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LA VERITE! - Page 2

  • La carte grise des véhicules électriques bientôt payante

    La loi de finances 2025 prévoit qu’à compter du 1er mai, les régions pourront appliquer un tarif réduit ou plein sur la taxe quelles appliquent sur les cartes grises. Une exemption qui n’aura duré que cinq ans et dont la fin est dénoncée par le magazine AutoPlus.

    Par Frédéric Paya – Valeurs Actuelles

    Le principe de réalité, c’est-à-dire l’état déplorable des finances publiques, rattrape la voiture électrique. Par le biais de sa carte grise, non, il faut parler désormais de certificat d’immatriculation. Jusqu’à présent, son prix était quasiment gratuit pour les véhicules électriques. Le 1er mai, ce ne sera plus le cas (et on n’est pas un 1er avril !), c’est ce que révèle une enquête publiée dans le dernier numéro du magazine AutoPlus, intitulée "La CARTE GRISE GRATUITE, C’EST FINI!".

    D’ordinaire, "le coût du certificat d’immatriculation est constitué de quatre taxes et d’une redevance", explique le site service-public.fr. Il y a une taxe régionale (fixée par le conseil régional et qui varie en fonction du nombre de chevaux fiscaux du véhicule), une pour le développement des actions de formation professionnelle dans les transports, une sur les véhicules polluants, une taxe fixe de 11 euros et une redevance pour l’acheminement du certificat d’immatriculation de 2,76 euros. Dans leur grande sagesse et pour encourager l’acquisition des voitures 100% électriques, le législateur les a exemptés de taxe régionale depuis 2020. Rappelons que leurs propriétaires n’ont pas non plus à payer de malus écologique.

    PROGRESSIVEMENT LES EXEMPTIONS ONT DISPARU

    "Cette année, la fête du muguet ne sera pas celle du budget des électro-convertis, alerte AutoPlus. Dès le 1er mai, ceux qui achèteront une voiture électrique devront payer plein pot leur carte grise ". La raison est (économiquement) simple: en 2023, les recettes de fonctionnement des régions françaises se sont élevées à 32 milliards d’euros, selon le site lafinancepourtous.com. Sur ce montant, 51% proviennent de la TVA et 16,8% des impôts et taxes. Or, pour favoriser le verdissement de la flotte automobile, de plus en plus de véhicules dits propres ont pu bénéficier d’exemptions de taxes régionales. " Entre les véhicules à énergie alternative, dits "propres", et les électriques les deux tiers du marché pouvaient, l’an dernier, prétendre à une carte grise gratis. Intenable ! ", constate le magazine AutoPlus.

    Conséquence, progressivement les exemptions ont disparu et cette année, concernant les véhicules dont la source d’énergie est exclusivement l’électricité, l’hydrogène ou une combinaison des deux,la loi de finances pour 2025 remplace " l’exonération de droit par la possibilité de mettre en place un demi-tarif ou un tarif nul. " Si jusqu’au 30 avril, il pouvait y avoir une exonération, ce ne sera plus le cas à compter du 1er mai: " ces véhicules seront soumis, soit à un tarif plein, soit à tarif réduit (tarif nul ou demi-tarif) dans les conditions prévues par une délibération du conseil régional".

    AutoPlus s’est livré à un petit calcul: la fin de la quasi-gratuité des cartes grises pour les voitures électriques pourrait rapporter au bas mot 640 millions d’euros de plus aux finances locales. Suivant la puissance fiscale et les régions, le prix des certificats d’immatriculation varie entre 150 euros et grimpe jusqu’à 750 euros. Au risque de ralentir l’acceptation des véhicules électriques dans le grand public.

    Dans sa recherche continue d’argent (et face à une baisse logique des taxes sur les carburants dans l’avenir), il est fort à parier que le gouvernement continue à regarder la voiture électrique de près… sans doute de trop près…

  • La réalité économique sous le prisme géographique

    139 milliards d’euros... C’est le déficit des comptes publics prévu dans le budget 2025 (chiffre qui ne prend pas en compte les conséquences du relèvement des taxes douanières par Donald Trump). 3 300 milliards…

    C’est le montant de la dette française… 59 milliards, c’est celui des intérêt que la France paiera en 2025 sur cette dette…

    Milliards, millions d’euros, … ces chiffres donnent le tournis et pour beaucoup, ils ne veulent rien dire… tout juste, se dit-on, que la France va mal et que la situation s’empire sûrement, sans en mesurer vraiment la réalité.

    Une manière de s’en rendre compte est de regarder les chiffres sur les défaillances d’entreprises.

    Il y a eu 67 830 procédures ouvertes en 2024, avec un record atteint au dernier trimestre.

    Au total, 256 000 emplois seraient menacés, ce qui représente à peu de choses près, la population de Bordeaux, la neuvième ville de France.

    En février 2025, la France comptait 5,8 millions de demandeurs d’emplois inscrits à France Travail, dans les catégories A, B et C.

    Pour donner un nouvel ordre de grandeur, soit le nombre d’habitants des huit plus grandes villes de France: Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Nice, Nantes Montpellier et Strasbourg…

    Dernière manière de se rendre compte de la réalité économique française, la lecture du sondage étude publiée par l’association Dons solidaires: "Les résultats 2025 sont sans appel: malgré un ralentissement de l’inflation, près d’un Français sur deux se sent toujours vulnérable économiquement….

    Plus préoccupant, l’étude dévoile que "8 millions de Français doivent arbitrer entre l’achat de nourriture ou de produits d’hygiène".  

    Une vision, cette fois, au plus près du quotidien de millions de Français, bien éloignée de celle perçue depuis les lambris germanopratins de nos ministères.

    Par Frédéric Paya – Valeurs Actuelles

  • Hélas, génération spontanée….

    .... réfléchissez: oui, c'est très grave!...

    Le Royaume-Uni signale un cas de mpox de clade 1b (variole du singe) sans antécédent de voyage ni liens avec des cas antérieurs

    L'Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (HSA) a annoncé qu'une infection par le clade 1b mpox a été confirmée chez une personne sans antécédents de voyage et sans liens avec des cas antérieurs confirmés.

    "D'autres travaux sont en cours pour déterminer où cette personne, qui réside dans le nord-est de l'Angleterre, a pu contracter l'infection", a déclaré l'agence dans un communiqué, ajoutant que la maladie avait été diagnostiquée en mars et qu'aucune autre infection n'avait été décelée parmi les contacts du patient.

    Tous les cas antérieurs du pays concernaient des personnes ayant voyagé dans un pays touché par l'épidémie ou ayant été en contact avec une personne ayant voyagé dans un tel pays.

    Source : Center for Infectious Disease Research and Policy

  • Nous sommes en situation pré-révolutionnaire

    Je viens de lire, au chapitre 13 du quatrième livre des "Mémoires d’outre-tombe" de Chateaubriand, le texte suivant que je soumets à votre réflexion:

    "A cette époque, tout était dérangé dans les esprits et dans les mœurs, symptôme d’une révolution prochaine. Les magistrats rougissaient de porter la robe et tournaient en moquerie la gravité de leurs pères. Les Lamoignon, les Molé, les Séguier, les d’Aguesseau voulaient combattre et ne voulaient plus juger. Les présidentes, cessant d’être de vénérables mère de famille, sortaient de leurs sombres hôtels pour devenir femmes à brillantes aventures. Le prêtre, en chaire, évitait le nom de Jésus-Christ et ne parlait que du législateur des chrétiens ; les ministres tombaient les uns sur les autres ; le pouvoir glissait de toutes les mains. Le suprême bon ton était d’être américain à la ville, anglais à la cour, prussien à l’armée, d’être tout excepté d’être français. Ce que l’on faisait, ce que l’on disait, n’était qu’une suite d’inconséquences. On prétendait garder des abbés commendataires, et l’on ne voulait point de religion, nul ne pouvait être officier s’il n’était gentilhomme, et l’on déblatérait contre la noblesse, on introduisait l’égalité dans les salons et les coups de bâtons dans les camps"

    Cette relation pré-révolutionnaire ressemble à la situation que vit l’Occident en général et la France en particulier. La révolution de 1789 devait suivre ces désordres qui portait l’Empire avec lequel l’ordre de la nation fut la résultante des heures de barbarie suivies par la dictature napoléonienne.

    L’Histoire bégaie, dit-on. Nous sommes en situation pré-révolutionnaire.

    Le wokisme est assimilable au comportement des bobos qui perdent tout repère moral, l’islamisme qui devient la religion dominante au dépens du christianisme, qui est rejeté comme trop à droite et incompatible avec la nouvelle religion et le wokisme. L’autorité judiciaire qui se prend à légiférer en lieu et place du Parlement qui devient une chambre inaudible, et les abandons dans tous les sens qui font craindre le pire avec la guerre qui menace un peu partout dans le monde.

    Nous sommes confrontés à un bis repetita si l’Occident ne réagit pas comme le fait le président Trump dans l’intérêt égoïste des États-Unis.

    Guy Sebag

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • Sur mon autre blog

     

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2025/03/28/cette-etudiante-a-cree-un-antivol-6541455.html