Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Education

  • Rire ou pleurer?

    Recrutement des instituteurs 2023  

    "Marianne" a compulsé une quinzaine de rapports des jurys du concours de recrutement des enseignants en école primaire de l’année 2023. Les évaluateurs notent des lacunes en grammaire, orthographe et mathématiques chez certains candidats et déplorent une pauvreté des références culturelles: de nombreux aspirants professeurs citent des émissions de télé-réalité ou des films de Disney et méconnaissent la culture littéraire et patrimoniale.

    Comme les années précédentes, les correcteurs pointent les lacunes en orthographe, en grammaire et en mathématiques. Mais ils s’inquiètent aussi, tout particulièrement, du manque de culture générale des candidats qui ont pourtant un niveau master, soit cinq ans d’études après le bac. […]

    Les exemples littéraires, historiques ou pris dans des films "de qualité" ont été "rarissimes", poursuit-il. […] "On attend de futurs enseignants qu’ils ne confondent pas les œuvres littéraires avec leur adaptation par la maison Disney (“Le Bossu de Notre Dame de Victor Hugo”)", cite encore le jury de l’académie de Normandie, qu’ils "dépassent les références aux séries télévisées (“Glee”), aux Youtubeurs ou leurs souvenirs d’enfance (“La Reine des neiges”) pour diversifier leurs propositions et appréhender également les récits avec toute la distance critique nécessaire", poursuit ce dernier. […]

    Et à l’oral, ce n’est pas toujours merveilleux. Le jury de Nice note leur langage peu professionnel de "certains candidats":

    Des expressions familières voire des termes peu français ont été relevés comme l’emploi de ces formulations "Si j’aurais" ; "Les enfants qui z’ont…" ; "ch’sait pas" ; "Ils vont avoir la pression".[…]

    Marianne

  • IMPAYABLE!  

      Le wokisme toucherait beaucoup plus les femmes et les “woke” seraient bien plus déprimés, anxieux et malheureux révèle une étude finlandaise sur 5000 personnes

    Des chercheurs en psychologie de Finlande ont créé une évaluation permettant de mesurer l’engagement d’un individu envers les principes de justice sociale et ont fait des découvertes surprenantes au sein de la population finlandaise, notamment une corrélation négative entre les idéaux progressistes et les niveaux de bonheur.

    Leurs conclusions, publiées dans le Scandinavian Journal of Psychology, suggèrent que d’autres nations occidentales pourraient observer des tendances similaires parmi leurs citoyens socialement conscients.

    […]

    “Le fossé entre les sexes m’a probablement le plus surpris”, a déclaré M. Lahtinen au PsyPost à propos des opinions finlandaises. Trois femmes sur cinq voient les idées “woke” d’un bon œil, mais seulement un homme sur sept.

    Cela était particulièrement vrai pour les femmes travaillant dans des domaines tels que les sciences sociales, l’éducation et les sciences humaines. En revanche, les participants travaillant dans les sciences dures étaient plus enclins à critiquer les efforts de justice sociale associés au “wokisme”.

    Cependant, le résultat le plus inquiétant est la relation entre la santé mentale et la conformité aux critères. Plus précisément, les chercheurs ont constaté une forte prévalence de l’anxiété et de la dépression chez les personnes qui croient à l’affirmation “Si les Blancs ont en moyenne un revenu plus élevé que les Noirs, c’est à cause du racisme”. De manière plus large, ils ont constaté que les personnes qui s’identifiaient comme étant de gauche étaient les plus susceptibles de faire état d’un bien-être mental moindre.

    Lahtinen met en garde contre une extrapolation de ces résultats à l’échelle internationale, en particulier dans les pays occidentaux.

    “Les études étaient assez solides, avec un échantillon de plus de 5 000 personnes et de bonnes propriétés psychométriques”, a déclaré M. Lahtinen. “Toutefois, l’ensemble des critères devrait être validé dans des échantillons nord-américains afin de savoir comment ces attitudes se manifestent dans ces pays. J’encourage mes collègues américains à étudier la prévalence de ces attitudes dans le pays d’où elles sont venues.

    New York Post – PsyPost

    https://www.youtube.com/watch?v=Fm2PbGAVK78

  • Anglicismes, d'jeune, écriture inclusive: une destruction de la langue française !

    Nous vivons une drôle d’époque qui ne peut que nous choquer à tous les points de vue, dès lors que nous avons un minimum de sens commun.

    La langue française est issue d’une longue maturation et nous serions bien incapables de lire un texte en "vieux françois". Cette maturation continue au fil des années en incorporant quelques mots de plus, et aussi beaucoup d’inepties dus à cette mode angliciste, et l’intégration de mots issus des cités pour faire "d'jeune".

     

    Les anglicistes sont ceux qui se pensent modernes, urbains, mondialistes, et qui considèrent qu’il faut être au niveau d’une France européenne et non nationale. Pour eux, le franchouillard comme moi est un quasi imbécile, un témoin suranné. Si, en plus, il aime l’histoire, la littérature et se souvient de ses racines, c’est rédhibitoire.

    Ceux qui utilisent ces anglicismes doivent savoir qu’ils sont en réalité dans une œuvre de destruction du vocabulaire, de la langue française et qu’ils sont finalement les idiots utiles du système.

    Les "artistes" et autres parsèment leur vocabulaire d’expressions "d"'jeunes", issues de l’africain et de l’arabe des cités. Ils s’imaginent à la pointe de la modernité alors même qu’ils abaissent l’ensemble des niveaux du langage.

    S’y ajoute l’écriture inclusive.

    Ainsi, nous voyons à quel point notre langue est détruite, peu à peu, par ceux qui devraient la défendre ! Les intellectuels gauchistes nous parlent d’égalité des sexes et de "rendre visible les problèmes d’égalité qui viennent du langage" et les responsables politiques ne réagissent pas, les parlementaires, les élus municipaux défendent mollement la langue française. Pourtant, l’article 2 de la Constitution est clair !

    https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000571356/

    Il y a des industriels, des banquiers qui obligent souvent leurs salariés à parler et à rédiger en anglais, à faire des rapports et suivre des réunions où la langue française est proscrite, y compris dans le quartier d’affaires de la Défense, en France.

    Dès 1975, la loi “Bas-Lauriol“ rend l’emploi du Français obligatoire dans différents domaines : audiovisuel et commerce, établissements publics, monde du travail. (source) En 1994, la loi “Toubon” renforce ce dispositif ! L’Académie Française considère l’écriture inclusive comme contre-productive, elle “offusque la démocratie du langage“.

    Je me souviens de mes batailles lors de réunions syndicales avec les directions de la RATP quand je demandais à ce qu’aucun anglicisme ne soit dans les accords salariaux et autres débats. Même mon syndicat, taxé de droite à l’époque, me disait que j’exagérais, c’est tout dire.

    Nos écrivains d’hier seraient choqués de voir cette volonté d’abaissement de la langue française au point que certains souhaiteraient revisiter leurs romans, leurs écrits divers. Que seraient Les Misérables, Les Contemplations, La Dame aux camélias, Une Vie, L’assommoir, Germinal en écriture inclusive, farcis d’anglicismes et de phrasés d'jeunes?

    La circulaire à Matignon en 2017 établit que “dans les textes réglementaires, le masculin est une forme neutre qu’il convient d’utiliser pour les termes susceptibles de s’appliquer aussi bien aux femmes qu’aux hommes” … “les textes qui désignent la personne titulaire de la fonction en cause doivent être accordés au genre de cette personne“. L’écriture inclusive ne doit pas être utilisée.

    S’ajoute aussi les genrés ! Eux demandent qu’ils ne soient pas traités en femme, ni en homme, mais en indéterminés. Le sexe n’est pas ce que vous avez entre les jambes mais il serait dans votre tête.

    Un vagin, un utérus ne détermine pas votre sexe. Pas plus que des testicules et un pénis. Ben voyons! Les hormones non plus puisqu’il suffit de quelques piqûres pour rétablir "cette injustice" de naissance.

    Vous n’avez pas de vagin? Qu’importe, un peu d’hormones femelles et la médecine va vous en donner un qui fera illusion. Il ne servira pas bien sûr, et toute forme de jouissance ou plaisir sexuel sera impossible, d’orgasme, hormis celle de regarder vos faux seins et cette imitation entre vos jambes dans le miroir.

    Vous n’avez pas de pénis? Qu’importe, avec des hormones mâles, un peu de chair prélevé sur votre bras, une opération chirurgicale, vous aurez un ersatz de pénis gonflable à l’air quand vous en aurez besoin pour faire jouir votre compagne ! Pas non plus de plaisir sexuel, d’orgasme!

    Une gamine de 11 ans, Alexia, bien formatée par son père, est dans ce délire. Alexia, dit "Il n’y a pas que des hommes et des femmes sur la terre (ben voyons!). J’ai déjà vu des personnes intersexes, et je comprends très bien ce que ça leur fait si on dit quelque chose qui leur déplaît". Ce vocabulaire est peu représentatif d’une jeune de 11 ans. Le formatage parental est évident.

    Je me demande à quel point les autorités sanitaires et familiales ne devraient pas se pencher sur le cas de cette famille. Dans le journal Le Point, elle précise: "L‘orthographe recommandée exclut les personnes qui ne sont ni “ils”, ni “elles " tandis que l’écriture inclusive permet de les inclure, du coup, elles sont mieux dans leur peau".

    Au secours!

    Pourtant, il existe un texte fort sur ce sujet. Il date de 1958. C’est la Constitution qui considère le français comme étant la langue de la nation France. Il est regrettable que les parlementaires, les autorités judiciaires, les pouvoirs politiques nationaux, régionaux, départementaux et municipaux soient incapables d’appliquer la loi fondamentale qu’est la Constitution.

    Gérard Brazon

    Perso: j'ai un transexuel dans mon entourage: "elle" prends des hormones féminines depuis des années (remboursées par la sécurité sociale) castration (remboursée par la sécurité sociale) et comme "madame" est dépressive depuis des années, "elle" perçoit l'AAH et tous les avantages sociaux qui vont avec!

  • Il fait chaud l'été, froid l'hiver

    Aux États-Unis, le premier amendement de leur Constitution garantit la liberté d’expression. Les réchauffards ont beau glapir qu’il s’agit d’un déni de faits sur lequel tous les scientifiques seraient d’accord… Les plus de 35.000 signataires de l’Oregon Petition, universitaires, ingénieurs et chercheurs du monde entier leur rentrent leurs mensonges dans la gorge.

    On ne peut bâillonner tous les hérétiques. Tout au plus les discréditer. En mettant en cause leurs compétences. Quand on sait que le GIEC a été dirigé par des gens qui n’avaient qu’une formation et une pratique très limitées en climatologie. Un ingénieur ferroviaire et un physicien atomiste auxquels ont succédé des laborantins et des petits profs. Le dernier en date serait un expert en énergies renouvelables.

    En Europe, et tout particulièrement en France où fleurissent les délits d’opinion, on voudrait vous faire rentrer les bonnes pensées dans le crâne à coups de marteau sur la tête. Interdits de séjour sur les médias audio-visuels, leurs éditeurs menacés de contrôle fiscal, leurs sites web caviardés ou fermés sans préavis, les climato-réalistes semblaient en mauvaise posture depuis le début du troisième millénaire.

    Les réchauffards s’en félicitaient cyniquement au moment de l’Accord de Paris de 2015 qui était censé nous donner le coup de grâce. Entre fermetures des labos, mises à la retraite d’office ou déclassement dans des bureaux des scientifiques fonctionnaires, seuls des électrons libres pouvaient continuer le combat pour dénoncer ces supercheries.

    Mais au désarroi des verdâtres qui fêtaient leur victoire idéologique, un retournement d’opinion s’est opéré. Les gesticulations du lunatique Macron pour capter quelques voix écolos ont déconsidéré le réchauffisme. La loi Climat Résilience de 2021 votée à la hâte a fait pschitt.

    Difficile de faire gober au plus grand nombre les fariboles du réchauffement quand les moyens de communication modernes montrent qu’il a neigé plusieurs fois dans le Sahara et en Arabie, que des otaries de l’Antarctique viennent batifoler dans les eaux de la Polynésie, que les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu comme prévu, et que les atolls qui devaient être engloutis avant 2020, sont toujours là…

    Le bon sens semble reprendre ses droits malgré le matraquage des médias serviles. Pas besoin d’être titulaire d’un Ph.D pour comprendre qu’il est normal qu’il fasse froid l’hiver et chaud l’été, et que les cycles climatiques ont toujours existé, de façon naturelle, en fonction des variations d’intensité du soleil et des évolutions de l’orbite terrestre. Même si Greta croit que Milankovitch était un vendeur de bicyclettes.

    FINALEMENT, TOUT ÇA C’EST LA FAUTE DE L’EXTREME DROUATE!

    Un certain Christophe Cassou du CNRS (la planque des chercheurs qui ne trouvent rien), membre éminent du Gang International des Escrocs du Climat, s’est plaint d’avoir été critiqué par des climato-sceptiques sur le web. C’étaient des patriotes qui plus est.  Circonstance aggravante !

    Cet homme qui se dit ouvert à la discussion ne palabre que si on est d’accord avec lui. Toute argumentation susceptible de remettre en cause ses croyances est perçue comme une agression haineuse et violente. Pour ce militant "les attaques climato-sceptiques sont nauséabondes, délétères et puantes". On retrouve là toute la dialectique pavlovienne des gauchistes frénétiques. Entre secte et croyances aveugles.

    Sous divers aspects, le réchauffisme est une religion laïque comme le communisme au siècle dernier. Avec son dogme, ses rites, ses grand messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa bureaucratie, sa sainte gourdasse, sa propagande, ses interdits alimentaires ("devenez végétariens pour sauver le monde") et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

    Cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable!

     

    "REPORTERRE"  CELLULE GAUCHISTE RIPOLINEE EN VERT S’AFFOLE

    Ils se disent "indépendants". Mais ils défendent les escrolos violents qui nous bassinent. Soutiennent les opposants à Poutine, comme ils attaquaient naguère Bolsonaro. Et bien sûr prennent le parti du Hamas contre les Israéliens. Symptômes de la peste gauchiste qui veut donner des leçons au monde entier. Alors qu’ils ne représentent qu’eux-mêmes.

    C’est dire si j’ai été heureux de lire l’aveu dépité de ces crapules, reconnaissant leur échec. "Alors que les effets du changement climatique (fini le réchauffement?) sont de plus en plus couverts par les médias, les climato-sceptiques prospèrent".

    Ces prophètes de malheur admettent mal qu’un nombre croissant de scientifiques, en dehors du microcosme des subventionnés et des médiatisés, récupèrent les mêmes données satellite, croisent les mêmes statistiques et utilisent les mêmes algorithmes qu’eux… Et en tirent, par le raisonnement et le calcul, des conclusions diamétralement opposées.

    Lueur de réalisme dans ces esprits bornés, ils avouent que, selon un sondage IPSOS et Cevipof de 2023, la moitié des Français ne croient plus à la fable du réchauffement anthropique. Et cette lucidité est partagée par des chefs d’États comme Xi Jinping (Chine), Vladimir Poutine (Russie), Javier Milei (Argentine), Salman Al Saoud (Arabie), des leaders en orbite d’attente comme Geert Wilders (Hollande) et Trump (USA), et d’anciens présidents influents comme Jair Bolsonaro (Brésil).

    En outre, en Australie, aux USA, au Canada, en Finlande, en Norvège, une forte proportion de la population, jusqu’à 65%, ne gobe plus les fables du GIEC. Malgré la cenSSure de Google, YouTube, MSN, Chrome, Twitter, Facebook, au service des réchauffards… Le CO2 peut-il faire oublier la pédophilie de certains de leurs dirigeants, clients assidus de Jeffrey Epstein et autres salopards du même tonneau?

    Plutôt que de reconnaître leurs erreurs, les enfumeurs du GIEC voudraient punir les coupables de leur perte d’influence

    Les climato-réalistes reviennent de loin. Les brimades et exclusions des réseaux dont certains ont changé de nom comme des voyous après un mauvais coup ne sont rien à côté des menaces de quelques fous furieux menés par le fantasque ex vice-président US Al Gore.

    Cet autre "Mozart de la finance" qui, lors de la crise des subprimes a planté Goldman Sach de 10 milliards de dollars, renfloué sur des fonds fédéraux, voulait instaurer un crime contre l’humanité de climato-scepticisme. Avec une cour pénale façon Nuremberg pour condamner à la prison à vie tous ceux qui réfuteraient les élucubrations du GIEC.

    PREDICATEURS OU PREDATEURS, LES OBJECTIFS DES RECHAUFFISTES

    Les gens du GIEC racontent n’importe quoi pour satisfaire leurs sponsors. Ils en attendent des dividendes sous forme d’honneurs, de postes convoités, de crédits de recherche, de publications favorisées et bien sûr de rémunérations confortables. À ce tarif-là, ils justifient par tous les moyens trois objectifs principaux :

    D’abord assujettir les États-Nations à une plate-forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats financiers. Avec au début des simulacres d’élections, sans que les dirigeants désignés soient responsables devant le peuple. Le tout enrobé d’une propagande menaçante que chacun doit reprendre en chœur s’il veut éviter l’exil intérieur.

    Ensuite détourner le regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle de l’invasion migratoire qui est en train modifier radicalement leurs équilibres sociétaux ainsi que leurs modes de vie… Tout en attirant au profit des banksters des foules de manœuvres aisément manipulables ou remplaçables, pour peu qu’on satisfasse leurs lubies religieuses.

    Enfin parachever une paupérisation généralisée compensée par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation.

     

    Avec à la clé une restructuration économique destinée à favoriser la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure... Sans se priver du bonus de la docilité des peuples muselés. Abrutis par les mass médias et assez soumis pour avoir subi, sans se rebiffer, les diktats expérimentés de façon concluante lors de la crise sanitaire provoquée.

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/

  • NON… MAIS….. QUOI?  QUOI?  Encore!

    Un sondage montre de graves lacunes en Histoire chez les jeunes: 46% ne savent pas quand a commencé la Révolution française

    À peine plus d’un jeune Français sur deux capable de dire quand a débuté la Révolution Française. C’est un des alarmants résultats d’une étude réalisée par l’institut de sondage OpinionWay et publié dans La Tribune du Dimanche ce 7 janvier.  À la question "Avez-vous déjà entendu le terme Shoah?" seulement 63% des jeunes qui ne lisent aucun livre répondent "oui"

    Ce rapport, dirigé par la politologue Chloé Morin, jette une lumière crue sur les lacunes des Français de 16 à 24 ans en histoire, et ce alors qu’Emmanuel Macron se montrait pourtant clair lors de son intervention sur le plateau de l’émission "C à vous" le 19 décembre. "L’école, c’est la mère de toutes les batailles", martelait le chef de l’État, ajoutant que l’éducation était «une partie du rendez-vous» qu’il donnerait aux Français en janvier, sans donner plus de détails.

    Rapport à l’Histoire, à l’information, présomption d’innocence ou encore laïcité: les questions, qui portent sur des thématiques diverses et variées, pointent le faible niveau de connaissance historique de la génération née entre 1999 et 2007. Seulement 54% des 986 personnes interrogées sont capables de dire que la Révolution française a commencé en 1789, quand 46% donnent une mauvaise réponse. 40% peuvent affirmer que le mur de Berlin est tombé en 1989, quand moins d’un quart des jeunes Français avance 1948 pour la date de la création de l’État d’Israël.

    Ces réponses sont également croisées avec d’autres données, comme «la proximité partisane, les sources d’information, mais surtout le temps de lecture mensuel et celui passé quotidiennement devant l’écran de son smartphone», détaille encore La Tribune. À la question "Avez-vous déjà entendu le terme Shoah?", seulement 63% des jeunes qui ne lisent aucun livre répondent "oui", alors que presque 90% des 16-24 ans qui lisent trois livres ou plus chaque mois peuvent répondre par l’affirmative. […]

    Des résultats qui s’expliquent en partie par la façon dont les jeunes s’informent : les réseaux sociaux sont la première source d’information pour 45% des personnes interrogées, devant les chaînes de télévision. Seulement 8% d’entre eux s’informent grâce à la presse écrite.

    Le Figaro