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Education - Page 5

  • Un fic de la "mondaine" parle

    Spécialisé dans les affaires dites de mœurs. Proxénétisme, prostitution forcée, pédophilie. Il a fait tomber des réseaux de traites des Blanches.

    "Blanches est un terme très générique. Il y a aussi parmi les victimes des Noires, des Asiatiques, des métisses… Peu de Beurettes parce qu’elle sont très surveillées par les "grands frères". Sauf quand elles sont volontaires pour partir faire le djihad. Mais c’est une autre histoire".

    D’après les déclaration d’un célèbre criminologue médiatisé, les circuits auraient évolué. Les bordels de Buenos Aires ne sont plus à la mode comme dans les années trente, ni les palais des émirs du pétrole comme dans les années soixante.

    La plupart des filles qui voyagent ne sont ni droguées ni forcées. Elles ont un billet d’avion en bonne et due forme. Direction Abidjan ou Rio, Caracas ou Istanbul… La naïve qui se fait offrir des vacances de rêve par une gravure de mode et se retrouve coincée à l’étranger, battue et droguée, est de plus en plus rare. Plus fréquemment, elles sont déjà prostituées en France. On peut les considérer comme des travailleuses expatriées. Mais certaines peuvent avoir des surprises. Le luxueux penthouse à Bahia peut se transformer en taudis d’abattage à Manaos (ndlr : Amazonie)

    Il y a toujours derrière les filles un mac plus ou moins folklo qui organise le voyage?

    Le barbeau de Barbès à l’élégance tapageuse est un gagne-petit qui ne déborde pas de sa zone de confort, une rue, une place, un bar. Les organisations criminelles internationales préfèrent passer inaperçues. Fonctionnant comme des sociétés multinationales, elles proposent un grand choix de "marchandises" régulièrement renouvelées et livrables en un temps record. Et les stocks évoluent avec les goûts de leur temps. Chez certains, un tiers du "press book" présente des éphèbes invertis et des efféminés plus ou moins coupés. Comme pour les filles, le mannequinat donne une couverture légale à leurs activités.

    Mais…la malheureuse kidnappée, endormie et transbahutée dans une malle, ça ne se fait pratiquement plus, sauf au cinéma…

    Oui mais non… La rencontre peut être fortuite. Il y a des "chasseurs de culs", en fait des zonards toujours à l’affût de cibles potentielles… Parfois, il s’agit d’un véritable guet-apens. Un petit ami largué, qui a des accointances avec des voyous, se venge en vendant son ex à des trafiquants de chair humaine… À la marge, la "tradition" est maintenue par quelques racailles qui profitent de la fin des frontières en Europe pour approvisionner des bordels dans des États-voyous des Balkans.

    Exemples?

    L’auto-stoppeuse ou la promeneuse à qui un gentil garçon, plutôt mignon et bien mis de sa personne, offre un soda avec du GHB dedans.

    Ou propose de fumer avec lui un joint chargé de somnifère… Une fois dans les vapes, au besoin renforcées par une piqûre ou un tampon d’anesthésique, la fille est jetée dans un camion de transports internationaux au milieu d’un bric-à-brac hétéroclite, dissuasif en cas de rencontre avec la "volante" (police). Rare sauf dénonciation.

    Et là, le chauffeur dira qu’il n’était au courant de rien, bien entendu… Refrain classique. La remorque a été chargée en douce sur un parking pendant la pause déjeuner…

    Sinon, le scénario se réplique à l’identique. Direction la frontière italienne où on ne vérifie pas ce qui vient d’Europe, puis descente de la botte, destination: un port sur l’Adriatique. Bari, Brindisi ou plus petit. Embarquement du camion sur un ferry, ou de la victime sur un bateau de pêche. Toujours sans aucun contrôle.

    Et débarquement en Albanie où des flics et des douaniers peuvent être facilement achetés… Fin du voyage, une maison de passe dans des montages de plus de 2000 mètres, aux chemins mal carrossés. Parfois c’est une étape intermédiaire vers le Kosovo, où les islamo-mafieux locaux reçoivent la livraison.

    Le transfert peut se faire en une journée ou à peine plus. De Marseille à Tirana, il y a 1500 km, en comptant la traversée. Autant dire que lorsque les gendarmes, en France, commencent les recherches, près du lieu supposé de la disparition, vingt-quatre heures après le signalement, la victime est déjà cloîtrée sans argent ni papiers, à des centaines de kilomètres de là, dans un pays dont elle ne parle pas la langue.

    Outre le triple verrou de la corruption, de la langue et de la religion dans ces pays où les incroyantes sont traitées comme du bétail, leur docilité est acquise en faisant de ces malheureuses des junkies. Parce que les proxos sont aussi des narco-trafiquants. C’est mieux que les coups et les tortures à l’électricité, ça laisse moins de traces. Ils essaient de ne pas trop abîmer une "marchandise" dont les notables sont friands quand elle est en bon état.

    Et, pour celles qui ne sont pas enlevées un peu au hasard des rencontres et sont conduites à l’exil par la ruse? Les filles recrutées avec des faux contrats de travail obéissent parce qu’elles sont tenues par toutes sortes de chantages. À commencer par l’approvisionnement en drogues dures auxquelles on les a rendues dépendantes. Et il y a aussi les menaces. Sur leur famille restée au pays. Leur enfant le cas échéant. Et le vitriol pour la plus rebelle, afin de servir d’exemple aux autres…

    On dit que lorsqu’elles ont perdu leur fraîcheur, si elles ne meurent pas d’overdose avant, les macs en font des esclaves domestiques. Pour le ménage, la cuisine, le linge, les travaux des champs ou d’artisanat sous la surveillance d’un gynécée.

    Leur sort se rapproche alors de celui d’une femme indigène qui a cessé de plaire. Elles ont le cerveau tellement raboté par des années de soumission qu’elles sont complétement déconnectées. Ainsi, lors de l’agression contre la Serbie, la police militaire a découvert au Kosovo des femmes prostrées, abandonnées par leurs valeureux seigneurs et maîtres. Certaines avaient oublié leur nom et leur nationalité ou ne voulaient pas les dire. D’autres, un peu moins siphonnées, ont carrément refusé d’être rapatriées.

    Malgré les efforts des médias pour minimiser le phénomène, avec le peu qui filtre, on a l’impression d’assister depuis quelques années en France à une inflation du nombre des disparitions de jeunes femmes. Des personnes qu’on ne retrouve jamais. Peut-on les raccorder à la traite des Blanches ou serait-ce une légende urbaine qui s’ajoute aux actions criminelles?

    Les disparues peuvent être de jeunes fugueuses, qui ont voulu couper tout lien avec leur famille. Avec de la chance, elles se dilueront dans la masse pour mener une vie banale en Angleterre ou au Canada. Les plus hardies viseront l’Australie. Les moins chanceuses finiront dans la rue ou dans un squat avec le trottoir ou l’overdose au bout du chemin… Fugueuse ou pas, toute jeune femme appétissante est une proie facile dans un pays déliquescent, incapable de maintenir un minimum de cohésion sociale et d’ordre public.

    Est-ce que la probabilité de faire des mauvaises rencontres est plus importante que celle de se faire enlever? Les serial killers ne sont pas une spécialité des USA. Et à la différence des violeurs de banlieues qui organisent des tournantes dans les caves, les assassins passent inaperçus et font disparaître leurs victimes.

    Enterrées dans un sous-sol, jetées au fond d’un puits ou d’une mine désaffectée, ou laissées dans une masure abandonnée. Parfois, on retrouve des restes. Mais pour vraiment enquêter, on est trop dispersés… Une fois que l’affaire n’est plus à la une, on est submergés par une criminalité -croissant chaque jour- un peu plus.

    Ignorée par les pouvoirs publics.

    Excusée par les médias.

    Et tolérée par les juges. Autant pousser le rocher de Sisyphe. Ou vider le tonneau des Danaïdes.

    D'après un article de Christian Navis - https://fascismedefrance.blogspot.com/

  • Rire ou pleurer?

    Recrutement des instituteurs 2023  

    "Marianne" a compulsé une quinzaine de rapports des jurys du concours de recrutement des enseignants en école primaire de l’année 2023. Les évaluateurs notent des lacunes en grammaire, orthographe et mathématiques chez certains candidats et déplorent une pauvreté des références culturelles: de nombreux aspirants professeurs citent des émissions de télé-réalité ou des films de Disney et méconnaissent la culture littéraire et patrimoniale.

    Comme les années précédentes, les correcteurs pointent les lacunes en orthographe, en grammaire et en mathématiques. Mais ils s’inquiètent aussi, tout particulièrement, du manque de culture générale des candidats qui ont pourtant un niveau master, soit cinq ans d’études après le bac. […]

    Les exemples littéraires, historiques ou pris dans des films "de qualité" ont été "rarissimes", poursuit-il. […] "On attend de futurs enseignants qu’ils ne confondent pas les œuvres littéraires avec leur adaptation par la maison Disney (“Le Bossu de Notre Dame de Victor Hugo”)", cite encore le jury de l’académie de Normandie, qu’ils "dépassent les références aux séries télévisées (“Glee”), aux Youtubeurs ou leurs souvenirs d’enfance (“La Reine des neiges”) pour diversifier leurs propositions et appréhender également les récits avec toute la distance critique nécessaire", poursuit ce dernier. […]

    Et à l’oral, ce n’est pas toujours merveilleux. Le jury de Nice note leur langage peu professionnel de "certains candidats":

    Des expressions familières voire des termes peu français ont été relevés comme l’emploi de ces formulations "Si j’aurais" ; "Les enfants qui z’ont…" ; "ch’sait pas" ; "Ils vont avoir la pression".[…]

    Marianne

  • IMPAYABLE!  

      Le wokisme toucherait beaucoup plus les femmes et les “woke” seraient bien plus déprimés, anxieux et malheureux révèle une étude finlandaise sur 5000 personnes

    Des chercheurs en psychologie de Finlande ont créé une évaluation permettant de mesurer l’engagement d’un individu envers les principes de justice sociale et ont fait des découvertes surprenantes au sein de la population finlandaise, notamment une corrélation négative entre les idéaux progressistes et les niveaux de bonheur.

    Leurs conclusions, publiées dans le Scandinavian Journal of Psychology, suggèrent que d’autres nations occidentales pourraient observer des tendances similaires parmi leurs citoyens socialement conscients.

    […]

    “Le fossé entre les sexes m’a probablement le plus surpris”, a déclaré M. Lahtinen au PsyPost à propos des opinions finlandaises. Trois femmes sur cinq voient les idées “woke” d’un bon œil, mais seulement un homme sur sept.

    Cela était particulièrement vrai pour les femmes travaillant dans des domaines tels que les sciences sociales, l’éducation et les sciences humaines. En revanche, les participants travaillant dans les sciences dures étaient plus enclins à critiquer les efforts de justice sociale associés au “wokisme”.

    Cependant, le résultat le plus inquiétant est la relation entre la santé mentale et la conformité aux critères. Plus précisément, les chercheurs ont constaté une forte prévalence de l’anxiété et de la dépression chez les personnes qui croient à l’affirmation “Si les Blancs ont en moyenne un revenu plus élevé que les Noirs, c’est à cause du racisme”. De manière plus large, ils ont constaté que les personnes qui s’identifiaient comme étant de gauche étaient les plus susceptibles de faire état d’un bien-être mental moindre.

    Lahtinen met en garde contre une extrapolation de ces résultats à l’échelle internationale, en particulier dans les pays occidentaux.

    “Les études étaient assez solides, avec un échantillon de plus de 5 000 personnes et de bonnes propriétés psychométriques”, a déclaré M. Lahtinen. “Toutefois, l’ensemble des critères devrait être validé dans des échantillons nord-américains afin de savoir comment ces attitudes se manifestent dans ces pays. J’encourage mes collègues américains à étudier la prévalence de ces attitudes dans le pays d’où elles sont venues.

    New York Post – PsyPost

    https://www.youtube.com/watch?v=Fm2PbGAVK78

  • Anglicismes, d'jeune, écriture inclusive: une destruction de la langue française !

    Nous vivons une drôle d’époque qui ne peut que nous choquer à tous les points de vue, dès lors que nous avons un minimum de sens commun.

    La langue française est issue d’une longue maturation et nous serions bien incapables de lire un texte en "vieux françois". Cette maturation continue au fil des années en incorporant quelques mots de plus, et aussi beaucoup d’inepties dus à cette mode angliciste, et l’intégration de mots issus des cités pour faire "d'jeune".

     

    Les anglicistes sont ceux qui se pensent modernes, urbains, mondialistes, et qui considèrent qu’il faut être au niveau d’une France européenne et non nationale. Pour eux, le franchouillard comme moi est un quasi imbécile, un témoin suranné. Si, en plus, il aime l’histoire, la littérature et se souvient de ses racines, c’est rédhibitoire.

    Ceux qui utilisent ces anglicismes doivent savoir qu’ils sont en réalité dans une œuvre de destruction du vocabulaire, de la langue française et qu’ils sont finalement les idiots utiles du système.

    Les "artistes" et autres parsèment leur vocabulaire d’expressions "d"'jeunes", issues de l’africain et de l’arabe des cités. Ils s’imaginent à la pointe de la modernité alors même qu’ils abaissent l’ensemble des niveaux du langage.

    S’y ajoute l’écriture inclusive.

    Ainsi, nous voyons à quel point notre langue est détruite, peu à peu, par ceux qui devraient la défendre ! Les intellectuels gauchistes nous parlent d’égalité des sexes et de "rendre visible les problèmes d’égalité qui viennent du langage" et les responsables politiques ne réagissent pas, les parlementaires, les élus municipaux défendent mollement la langue française. Pourtant, l’article 2 de la Constitution est clair !

    https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000571356/

    Il y a des industriels, des banquiers qui obligent souvent leurs salariés à parler et à rédiger en anglais, à faire des rapports et suivre des réunions où la langue française est proscrite, y compris dans le quartier d’affaires de la Défense, en France.

    Dès 1975, la loi “Bas-Lauriol“ rend l’emploi du Français obligatoire dans différents domaines : audiovisuel et commerce, établissements publics, monde du travail. (source) En 1994, la loi “Toubon” renforce ce dispositif ! L’Académie Française considère l’écriture inclusive comme contre-productive, elle “offusque la démocratie du langage“.

    Je me souviens de mes batailles lors de réunions syndicales avec les directions de la RATP quand je demandais à ce qu’aucun anglicisme ne soit dans les accords salariaux et autres débats. Même mon syndicat, taxé de droite à l’époque, me disait que j’exagérais, c’est tout dire.

    Nos écrivains d’hier seraient choqués de voir cette volonté d’abaissement de la langue française au point que certains souhaiteraient revisiter leurs romans, leurs écrits divers. Que seraient Les Misérables, Les Contemplations, La Dame aux camélias, Une Vie, L’assommoir, Germinal en écriture inclusive, farcis d’anglicismes et de phrasés d'jeunes?

    La circulaire à Matignon en 2017 établit que “dans les textes réglementaires, le masculin est une forme neutre qu’il convient d’utiliser pour les termes susceptibles de s’appliquer aussi bien aux femmes qu’aux hommes” … “les textes qui désignent la personne titulaire de la fonction en cause doivent être accordés au genre de cette personne“. L’écriture inclusive ne doit pas être utilisée.

    S’ajoute aussi les genrés ! Eux demandent qu’ils ne soient pas traités en femme, ni en homme, mais en indéterminés. Le sexe n’est pas ce que vous avez entre les jambes mais il serait dans votre tête.

    Un vagin, un utérus ne détermine pas votre sexe. Pas plus que des testicules et un pénis. Ben voyons! Les hormones non plus puisqu’il suffit de quelques piqûres pour rétablir "cette injustice" de naissance.

    Vous n’avez pas de vagin? Qu’importe, un peu d’hormones femelles et la médecine va vous en donner un qui fera illusion. Il ne servira pas bien sûr, et toute forme de jouissance ou plaisir sexuel sera impossible, d’orgasme, hormis celle de regarder vos faux seins et cette imitation entre vos jambes dans le miroir.

    Vous n’avez pas de pénis? Qu’importe, avec des hormones mâles, un peu de chair prélevé sur votre bras, une opération chirurgicale, vous aurez un ersatz de pénis gonflable à l’air quand vous en aurez besoin pour faire jouir votre compagne ! Pas non plus de plaisir sexuel, d’orgasme!

    Une gamine de 11 ans, Alexia, bien formatée par son père, est dans ce délire. Alexia, dit "Il n’y a pas que des hommes et des femmes sur la terre (ben voyons!). J’ai déjà vu des personnes intersexes, et je comprends très bien ce que ça leur fait si on dit quelque chose qui leur déplaît". Ce vocabulaire est peu représentatif d’une jeune de 11 ans. Le formatage parental est évident.

    Je me demande à quel point les autorités sanitaires et familiales ne devraient pas se pencher sur le cas de cette famille. Dans le journal Le Point, elle précise: "L‘orthographe recommandée exclut les personnes qui ne sont ni “ils”, ni “elles " tandis que l’écriture inclusive permet de les inclure, du coup, elles sont mieux dans leur peau".

    Au secours!

    Pourtant, il existe un texte fort sur ce sujet. Il date de 1958. C’est la Constitution qui considère le français comme étant la langue de la nation France. Il est regrettable que les parlementaires, les autorités judiciaires, les pouvoirs politiques nationaux, régionaux, départementaux et municipaux soient incapables d’appliquer la loi fondamentale qu’est la Constitution.

    Gérard Brazon

    Perso: j'ai un transexuel dans mon entourage: "elle" prends des hormones féminines depuis des années (remboursées par la sécurité sociale) castration (remboursée par la sécurité sociale) et comme "madame" est dépressive depuis des années, "elle" perçoit l'AAH et tous les avantages sociaux qui vont avec!

  • Il fait chaud l'été, froid l'hiver

    Aux États-Unis, le premier amendement de leur Constitution garantit la liberté d’expression. Les réchauffards ont beau glapir qu’il s’agit d’un déni de faits sur lequel tous les scientifiques seraient d’accord… Les plus de 35.000 signataires de l’Oregon Petition, universitaires, ingénieurs et chercheurs du monde entier leur rentrent leurs mensonges dans la gorge.

    On ne peut bâillonner tous les hérétiques. Tout au plus les discréditer. En mettant en cause leurs compétences. Quand on sait que le GIEC a été dirigé par des gens qui n’avaient qu’une formation et une pratique très limitées en climatologie. Un ingénieur ferroviaire et un physicien atomiste auxquels ont succédé des laborantins et des petits profs. Le dernier en date serait un expert en énergies renouvelables.

    En Europe, et tout particulièrement en France où fleurissent les délits d’opinion, on voudrait vous faire rentrer les bonnes pensées dans le crâne à coups de marteau sur la tête. Interdits de séjour sur les médias audio-visuels, leurs éditeurs menacés de contrôle fiscal, leurs sites web caviardés ou fermés sans préavis, les climato-réalistes semblaient en mauvaise posture depuis le début du troisième millénaire.

    Les réchauffards s’en félicitaient cyniquement au moment de l’Accord de Paris de 2015 qui était censé nous donner le coup de grâce. Entre fermetures des labos, mises à la retraite d’office ou déclassement dans des bureaux des scientifiques fonctionnaires, seuls des électrons libres pouvaient continuer le combat pour dénoncer ces supercheries.

    Mais au désarroi des verdâtres qui fêtaient leur victoire idéologique, un retournement d’opinion s’est opéré. Les gesticulations du lunatique Macron pour capter quelques voix écolos ont déconsidéré le réchauffisme. La loi Climat Résilience de 2021 votée à la hâte a fait pschitt.

    Difficile de faire gober au plus grand nombre les fariboles du réchauffement quand les moyens de communication modernes montrent qu’il a neigé plusieurs fois dans le Sahara et en Arabie, que des otaries de l’Antarctique viennent batifoler dans les eaux de la Polynésie, que les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu comme prévu, et que les atolls qui devaient être engloutis avant 2020, sont toujours là…

    Le bon sens semble reprendre ses droits malgré le matraquage des médias serviles. Pas besoin d’être titulaire d’un Ph.D pour comprendre qu’il est normal qu’il fasse froid l’hiver et chaud l’été, et que les cycles climatiques ont toujours existé, de façon naturelle, en fonction des variations d’intensité du soleil et des évolutions de l’orbite terrestre. Même si Greta croit que Milankovitch était un vendeur de bicyclettes.

    FINALEMENT, TOUT ÇA C’EST LA FAUTE DE L’EXTREME DROUATE!

    Un certain Christophe Cassou du CNRS (la planque des chercheurs qui ne trouvent rien), membre éminent du Gang International des Escrocs du Climat, s’est plaint d’avoir été critiqué par des climato-sceptiques sur le web. C’étaient des patriotes qui plus est.  Circonstance aggravante !

    Cet homme qui se dit ouvert à la discussion ne palabre que si on est d’accord avec lui. Toute argumentation susceptible de remettre en cause ses croyances est perçue comme une agression haineuse et violente. Pour ce militant "les attaques climato-sceptiques sont nauséabondes, délétères et puantes". On retrouve là toute la dialectique pavlovienne des gauchistes frénétiques. Entre secte et croyances aveugles.

    Sous divers aspects, le réchauffisme est une religion laïque comme le communisme au siècle dernier. Avec son dogme, ses rites, ses grand messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa bureaucratie, sa sainte gourdasse, sa propagande, ses interdits alimentaires ("devenez végétariens pour sauver le monde") et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

    Cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable!

     

    "REPORTERRE"  CELLULE GAUCHISTE RIPOLINEE EN VERT S’AFFOLE

    Ils se disent "indépendants". Mais ils défendent les escrolos violents qui nous bassinent. Soutiennent les opposants à Poutine, comme ils attaquaient naguère Bolsonaro. Et bien sûr prennent le parti du Hamas contre les Israéliens. Symptômes de la peste gauchiste qui veut donner des leçons au monde entier. Alors qu’ils ne représentent qu’eux-mêmes.

    C’est dire si j’ai été heureux de lire l’aveu dépité de ces crapules, reconnaissant leur échec. "Alors que les effets du changement climatique (fini le réchauffement?) sont de plus en plus couverts par les médias, les climato-sceptiques prospèrent".

    Ces prophètes de malheur admettent mal qu’un nombre croissant de scientifiques, en dehors du microcosme des subventionnés et des médiatisés, récupèrent les mêmes données satellite, croisent les mêmes statistiques et utilisent les mêmes algorithmes qu’eux… Et en tirent, par le raisonnement et le calcul, des conclusions diamétralement opposées.

    Lueur de réalisme dans ces esprits bornés, ils avouent que, selon un sondage IPSOS et Cevipof de 2023, la moitié des Français ne croient plus à la fable du réchauffement anthropique. Et cette lucidité est partagée par des chefs d’États comme Xi Jinping (Chine), Vladimir Poutine (Russie), Javier Milei (Argentine), Salman Al Saoud (Arabie), des leaders en orbite d’attente comme Geert Wilders (Hollande) et Trump (USA), et d’anciens présidents influents comme Jair Bolsonaro (Brésil).

    En outre, en Australie, aux USA, au Canada, en Finlande, en Norvège, une forte proportion de la population, jusqu’à 65%, ne gobe plus les fables du GIEC. Malgré la cenSSure de Google, YouTube, MSN, Chrome, Twitter, Facebook, au service des réchauffards… Le CO2 peut-il faire oublier la pédophilie de certains de leurs dirigeants, clients assidus de Jeffrey Epstein et autres salopards du même tonneau?

    Plutôt que de reconnaître leurs erreurs, les enfumeurs du GIEC voudraient punir les coupables de leur perte d’influence

    Les climato-réalistes reviennent de loin. Les brimades et exclusions des réseaux dont certains ont changé de nom comme des voyous après un mauvais coup ne sont rien à côté des menaces de quelques fous furieux menés par le fantasque ex vice-président US Al Gore.

    Cet autre "Mozart de la finance" qui, lors de la crise des subprimes a planté Goldman Sach de 10 milliards de dollars, renfloué sur des fonds fédéraux, voulait instaurer un crime contre l’humanité de climato-scepticisme. Avec une cour pénale façon Nuremberg pour condamner à la prison à vie tous ceux qui réfuteraient les élucubrations du GIEC.

    PREDICATEURS OU PREDATEURS, LES OBJECTIFS DES RECHAUFFISTES

    Les gens du GIEC racontent n’importe quoi pour satisfaire leurs sponsors. Ils en attendent des dividendes sous forme d’honneurs, de postes convoités, de crédits de recherche, de publications favorisées et bien sûr de rémunérations confortables. À ce tarif-là, ils justifient par tous les moyens trois objectifs principaux :

    D’abord assujettir les États-Nations à une plate-forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats financiers. Avec au début des simulacres d’élections, sans que les dirigeants désignés soient responsables devant le peuple. Le tout enrobé d’une propagande menaçante que chacun doit reprendre en chœur s’il veut éviter l’exil intérieur.

    Ensuite détourner le regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle de l’invasion migratoire qui est en train modifier radicalement leurs équilibres sociétaux ainsi que leurs modes de vie… Tout en attirant au profit des banksters des foules de manœuvres aisément manipulables ou remplaçables, pour peu qu’on satisfasse leurs lubies religieuses.

    Enfin parachever une paupérisation généralisée compensée par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation.

     

    Avec à la clé une restructuration économique destinée à favoriser la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure... Sans se priver du bonus de la docilité des peuples muselés. Abrutis par les mass médias et assez soumis pour avoir subi, sans se rebiffer, les diktats expérimentés de façon concluante lors de la crise sanitaire provoquée.

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/