Le Bohemian Club est la principale société secrète de la gouvernance occulte. Le point de ralliement est situé à Santa Rosa, en Californie, à 120 kilomètres au Nord de San Francisco. Créé en 1872 par cinq journalistes, c’est l’un des clubs les plus fermés au monde. Il est réservé à une élite, il regroupe environ 2300 hommes d’influence, d’origine nord-américaine, européenne et asiatique. La cotisation annuelle et la compensation aux déficits sont de l’ordre de 10 000 à 20 000 dollars.
Pour en faire partie, la liste d’attente exige une dizaine d’années de patience. La majorité des membres sont californiens: des PDG d’entreprises, de hauts fonctionnaires, des membres de conseils politiques ou de fondations. L’élite de la justice, du commerce, du milieu universitaire, médical, scientifique, littéraire. Tous se réunissent chaque année, les deux dernières semaines de Juillet dans la forêt californienne.
Cette élite forme la tête et le corps de l’actuelle gouvernance mondiale. Il s’agit d’une classe de personnalités de la société civile, riches, influentes, souvent charismatiques, à l’instar des anciens druides. L’initiation à la cause grandiose produit un impact indélébile sur le psychisme de chacun d’entre eux.
Ils sont à l’origine de l’actuel enlisement économique et social. Ils sont à l’origine des réformes sociétales, aux conséquences gravissimes. Tout cela afin de conditionner les peuples et les Etats. Les peuples et les Etats doivent finalement accepter le programme de sauvegarde d’un Nouvel Ordre Mondial économique et environnemental. Bon gré, mal gré. Avec le consentement ou de force.
Dans le parc californien du Bohemian Club, sur une place aménagée, en l’honneur des membres et de leurs invités, placés sous haute surveillance, des représentations théâtrales rituelles consistent à mettre le feu au pied de la haute statue en forme de chouette et de simuler des sacrifices humains. Une statue géante de douze mètres, en forme de hibou, taillée dans la roche, surplombe leurs réunions secrètes. La figure mythique de cet oiseau a été reproduite sur les planches à billets de la FED, en minuscule figurine. Le recours au symbole prouve qu’ils ont besoin d’un support matériel pour tirer force de l’esprit. Pourquoi ont-ils choisi l’emblème de la chouette ou du hibou?
Les Athéniens vénéraient la chouette, compagne d’Athena, déesse de la guerre, de la science et de la sagesse. La chouette était l’emblème de Minerve, déesse romaine identifiée à l’Athena hellénique. La chouette, animal fétiche d’Athena et de Minerve.
La chouette sort de son repaire quand la nuit tombe, après la lueur de combats de toutes sortes, à l’issue de multiples activités humaines. La chouette voit ce que les autres ne voient pas, ne peuvent pas voir. La chouette, oiseau très discret, se déplace en silence, surprenant ainsi ses victimes.
De même, le philosophe survient après que l’événement historique a délivré son message. La chouette est donc le symbole de la philosophie. La chouette est un symbole païen, lié à l’initiation, au secret, et au pouvoir.
Au VIIIe siècle avant Jésus-Christ, parmi les trois cents groupes druidiques, existait le cercle de la chouette. Les adeptes de ce cercle se caractérisaient par un esprit de tolérance et de partage. Depuis cette époque, le druidisme est la religion des Celtes. Cette religion est issue de peuples conquérants celtes indo-européens, pratiquant le chamanisme.
Le chamanisme, spiritualité centrée sur la médiation entre les êtres humains et les esprits de la surnature (les morts du clan, les âmes des enfants à naître, les âmes des malades à revitaliser, les âmes du gibier…). Le druidisme traverse les âges dans une forme de clandestinité. Il est réactivé et amplifié au début du XVIIIe siècle, de la même façon que les Illuminati, Esprits Brillants, ou Esprits Supérieurs.
A l’origine, les connaissances du druide mage et sorcier sont considérées comme très pures, ces connaissances pures constituent l’essence de la sorcellerie. Le Druidisme est tourné vers le Sacré et la Nature. La spiritualité druidique rapproche l’Homme de la Terre-Mère, Gaïa, à travers une voie initiatique ancestrale. Son message pacifique, fraternel, et écologique, s’accorde pleinement avec la communication des mouvements contemporains liés au Nouvel Age.
Le druide était le guide spirituel d’un peuple et le conseiller du Roi. Le druide assurait une double fonction de druide- mage et de druide-sorcier. Mais surtout, le druide s’identifiait en prêtre du sacré, médium des grands Mystères. Le druide détenait le statut de prêtre au sens large: dieu, devin, prophète. Il connaissait les lois de la nature et prédisait l’avenir du monde. Ses connaissances regroupaient tout le savoir antique dans le domaine spirituel: au plan philosophique, transmutation des âmes, déplacement d’une âme d’un mort vers un autre corps, au plan physique, transmutation de la matière, principale pratique de l’alchimie.
Or, l’initiation au Nouvel Ordre Mondial impose la transmutation alchimique de l’esprit. Ainsi, les connaissances du druide contredisent la croyance populaire en de méchants et terrifiants sorciers habitant de lugubres demeures et jetant des sorts aux gens. La description populaire narre les horribles méfaits de sorciers mystérieux, habillés de noir, habitant de sombres manoirs. Des ensorceleurs suscitant l’effroi à leur entourage par leur simple présence. En fait, les Druides, placés au cœur de la société humaine, avaient un rôle étendu et une influence insoupçonnée.
En plus de sa fonction de prêtre chargé de la direction spirituelle des peuples, le druide était aussi éducateur, philosophe, naturaliste, astronome, architecte, médecin, juge, ambassadeur, conteur ou orateur, instaurateur de la paix sociale. Donc un grand érudit, un grand homme naturel. Il savait méditer et approfondir les doctrines sans dogmatisme, sans extrémisme, sans fanatisme. Il inspirait confiance à un large public, et rassurait par son haut niveau de culture et de connaissances.
La racine du mot celte dru-wides signifie très brillant, très voyant, très savant. D’où la similitude étymologique avec Lucifer: lux, lumière + ferre, porter = porte-lumière. Or, l’initiation au Nouvel Ordre Mondial a une implication luciférienne. La même analogie se rapporte aux Illuminati du XVIIIe siècle, Esprits Brillants, Esprits Supérieurs. Et les Illuminati d’aujourd’hui sont à la tête de la véritable gouvernance mondiale.
Dans l’Antiquité, les enseignements druidiques étaient pratiqués en écoles buissonnières, en forêt naturelle, parmi les arbres. L’apprentissage durait une vingtaine d’années et embrassait les sciences, les arts, la philosophie, la magie, le droit, la justice, l’alchimie, l’astronomie, la métaphysique, étude de la cause première de toutes choses, le magnétisme personnel, la fascination ou le charme émanant d’une personne.
Les Druides rendaient la justice dans les tribus. Ils s’assemblaient une fois par an en des endroits isolés d’une forêt. Là, ils se répartissaient en trois cercles et organisaient l’univers social, en harmonie avec la nature et les dieux. Le premier cercle définissait le monde. Le deuxième cercle définissait le corps, l’âme et l’esprit. Le troisième cercle se rapportait à la déesse aux trois visages, les trois patronnes, mère des divinités, mère de la fertilité, mère de la fécondité.
De même, les membres du Bohemian Club se réunissent en pleine forêt, près d’un grand feu, et organisent le monde. L’organisation en trois cercles se retrouve dans toutes les sociétés secrètes du XXIe siècle. Toutes les sociétés secrètes sont organisées de façon concentrique, elles sont structurées en trois cercles sociétaux, elles sont ésotériques, c’est-à-dire que la connaissance est réservée à des initiés. Chaque membre se positionne selon sa capacité à garder le secret absolu, et selon ses qualités reconnues d’élite des nations.
Chez les Druides, le culte de la lumière et du feu était prépondérant, à l’instar des Perses et des Mèdes (peuple irakien vers 1000 avant Jésus-Christ). Le culte du feu ou la vénération perpétuelle de la flamme était la principale caractéristique de la religion perse, et de la religion babylonienne ou mésopotamienne. Religion mésopotamienne caractérisée par le culte de Baal, nom de leur dieu suprême, probablement le soleil. Le feu était supposé être la manifestation divine de la lumière céleste.
L’on offrait un sacrifice, souvent humain, en face du feu dont la puissance était magique. Le feu symbolise l’esprit, la connaissance intuitive, le prolongement de la lumière dont l’action est prolifique, le moteur de toute dynamique. Les brillants mages d’autrefois, coutumiers de la tradition druidique, se rassemblaient dans une communion spirituelle au cœur d’une forêt dense, pour retirer la force d’esprit, afin d’obtenir le plein succès de leurs projets et entreprises.
Le domaine du parc forestier du Bohemian Club renferme des zones secrètes exclusivement réservées aux adhérents du Club. Les témoignages d’employés du parc, volontairement succincts, permettent de comprendre les scènes rituelles d’origine païenne.
Les membres du Bohemian Club sont aussi les principaux décideurs du Groupe Bilderberg, et de la plupart des cercles de réflexion. Ils reproduisent le même rituel sous la forme d’un grand lunch en forêt californienne. Pour eux, ces rassemblements extraordinaires de nature spirite sont aussi nécessaires pour assurer la réussite de leurs plans et leurs démarches entrepreneuriales.
Dans les anciennes sociétés agricoles de l’Antiquité, les hommes déifiaient le Cosmos. La religion était une religion archaïque cosmique. La nature était considérée comme la Terre-Mère. De même, dans les mystères d’Eleusis, la déesse Isis-Déméter représentait pour les initiés une " Mère universelle ", archaïque et tellurique, c’est à dire la Terre. Isis-Déméter parce que des Grecs revenant d’Egypte, auraient importé à Eleusis le culte d’Isis sous le nom de Déméter. Ce concept de " Mère universelle " tellurique reprend une croyance archaïque très répandue en Orient.
Une croyance moderne aussi. En effet, Isis-Déméter peut être comparée à Gaïa dont le culte sous-tend l’idéologie écologique. Comme dans l’ancienne religion cosmique, les mystères divinisent la Nature, c’est pourquoi ils sont dits panthéistiques. Comme dans le panthéisme, le monde est divinisé, le divin est identifié au monde. C’est une métaphysique moniste, une métaphysique de l’Un. Autrement dit, l’ésotérisme des initiés aux mystères de l’Antiquité païenne s’inscrit dans le monisme de l’Etre de l’Antiquité.
On retrouve ces mêmes croyances, cette même métaphysique, au Bohémian Club, dans de nombreuses sociétés secrètes, et dans la "religion" mondialiste.
Et jusqu’au sein d’une société française, la société Aubriat, spécialisée dans le traitement de la charpente, de la mérule (champignon du bois), des xylophages et de l’humidité depuis 1980, basée à Epinal, Nancy, Strasbourg et Vesoul.
La société Aubriat d’Epinal a été chargée de "nettoyer" les poutres de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Et peut-être de déposer le produit thermite, accélérateur de feu, sur ces mêmes poutres.
Le logo de la société Aubriat arbore une chouette, ce qui révèle une connexion avec un culte satanique lié à la chouette, mascotte d’Athéna et de Minerve, culte satanique lié aux Illuminati.
De plus, en arrière sur le logo, une trame fait penser à une nappe sur un autel, et qui a une forme de rituel. Le rituel est posé sur une nappe, et la symbolique est véhiculée sur la nappe. Ces éléments sont troublants.
Les Esprits brillants qui dirigent le monde, les membres de " élites " européennes et nationales sont tous adeptes de ces croyances païennes ancestrales, et préparent une religion mondiale de l’humanité.
Les organisations secrètes sont la source spirituelle occulte des membres du Nouvel Ordre Mondial.
Jean Saunier