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Education - Page 3

  • Pour les messieurs et autres "fan-es"

    "fan-es": ben oui, quoi, c'est de l'écriture inclusive, hahahaha

     

  • Relever la tête face à Pap Ndiaye

    C’est une attaque ultra violente, venue troubler la quiétude de ce beau dimanche de mai. Pap Ndiaye est l’invité de Francis Letellier sur France 3, et se voit interrogé à propos de la couverture de Valeurs actuelles qui le consacre "ministre de la destruction nationale". La couverture annonce la couleur: "Mixité forcée, propagande idéologique, islamisation, effondrement scolaire: SOS pour l’éducation de nos enfants". Accusations graves, il est vrai, simple relais de l’angoisse de centaines de milliers de parents méprisés par ce ministre en sursis.

     Il doit répondre. Que répond-il?  "Je ne lis pas la presse d'extrême droite". Notre couverture, sur son bilan accablant? "C'est pour moi un sujet de fierté", son "badge d'honneur". Comment, pourquoi ose-t-il? En raison de la "longue histoire" qui court "de Gringoire jusqu'à Valeurs actuelles".

    Gringoire donc, donc journal antisémite et collabo arrêté après la libération. Valeurs actuelles, journal conservateur interrompu pendant la guerre. Ils osent tout…

    Vous êtes nombreux à nous avoir écrit pour nous suggérer de porter plainte pour injure ou diffamation contre le ministre. Injure? Assurément. Diffamation? A tout le moins. Mais nous avons réfléchi cette semaine à la manière de relever la tête face à Pap Ndiaye. Car au fond, cette affaire vous concerne autant que nous.

    Qui est Pap Ndiaye? Un historien, certes. Un déconstructeur pur jus, surtout, adepte des pires thèses racialistes prêchées sous le vernis de la respectabilité, souvent depuis les États-Unis, où elles trouvent leur source. Un hypocrite de plus, qui vante les mérites d’une école qui s’effondre tout en protégeant ses enfants de celle-ci en les abritant dans la très chic et sélect école alsacienne de Paris. Un ministre incompétent - ou plutôt malfaisant - de plus, qui promeut l’aggravation des maux qui nous ont conduit à ce désastre.

    Certains l’ont remarqué, nous n’avions pas attaqué Pap Ndiaye au moment de sa nomination, car nous voulions éviter les procès d’intention et espérions un miracle. Un an plus tard, notre procès était étayé, sourcé, implacable. Entrisme islamique a l’école, baisse du niveau, insécurité, professeurs abandonnés, délires pédagogiques, propagande LGBT: tous les maux de l’école y étaient consignés.

    Le ministre aurait pu y répondre. Mais non. Il a décidé de faire comme font tous ceux qui fuient leur responsabilité: fermer les yeux. Et pour mieux accompagner sa dérobade, il nous accuse. Quand le ministre répond "extrême droite", c’est vous qu’il insulte. Comme tous ceux avant lui qui, depuis quarante ans, répondent « extrême droite » à qui ose pointer un problème. Sécurité, immigration, Europe, industrie, fiscalité, organisation du territoire, démocratie… Lamentez-vous et on vous répondra: "extrême droite".

    Pendant longtemps, cela a fonctionné. Vous baissiez la tête, culpabilisiez parfois. Eux sont restés aux affaires et ont continué, en toute impunité, à guider notre pays vers l’abîme.

    Le mérite de l’affaire Pap Ndiaye, c’est de nous faire réaliser qu’il est temps que cela cesse. Vous n’êtes pas d’extrême droite parce que vous êtes inquiets. Nous ne nous laisserons plus intimider, nous ne laisserons plus criminaliser l’inquiétude de tous ceux qui votent à droite de Sandrine Rousseau. Il est temps de relever la tête.

    Dans les jours qui viennent, Valeurs actuelles, puisque c’est son rôle de sonner le tocsin, annoncera une initiative de grande ampleur pour contraindre le ministre de l’éducation nationale à assumer son bilan. Nous relaierons ainsi l’inquiétude de millions de parents et mènerons un combat vital pour l’avenir de la France. Soyez présents, répondez à l’appel. Et ensemble, nous relèverons la tête face aux déconstructeurs.

    La honte doit changer de camp.

    Geoffroy Lejeune

    Directeur de la rédaction de Valeurs actuelles

    https://www.valeursactuelles.com

  • L'école, aujourd'hui

    Le journal Causeur a publié le 6 mars 2023 un article énonçant des exemples de cas signalés aux "parents vigilants".

    Et là… accrochez-vous! En voici quelques exemples:

    • Je suis enseignant dans un lycée professionnel dans l’Essonne. L’endoctrinement idéologique est permanent: écriture inclusive, dérives LGBT et pressions syndicales. Contredire leurs thèses nous expose à des représailles sournoises comme des poubelles vidées dans nos casiers ou menaces sur nos messageries.
    • Mon fils est en seconde. Le premier devoir demandé par le professeur d’anglais est le suivant: "Vous raconterez l’arrivée en France de l’un de vos parents immigré".
    • Un DM [devoir à la maison] donné par la prof d’histoire-géo de l’établissement catholique privé Saint-Joseph, à Roquebrune-Cap-Martin demande à l’élève de s’imaginer en Africain capturé par des Européens pour être vendu aux Antilles et travailler dans des plantations. La consigne insiste sur la partie "ressenti" du récit.
    • Je suis en première dans un lycée parisien. En SVT [sciences de la vie et de la Terre], on a parlé de la discrimination de genre pendant deux heures: les moyens de contraception, les types de sport que font les femmes et les hommes, etc. On cherche à nous faire culpabiliser pour ensuite nous déconstruire et nous faire devenir des filles.

    En Anglais, notre prof nous dit à chaque cours que l’on n’a pas le temps de faire de la grammaire. Les quatre chapitres que nous avons abordés sont: les bienfaits de l’immigration et le multiculturalisme, les gentilles éoliennes et le méchant nucléaire, le genre et les stéréotypes.

    En histoire-géo, ma prof est islamo-gauchiste. Lorsqu’on a étudié la démographie, elle nous a martelé que sans l’immigration la France serait un pays du tiers-monde et que toutes nos victoires militaires étaient dues aux immigrés. Elle nous explique que le grand remplacement est un fantasme d’extrême droite, que la campagne d’Éric Zemmour est financée par les Russes et que le Z tracé sur les chars russes est le Z de Zemmour.

    En SES [sciences économiques et sociales], notre professeur a clairement affiché son soutien à Emmanuel Macron. Pour elle, la taxe sur les moteurs thermiques c’est génial, et la fin de ceux-ci c’est formidable. L’Europe est la clé de tous les problèmes et, grâce à elle, l’électricité est peu chère en France.

    • Je suis en terminale dans un lycée agricole du sud de la France. Le jeudi 24 novembre 2022, des membres de SOS Méditerranée sont intervenus dans notre classe. J’ai quitté la salle et attendu que l’association finisse son exposé pour retourner en cours. Informés de mon absence, les professeurs m’ont dénoncé et j’ai pris quatre heures de colle.
    • Le CPE m’a imposé d’écrire une lettre de justification, puis j’ai été convoqué par le proviseur adjoint pour me justifier encore. Après un échange musclé avec ce dernier, qui me reproche un "comportement inadmissible", voire "raciste", les quatre heures m’ont finalement été retirées mais si je "récidive", je serai définitivement exclu du lycée.
    • Au lycée Montesquieu du Mans, le sujet du devoir de physique est de calculer l’énergie que va avoir une boule de pétanque lancée sur un policier!

    Et ce ne sont que quelques exemples. Allez lire les autres, ça vaut le détour.

    Une chose ressort de tout cela qui me frappe au plus haut point: comment la quasi totalité d’une profession, je devrais dire toutes les professions de l’Éducation nationale, a-t-elle pu se laisser gangrener à ce point par cette idéologie wokiste et en devenir le servile propagandiste?

    Combien sont-ils encore à résister?… certainement pas beaucoup.

    Le monde de l’enseignement est devenu l’un des plus détestables qui soit.

    Ils participent, sans état d’âme, à une décérébration de notre jeunesse et à un endoctrinement de masse. C’est par millions que sortent de l’Éducation nationale des jeunes qui sont incultes et ont subi pendant une quinzaine d’années un bourrage de crâne systématique pour leur inculquer de force les " valeurs de la République " et les notions progressistes et écologistes.

    C’est incontestablement le plus grand crime de ces dernières décennies.

    La "communauté enseignante" (sic), par sa lâcheté et sa complicité, a trahi toutes les valeurs de son métier et est la honte absolue de la nation.

    Si demain des enseignants, complices de tout cela, sont victimes d’agressions ou pire, que l’on ne compte pas sur moi pour avoir la moindre compassion pour eux.

    Ils seront les seuls responsables de leur triste sort, contrairement à Samuel Paty.

    Qui sème le vent récolte la tempête.

    Seuls ceux qui résistent et se battent contre le monstre qu’est devenue l’Éducation nationale gardent mon estime et mon respect.

    Pour morale de cette sinistre histoire, je rappelle simplement que le responsable de tout cela, le ministre Pap N’Diaye a parfaitement compris que ses enfants ne devaient surtout pas aller à l’Éducation nationale. Ils sont scolarisés à l’École Alsacienne de Paris. Un établissement privé ultra élitiste où l’on n’entre que sur dossier et moyennant quelque menue monnaie.

    Lui est sûr qu’ils y apprendront quelque chose, ce qui les aidera à faire partie des élites de demain.

    Quant aux autres qui sont à l’Éducation nationale, ils apprendront à être des citoyens bien formatés par les progressistes, obéissants et respectueux de tout ce qui ira dans le sens de la destruction de notre pays, sur la base de leur ignorance crasse et de leur embrigadement.

    Peut-être certains de ces jeunes feront-ils partie des élites demain, s’ils arrivent à survivre à cette machine à broyer les intelligences qu’est l’Éducation nationale.

    Ce qui ne sera pas le cas de l’immense majorité de leurs petits camarades.

  • Comment certains rackettent les commerçants de banlieue

    Alors, dans cette banlieue pauvre, comment se passaient les tentatives de racket dans le café de mes parents?

    Vous aviez plusieurs Arabes qui entraient dans le café, des jeunes, ils allaient s’asseoir et commandaient des consommations. Puis, au bout de quelque temps, ils commençaient à s’engueuler entre eux. Très fort. Agressivement. Histoire de déranger et d’effrayer le plus possible les autres clients présents. Puis ils déclenchaient une bagarre, entre eux uniquement. Très intelligemment ils n’agressaient jamais les autres clients, jamais (car il ne faut jamais agresser quelqu’un qui pourrait porter plainte contre vous). Durant cette bagarre, ils renversaient leur table, cassaient leurs verres, etc. Mes parents n’avaient même pas le temps d’intervenir que d’autres Arabes, des adultes cette fois-là, entraient aussitôt dans le café pour mettre fin à cette dispute entre eux.

    " Foutez le camp, bande de petits cons! Ne dérangez pas les honnêtes gens! Laissez-les tranquilles!! Allez, ouste, dehors! " À mes parents: " Excusez-les pour le dérangement occasionné, ce ne sont que des petits cons, mais on garde un œil sur eux, pour qu’ils n’emmerdent pas les gens. Dites-nous combien on vous doit pour les consommations et les verres cassés. On vous paye tout de suite. "

    Ils payaient et ils partaient. Quelques jours passaient, puis les jeunes Arabes revenaient ; et à nouveau, cris, bagarre, verres cassés, etc. Et à nouveau les adultes débarquaient pour les chasser et imposer le calme. Quand mes parents les avaient repérés et les foutaient dehors dès leur entrée, c’étaient d’autres jeunes Arabes qui prenaient le relais. Et rebelote.

    Et puis un jour… les Arabes adultes arrivaient, seuls. Et ils tenaient à mes parents ce type discours: " On voit bien que les jeunes de la cité qui viennent chez vous vous dérangent, et dérangent vos clients par la même occasion. On est les premiers désolés, vous savez. En plus, vos habitués, ne voulant plus être dérangés, et par peur, ne viennent plus chez vous. Du coup vous perdez de la clientèle et du chiffre d’affaires. C’est triste. Mais rassurez-vous, on va prendre les choses en main pour qu’ils ne dérangent plus les honnêtes gens comme vous! On va créer une association d’insertion, pour s’occuper d’eux et les remettre dans le droit chemin. Si on vient vous voir, c’est justement parce que nous cherchons à créer un partenariat efficace avec les commerçants du quartier, afin de mettre en place un système de mécénat constructif et généreux pour aider ces jeunes, en participant au financement de notre association. "

    Jamais n’étaient prononcés les mots: racket, menace, extorsion. Mais toujours les mots: solidarité, entraide, générosité. La manière d’agir, le vocabulaire employé, le tempo, tout était d’une intelligence et d’une subtilité incroyables.

    En sous-texte, le message était clair: si vous voulez la paix et ne pas finir ruinés, il faut payer!

    Mais devant un tribunal, c’était inattaquable. Aucune preuve. Rien que des personnes altruistes cherchant à aider les autres, et cherchant des fonds pour leur association d’insertion tout en surveillant les " jeunes " pour qu’ils n’embêtent pas les commerçants.

    Et le plus fort est que ce mode opératoire était répété dans les autres cafés! On y voyait les mêmes " jeunes ", les mêmes bagarres, les mêmes adultes venant instaurer le calme, etc.

    C’est-y pas beau l’ingéniosité!?

    Mais mes parents n’ont jamais cédé. Alors ce furent les représailles habituelles: innombrables agressions, coups, bagarres, voiture brûlée, menaces de mort, menaces de viol, coup de feu tiré sur la devanture du café, etc. Et puis " ils " revenaient " officiellement " pour demander si on ne voulait toujours pas faire preuve de générosité en aidant " les plus défavorisés " via une participation au financement de leur association… Mais mes parents ont toujours refusé de payer ; on a toujours pris ça à la rigolade.

    Que faire d’autre? Puisque notre société, inversant les rôles, nous expliquait que nos " agresseurs " étaient des " victimes ", et que nous " agressés " étions " coupables "! Grâce à ce redoutable inversement de valeurs, les coupables sont devenus des victimes et les victimes des coupables. Formidable! Surtout formidable manipulation de cette gôôche aujourd’hui exécrée jusqu’à la haine pour ça par bon nombre de Blancs pauvres de banlieue qui ne lui pardonneront jamais!! et qui ne rêvent que d’une chose: se venger!!!

    Quand dans une société où les gens ne rêvent plus " de vivre en paix ", mais rêvent " de tuer les traîtres et d’éliminer leurs ennemis ", il y a, comme qui dirait, un léger problème d’avenir en perspective…

    Cependant les islamo-racailles n’avaient pas renoncé au racket pour autant. Cela était resté ancré au fond de leur cerveau, comme une " idée à améliorer ". Jusqu’au jour où ils ont enfin trouvé la solution, le Saint Graal: ne plus racketter les commerçants, mais racketter l’État français!

    Bien plus rentable ; on passe de quelques milliers d’euros à des milliards d’euros!! Là on ne rigole plus, on joue dans la cour des grands. Pour caricaturer, ils ont créé des associations bidon et mis la pression pour faire " payer la paix sociale " à la France. Et pour cela, ils ont su s’y prendre avec maestria!!!

    Un jour, se saisissant d’un prétexte futile, un début d’émeute éclate et quelques voitures sont brûlées par les " jeunes " de la cité. Accourent alors journalistes et politiques qui se mettent aussitôt à faire ce qu’ils savent faire le mieux: ramper ventre à terre devant les racailles, et leur trouver toutes les excuses du monde… Devant les caméras, les adultes arabes lancent officiellement des " appels au calme ", clamant que la violence n’est pas la solution, que seul le dialogue compte. Bref, comme d’habitude, le discours habituel. Après leur déclaration rassurante, ils viennent prendre un café chez nous. Là, dans l’arrière-salle du café, dans un lieu calme et discret, ma mère entend ces mêmes adultes arabes enguirlander des jeunes arabes: " Mais qu’est-ce que vous foutez!? Vous croyez que c’est en brûlant quelques voitures seulement qu’on va toucher des subventions, il faut en brûler 10 fois plus et tout casser, bon sang!! Alors vous y retournez, et vous mettez le paquet cette fois-ci!!! "

    Voilà " d’où je parle " pour me foutre de la gueule des gauchistes. Je parle d’un endroit où les minorités ethniques, justement soutenues et encouragées par les gauchistes, avaient compris que les politiques français, généreux, parce que lâches, récompensaient la délinquance et tout en même temps muselaient impitoyablement leurs victimes blanches en les traitant de sales racistes et d’ordures de fascistes.

    Existe-t-il plus beau moyen d’inciter tous les jeunes arabes et noirs à devenir délinquants!?

    Les gens de gôôches… des manipulateurs de génie!

    Quantité de gamins arabes et noirs, destinés à devenir des gens bien, ont pour leur plus grand malheur croisé des gens de gôôche sur leur chemin, puis, les écoutant, sont devenus des délinquants avec entrain.

    Dans Vois sur ton chemin, une des chansons principales du film Les Choristes, les paroles sont les suivantes:

    Vois sur ton chemin

    Gamins oubliés égarés

    Donne-leur la main

    Pour les mener

    Vers d’autres lendemains.

    Eh bien, bon nombre d’ordures de politiques, de salopes journalistiques et de traîtres d’intellectuels et de professeurs de gôôche, ont pris d’un côté la main des enfants noirs et arabes pour les emmener sur le chemin de la délinquance et de la haine de la France ; et de l’autre côté, la main des enfants blancs pour les emmener sur le chemin de la repentance, de la honte de soi, et de la haine de la France.

    Quand certains de ces soixante-huitards de merde n’ont pas pris des enfants par la main… pour carrément les emmener dans leur lit… afin de les violer.

    Pour avoir endoctriné tous les enfants de la France et détruit leurs vies, la place de tous ces gens est de se retrouver devant un tribunal populaire pour haute trahison envers les enfants de la nation!

  • Hommage aux poilus de 14-18

    Le Clairon

    Le clairon sonne au loin, forçant les fatigues.

    Des regards morts sur des visages meurtris

    Se lèvent, affirmant le doute, l’incompris.

    Des larmes s’écoulent rompant l’immense digue.

     C’est un soleil et non le temps d’une boucherie

    Qui, ce jour, se lève. Des ombres s’avancent,

    Le long des tranchées de la désespérance.

    De la terre, s’ouvrent des bouches noires de carie.

     –

    Le clairon balaye les frontières de mort.

    Des cris et des rires venant de l’ennemi,

    Se mêlent aux joies de tous nos soldats amis.

    Oubliée la haine, le désespoir et les torts.

     –

    Des tranchées sortent des hommes vivants sous terre,

    L’uniforme invisible, ils regardent le ciel.

    Le clairon sonne la fin des combats. Si fier.

    Redonnant la vie, face au monde fou et cruel !

    Les hommes titubent. L’officier devient le frère.

    Les larmes écoulant le trop-plein de haine

    Les rancunes, les frères morts laissés en terre

    La guerre est finie. La paix entre en scène.

     –

    Ils reviendront dans leurs foyers ces gueules cassées

    Ces soldats d’une guerre civile. La grande guerre !

    Guerre ou l’Europe entière s’est suicidée

    Apportant un siècle de lutte et de misère.

     –

    Le clairon sonne la fin des combats, la paix !

    L’avenir porte un nom. L’espoir d’une autre vie!

    Une vie qui retrouve un prix. Souvent oublié !

    Ce jour à un autre goût. La guerre est finie.

    Gérard Brazon

  • Solution pérenne????

    Toulouse : les migrants expulsés squattent le collège Bellefontaine, puis sont délogés par les habitants du quartier

    Les mineurs isolés, migrants pour la plupart originaires d’Afrique de l’Ouest, qui avaient été expulsés le 26 août de l’ancien Ehpad des Tourelles, à Toulouse, ont tenté, hier, de s’installer dans les locaux de l’ancien collège Bellefontaine, dans le quartier de Reynerie.

    En début d’après-midi, une centaine d’entre eux, soutenus par des collectifs, sont entrés dans les locaux. Ils ont installé une chaîne sur la grille de l’entrée, et posé un drap, sur lequel était inscrit: “Nous avons besoin d’un hébergement collectif“.

    Quelques jets de projectiles, mais un départ dans le calme

    Quelques minutes après leur arrivée, des habitants du quartier de Bellefontaine et Reynerie, dont les immeubles sont situés à quelques mètres de l’entrée du collège, les ont priés de quitter les lieux. Selon nos informations, il n’y aurait pas eu d’échauffourée. En revanche, des jets de projectiles ont fait comprendre aux migrants qu’ils devaient quitter les lieux. La police nationale est intervenue pour sécuriser leur départ, et les migrants sont partis sans heurts.

    […]

    Les migrants, eux, sont repartis en métro. Certains seraient repartis vers le campement des allées Jules-Guesde, où ils dorment dans des tentes depuis le 26 août. Le conseil départemental de Haute-Garonne, propriétaire des locaux de l’ancien collège Bellefontaine, a confirmé hier que ses locaux “accueillent toujours des activités de loisirs pour la jeunesse du quartier”. Le président du conseil départemental, Georges Méric, “rappelle la nécessité de trouver une solution pérenne à l’accompagnement de ces migrants” et appelle à la “pleine et entière mobilisation des acteurs de ce dossier, que sont l’Etat et la mairie de Toulouse”.

    La Dépêche

    Une solution pérenne? expulsion vers leur pays!