monde.

    En refusant de considérer l’altérité sacrée d’autrui, vous nous avez montré le vrai visage d’une certaine France progressiste: haineuse, destructrice, vulgaire, pleine de morgue et excluante de tout ce qu’elle n’est pas. Être femme, être homme pour commencer, sans vouloir devenir drag-queen.

    N’oubliez pas cette terrible vérité romaine: la roche Tarpéienne est proche du Capitole. Votre succès éphémère n’augure peut-être de rien de bon; si les milliards que vous avez insultés décident de ne plus vous honorer, voire de sanctionner ceux qui vous solliciteraient de nouveau. Les peuples du monde auront peut-être raison de votre médiocrité.

    La France universelle que vous prétendiez incarner a disparu derrière une insulte au monde et une profanation des civilisations, comme Macron a insulté tant de chefs d’État.

    Il faut vite vous oublier, vous et lui.

    Pierre-Antoine Pontoizeau

  • Tour de France : il est interdit d’embrasser sa femme

    L’histoire prêterait à sourire et même rire. Mais voilà, l’absurde a déjà de loin dépassé toute logique et, accompagné de la démagogie la plus folle, poursuit ses ravages dans notre société.

    La dernière expression en date de la déliquescence insensée de notre civilisation à laquelle de mauvais génies nous contraignent résume à elle seule l’idiotie permanente qui nous entoure.

    Pour bon nombre de nos compatriotes et moi-même, heureux et fiers franchouillards que nous sommes, piaffant d’impatience à l’approche de cette compétition plus que centenaire incarnée au sens premier du terme, véritable morceau de bravoure virile, anthologie de la souffrance physique, la Grande Boucle, puisque tel est son nom, renvoie à une certaine histoire de la France.

    Je me souviens de mon grand-père installé devant son poste de télévision, journal du jour sur la table, ouvert à la page sport cycliste, stylo à la main et notant les classements d’étape, général, etc. Pour rien au monde, cet homme n’aurait manqué une étape du Tour de France, seule distraction qu’il s’accordait pendant trois semaines d’une année remplie à travailler dans les champs puis plus tard à faire son jardin jusqu’au soir de sa vie.

    À l’heure où les technologies nous apportent de façon instantanée culture, divertissement, voyage, il est difficile d’imaginer l’importance de cette épreuve dépassant largement le cadre sportif en invitant quotidiennement au voyage dans toute la France ceux qui ne pouvaient pas se déplacer, ceux pour qui les vacances restaient une utopie. Les paysages de notre beau pays se succédaient, la montagne et ses cols impossibles, les bords de mer bretons, aquitains, méditerranéens, les bocages vendéens, normands et puis Paris, sa Tour Eiffel, ses Champs-Élysées consacrant tous ces champions, ces forçats de la route, dixit Albert Londres.

    Le Tour, c’est aussi une ambiance. Folle. Il n’est qu’à voir et prendre peur pour ces damnés du bitume, dans les cols, se frayant péniblement un chemin, cernés par la masse joyeuse, criarde, rougie par le soleil et le pinard saucisson, encourageant ces héros… ses héros.

    En famille… Eh oui, toute la famille est conviée au spectacle éphémère de ces quelques instants de coups de pédale, de cet effort suintant la sueur et le courage. Enfants et grands, frères, sœurs, épouses et maris se retrouvent en communion pour accueillir cette caravane du Tour distribuant petits cadeaux et préparant l’arrivée d’un peloton multicolore sur des machines rutilantes aux guidons à cornes et autres cintres route. Une ambiance quoi…

    Alors comment ne pas exprimer notre tristesse la plus profonde en apprenant par quelle imbécillité crasse des organisateurs peu soucieux de cette histoire, de cet héritage laissé par des anciens, ont cru indispensable de sanctionner un coureur, Julien Bernard, qui, croyant certainement encore à cette petite magie, celle qui fait briller les yeux des enfants, a cru bon de s’arrêter pour embrasser sa femme et son enfant, de se laisser aller à cette communion entre un public et ses acteurs authentiques.

    Nous y voyons un amour, celui pour sa famille, celui pour son public. Ils y voient un comportement déplacé. La démagogie destructrice LGBT a encore frappé.

    Dans l’indifférence générale.

    Patrice MAGNERON - Président IDNF

    VIVE  LA  FRANCE!

  • Les Insoumis jusqu'à la lie

    Par Édouard Roux – Valeurs Actuelles

    Jeudi 19 juillet. Dans l’après-midi, les députés ont dû élire le président du perchoir (le patron de l’Assemblée nationale). Or, lors des votes, quelques scènes ont fait grand bruit. Le benjamin de l’Assemblée, Flavien Termet (député RN), se poste à côté de l’urne, comme le veut la tradition: un à un, les élus déposent religieusement leur vote et doivent serrer la main du gamin.

    Or, comme deux ans auparavant, les Insoumis (hormis les pestiférées Autain et Simonnet; l’ont-elles fait deux ans auparavant? Je ne voudrais surtout pas être mauvaise langue), ont, fièrement, refusé la main tendue. Le Marseillais, Sébastien Delogu - 1m90 de bêtise -, a, lui, fait un quasi tête contre tête avec le jeune Ardennais.

    Alors que le benjamin de l’Assemblée, Flavien Termet (RN), lui tend la main, Delogu la refuse, se colle à lui en bombant le torse, tout en le toisant de haut en bas et lui lance : " t’es fada ou quoi? T’es un fou toi".  Un geste d’intimidation qui n’est pas sans rappeler le comportement des racailles.

    Un courage incroyable de la part de l’ex-voiturier de Mélenchon, reconverti en essuie-glaces du Hamas; un geste de résistance incroyable, une virilité folle. Ses compères soumis ont tous justifié leurs actions en traitant le jeune Termet de “facho”, et hurlant à l’extrême-droite.

    Ces séquences ridicules, gênantes, ce bizutage ringard, pathétique a, une nouvelle fois prouvé une chose : les Insoumis sont des ennemis de la démocratie. Une belle brochette avariée. La bêtise crasse

    Et aussi, même hebdo

    L’élection à la présidence de l’Assemblée nous a encore donné à voir, c’était couru, l’indigne irrespect de la France Insoumise pour l’institution, ses membres et ses électeurs. "J'assume de préférer le chifoumi à porter des casquettes nazies" s’est crânement justifié François Piquemal, qui avait par ce geste esquivé la main innocente du benjamin de l’Assemblée Nationale, au moment de glisser son bulletin dans l’urne.

    "Je viens d’une ville qui s’appelle Toulouse et qui a l’antifascisme chevillé au corps", a indiqué l’insoumis,

    menteur, JE SUIS DE TOULOUSE, rien à foutre de ces gen-foutres!

    osant comparer son acte puéril à "la résistance au régime de Vichy".

    Moins rigolarde fut l’attitude de Sébastien Delogu, qui toisait, avec son verbe de racaille, son jeune collègue Flavien Termet. La période pousse au cynisme, il est vrai. Souhaitons donc, comme pour l’état de finances publiques, que le pire de ce dont est capable ce parti se revendiquant du meilleur, s’expose pleinement aux yeux des Français, et vite. Ils n’en seront que plus rapidement vaccinés.