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santé - Page 3

  • Votre voiture est dangereuse

    Des produits chimiques cancérigènes émanent constamment des sièges de nombreux véhicules

    Alors que de nombreuses recherches sur la pollution automobile se concentrent sur les polluants atmosphériques externes entrant à l’intérieur des véhicules et affectant de ce fait les passagers, une nouvelle étude montre que les produits chimiques émanant directement de l’intérieur pourraient également être préoccupants. Du moins, il s’agit de la conclusion d’une nouvelle étude réalisée par l’UC Riverside, publiée ce mois-ci dans la revue Environment International.

    L’étude révèle notamment que plus le trajet est long, plus vous êtes exposé à un ignifuge chimique cancérigène connu, et qui a notamment été éliminé de certains meubles. Bien qu’il existe d’autres produits chimiques qui sont généralement utilisés dans la fabrication d’automobiles, ce retardateur de flamme vient d’être ajouté à la liste des produits à éviter ou interdits.

    Certains scientifiques ont supposé que le produit chimique, appelé TDCIPP ou “tris chloré”, a cessé d’être utilisé après qu’il ait été placé sur la liste de la Proposition 65 en Californie, en 2013. Cependant, il est encore largement utilisé dans la mousse des sièges d’automobiles. L’étude montre que non seulement votre voiture est une source d’exposition au TDCIPP, mais que moins d’une semaine de trajets entraîne une exposition élevée à ce dernier.

    David Volz, professeur agrégé de toxicologie environnementale à l’UCR (Californie), a déclaré que les résultats étaient inattendus. " J’étais au départ plutôt sceptique, car je ne pensais pas que nous allions trouver une concentration significative dans ce court laps de temps, sans parler de l’importance du temps de trajet ", a déclaré Volz. " Nous avons donc été surpris deux fois, ce qui était vraiment inhabituel ".

    Impact sur le développement du fœtus, infertilité et risque de cancer

    Au cours de la dernière décennie, Volz a étudié comment divers produits chimiques affectent la trajectoire de développement précoce. En utilisant des poissons zèbres et des cellules humaines comme modèles, le laboratoire de Volz étudie depuis 2011 la toxicité d’une nouvelle classe de retardateurs de flamme appelés esters organophosphorés.

    Nous ne savons que peu de choses sur la toxicité de ces esters organophosphorés — dont le TDCIPP fait partie, mais il faut savoir qu’ils ont remplacé les anciens produits chimiques ignifuges, qui persistaient plus longtemps dans l’environnement et prenaient plus de temps à se métaboliser.

    En utilisant le poisson zèbre comme modèle, Volz a découvert que le TDCIPP empêche un embryon de se développer normalement. D’autres études ont rapporté une forte association entre le TDCIPP et l’infertilité chez les femmes suivant des traitements de fertilité.

    Sachant que son utilisation est encore répandue dans les véhicules, Volz s’est demandé si l’exposition totale d’une personne était liée à la durée du trajet. Les étudiants de premier cycle de l’UC Riverside ont fait d’excellents sujets d’étude, car la majorité d’entre eux effectuent de longs trajets quotidiens en voiture.

    L’équipe de recherche comprenait des collaborateurs de l’Université Duke et était financée par les National Institutes of Health (NIH) ainsi que l’USDA National Institute of Food and Agriculture.

    Les participants comprenaient environ 90 élèves, dont chacun avait des temps de trajet variant de moins de 15 minutes à plus de deux heures aller-retour. Tous ont reçu des bracelets en silicone à porter en continu pendant cinq jours. La structure moléculaire du silicone le rend idéal pour capturer les contaminants en suspension dans l’air.

    Étant donné que le TDCIPP n’est pas chimiquement lié à la mousse, il est expulsé au fil du temps et se retrouve dans la poussière (qui est inhalée), selon Aalekyha Reddam, un étudiant diplômé du laboratoire Volz.

    Une forte corrélation avec le temps de trajet

    Plusieurs esters organophosphorés ont été testés, mais le TDCIPP était le seul à montrer une forte association positive avec le temps de trajet. " Votre exposition au TDCIPP est d’autant plus élevée que vous passez de temps dans votre véhicule ", a déclaré Reddam.

    Bien que Volz et son équipe n’aient pas prélevé d’échantillons d’urine pour vérifier que le produit chimique a migré dans le corps des participants, ce dernier point est pour eux une certitude. " Nous supposons que c’est le cas en raison de la difficulté à éviter l’ingestion et l’inhalation de poussière ", a déclaré Volz. De plus, d’autres études ont examiné l’accumulation de TDCIPP dans l’urine, mais pas en fonction de la durée du trajet.

    À l’avenir, l’équipe de recherche aimerait répéter l’étude avec un plus grand groupe de personnes, dont les âges seraient plus variés. Ils aimeraient également étudier les moyens de protéger les automobilistes contre cette exposition, ainsi qu’à d’autres composés toxiques.

    Jusqu’à ce que des méthodes de réduction plus spécifiques puissent être identifiées, l’équipe encourage à épousseter fréquemment l’intérieur des véhicules et à suivre les lignes directrices de l’Environmental Protection Agency des États-Unis pour réduire l’exposition aux contaminants.

    Jusqu’à ce que des alternatives plus sûres soient identifiées, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre les effets du TDCIPP sur les navetteurs.

    "Si nous avons pu obtenir des résultats significatifs en seulement cinq jours, qu’est-ce que cela signifie pour une exposition chronique à long terme, pour les personnes qui effectuent de longs trajets tout au long de l’année, durant des décennies?", s’interroge Volz.

    Source : Environment International

     

  • Profiteurs, abuseurs…

    Je vois régulièrement une pub sur diverses chaînes télé, d'un fabricant de dentifrice qui dit à peu près:

    Votre brosse à dents:

    un mois: un million de bactéries

    deux mois: deux millions de bactéries

    trois mois: trois millions de bactéries

    et, en gros: achetez mon dentifrice…

     

    SAUF QUE

    Une fois par semaine:

    Vous remplissez votre verre à dents (en verre, naturellement, le plastique retient les bactéries buccales et cela peut donner des aphtes)

    Vous ajoutez une cuillère à café de bicarbonate de soude

    Vous plongez votre brosse à dents, après l'avoir ébouillantée sous l'eau très chaude du robinet

    et vous ajoutez vos brossettes ou autre fil dentaire

    Laissez agir minimum deux heures.

    Et voilà; vous avez économisé…

    D'autres astuces sur le bicarbonate?

     

    www.tradi-cuisine.com 

  • Comment on culpabilise les mâles blancs!...

     

     

    Juste pour information:

    Sophier Daumier était atteinte de sclérose en plaques et son mari en a profité pour divorcer… Elle est décédée il y a quelques années…

    Son mari? Guy Bedos…

    Pensez-y quand vous irez cherchez des places pour le voir sur scène…

    N'engraissez pas ce pov' type!

     

  • AIDE AUX PERSONNES QUI N'ONT PLUS D'ESSENCE

    UN PLEIN QUAND MEME MALGRÉ LA PÉNURIE, C'EST POSSIBLE!

    Il faut savoir que quand les pompes sont vides (pour toutes les raisons que vous pouvez imaginer), le préfet de police de votre département est obligé de réquisitionner une ou deux stations d'essence qui seront réservées aux professionnels: ambulanciers, médecins, infirmières etc.. car il faut assurer la continuité du service public d'aide à la population.

    MAIS

     si vous connaissez dans votre entourage une personne titulaire du “macaron de stationnement personne handicapée“ vous pouvez avoir (parfois) un plein d'essence par semaine. Bien sûr, il faut impérativement que le macaron soit véritable. En règle générale, pour obtenir “l'avantage“ dédié, un macaron “va“ avec la carte invalidité à 80% et avec la personne handicapée dans la voiture.

    Donc, si vous avez photocopié frauduleusement un macaron, vous risquez une très forte amende et passage au tribunal pour usage de faux! La station essence en question sera gardée par des policiers ou gendarmes, donc, fumistes, passez à l'as!

     MAIS: tous les départements ne seront pas conciliants, donc, renseignez-vous avant de partir... je suppose qu'il faut appeler votre commissariat....

    Ce sont les personnes handicapées qui vont venir voir à elles tout un tas d'abandonnistes indécents qui les fuient normalement! La vengeance est…..

     

  • Association d'aide aux victimes des médicaments

    Notre Combat avance lentement, ainsi l’Alerte de l’AAAVAM acceptée en novembre 2016 par l’actuelle Ministre de la Santé la Professeur Agnès Buzyn concernant les suicides et les actes de violences favorisés par des prescriptions en mésusages de "tranquillisants et de somnifères de la classe des Benzodiazépines, a donné lieu le lundi 26 novembre 2018 à la signature d‘une "charte" entre l’Ordre National des Pharmaciens et le Directeur Général de l’ANSM le Docteur Dominique Martin.

    "Les pharmaciens d’officines ont désormais l’obligation de "signaler" à l’ANSM les achats excessifs ou en dehors des A.M.M. de médicaments psychotropes (Opiacés et Benzodiazépines) les amateurs de Lexomil® ou de Tramadol® n’ont plus qu’à bien se tenir!

    Par ailleurs, l’ANDROCUR® vient s’ajouter à la longue liste des médicaments défectueux du laboratoire Bayer®, STALTOR®, CHOLSTAT®, BAYERMA®, DIANE 35, XARELTO®, Etc…, mais les autres Laboratoires ne sont pas épargnés par les effets indésirables non signalés par une pharmacovigilance qui ne fonctionne pas : MEDIATOR®, ISOMERIDE®, VIOXX®, AMIODARONE CORDARONE®, AGREAL®, DEPAKINE®, DISTILBÈNE, THALIDOMIDE®, ROACCUTANE®, TAVANIC®, NOROXINE®, Etc.

    En conformité avec les buts de l’AAAVAM nous aiderons en 2019, comme nous le faisons depuis 27 ans, les Victimes de ces catastrophes par des informations médicales et des aides psychologiques, nous aiderons aussi les Victimes et leurs ayants droit par des actions judiciaires.

    Mais avant tout nous réclamons de la "Prévention" notamment par une pharmacovigilance en temps réel, une formation des médecins à la toxicologie pour éviter le mésusage des médicaments souvent à l’origine de séquelles ou de décès.

    Entre les immeubles qui s’effondrent, les accidents des médicaments, les petites retraites qui diminuent, l’ambiance sera plutôt morose en cette fin d’année 2018 que nous vous souhaitons néanmoins la moins mauvaise possible grâce à la fraternité de ceux qui sont en bonne santé avec un travail ou une retraite leur permettant d’aider leurs proches.

    Association D'Aide Aux Victimes des Accidents de Médicaments

    Tél. 01 41 10 87 00

    www.aaavam.eu

  • Voila ce que c'est de les cacher sous une burqa...

     

    C'est prouvé: la sclérose en plaques augmente quand on manque de vitamine D, donc, la peau au soleil…

    au Canada, on donne de la vitamine D obligatoirement aux enfants de moins de 8 ans et aux mères enceintes!

    Et, les mecs: si vous cachez vos femelles sous une burqa, les rendre malades, ça va gâcher votre capital!..... et, comme de plus en plus on commence à se rendre compte que cela se transmet de génération en génération, vos mâles vont péricliter et adieu le pays!

    Pas la peine de venir en France, nous aussi, nous sommes dans la fourchette haute des pays atteints! (à cause du nord de la France où il n'y a pas assez de soleil)…

    Il y a d'autres facteurs déclenchant, bien sûr: l'environnement (pollution) les cigarettes (j'ai fumé trois paquets par jour, hélas!) la faute à pas de chance... comme pour moi.

    Dans ma famille, hélas, nous avons un problème sur une HLA et c'est cela qui nous fait plus susceptibles d'attraper des maladies auto-immunes!

     

    Augmentation du nombre de cas de sclérose en plaques en Algérie :

    Des recommandations nationales pour améliorer la prise en charge

    Les premières recommandations nationales dans la prise en charge de la sclérose en plaques sont désormais établies. Des experts des différents centres hospitaliers universitaires, en l’occurrence les neurologues, ont élaboré un document rendu public hier, lors de journée scientifique dédiée à la sclérose en plaques, pour une meilleure prise en charge, organisée par le service de neurologie au CHU de Blida.

    Des neurologues de l’Est, de l’Ouest et du Centre ont présenté, lors de cette journée, les différents travaux réalisés dans leurs services respectifs sur le profil et l’évolution de la maladie en Algérie sur les 10 à 15 dernières années.

    Il ressort, selon ces études, que la prévalence de la sclérose en plaques en Algérie est en nette augmentation. Il y aurait, selon les différents intervenants, entre 15 000 et 17 000 personnes souffrant de la sclérose en plaques, soit 1200 nouveaux cas par an.

    L’étude concernant la wilaya de Blida, qui a porté sur 806 patients et qui s’est étalée de 2002 à 2016, avait pour objectif de rechercher l’incidence et le profil évolutif des patients, elle a montré que l’incidence était de 18 cas pour 100 000 habitants.

     "Un chiffre sous-estimé, vu que de nombreux patients allaient consulter dans d’autres services", note le Pr Rabah Drai, du service de neurologie du CHU de Blida, avant de signaler que la ville de Blida, qui comptabilise 81 patients, enregistre une prévalence de 40%, dont 75% des personnes atteintes sont âgées entre 18 et 40 ans, avec une prédominance féminine, et la forme rémittente reste la plus importante.

    Le Pr Drai a, par ailleurs, noté que des patients passent tout de même à un profil évolutif sévère en très peu de temps. Il signale, en effet, que la wilaya de Blida est une zone moyenne, voire à haut risque, d’où "la nécessité d’une prise en charge précoce de la maladie", a-t-il indiqué.

    Dans la wilaya de Tlemcen, la maladie a connu également une évolution rapide.

    Une étude menée sur un échantillon de 480 patients sur la période allant de 2012 à 2018 a révélé que le nombre de cas a doublé. La prévalence était de 26,3 pour 100 000 habitants en 2012, elle est de 41,5 pour 100 000 habitants en 2018. "Les résultats de notre étude ont montré une augmentation de la prévalence de la sclérose en plaques dans la ville de Tlemcen qui a presque doublé en six ans.

    C’est une affection qui représente la première cause de handicap acquis chez l’adulte jeune. Des études complémentaires sont nécessaires dans d’autres régions d’Algérie", a déclaré le Pr Zahira Barka, du service de neurologie au CHU de Tlemcen.

    Il est donc relevé que la sclérose en plaques est en nette augmentation dans notre pays, avec un phénotype particulièrement sévère chez les patients algériens et un pourcentage élevé de formes agressives par rapport à la population de l’Europe et de l’Amérique du Nord.

     "Comparativement aux études occidentales, le passage à la forme secondairement progressive se fait assez rapidement, en moins de 10 ans d’évolution de la maladie, chez 50% de cas de la sclérose en plaques", souligne le Pr Souhila Amalou, du service de neurologie du CHU de Blida, avant de rappeler l’importance des recommandations nationales pour l’amélioration de la prise en charge des patients au niveau national.

     "Ces lignes directrices élaborées par l’ensemble des neurologues vont permettre d’améliorer la prise en charge des patients et d’adapter le même traitement pour tous les patients sur le territoire national. Il s’agit d’un protocole qui sera suivi de manière rigoureuse afin d’éviter les échecs thérapeutiques et les effets secondaires.

     Ce qui permettra aussi d’enrichir notre arsenal thérapeutique", a-t-elle déclaré. A noter que le service de neurologie du CHU de Blida vient de se doter d’une unité dédiée de la sclérose en plaques et d’une unité de prise en charge de la démence.

    Ces deux unités, qui viennent s’ajouter à l’unité AVC, feront de ce service un pôle d’excellence en neurologie, qui n’a rien à envier à ce qui se fait ailleurs dans le monde.

    Pour rappel, la sclérose en plaques est une maladie inflammatoire démyélinisante du système nerveux central, caractérisée par une inflammation, une démyélinisation et une dégénérescence axonale.

    La fédération algérienne de la sclérose en plaques  : Un registre national exigé

    Le président de la Fédération algérienne des malades atteints de la sclérose en plaques, le Dr Kenzoua, appelle à la mise en place d’un registre national de la sclérose en plaques. Le manque de médecins neurologues dans certaines localités du pays est, selon lui, un des obstacles rencontrés par de nombreux patients.

     "Ceci pénalise les malades de ces régions pour avoir un diagnostic et une prise en charge précoces. Nous appelons le ministère de la Santé à renforcer les structures hospitalières dépourvues de spécialistes", a-t-il déclaré. Et de demander l’acquisition des nouvelles molécules pour une meilleure prise en charge des patients algériens. Le Dr Kenzoua a, au passage, déploré le manque de services de rééducation fonctionnelle dans de nombreux établissements hospitaliers dédiés à la prise en charge de cette pathologie.