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Le courage! sentiment inconnu aujourd'hui...
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Ce pays est foutu
Avignon: le lancer d’élèves interdit à la Trillade
Il n’empêche, depuis la mi-septembre, deux affichettes attachées sur le côté du portail de l’établissement servent de support à un message clair, qui laisse incrédule…
Dessin à l’appui, on peut lire sur la première: “Je ne lance pas mes enfants par-dessus le portail !” Et la seconde de préciser: “Quand je suis en retard, je reviens à 10 heures, ou 15 heures”.
“Des parents qui arrivaient après la sonnerie jetaient littéralement leurs enfants”, assure Sanaa Meziane en étouffant un rire nerveux qui trahit sa consternation.
[…]
L’article dans son intégralité sur La Provence
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Crétin un jour, crétin jusqu'au bout!
Hommage à De Gaulle: Macron fait une faute de conjugaison sur le livre d’or
"Les traces qui nous permettrons": Emmanuel Macron rend hommage à de Gaulle et fait une faute de conjugaison
Le président a écrit un court hommage au général de Gaulle dans le livre d’or de la maison. Voici le texte, tel qu’en lui-même: "Cinquante ans plus tard, le souvenir vivace du Général de Gaulle demeure une source d’inspiration pour notre Nation, notre République. Puissions nous trouver en ces lieux, en ses choix, les traces qui nous permettrons (sic) de bâtir notre action pour la France. En fidélité."
"Les traces qui nous permettrons"…
Emmanuel Macron, président de la République française
9 novembre 2020 pic.twitter.com/jENbhceELw
— René Chiche (@rene_chiche) November 9, 2020
www.lefigaro.fr
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Lannion (22): Ils avaient séquestré un couple de septuagénaires, 4 individus originaires de Montreuil interpellés, “l’un a été mis en cause par la police 95 fois, un autre 56 fois”
Le 31 mai 2020, un couple de septuagénaires avait été séquestré à son domicile de Lannion. Les quatre malfaiteurs étaient repartis avec leur collection de pièces de monnaie en argent.
Les auteurs présumés, originaires de Montreuil, en région parisienne, ont été interpellés le 3 novembre par la police judiciaire de Paris. "80% du butin a été retrouvé", annonce Daniel Kerdraon, à la tête du commissariat de Lannion.
Les quatre individus, âgés d’une trentaine d’années, ont été écroués à l’issue de leur garde à vue. Leur casier judiciaire est déjà bien chargé. "L’un a été mis en cause par la police 95 fois, un autre 56 fois", énumère le commandant.
(…) Le Trégor
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Mons-en-Baroeul (59): Émeutes urbaines, 40 tirs de mortiers contre pompiers et policiers, aucun “jeune” interpellé
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Sans lui
Le journal "LE MONDE" a viré180° !
Certains journalistes ne seraient-ils plus aux ordres?
Tiens un journaliste qui ose en France. Ça surprend non.
Le journal "LE MONDE" a viré à 180° !
UN DE SES JOURNALISTES ÉCRIT CECI :
Sans l'islam, personne ne contesterait les sapins de Noël dans la rue, ni les crèches dans les mairies.
Sans l'islam, nous ne subirions pas la présence de 2500 mosquées, à raison d'une nouvelle par semaine, payées tantôt par les émirats du Golfe, tantôt par les pays d'Afrique du Nord, et la plupart du temps avec nos impôts.
Sans l'islam, autour de ces mosquées, nous n'assisterions pas à la mise en place d'un État dans l'État, où le petit État islamique ronge de plus en plus le grand État républicain et lui impose ses codes
Sans l'islam, nous n'assisterions pas à une recrudescence d'agressions homophobes, antisémites et sexuelles, encouragées par les textes sacrés du Coran et la vie de Mahomet.
Sans l'islam, nous n'assisterions pas, dans certaines périphéries urbaines, à la mise en place d'une politique de Grand remplacement, de changement de peuple et de civilisation.
Sans l'islam, Saint-Denis serait toujours la ville des rois de France.
Sans l'islam, nos policiers ne subiraient pas une guerre quotidienne, visant à saper l'édifice de l'État français.
Sans l'islam, nous n'aurions pas de halal dans l'armée française, ni des militaires musulmans qui refusent de se battre contre leurs frères.
Sans l'islam, nous n'aurions pas, sur le territoire français, la mise à mort barbare d'animaux égorgés sans étourdissement (halal), qu'on laisse agoniser pendant un quart d'heure.
Sans l'islam, nous n'aurions pas l'impression, dans certains quartiers, d'avoir changé de continent.
Sans l'islam, le Qatar ne serait pas en train d'acheter des pans entiers de la France.
Sans l'islam, nous ne subirions pas sur les plateaux de télévision, les enfumeurs comme Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dalil Boubakeur, Dounia Bouzar et bien d'autres, qui roulent dans la farine les ignorants en leur faisant le coup de la RATP.
Sans l'islam, un Français d'origine pourrait aimer une née-musulmane sans être obligé par sa belle-famille de se convertir.
Sans l'islam, il y aurait moins de crachats sur les trottoirs, et le maire de Béziers n'aurait pas été obligé de faire un arrêté municipal pour sanctionner les fautifs.
Sans l'islam, nos médecins et l'ensemble du personnel médical ne risqueraient pas de se faire agresser par des maris violents qui refusent qu'un homme observe leur épouse.
Sans l'islam, nous n'aurions jamais subi, dans un pays laïc, des prières musulmanes sur nos trottoirs ou dans les rues, afin de marquer la volonté d'occupation de l'espace public.
Sans l'islam, les enfants juifs pourraient encore aller dans les écoles publiques en Seine Saint-Denis.
Sans l'islam, on pourrait enseigner la Shoah et parler de Charles Martel dans nos écoles.
Sans l'islam, nous n'aurions pas d'appel au muezzin par haut parleur, comme à Nanterre.
Sans l'islam, nous n'aurions pas de revendications alimentaires dans nos cantines scolaires, dans les entreprises.
Sans l'islam, nous n'aurions pas d'accompagnatrices marquant leur religion par un voile lors des sorties scolaires.
Sans l'islam, nos enfants ne seraient pas en danger, lorsqu'ils mangent halal sans que leurs parents ne le sachent, à cause du bacille e-coli, comme nous en alerte le docteur Alain de Peretti.
Sans l'islam, il y aurait davantage de places dans nos prisons.
Sans l'islam, les Français ne connaitraient pas la souffrance de voir leur pays défiguré...
Sans l'islam, ils pourraient savourer les douceurs, les insouciances délicieuses et les frivolités légères qu'offre souvent la vie.
Sans l'islam, les chers souvenirs resteraient doucement mélancoliques et ne seraient pas devenus des regrets brulants de nostalgie et de rancœur.
Sans l'islam, le passé ne serait pas si présent, sans l'islam, l'avenir ne serait pas si terrifiant...
Sans l'islam, nous ne subirions pas dans la rue, les tenues guerrières des salutistes en djellaba ou en kamis.
Sans l'islam, il y aurait beaucoup moins de bénéficiaires de la CMU et de l'AME, considérée comme une nouvelle version des razzias du 21ème siècle dans l'esprit de certains musulmans.
Sans l'islam, on pourrait consacrer davantage d'argent à nos malades et à nos retraités, sans oublier toutes les aides utiles qui font avancer une société.
Sans l'islam, nous ne subirions pas, un mois par an, le cirque du ramadan, avec le bruit, les violences et les entreprises désorganisées.
Sans l'islam, après le ramadan, il y aurait moins d'absentéisme à l'école.
Sans l'islam, nous n'aurions pas des abattoirs mobiles où les jeunes garçons prennent l'habitude de voir égorger des animaux de manière barbare.
Sans l'islam, nous n'aurions pas des clips agressifs, sexistes et racistes, de rappeurs haineux.
Sans l'islam, les sites internet ne seraient pas pollués par des messages haineux et menaçants, qui nous menacent de mort, disent qu'ils vont faire la loi dans notre pays, et que nous sommes foutus.
Sans l'islam, nous ne partagerions pas les angoisses de Michel Onfray, jugeant que dans cinquante ans, notre pays sera intégralement sous domination musulmane.
Sans l'islam, il n'y aurait plus de péril fasciste en France, et nous pourrions jouir de tous les charmes d'un pays formidable
Sans l'islam, nos enfants ne seraient pas confrontés à un choix terrible devenir résistants ou dhimmis, avec forcément beaucoup de dégâts dans les deux cas.
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Dessin politique
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FRANCE, j'écris ton nom!
La Marseillaise
Premier couplet
Allons, enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé, (bis)
Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats?
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils, vos compagnes !
Refrain:
Aux armes, citoyens,
Formez vos bataillons,
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !
Couplet 2
Que veut cette horde d'esclaves,
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)
Français, pour nous, ah ! quel outrage !
Quels transports il doit exciter !
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage !
Refrain
Couplet 3
Quoi ! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers !
Quoi ! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers ! (bis)
Grand Dieu ! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient !
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées !
Refrain
Couplet 4
Tremblez, tyrans, et vous, perfides,
L'opprobre de tous les partis,
Tremblez ! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix ! (bis)
Tout est soldat pour vous combattre,
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre !
Refrain
Couplet 5
Français, en guerriers magnanimes,
Portez ou retenez vos coups !
Épargnez ces tristes victimes,
À regret s'armant contre nous. (bis)
Mais ces despotes sanguinaires,
Mais ces complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !
Refrain
Couplet 6
Amour sacré de la Patrie,
Conduis, soutiens nos bras vengeurs.
Liberté, Liberté chérie,
Combats avec tes défenseurs ! (bis)
Sous nos drapeaux que la victoire
Accoure à tes mâles accents,
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !
Refrain
Couplet 7
(dit "couplet des enfants“)
Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus,
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus (bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.
Refrain
FRANCE, j'écris ton nom:
LIBERTÉ D'EXPRESSION
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Si les c... pouvaient voler...
... ils seraient nombreux à tourner autour de la lune
Un professeur juge le décolleté d'une collégienne "trop voyant": le coup de gueule de son père
Ce mardi 22 septembre, un professeur aurait fait des remarques au sujet de ses vêtements à une élève scolarisée en classe de 3e au sein du collège Arthur-Rimbaud de Belfort. L’enseignant aurait notamment jugé la tenue de la jeune fille "vulgaire" et son décolleté "trop voyant".
C‘est cette tenue, portée ici par l’élève concernée, qui aurait été pointée du doigt ce mardi matin en cours de mathématiques au collège Arthur-Rimbaud.
La polémique liée aux tenues vestimentaires acceptables ou non au sein d’un établissement scolaire semble gagner du terrain. En ce début de semaine, à Belfort, le collège public Arthur Rimbaud s’est retrouvé pointé du doigt sur les réseaux sociaux. Ce mardi 22 septembre, dans la matinée, un professeur aurait tenu des propos concernant la tenue vestimentaire d’une élève scolarisée en classe de 3e au sein de l’établissement belfortain.
Débardeurs et décolletés bannis en classe, un prof irrite ses étudiantes à Besançon
"Ce mardi matin, ma fille, âgée de 14 ans, s’est rendue au collège habillée comme elle peut l’être régulièrement. Elle portait des baskets, un pantalon noir, un débardeur et une veste. Rien de très provocateur", indique le Belfortain David Paufert, le père de la jeune fille. Il continue: " En rentrant en cours de mathématiques, avant même qu’elle ne soit assise, son professeur lui a dit, devant tous les autres élèves, que son décolleté était trop voyant, que sa tenue était vulgaire et qu’il ne comprenait pas comment on avait pu la laisser rentrer au collège habillée comme cela".
"Je ne veux pas en rester là"
Suite à cette remarque, l’élève ne reste pas indifférente. " Elle a essayé de fermer sa veste mais elle ne pouvait pas. Un camarade lui a alors prêté son pull pour qu’elle puisse cacher ses morceaux de peau ", reprend le père de famille. Ce dernier nous indique que, après les faits, sa fille s’est sentie "humiliée et choquée". "Je ressens chez elle une sorte de culpabilité. Elle est très pudique, très prude. Aujourd’hui, je me retrouve avec une gamine qui ne pourra peut-être plus s’habiller sans avoir peur du regard des autres. Dans la construction d’une adolescente, ce n’est pas anodin".
Le professeur s’est excusé
Ce mercredi matin, suite à cet événement, le principal de l’établissement a rencontré le professeur en question pour notamment lui demander de s’excuser auprès de l’élève. Ce qu’il a fait. " Ma fille m’a expliqué qu’il n’avait pas l’air d’être sincère. Elle n’a pas accepté ces excuses", raconte David Paufert. "J’ai pris contact avec la direction académique du Territoire de Belfort. Je ne veux pas en rester là. Je veux que cela serve de message d’alerte".
De son côté, ce jeudi, Philippe Naas, le principal du collège Arthur-Rimbaud, confirme les faits mais estime laconiquement que "la réaction globale est disproportionnée par rapport aux propos qui ont été tenus".