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Education - Page 13

  • Faut-il-en rire ou bien pleurer?

    Une université américaine crée une IA pour détecter les discours de haine sur internet, et se rend compte qu’ils viennent principalement des “minorités”

    Une nouvelle étude de l’Université Cornell révèle que certains systèmes d’intelligence artificielle créés par les universités pour identifier les “préjugés” et les “discours de haine” en ligne pourraient eux-mêmes avoir des préjugés raciaux et que leur mise en œuvre pourrait se retourner contre eux, conduisant à une surveillance excessive des voix des minorités en ligne.

    Une nouvelle étude de l’université de Cornell révèle que les pratiques d’apprentissage automatique derrière l’IA, qui sont conçues pour signaler le contenu en ligne offensant, peuvent en fait “discriminer les groupes qui sont souvent la cible des abus que nous essayons de détecter”, selon l’étude.

    L’étude impliquait des chercheurs qui formaient un système pour signaler les tweets contenant du “discours de haine”, de la même manière que d’autres universités développent des systèmes pour une éventuelle utilisation en ligne, en utilisant plusieurs bases de données de tweets, dont certaines avaient été signalées par des évaluateurs humains comme offensantes.

    “Les résultats montrent des preuves de biais raciaux systématiques dans tous les ensembles de données, car les classificateurs ont tendance à prédire que les tweets écrits en anglais afro-américain sont abusifs à des taux sensiblement plus élevés. Si ces systèmes de détection de langage abusifs sont utilisés dans le domaine, ils auront un impact négatif disproportionné sur les utilisateurs des médias sociaux afro-américains”, poursuit le résumé.

    Mais l’IA de Cornell a ajouté une autre variable non utilisée par d’autres universités. À l’aide d’une combinaison de données de recensement, de données de localisation de tweets et d’un langage spécifique à la démographie, ils ont également formé le système à quantifier les tweets qui provenaient des “blancs” ou des “noirs”. Les chercheurs ont utilisé cinq bases de données différentes de tweets potentiels de “discours de haine”. Tous les cinq ont donné les mêmes résultats: les tweets susceptibles d’être écrits par des “afro-américains” étaient beaucoup plus susceptibles d’être signalés comme offensants que ceux qui étaient susceptibles d’être émis par des “personnes blanches”.

    Parallèlement au possible sur-échantillonnage des tweets des personnes “Afro-Américaines”, les chercheurs pensent que ce type de discrimination de l’IA réside dans l’erreur humaine de ceux qui font l’annotation et la classification d’origine à partir desquelles la machine apprend.

    “Lorsque nous, en tant que chercheurs, ou les personnes que nous payons en ligne pour faire des annotations externalisées, regardons ces tweets et devons décider: “Est-ce haineux ou pas haineux? nous sommes susceptibles de penser que c’est quelque chose qui est offensant en raison de nos propres biais internes”, a déclaré l’auteur de l’étude Thomas Davidson. “Nous voulons que les gens qui annotent des données soient conscients des nuances du discours en ligne et soient très prudents dans ce qu’ils considèrent comme un discours de haine.”

    Ces nouvelles informations peuvent être cruciales pour comprendre la capacité de ces types de systèmes à nuire et à étouffer la libre expression en  ligne.

    Les professeurs de l’Université de Buffalo et de l’Arizona State University ont déjà créé un système conçu pour “détecter automatiquement les préjugés dans les publications sur les réseaux sociaux”. Leur système signale les messages comme “susceptibles de propager de la désinformation et de la mauvaise volonté”.

    Un projet similaire à l’Université de Californie à Berkeley utilise le même type d’IA pour créer un “indice de haine en ligne” qui pourrait aider diverses plateformes de médias sociaux à identifier et à éliminer le “discours de haine” en ligne.

    Les chercheurs utilisent également l’IA pour éliminer les “fausses nouvelles”. Un système en cours de développement à l’Université de Californie, Santa Barbara cherche à aider à déterminer si les informations partagées par les individus sont “authentiques” ou “trompeuses”. Ils espèrent que leur système sera bientôt “intégré dans les navigateurs côté client”, pour rationaliser le signalement des “contenus qui provoquent la haine, l’aversion et les préjugés”.

    https://campus-vox.com

     

     

  • Des diplômes sur du papier cul, je vous dis!

    Moi aussi, je suis atterrée!

    La DGSE atterrée par le niveau de certains de ses candidats

    Les services de renseignements français ne comprennent pas que les candidats ne puissent répondre à des "questions pourtant simples et accessibles".

    Sans grande surprise, il semblerait que se mettre des longs tunnels du Bureau des Légendes ne soit pas suffisant pour rentrer à la DGSE. Début avril, l’opaque service de renseignement du boulevard Mortier à Paris a publié le rapport du jury de l’édition 2019 du concours externe SAS (comprendre celui des " secrétaires administratifs spécialisés "). Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le rapport – repéré par Intelligence Online – est salé pour ceux qui ont tenté leur chance.

    Dans son rapport, le jury estime que le niveau global des candidats peut être qualifié de "moyen", alors que nombre d’entre eux possèdent pourtant un Master 2. Mais ça se gâte particulièrement pour ceux qui ont présenté les options "Rédaction, administration générale" ou "Arabe littéral", dont le niveau est qualifié de "très en deçà du niveau attendu".

    Et cela ne s’arrête pas là, puisque pour ceux qui ont présenté l’option "Arabe littéral", le jury a tout simplement décidé de ne retenir aucun candidat, alors que deux postes étaient pourtant ouverts. "Aucun d’entre eux n’a démontré avoir une connaissance suffisante de la DGSE et de ses missions pour pouvoir se projeter, avec conviction, dans un poste correspondant à cette spécialité", tranche le rapport.

    Ce qui a aussi passablement déçu le jury, c’est que nombre de candidats n’avaient apparemment pas vraiment préparé leur présentation orale. Le jury s’est étonné de rencontrer des postulants qui ne connaissaient que très partiellement la DGSE et le milieu du renseignement. Les candidats malheureux n’ont pas été retenus parce qu’ils n’ont pas su répondre à des "questions pourtant simples et accessibles" portant par exemple sur la loi renseignement, l’organisation et les missions de la DGSE ou encore le statut du poste auquel ils postulaient.

    Ce poste de secrétaire administratif spécialisé (SAS), accessible par un concours de catégorie B, consiste notamment à aider les analystes à collecter et diffuser du renseignement; à sélectionner, étudier et exploiter des documents; mais aussi à exercer des tâches administratives. Le concours pour devenir SAS est loin d'être aisé. Il est composé de diverses épreuves, notamment celle de "cas pratique", qui consistait en 2018 à rédiger une note de synthèse sur les nouveautés apportées par le règlement général sur la protection des données (RGPD) adressée à un directeur central fictif.

    Venaient ensuite les épreuves de spécialités – arabe littéral, géopolitique ou administration générale. En géopolitique, les questions portaient sur le vol Korean Airlines 007, l’invasion russe en Afghanistan, ou encore l’autonomie de la Nouvelle-Calédonie. Et pour finir, les candidats devaient passer l’épreuve orale: un entretien avec le jury visant à "apprécier les qualités personnelles du candidat, ses motivations, son potentiel, son comportement face à une situation concrète, le cas échéant sous forme d'une mise en situation".

    Pour cet entretien final, le jury s’appuie sur des documents fournis par le candidat, comme son CV et une lettre de motivation. Mais là non plus, le jury n’a pas été séduit. Trop de fautes d’orthographes y ont été relevées," alors que ces documents sont la première impression que se fait le jury du candidat", relève le rapport.

    Le contenu des lettres de motivation n’a pas non plus attendri le jury, puisque jugées identiques à celles adressées à d’autres concours et ne permettant donc pas de comprendre pourquoi le candidat souhaitait s’engager dans une institution aussi singulière que la DGSE.

    Pourtant, la DGSE recherche activement de nouvelles mains, puisque d’ici 2022 elle compte recruter près de 1 500 civils et militaires. Des impératifs qui ont obligé les services à créer une chaîne YouTube, poster leurs offres d'emplois sur LinkedIn ou encore faire le tour des écoles d’ingénieurs ou militaires. Pis, comme nombre d’autres concours, la DGSE est aussi touchée par les mesures sanitaires dues à la pandémie que nous connaissons, si bien que les oraux du concours des attachés (concours de catégorie A) sont suspendus jusqu’à nouvel ordre. En attendant de pouvoir ressortir de chez vous, vous pouvez toujours aller jeter un œil aux annales des concours de la DGSE pour savoir à quoi vous attendre si un jour l’envie vous prend de tenter votre chance.

    www.vice.com

     

  • Sordide, infâme, écœurant…

    Val-de-Marne: une mère placée en détention pour le viol de sa fille de 6 mois

    Cette enseignante de collège s’est présentée d’elle-même au commissariat de Nogent (Val-de-Marne), jeudi soir. Un psychiatre a considéré que son discernement n’était pas aboli.

    Une mère de famille, exerçant comme professeur de musique au collège, a été placée en détention provisoire ce week-end pour le viol de son bébé.

    Les faits sont tellement sordides qu'on a du mal à croire qu'ils puissent être l'œuvre d'un individu sain d'esprit. Pourtant c'est bien en prison et non dans un hôpital psychiatrique qu'une habitante de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) a été envoyée ce week-end.

    Cette mère de famille de 41 ans a été mise en examen pour "viol incestueux sur mineur de moins de 15 ans", nous a confirmé ce lundi matin le parquet de Créteil. En l'occurrence, elle est soupçonnée d'avoir violé sa petite fille âgée de seulement 6 mois.

    C'est la maman elle-même, enseignante à temps partiel dans plusieurs collèges du Val-de-Marne et de Seine-Saint-Denis, qui s'est présentée au commissariat de sa ville avec une vidéo où elle commet les actes qui lui sont reprochés.

    Elle présente d'elle-même la vidéo aux policiers

    Ce jeudi soir, cette professeur de musique pousse la porte du commissariat de Nogent-sur-Marne. Elle est bien embêtée, explique-t-elle, parce que le rectorat de Créteil l'accuserait de pédophilie. Et de sortir son téléphone portable pour montrer aux policiers la vidéo qui poserait "problème". Le fonctionnaire jette un œil et tombe sur cette scène où la femme commet sur une table à langer des actes de pénétration digitale.

    Elle est aussitôt interpellée et placée en garde à vue. Le rectorat était-il au courant?

    "Nous n'avons eu aucune remontée sur cette affaire, soulignait ce lundi soir son représentant. S'il y avait eu le moindre soupçon, l'enseignante aurait évidemment été suspendue sur le champ à titre conservatoire. Et n signalement aurait été transmis au parquet".

    L'affaire est confiée à la brigade des mineurs de la sûreté territoriale. "Elle a expliqué qu'elle avait elle-même subi ce genre d'attouchements quand elle était enfant", précise une source proche de l'enquête.

    (Ce n'est pas une raison, barbare!)

    La mère de famille est évidemment examinée par un psychiatre. Le médecin conclut à une altération du discernement mais pas à son abolition. En clair, elle est pour l'heure accessible à une sanction pénale.

    "Elle fera vraisemblablement l'objet d'une seconde expertise psychiatrique au cours de l'instruction", avance cependant une source judiciaire.

    (Bien sûr, et elle va être libérée car, chez ces gens-là, c'est une question de culture ancestrale)

    "Quelqu'un d'extrêmement étrange", selon un parent d'élève

    L'affaire fait d'autant plus froid dans le dos que la mise en examen travaillait au quotidien avec des enfants. "Mon enfant l'a eue comme professeur de musique, se remémore un papa du collège Ronsard à Saint-Maur. C'était quelqu'un d'extrêmement étrange, très renfermé et qui parlait à peine français".

    (Non mais, qu'est-ce qu'ils foutent dans l'Education Nationale?

    Ben, ils nomment prof des gens qui ont obtenus 3 sur 20!)

    Honte à Blanquer

    www.leparisien.fr

  • A ne pas oublier, les idiots qui se plaignent du confinement...

    Pour comprendre combien de peu d'efforts nous sommes appelés à faire: Anne Frank est restée enfermée 25 mois, sans aucun des conforts que nous avons aujourd'hui, en faisant attention à ne pas faire de bruit pour ne pas être découverte.

    Jeune fille ado, connue pour avoir écrit un journal intime. Celui-ci est rapporté dans le livre “Le Journal d'Anne Frank“, écrit pendant les deux années où elle se cachait avec sa famille à Amsterdam, aux Pays-Bas, alors sous occupation allemande, afin d'éviter la Shoah.

    Arrêtée le 4 août 1944 puis déportée le 2 septembre 1944 vers le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Sept mois après son arrestation, Anne meurt du typhus dans le camp de Bergen-Belsen, quelques jours après sa sœur Margot Frank.

    Le camp est libéré par des troupes britanniques le 15 avril 1945, Amsterdam est libérée le 5 mai 1945.

    Juste pour se rappeler que ce que nous faisons, aujourd'hui, n'est pas grand chose.

  • 600 médecins portent plainte

    contre Édouard Philippe et Agnès Buzyn

    Assez de mensonges et de non-dits! Notre système de santé est à bout de souffle. 75 000 lits supprimés en 17 ans. Budgets sabrés, équipements de protection inexistants, personnels déconsidérés.

    On en paie le prix aujourd’hui. Et nos médecins hurlent leur colère. Face au silence assourdissant du pouvoir, c’est par voie de justice qu’ils veulent être entendus.

    https://fr.statista.com

    Alors qu’à droite comme à gauche, les politiques se couchent et jouent la carte de l’apaisement et de l’union nationale dans la lutte contre le Covid-19, les soldats en blouse blanche, qui sont en première ligne et subissent de plein fouet  les conséquences tragiques de la grave pénurie de matériels de protection et de soins, ne l’entendent pas de cette oreille.

    Il y a bien eu défaillance de l’État, sous-estimation de la menace, légèreté et désinvolture criminelle des autorités, qui n’ont réellement réagi que le 12 mars, donc beaucoup trop tard, alors qu’elles connaissaient la gravité de la situation.

    https://www.lefigaro.fr/politique

    Macron, très agacé et touché dans son orgueil,  a beau railler "ceux qui avaient prévu la crise une fois qu’elle a eu lieu", il est bel et bien responsable du désastre annoncé, pour avoir nié le danger jusqu’au 12 mars, se contentant  jusque-là de nous rappeler les mesures de protection et d’hygiène individuelles, en clamant que 98 % des contaminés s’en sortent sans dommage.

    Pour un chef d’État qui se pose aujourd’hui en chef de guerre, un peu simpliste comme stratégie! Nous en sommes à 12 612 cas et 450 morts! Ce soir, nous aurons 100 victimes de plus.

    Mais il ne pourra pas s’exonérer éternellement de sa responsabilité. Après les médecins, ce sont les familles des victimes qui iront en justice. Trop de manquements ont tout aggravé.

    Ce sont donc 600 médecins qui portent plainte contre l’ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn et le Premier ministre Édouard Philippe. Motif?  Ils sont accusés de " mensonge d’État " dans la gestion de la crise sanitaire qui s’abat sur le pays. Les trois médecins fondateurs du collectif C 19, ont donc saisi la Cour de justice de la République.

    https://www.lefigaro.fr

    La colère vient d’abord de la pénurie de masques, promis depuis deux  mois et qui n’arrivent jamais. Le personnel médical est mené en bateau depuis le début.

    Le 10 mars, Olivier Véran mentait à l’antenne, en affirmant qu’il n’y avait aucune pénurie de masques!

    https://www.francetvinfo.fr

    Il y a 10 ans, les stocks stratégiques représentaient 1 milliard de masques chirurgicaux et 600 millions de masques FFP2. En 2020, il ne restait que 117 millions de masques chirurgicaux et pas un seul masque FFP2. Où est passé le stock? Qui est responsable de ce scandale qui va entraîner des morts?

    Chaque personnel soignant doit  être doté de 5 masques par jour, qu’il faut changer régulièrement. Il en faut donc 5 millions par jour, uniquement pour les personnels de santé. Les usines françaises en fabriquent 6 millions par semaine.

    Malheureusement, non seulement les entreprises qui tournent à plein régime ne parviennent pas à satisfaire les besoins, mais des lots entiers de masques sont volés, au profit de réseaux mafieux. On attend les sanctions promises par Édouard Philippe…

    Et faute de pouvoir fournir les masques, le gouvernement a décrété qu’ils n’étaient en définitive pas utiles! Mais la France fournissait les clients étrangers!

    Médecins, policiers, chauffeurs de bus, caissières et autres personnels au contact des citoyens sont mis en danger par un pouvoir cynique, menteur, incompétent et irresponsable.

    Nicolas Dupont-Aignan résume l’ampleur du désastre. Les racailles crachent sur les policiers dépourvus de masque pour les faire reculer et ceux-ci n’ont pas le droit de réagir. Les LBD seraient plus utiles contre les hors-la-loi des cités que contre les Gilets jaunes!

    Ceux qui nous soignent sont mis en danger, ceux qui nous protègent sont mis en danger. Et que fait l’État? Il ment en affirmant que les masques sont inutiles!

    https://youtu.be/ko4y7F9LuX8

    "La colère des soignants était d’autant plus grande qu’ils ont découvert qu’une entreprise française produit des masques… mais pour le compte du ministère de la Santé britannique, qui a passé commande avant la France!", accuse encore l’avocat du collectif de praticiens.

    "Le détonateur de la plainte pénale déposée le 19 mars devant la Cour de justice de la République est l’interview d’Agnès Buzyn au journal Le Monde, parue le 17 mars dernier. " En substance, elle explique qu’elle savait tout et n’a rien fait".

    Pour l’avocat du collectif, "une enquête pénale est désormais indispensable pour connaître l’étendue de l’information que l’on a cachée aux Français et déterminer les responsabilités de chacun dans ce fiasco sanitaire. "

    Mais la question est de savoir ce que va devenir cette plainte. Elle peut être classée sans suite ou conduire à une enquête pénale.

    Alors que des milliers de citoyens vont  perdre la vie, y compris bon nombre de médecins et autres personnels de santé, la Commission des requêtes va-t-elle classer l’affaire et débouter les soldats en blouse blanche, qui font tout leur possible pour sauver des vies sans protection ni moyens suffisants? Ce serait le comble de l’ignominie, le summum de l’infamie.

    La plainte vise l’article 223-7 du Code pénal, selon lequel " quiconque s’abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende ".

    Pour le collectif 19, il fallait agir dès le 30 janvier quand l’OMS a sonné le tocsin.

    Mais le 24 février, Agnès Buzyn déclarait que le virus avait peu de chances d’arriver en France. Le 25 février, Olivier Véran se réjouissait que plus aucun malade n’était traité en hôpital et le 7 mars, c’est Macron et Madame qui allaient au théâtre en toute inconscience, incitant les gens à sortir. Ce n’est que le 12 mars que l’exécutif a ouvert les yeux!

    Pour le collectif, il fallait aussitôt stocker des masques, des blouses, des lunettes, des gants. Il fallait acheter des tests en quantité massive pour procéder à des dépistages systématiques, comme l’ont fait les Sud-Coréens.

    On aurait pu détecter et isoler les porteurs sains mais contagieux, sachant qu’il y a un malade pour cinq porteurs sains.

    Il est clair qu’une enquête s’impose, après tant de mensonges et de décisions contradictoires. Refus d’interdire le match Turin-Lyon, refus de fermer les frontières, absence de contrôles aux aéroports, sans doute par manque de caméras thermiques et de thermomètres frontaux, car la France est totalement dépourvue de l’essentiel.

    Tous les budgets ont été massacrés pour financer les 120 à 130 milliards que coûte annuellement l’immigration de populations pauvres et sans diplômes pour la plupart, qui plombent nos comptes sociaux, avec une faible contribution au PIB.  C’est cela la vérité. Nous sommes ruinés par une politique immigrationniste démentielle.

    50 000 euros par an pour chacun des 50 000 mineurs isolés accueillis en 2019, mais pas de masques pour les personnels de santé! C’est cela la politique de Macron.

    Si les Français savaient la vérité, ils ne seraient pas 65 % à juger Macron convaincant dans son costume de chef de guerre!! Chaque Français dépense 3 à 4 fois plus pour l’immigration que pour la défense du pays! Chaque Gilet jaune donne 1 mois de salaire pour financer le coût de l’immigration.

    Un pays qui laisse crever ses SDF et loge les clandestins à l’hôtel ne peut pas s’en sortir. Il est destiné à rejoindre les pays du tiers-monde.

    Et quand on voit  le résultat du vivre-ensemble, où des policiers se font cracher dessus par les racailles de banlieue, en plein confinement, on mesure à leur juste valeur les bienfaits du mondialisme et du multiculturalisme.

    Macron nous mène au désastre absolu. À la fin de cette crise sanitaire sans précédent depuis l’épidémie de grippe espagnole de 1918, il s’agira de présenter la facture aux responsables et coupables du naufrage de la France.

    En quelques décennies, ils ont dilapidé l’héritage des Trente Glorieuses, faisant de la deuxième puissance économique du monde en 1975, un pays totalement ruiné en 2020! C’est impardonnable.

    Jacques Guillemain

    https://ripostelaique.com

  • Des tas de questions sans réponse

    Mais si: il va y avoir une enquête des députées: présidée par qui?

    devinez!

    par un LAREM..... la pignouferie continue

    Heureusement que le Sénat est de droite et que, lui, au moins, c'est du sérieux!

    Comment se fait-il que la "chloroquine", commercialisée sous le nom de " Nivaquine " ou "Plaquenil ", dont l’innocuité est prouvée par le fait même qu’elle a toujours été en vente libre dans les pharmacies, est devenue subitement délivrable seulement sur ordonnance par un arrêté du ministère de la Santé en date du 15 janvier 2020 – médicament désormais classé dans la catégorie des " substances vénéneuses "?

    Comment se fait-il que des voix multiples – qui se prétendent autorisées parmi de prétendus spécialistes – se font entendre dans des journaux, à la TV, pour mettre en garde contre les soi-disant et subits dangers de la chloroquine qui aurait des " effets secondaires graves " (sic)?

    Comment se fait-il que ces mêmes voix, négligeant le protocole proposé par le professeur Didier Raoult, mettent à l’essai d’autres protocoles, " Discovery " pour l’Europe avec un panel de 800 malades et " Solidarity ", essai international réalisé sous l’égide de l’OMS, alors que, d’une part notre temps est compté dans la résolution de cette épidémie, d’autre part, il s’agirait de nouvelles molécules dont on ignorerait les effets secondaires alors qu’un médicament ancien comme la " chloroquine ", assure toute sécurité sanitaire?

    Et " SANOFI " dans tout cela?

    Comment se fait-il aussi que, nous rendant en pharmacie, il nous est répondu que SANOFI, géant mondial de la Santé, avec un chiffre d’affaires annuel de 33,8 milliards d’euros, 81 sites dans le monde dont 18 sites de production en France, a réquisitionné tous les stocks de " chloroquine " existant en pharmacie pour soi-disant faire des essais de traitement, comme si cette entreprise n’était pas apte à fabriquer, dans les plus brefs délais, tout le stock nécessaire pour réaliser des tests et faire face à l’épidémie?

    Pour neutraliser les effets de cette réquisition pour le moins suspecte et maniant très habilement sa communication, SANOFI annonce: sa " mise à disposition gratuite pour traiter 300 000 patients… au vu des résultats qui sont jugés prometteurs ".

    Cette annonce est présentée comme si cette mise à disposition était immédiate et qu’il y aurait un lien entre la réquisition et la mise à disposition: il n’en est rien!

    En effet, alors qu’en raison de l’urgence, il faudrait bousculer les protocoles, SANOFI indique qu’il " soutiendra les essais cliniques qui vont être déployés sur le plan national dès lors que les conditions protocolaires de ces essais seront réunies conformément aux bonnes pratiques cliniques en vigueur et validées par les autorités compétentes "…

    Autrement dit, au lieu de faire face à la situation d’urgence qui voudrait que la diffusion de " chloroquine " se fasse le plus possible et le plus rapidement possible – ce qui se fait dans d’autres pays comme les États-Unis où Donald Trump a annoncé ce jour, la diffusion de chloroquine dès demain – SANOFI laisse passer du temps, un temps précieux pendant lequel les malades ont le temps de " tomber comme des mouches " et que l’isolement général est en train de renforcer dangereusement et la crise sanitaire, et la crise économique!

    Est-ce innocent?

    De plus, SANOFI indique: " en accord avec l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), nous procéderons à une surveillance particulière des commandes qui nous sont adressées relatives à cette spécialité aux fins de les contrôler et de les contingenter, ceci afin de s’assurer que l’utilisation de ce médicament soit bien conforme à ses indications actuellement autorisées: polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux …

    Autrement dit, alors que ce médicament est connu, qu’il ne présente aucun danger pour la santé, qu’il est utilisé pour le traitement d’autres maladies, bénéficiant à ce titre, des validations nécessaires – de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) – que le seul risque serait son inefficacité contre le Coronavirus, avec cependant une probabilité très forte que son usage enraye rapidement l’épidémie, SANOFI fait obstacle à la réussite de ce traitement, non seulement en voulant se soumettre à une procédure longue, nous faisant perdre ainsi un temps précieux, mais voulant également surveiller la commercialisation du produit afin de s’assurer que ce médicament n’est pas utilisé contre le Coronavirus! un comble!

    Résumons-nous

    Une procédure inadaptée d’isolement général, d’absence de test à grande échelle mais seulement sur des malades traités à un stade avancé de la maladie, générant une mortalité qui ne cesse d’augmenter, alors même que dépistage à grande échelle, isolement limité aux porteurs du virus et traitement précoce, adoptés par d’autres pays, permettent d’enrayer la maladie.

    Des solutions crédibles méprisées, détournées, alors qu’elles sont proposées par un des plus éminents professeurs en infectiologie au monde, solutions dont le gouvernement ne consent à en permettre l’usage que " pour les cas sévères et sur décision collégiale des médecins, autrement dit, "attendons que la maladie s’aggrave pour donner un traitement!". Du jamais vu! système qui réduit considérablement la portée du protocole et ne permet pas d’enrayer la contagion,

    Des projets de protocoles qui arriveront trop tard et pourront s’avérer dangereux dans la mesure où, comme le souligne le professeur Raoult, les effets secondaires seront méconnus.

    Enfin SANOFI qui, non seulement ne met pas sur le marché un médicament qui a toutes les chances d’enrayer la maladie mais le réquisitionne pour le commercialiser "au compte-gouttes" et à condition que cette molécule ne serve pas au traitement du Coronavirus!

    Conclusion

    Si cela ne traduit pas la volonté manifeste de ceux qui ont le pouvoir de décision, de faire obstacle à la solution, cela y ressemble! Tout ce qui nous sortirait de l’ornière dans laquelle nous ont mis et continuent de nous mettre ceux qui nous gouvernent, tout ce qui permettrait au pays de fonctionner normalement est écarté.

    En réalité, non seulement le gouvernement n’apporte pas la solution mais il crée et il EST le problème!

    Claude Meunier-Berthelot

    https://ripostelaique.com/coronavirus

    Perso, je pense que c'est pour ne pas faire un plan “Alzheimer“ des personnes âgées: s'il n'en reste plus, à quoi bon s'occuper d'eux et payer l'apa et/ou construire des résidences spécialisées pas chères?

    REMARQUE:

    on dit personnes (respirez) âgées

    et NON PAS personnezagées! (façon mitraillette)

    Apprenez à lire et à ne pas dé-lire!!!

    Voilà pourquoi, malgré votre bac (qui équivaut à 0 sur 20 de mon temps), un patron ne va pas vous embaucher... direct paule emploie

    ou vous fera prendre des cours d'orthographe!