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Questions

Pour être juste et ne pas se laisser berner...

Tuerie de Sydney: et si l’Ahmed n’est pas vraiment le héros qu’on croit

Le ressortissant syrien Ahmed al Ahmad, musulman chiite de 43 ans, naturalisé australien il y a 3 ans, a été élevé au rang de héros national et international après son intervention contre l’un des deux terroristes qui tiraient sur des juifs réunis pour la fête de la Hanoukka, le 14 décembre sur une plage de Sydney.

Pourtant, des questionnements s’imposent.

Ahmed (ou Ahmad) serait resté un inconnu si quelqu’un n’avait pas filmé son intervention puis l’avait postée sur les réseaux sociaux.

Ahmad ne savait pas qu’il était filmé. Il aurait certainement eu un autre comportement s’il avait su qu’il l’était.

Le monde entier a donc vu un bonhomme, chemise blanche, grosse corpulence, surgir entre deux voitures, se précipiter sur un individu qui tirait sur la foule, lui enlever son arme et le mettre en joue.

Dans une telle situation, l’assaillant aurait pu mettre un coup de crosse au tireur pour évacuer le stress de l’intervention. Coup de crosse accompagné de langage fleuri.

Il mettait le terroriste en joue alors qu’il savait que le fusil était déchargé.

L’Ahmad, dit-on, "était à quelques mètres de l’un des tireurs qui lui tournait le dos. Il aurait pu rester là en espérant que le terroriste ne le remarque pas. Mais voilà que le terroriste s’arrête de tirer. Et Ahmed de penser qu’il avait vidé son premier chargeur, et que le temps qu’il recharge la bécane, il avait le temps de fondre sur l’homme et le neutraliser".

Donc, le fusil était déchargé. Le terroriste le savait. Le mettre en joue avec une arme déchargée est ridicule.

1E QUESTION: QUE SE SONT-ILS DIT?

Le terroriste aurait-il dit: "Je tire sur des Juifs?".

On voit l’assaillant se ramollir et laisser partir le terroriste, alors qu’il pouvait le livrer à la police. L’Ahmad n’était pas seul. Celui qui l’accompagnait (apparemment un cousin) aurait pu appeler la police.

2E QUESTION: POURQUOI L’A-T-IL LAISSE PARTIR?

Le terroriste "est parti tranquillement rejoindre son complice et est revenu sur place quelques minutes après continuer son travail avec une nouvelle arme".

L’Ahmed a soustrait un criminel à la justice.

3E QUESTION: AHMAD HEROS OU COMPLICE?

L’Ahmad n’a pas arrêté la tuerie alors qu’il le pouvait. Il a laissé le terroriste aller prendre une autre arme et continuer à tirer. Le "héros" présumé peut donc être considéré comme complice de la tuerie.

On apprend tout d’un coup que le "héros de Bondi Beach" a été hospitalisé puis opéré, qu’il se trouve dans un état stable, mais doit subir de nouvelles opérations. Des opérations pour un bras touché.

4E QUESTION: A QUEL MOMENT A-T-IL ETE BLESSE?

On le voit sur un lit d’hôpital avec des pansements au bras gauche et à la main droite. L’" espace " entre les deux membres est intact. Qui lui a tiré dessus? Quand ? Le tireur qu’il a laissé partir? Pourquoi la personne qui filmait ne filme-t-elle plus ou pourquoi ne voit-on pas la suite des événements?

On apprend que les parents de l’Ahmad étaient à ses côtés.

 "Très âgés, les parents ont expliqué ne pas pouvoir aider leur fils lors de sa convalescence", dit-on". Ils ont donc lancé un appel au Premier ministre australien pour faire venir les deux frères d’Ahmed, de nationalités allemande et russe".

Une convalescence pour une blessure au bras?

Une minuscule blessure qui requiert l’arrivée des frères d’Allemagne et de Russie?

Ça sent le roussi. Un bon roussi.

UNE DERNIÈRE QUESTION: quand est-ce que, dans l’histoire de l’humanité, un musulman est venu au secours de Juifs?

 

Messin’Issa

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