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Education - Page 7

  • L'école, aujourd'hui

    Le journal Causeur a publié le 6 mars 2023 un article énonçant des exemples de cas signalés aux "parents vigilants".

    Et là… accrochez-vous! En voici quelques exemples:

    • Je suis enseignant dans un lycée professionnel dans l’Essonne. L’endoctrinement idéologique est permanent: écriture inclusive, dérives LGBT et pressions syndicales. Contredire leurs thèses nous expose à des représailles sournoises comme des poubelles vidées dans nos casiers ou menaces sur nos messageries.
    • Mon fils est en seconde. Le premier devoir demandé par le professeur d’anglais est le suivant: "Vous raconterez l’arrivée en France de l’un de vos parents immigré".
    • Un DM [devoir à la maison] donné par la prof d’histoire-géo de l’établissement catholique privé Saint-Joseph, à Roquebrune-Cap-Martin demande à l’élève de s’imaginer en Africain capturé par des Européens pour être vendu aux Antilles et travailler dans des plantations. La consigne insiste sur la partie "ressenti" du récit.
    • Je suis en première dans un lycée parisien. En SVT [sciences de la vie et de la Terre], on a parlé de la discrimination de genre pendant deux heures: les moyens de contraception, les types de sport que font les femmes et les hommes, etc. On cherche à nous faire culpabiliser pour ensuite nous déconstruire et nous faire devenir des filles.

    En Anglais, notre prof nous dit à chaque cours que l’on n’a pas le temps de faire de la grammaire. Les quatre chapitres que nous avons abordés sont: les bienfaits de l’immigration et le multiculturalisme, les gentilles éoliennes et le méchant nucléaire, le genre et les stéréotypes.

    En histoire-géo, ma prof est islamo-gauchiste. Lorsqu’on a étudié la démographie, elle nous a martelé que sans l’immigration la France serait un pays du tiers-monde et que toutes nos victoires militaires étaient dues aux immigrés. Elle nous explique que le grand remplacement est un fantasme d’extrême droite, que la campagne d’Éric Zemmour est financée par les Russes et que le Z tracé sur les chars russes est le Z de Zemmour.

    En SES [sciences économiques et sociales], notre professeur a clairement affiché son soutien à Emmanuel Macron. Pour elle, la taxe sur les moteurs thermiques c’est génial, et la fin de ceux-ci c’est formidable. L’Europe est la clé de tous les problèmes et, grâce à elle, l’électricité est peu chère en France.

    • Je suis en terminale dans un lycée agricole du sud de la France. Le jeudi 24 novembre 2022, des membres de SOS Méditerranée sont intervenus dans notre classe. J’ai quitté la salle et attendu que l’association finisse son exposé pour retourner en cours. Informés de mon absence, les professeurs m’ont dénoncé et j’ai pris quatre heures de colle.
    • Le CPE m’a imposé d’écrire une lettre de justification, puis j’ai été convoqué par le proviseur adjoint pour me justifier encore. Après un échange musclé avec ce dernier, qui me reproche un "comportement inadmissible", voire "raciste", les quatre heures m’ont finalement été retirées mais si je "récidive", je serai définitivement exclu du lycée.
    • Au lycée Montesquieu du Mans, le sujet du devoir de physique est de calculer l’énergie que va avoir une boule de pétanque lancée sur un policier!

    Et ce ne sont que quelques exemples. Allez lire les autres, ça vaut le détour.

    Une chose ressort de tout cela qui me frappe au plus haut point: comment la quasi totalité d’une profession, je devrais dire toutes les professions de l’Éducation nationale, a-t-elle pu se laisser gangrener à ce point par cette idéologie wokiste et en devenir le servile propagandiste?

    Combien sont-ils encore à résister?… certainement pas beaucoup.

    Le monde de l’enseignement est devenu l’un des plus détestables qui soit.

    Ils participent, sans état d’âme, à une décérébration de notre jeunesse et à un endoctrinement de masse. C’est par millions que sortent de l’Éducation nationale des jeunes qui sont incultes et ont subi pendant une quinzaine d’années un bourrage de crâne systématique pour leur inculquer de force les " valeurs de la République " et les notions progressistes et écologistes.

    C’est incontestablement le plus grand crime de ces dernières décennies.

    La "communauté enseignante" (sic), par sa lâcheté et sa complicité, a trahi toutes les valeurs de son métier et est la honte absolue de la nation.

    Si demain des enseignants, complices de tout cela, sont victimes d’agressions ou pire, que l’on ne compte pas sur moi pour avoir la moindre compassion pour eux.

    Ils seront les seuls responsables de leur triste sort, contrairement à Samuel Paty.

    Qui sème le vent récolte la tempête.

    Seuls ceux qui résistent et se battent contre le monstre qu’est devenue l’Éducation nationale gardent mon estime et mon respect.

    Pour morale de cette sinistre histoire, je rappelle simplement que le responsable de tout cela, le ministre Pap N’Diaye a parfaitement compris que ses enfants ne devaient surtout pas aller à l’Éducation nationale. Ils sont scolarisés à l’École Alsacienne de Paris. Un établissement privé ultra élitiste où l’on n’entre que sur dossier et moyennant quelque menue monnaie.

    Lui est sûr qu’ils y apprendront quelque chose, ce qui les aidera à faire partie des élites de demain.

    Quant aux autres qui sont à l’Éducation nationale, ils apprendront à être des citoyens bien formatés par les progressistes, obéissants et respectueux de tout ce qui ira dans le sens de la destruction de notre pays, sur la base de leur ignorance crasse et de leur embrigadement.

    Peut-être certains de ces jeunes feront-ils partie des élites demain, s’ils arrivent à survivre à cette machine à broyer les intelligences qu’est l’Éducation nationale.

    Ce qui ne sera pas le cas de l’immense majorité de leurs petits camarades.

  • Comment certains rackettent les commerçants de banlieue

    Alors, dans cette banlieue pauvre, comment se passaient les tentatives de racket dans le café de mes parents?

    Vous aviez plusieurs Arabes qui entraient dans le café, des jeunes, ils allaient s’asseoir et commandaient des consommations. Puis, au bout de quelque temps, ils commençaient à s’engueuler entre eux. Très fort. Agressivement. Histoire de déranger et d’effrayer le plus possible les autres clients présents. Puis ils déclenchaient une bagarre, entre eux uniquement. Très intelligemment ils n’agressaient jamais les autres clients, jamais (car il ne faut jamais agresser quelqu’un qui pourrait porter plainte contre vous). Durant cette bagarre, ils renversaient leur table, cassaient leurs verres, etc. Mes parents n’avaient même pas le temps d’intervenir que d’autres Arabes, des adultes cette fois-là, entraient aussitôt dans le café pour mettre fin à cette dispute entre eux.

    " Foutez le camp, bande de petits cons! Ne dérangez pas les honnêtes gens! Laissez-les tranquilles!! Allez, ouste, dehors! " À mes parents: " Excusez-les pour le dérangement occasionné, ce ne sont que des petits cons, mais on garde un œil sur eux, pour qu’ils n’emmerdent pas les gens. Dites-nous combien on vous doit pour les consommations et les verres cassés. On vous paye tout de suite. "

    Ils payaient et ils partaient. Quelques jours passaient, puis les jeunes Arabes revenaient ; et à nouveau, cris, bagarre, verres cassés, etc. Et à nouveau les adultes débarquaient pour les chasser et imposer le calme. Quand mes parents les avaient repérés et les foutaient dehors dès leur entrée, c’étaient d’autres jeunes Arabes qui prenaient le relais. Et rebelote.

    Et puis un jour… les Arabes adultes arrivaient, seuls. Et ils tenaient à mes parents ce type discours: " On voit bien que les jeunes de la cité qui viennent chez vous vous dérangent, et dérangent vos clients par la même occasion. On est les premiers désolés, vous savez. En plus, vos habitués, ne voulant plus être dérangés, et par peur, ne viennent plus chez vous. Du coup vous perdez de la clientèle et du chiffre d’affaires. C’est triste. Mais rassurez-vous, on va prendre les choses en main pour qu’ils ne dérangent plus les honnêtes gens comme vous! On va créer une association d’insertion, pour s’occuper d’eux et les remettre dans le droit chemin. Si on vient vous voir, c’est justement parce que nous cherchons à créer un partenariat efficace avec les commerçants du quartier, afin de mettre en place un système de mécénat constructif et généreux pour aider ces jeunes, en participant au financement de notre association. "

    Jamais n’étaient prononcés les mots: racket, menace, extorsion. Mais toujours les mots: solidarité, entraide, générosité. La manière d’agir, le vocabulaire employé, le tempo, tout était d’une intelligence et d’une subtilité incroyables.

    En sous-texte, le message était clair: si vous voulez la paix et ne pas finir ruinés, il faut payer!

    Mais devant un tribunal, c’était inattaquable. Aucune preuve. Rien que des personnes altruistes cherchant à aider les autres, et cherchant des fonds pour leur association d’insertion tout en surveillant les " jeunes " pour qu’ils n’embêtent pas les commerçants.

    Et le plus fort est que ce mode opératoire était répété dans les autres cafés! On y voyait les mêmes " jeunes ", les mêmes bagarres, les mêmes adultes venant instaurer le calme, etc.

    C’est-y pas beau l’ingéniosité!?

    Mais mes parents n’ont jamais cédé. Alors ce furent les représailles habituelles: innombrables agressions, coups, bagarres, voiture brûlée, menaces de mort, menaces de viol, coup de feu tiré sur la devanture du café, etc. Et puis " ils " revenaient " officiellement " pour demander si on ne voulait toujours pas faire preuve de générosité en aidant " les plus défavorisés " via une participation au financement de leur association… Mais mes parents ont toujours refusé de payer ; on a toujours pris ça à la rigolade.

    Que faire d’autre? Puisque notre société, inversant les rôles, nous expliquait que nos " agresseurs " étaient des " victimes ", et que nous " agressés " étions " coupables "! Grâce à ce redoutable inversement de valeurs, les coupables sont devenus des victimes et les victimes des coupables. Formidable! Surtout formidable manipulation de cette gôôche aujourd’hui exécrée jusqu’à la haine pour ça par bon nombre de Blancs pauvres de banlieue qui ne lui pardonneront jamais!! et qui ne rêvent que d’une chose: se venger!!!

    Quand dans une société où les gens ne rêvent plus " de vivre en paix ", mais rêvent " de tuer les traîtres et d’éliminer leurs ennemis ", il y a, comme qui dirait, un léger problème d’avenir en perspective…

    Cependant les islamo-racailles n’avaient pas renoncé au racket pour autant. Cela était resté ancré au fond de leur cerveau, comme une " idée à améliorer ". Jusqu’au jour où ils ont enfin trouvé la solution, le Saint Graal: ne plus racketter les commerçants, mais racketter l’État français!

    Bien plus rentable ; on passe de quelques milliers d’euros à des milliards d’euros!! Là on ne rigole plus, on joue dans la cour des grands. Pour caricaturer, ils ont créé des associations bidon et mis la pression pour faire " payer la paix sociale " à la France. Et pour cela, ils ont su s’y prendre avec maestria!!!

    Un jour, se saisissant d’un prétexte futile, un début d’émeute éclate et quelques voitures sont brûlées par les " jeunes " de la cité. Accourent alors journalistes et politiques qui se mettent aussitôt à faire ce qu’ils savent faire le mieux: ramper ventre à terre devant les racailles, et leur trouver toutes les excuses du monde… Devant les caméras, les adultes arabes lancent officiellement des " appels au calme ", clamant que la violence n’est pas la solution, que seul le dialogue compte. Bref, comme d’habitude, le discours habituel. Après leur déclaration rassurante, ils viennent prendre un café chez nous. Là, dans l’arrière-salle du café, dans un lieu calme et discret, ma mère entend ces mêmes adultes arabes enguirlander des jeunes arabes: " Mais qu’est-ce que vous foutez!? Vous croyez que c’est en brûlant quelques voitures seulement qu’on va toucher des subventions, il faut en brûler 10 fois plus et tout casser, bon sang!! Alors vous y retournez, et vous mettez le paquet cette fois-ci!!! "

    Voilà " d’où je parle " pour me foutre de la gueule des gauchistes. Je parle d’un endroit où les minorités ethniques, justement soutenues et encouragées par les gauchistes, avaient compris que les politiques français, généreux, parce que lâches, récompensaient la délinquance et tout en même temps muselaient impitoyablement leurs victimes blanches en les traitant de sales racistes et d’ordures de fascistes.

    Existe-t-il plus beau moyen d’inciter tous les jeunes arabes et noirs à devenir délinquants!?

    Les gens de gôôches… des manipulateurs de génie!

    Quantité de gamins arabes et noirs, destinés à devenir des gens bien, ont pour leur plus grand malheur croisé des gens de gôôche sur leur chemin, puis, les écoutant, sont devenus des délinquants avec entrain.

    Dans Vois sur ton chemin, une des chansons principales du film Les Choristes, les paroles sont les suivantes:

    Vois sur ton chemin

    Gamins oubliés égarés

    Donne-leur la main

    Pour les mener

    Vers d’autres lendemains.

    Eh bien, bon nombre d’ordures de politiques, de salopes journalistiques et de traîtres d’intellectuels et de professeurs de gôôche, ont pris d’un côté la main des enfants noirs et arabes pour les emmener sur le chemin de la délinquance et de la haine de la France ; et de l’autre côté, la main des enfants blancs pour les emmener sur le chemin de la repentance, de la honte de soi, et de la haine de la France.

    Quand certains de ces soixante-huitards de merde n’ont pas pris des enfants par la main… pour carrément les emmener dans leur lit… afin de les violer.

    Pour avoir endoctriné tous les enfants de la France et détruit leurs vies, la place de tous ces gens est de se retrouver devant un tribunal populaire pour haute trahison envers les enfants de la nation!

  • Hommage aux poilus de 14-18

    Le Clairon

    Le clairon sonne au loin, forçant les fatigues.

    Des regards morts sur des visages meurtris

    Se lèvent, affirmant le doute, l’incompris.

    Des larmes s’écoulent rompant l’immense digue.

     C’est un soleil et non le temps d’une boucherie

    Qui, ce jour, se lève. Des ombres s’avancent,

    Le long des tranchées de la désespérance.

    De la terre, s’ouvrent des bouches noires de carie.

     –

    Le clairon balaye les frontières de mort.

    Des cris et des rires venant de l’ennemi,

    Se mêlent aux joies de tous nos soldats amis.

    Oubliée la haine, le désespoir et les torts.

     –

    Des tranchées sortent des hommes vivants sous terre,

    L’uniforme invisible, ils regardent le ciel.

    Le clairon sonne la fin des combats. Si fier.

    Redonnant la vie, face au monde fou et cruel !

    Les hommes titubent. L’officier devient le frère.

    Les larmes écoulant le trop-plein de haine

    Les rancunes, les frères morts laissés en terre

    La guerre est finie. La paix entre en scène.

     –

    Ils reviendront dans leurs foyers ces gueules cassées

    Ces soldats d’une guerre civile. La grande guerre !

    Guerre ou l’Europe entière s’est suicidée

    Apportant un siècle de lutte et de misère.

     –

    Le clairon sonne la fin des combats, la paix !

    L’avenir porte un nom. L’espoir d’une autre vie!

    Une vie qui retrouve un prix. Souvent oublié !

    Ce jour à un autre goût. La guerre est finie.

    Gérard Brazon

  • Solution pérenne????

    Toulouse : les migrants expulsés squattent le collège Bellefontaine, puis sont délogés par les habitants du quartier

    Les mineurs isolés, migrants pour la plupart originaires d’Afrique de l’Ouest, qui avaient été expulsés le 26 août de l’ancien Ehpad des Tourelles, à Toulouse, ont tenté, hier, de s’installer dans les locaux de l’ancien collège Bellefontaine, dans le quartier de Reynerie.

    En début d’après-midi, une centaine d’entre eux, soutenus par des collectifs, sont entrés dans les locaux. Ils ont installé une chaîne sur la grille de l’entrée, et posé un drap, sur lequel était inscrit: “Nous avons besoin d’un hébergement collectif“.

    Quelques jets de projectiles, mais un départ dans le calme

    Quelques minutes après leur arrivée, des habitants du quartier de Bellefontaine et Reynerie, dont les immeubles sont situés à quelques mètres de l’entrée du collège, les ont priés de quitter les lieux. Selon nos informations, il n’y aurait pas eu d’échauffourée. En revanche, des jets de projectiles ont fait comprendre aux migrants qu’ils devaient quitter les lieux. La police nationale est intervenue pour sécuriser leur départ, et les migrants sont partis sans heurts.

    […]

    Les migrants, eux, sont repartis en métro. Certains seraient repartis vers le campement des allées Jules-Guesde, où ils dorment dans des tentes depuis le 26 août. Le conseil départemental de Haute-Garonne, propriétaire des locaux de l’ancien collège Bellefontaine, a confirmé hier que ses locaux “accueillent toujours des activités de loisirs pour la jeunesse du quartier”. Le président du conseil départemental, Georges Méric, “rappelle la nécessité de trouver une solution pérenne à l’accompagnement de ces migrants” et appelle à la “pleine et entière mobilisation des acteurs de ce dossier, que sont l’Etat et la mairie de Toulouse”.

    La Dépêche

    Une solution pérenne? expulsion vers leur pays!

  • Moi, l'auteur du blog, née en 1950

    Cet article pour me rebeller!!!

     

    Est-il juste et réfléchi, de traiter de profiteurs égoïstes tous les gens nés aux alentours de 1950?

    La raison de cette accusation est assez astucieuse, en vérité. En accusant toute une génération, on détourne les reproches justifiés qui devraient viser la gauche. Rappelons un seul chiffre: le nombre de candidats au bac en 1968 est de 208 000, soit un peu moins que le quart des naissances en 1950: 862 000.

    Autant dire que le mouvement, d’abord estudiantin et qui l’est resté pour une bonne part, au moins dans ses manifestations violentes, ne concernait qu’une minorité des personnes de l’époque.

    J'ai commencé à l'usine à 14 ans! et je travaille encore!

    es manifestants et agitateurs qui "foutaient le bordel", selon les mots de la bourgeoisie de droite d’alors, étaient surtout des jeunes bourgeois de gauche, souvent enfants des premiers. Souvenons-nous de ce père, bourgeois de droite exaspéré, incendiant lui-même la voiture qu’il avait offerte à son fils, très impliqué dans le mouvement libérateur.

    Il serait injuste de jeter tout ce qui est arrivé en 1968, l’ambiance récré, les gens qui se mettaient à se parler, l’augmentation des bas salaires, misérables à l’époque, même si elle fut vite avalée en partie par l’inflation.

    On en profitera pour dire, comme beaucoup l’ont oublié, qu’une large proportion de la population restait pauvre à l’époque, même si la prospérité, à grand renfort de voitures, télévisions, machines à laver, etc. commençait à se diffuser dans le pays depuis le début et surtout le milieu des années 1960. Ceux qui croient que la richesse matérielle de la France remonte à loin ont la mémoire courte.

    Ainsi, les boomers aujourd’hui mis en accusation ont pour la plupart beaucoup travaillé, pour de petits salaires au début de la période. S’ils n’ont pas connu le chômage, c’est justement parce qu’ils bossaient, fréquemment depuis l’âge de 14 ans. Cela relativise les remarques sur les jeunes d’aujourd’hui, génération sacrifiée qui poursuit des études souvent hasardeuses jusqu’à un âge avancé, quand ce ne sont pas de pures études d’agrément…

    Ajoutons que les retraités boomers, qui ont beaucoup cotisé, ont des retraites beaucoup moins avantageuses que celles de la génération précédente, retraites par ailleurs quasiment bloquées depuis six ans au moins, ce qui est une véritable spoliation.

    Si aujourd’hui la France va mal, ce n’est pas à l’ensemble des "boomers" qu’il faut le reprocher. En revanche, la gauche notamment issue de mai 68 a une responsabilité écrasante dans la faillite politique, économique et morale que connaît notre pays. Les "petits maîtres" de la gauche soixante-huitarde, comme on les a justement appelés, ont pris le pouvoir en politique mais surtout se sont arrogé le pouvoir moral, relayé par tous les médias, en passant par Libé, Le Monde, Télérama, pour ne citer que ceux-là.

    Le pire dans cette affaire, c’est que même les partis dits de droite ont été presque totalement contaminés par les idées les plus destructrices, notamment dans le domaine dit "sociétal". Déjà Maurice Druon notait il y a longtemps: en France, il y a deux grands partis, tous deux de gauche, mais dont l’un est appelé "de droite" par convention.

    Nul n’ignore par ailleurs que les petits maîtres ont envahi l’Éducation nationale, réinventant pour les enfants une histoire de France honteuse, esclavagiste, colonialiste, collabo etc. On a bâti une France collabo, où tous ceux qu’on allait bientôt appeler les "Franchouillards" ne pensaient qu’à s’enrichir au marché noir et à obéir servilement aux Allemands.

    Tout cela est faux, l’immense majorité des Français détestaient les Boches et s’efforçaient de pratiquer une résistance passive. Il fallait élever ses gosses, et tout le monde n’est pas un héros. Et malgré un antisémitisme très répandu à l’époque, beaucoup de Français ont sauvé leurs voisins juifs.

    Aujourd’hui, il est bien commode d’accuser les boomers de tous les maux. Accusons-les, oui, mais en désignant ceux qui ont bâti cette gauche méprisante (qu’on se rappelle le film " Dupont la Joie "), arrogante, se croyant supérieure en tout, et détestant ce peuple qu’elle était censée défendre, mais qu’elle trouvait " pue-la-sueur ", ridicule avec son goût pour le camping et la bière à bon marché.

    Certes, les boomers dans leur ensemble n’ont pas su transmettre le merveilleux patrimoine de la culture française et l’amour légitime du pays. Mais il était bien difficile de défendre les enfants et les jeunes contre les puissants "éducateurs" du temps: l’école, la télé, la radio, puis l’ordinateur, le téléphone etc. Beaucoup ont été faibles, lâches, c’est vrai. Beaucoup avaient honte de ne pas avoir les "bonnes idées".

    Et c’est d’autant plus terrible qu’une large majorité, sans doute, n’épousait pas les idées et commandements en vigueur. C’est ainsi qu’on a laissé les jeunes s’éprendre d’une vaste entreprise commerciale à succès à base de vulgarité, d’obscénité souvent, de haine presque toujours et, peut-être surtout, de laideur: le rap. Les vieux croyants vous diront que le goût voire le culte de la laideur est "satanique". Mais on sait que la plus grande ruse de Satan est de faire croire qu’il n’existe pas.

    Aujourd’hui encore, bouclant la boucle, les enfants de la "gauche caviar", si bien nommée et si désastreuse, font souvent le même choix que la jeunesse dorée de 1968, celui de l’extrême-gauche, des pavés, de la violence et de la casse. Peut-être faut-il en passer par là pour changer d’époque.

    On rappellera en passant ce mot du cinéaste italien Pasolini, lequel, sans aimer spécialement la police, déclarait ceci lors de manifs de la jeunesse: "entre les étudiants manifestants et la police, je choisis les policiers, car ce sont eux les vrais fils du peuple".

    Mais où sont aujourd’hui les fils du peuple, où est le peuple?

    Didier Blonay

    Source:

  • La rage des autres!

    Les lâches s'attaquent aux personnes vulnérables!

    Nous nous sommes habitués, au fil des années, à cette longue litanie de faits divers, au cours desquels cette engeance commet des crimes crapuleux à nos dépens pour dérober un bijou, une montre, de l’argent ou un téléphone portable. Ces faits qui auraient été considérés comme d’une extrême gravité il y a quelques décennies sont devenus d’une banalité navrante et ne sont que rarement couverts par la presse nationale. Seuls les journaux locaux les relatent encore quand ils ont besoin de remplir une page, entre un article sur la fête de Noël de la maison de retraite et l’inauguration de la nouvelle salle des fêtes.

    Source:

     

    Source:

    Le phénomène nouveau et inquiétant réside dans la gratuité de la violence exercée à l’égard de ces personnes vulnérables. En effet, il apparaît que ces attaques ne sont même plus crapuleuses au sens propre du terme, mais s’apparentent plus exactement à un loisir pour ceux qui les commettent.

    De pauvres handicapés se font tabasser parce qu’ils ont croisé le regard d’une raclure, ou justement parce qu’ils ont détourné le regard, lui manquant ainsi de respect. Ici un paraplégique frappé car un clando tunisien était irrité de manquer son bus, là un retraité roué de coups car il ne roulait pas assez vite.

    Les victimes sont désemparées. Pourquoi ? Pourquoi moi ? Qu’ai-je donc fait pour mériter ça ? Ces actes échappent à la grille de lecture de bon nombre de nos compatriotes qui en sont traumatisés. Pour quelle raison ces barbares commettent-ils ces actes ignobles alors qu’ils n’ont rien à y gagner ?

    Répondre à cette question c’est se demander pourquoi le scorpion pique la tortue sur le dos de laquelle il se trouve pour traverser la rivière. Parce que c’est un scorpion.

    Une vidéo récente, tournée dans le zoo de Planckendael en Belgique, a beaucoup ému les internautes. On y voit un lion qui s’ennuie dans son enclos. Il est repu, comme tous les animaux dans les zoos qui sont nourris chaque jour à heures fixes. Une cigogne se pose près de lui, insouciante. Elle n’a probablement jamais vu de lion de sa vie. Soudain, sans raison apparente, le lion se jette sur elle et la dévore. Pourquoi fait-il cela ? Certainement pas pour se nourrir. Le lion a attaqué la cigogne car c’est un lion. Il en avait juste envie et avait pleinement conscience qu’il ne risquait rien.

    Dans son habitat naturel, jamais le lion ne se serait permis cela avec un de ces congénères ou avec un animal ayant du répondant comme un rhinocéros ou un éléphant. D’instinct il aurait compris que les conséquences pourraient s’avérer dévastatrices pour lui.

    Les centaines de milliers de clandestins africains qui hantent nos villes n’attaquent plus les gens pour se nourrir. Il y a pléthore d’associations pour s’en charger. Ils sont désœuvrés car il n’y a simplement pas de place pour eux au sein de notre société. Ils n’ont ni la capacité, ni d’ailleurs l’envie de s’intégrer. De plus il est évident que les pays africains ne nous envoient pas en priorité leurs universitaires fin lettrés ou leurs scientifiques de haut niveau. Il n’est pas interdit de penser qu’ils poussent au départ vers notre pays leurs petits criminels et autres déchets de leurs sociétés. C’est certainement ce qui explique qu’ils sont si réticents à les reprendre quand nous souhaitons les expulser.

    Les gauchistes nous expliquent que c’est la frustration qui engendre ces comportements déviants et qu’il suffirait que nous fassions plus d’efforts pour les accueillir pour que tout ceci rentre dans l’ordre.

    Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais personnellement je n’ai que rarement poignardé un handicapé à mort lors de mes épisodes de frustration, fussent-ils intenses, même lors de la réélection de Chéri-Bibi.

    Quant à leur intégration dans notre société ou dans le monde du travail, il faut admettre que la carte mondiale des QI ne plaide pas en leur faveur et ne laisse que peu d’espoir à ce sujet. Je concède bien volontiers que les tests de QI occidentaux ne mesurent que très mal la forme d’intelligence qu’un berger nomade malien doit nécessairement posséder afin d’assurer sa survie et celle de ses chèvres, mais ils évaluent parfaitement la capacité d’un individu à évoluer dans notre société.

    Ces gens cumulent deux traits de caractères qui forment un cocktail explosif. D’une part ils sont habitués à la violence. Ils n’ont pas grandi dans une société policée comme la nôtre. Une de mes connaissances, qui a grandi au Tchad, m’avait confié que durant son enfance il avait assisté au règlement d’un différend entre villageois à coup de sagaie ! Une arme de la préhistoire !

    D’autre part, l’islam leur confère à notre égard un sentiment de supériorité spirituelle qui peut paraître incongru à nos yeux, j’en conviens, mais cependant bien réel aux leurs. Pour eux nous ne sommes que des mécréants, des sous-chiens dégénérés à la pogne de leurs « gazelles » comme ils disent. Quand on sait qu’être traité de chien est l’insulte suprême dans le monde musulman, il faut bien prendre conscience de ce que cela implique quant à la place que nous occupons sur leur échelle de mesure du respect.

    Par conséquent, passer ses nerfs sur un paraplégique à la sortie d’un arrêt de bus, ce qui pour vous est le sommet de la lâcheté et de l’abjection, n’est pour eux qu’un simple geste de mauvaise humeur. Ils le font car ils le peuvent. Tout comme le scorpion et le lion. Ils n’ont aucun remord. Je suis convaincu qu’ils ressentent même un profond et sincère sentiment d’injustice d’être réprimandés à ce sujet.

    Ils savent également qu’ils n’auront jamais à répondre de leurs actes car la réponse pénale française est inexistante, tout comme ils savent que le paraplégique et le retraité ne seront pas en mesure de riposter. Il est en effet fort rare de voire des clandestins s’attaquer à un groupe de rugbymen dans un bus.

    À cette situation vient s’ajouter un facteur aggravant : la volontaire détérioration du matériau humain que produit notre société. Il n’est pas rationnel de regretter que les passants n’interviennent jamais en cas d’agression quand on émascule nos enfants dès le plus jeune âge en leur inculquant que si Mokhtar te plante son compas dans la main, il ne faut surtout pas se faire justice soi-même et vite aller se plaindre à la maîtresse. Mokhtar, lui, a appris à mettre des bourre-pifs avant de savoir marcher, encouragé par sa maman.

    Ces mêmes enfants, élevés dans l’illusion de l’existence d’un état de droit, deviendront des adultes dépourvus de tout instinct de conservation, qui seront des proies faciles pour tous ces braves clandestins.

    Il n’y a pas trente-six solutions pour se protéger de ces bêtes sauvages. Nos enfants doivent apprendre à se battre dès leur plus jeune âge. Et je ne parle pas de cours de self défense bidon ou d’aïkido, qui s’apparentent plus à du tango entre cadres supérieurs qu’à un vrai sport de combat. Il faut les envoyer s’entraîner dans les clubs miteux de boxe, là où ça cogne, là où les coups sont portés et font mal, là où justement se trouvent les populations qu’ils seront amenés à combattre, même si nous sommes naturellement plutôt enclins à leur épargner la fréquentation de ces nuisibles.

    Faire l’économie de cet effort, c’est prendre le risque qu’ils finissent comme la cigogne.

    Alain Falento

     

    Civilité ou civilisation ?

    Pour plusieurs philosophes et divers essayistes, les Français sont devenus des consommateurs – quelle découverte ! – et n’ont pas la moindre civilité.

    La politesse manque car elle n’est pas ancrée dans le cœur et l’esprit. Le consumérisme, lui, vint bien avant la décomposition de la société ; sans doute est-il le fruit des Trente Glorieuses et de l’aisance sociale qui en vint. Outre qu’il est le fruit du progrès technologique et de la massification de la publicité au travers des médias. Mais est-il autre que celui que nous avons vécu dans les années soixante à quatre-vingt-dix ? Je ne le crois pas. S’il était idiot de nier la multiplication des flux commerciaux, je ne vois pas qu’acheter un smartphone moderne et pratique soit de nature autre qu’acquérir une chaîne HiFi en 1980 ou un ordinateur moderne dans les années 90.

    Le regard que nous portons sur nos concitoyens ne peut se limiter au vocable de consommateur.

    À l’inverse, il est vrai, comme le souligne Onfray, que les Français manquent de culture. Et surtout d’une culture partagée. Le vivre-ensemble ne se peut sans cette communauté d’Histoire qui forme une part des comportements de l’Homme. Et si dénoncer le wokisme comme le fait le philosophe susnommé est une saine révolte de l’esprit, on eût aimé que celle-ci fût aussi sonore pour dénoncer le mariage pour tous et autres folies que nous promet l’avenir conçu par des dingues. Passons… Mais soulignons à temps et à contre-temps que c’est cette dénonciation que nous attendons de nos élites politiques, sociales, religieuses et éducatives.

    Poussons l’observation des comportements actuels : plus qu’un manque de civilité, on peut parler d’une absence de civilisation. Quelle est la nôtre ? Celle où tout est permis, où l’amitié avec ses voisins n’a plus cours, pas plus que le souci des pauvres et des vieillards dont on laisse le soin à l’État ?

    Plus que la simple absence de civilité, je crois que nous ne savons plus quelle civilisation nous meut. Les évêques ne fulminent plus le moindre anathème lors que les occasions leur en sont pourtant souvent données par les lois bioéthiques, les penseurs n’osent protester devant les folies déstructurantes du mariage pour tous, et les politiques sont couards.

    Ainsi, et bien que la civilité paraisse être une fort belle et bonne chose, si celle-ci n’est plus, c’est que l’éducation n’est plus transmise de façon cohérente et dans la recherche du bien commun par les parents, les professeurs, les divers éducateurs, et les élites – civiles et religieuses.

    Devant ce constat nous devons prendre conscience que nous ne savons plus quelle société nous formons, car nous ne sommes plus habités par celle-ci. Les uns en apportent une autre sans vouloir s’intégrer dans celle qui nous forma. Et les autres, nous-mêmes, ne savons plus et n’osons plus affirmer et transmettre la nôtre, pas plus que nous ne nous révoltons devant les atteintes que les gouvernants y apportent.

    Devant ce vide de l’esprit civilisateur, la jeunesse vit dans l’immédiateté et l’individualisme. Une autre part vit selon ses lois: celles du plus fort, celles où tout est permis. Une troisième, qui se veut intellectuelle, indignée ou révoltée, n’ayant plus à abattre la société pré-soixante-huitarde, s’invente des causes wokistes pour exister et contester la société établie. Le politique, quant à lui, toujours soucieux de préserver ses places et de ne déplaire à ceux qui s’expriment ou à qui les médias donnent audience, s’en fait le relais.

    La civilité réclamée par les uns ne viendra que par une civilisation partagée et transmise. Pour l’instant ça manque!