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histoire

  • LE 8 MAI 1945

    "Honneur à nos grands morts. Grâce à eux, la France, hier soldat de Dieu, aujourd'hui soldat de l'humanité, sera toujours soldat de l'idéal".

    Georges CLEMENCEAU - Député, Homme d'état, Homme politique, Journaliste, Maire, Médecin, Ministre, Scientifique, Sénateur (1841 - 1929)

    Commémoration de la victoire des Alliés sur l'Allemagne nazie et la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe marquée par l'annonce de la capitulation de l'Allemagne.

    En France, cette date est un jour férié.

    Pour mémoire les pertes humaines pendant la Seconde Guerre mondiale ont été de l’ordre de 60 millions de morts. Cet événement est célébré le 9 mai sous le nom de Jour de la Victoire dans les pays de l’ancienne Union soviétique, et sous le nom de Jour de la Victoire en Europe et en Israël.

    EN  FRANCE

    La loi du 7 mai 1946 prévoit que la commémoration du 8 mai 1945 soit fixée au 8 mai de chaque année, sinon le dimanche suivant.

    Dès cette année et plus nettement dans les années suivantes, c'est-à-dire jusqu'en 1951, la commémoration perd de son importance alors que les associations d'anciens combattants réclament la reconnaissance du 8 mai comme jour férié et chômé.

    Le 8 mai est déclaré jour férié (mais non chômé) de commémoration en France. Cela n'empêche pas les cérémonies de revêtir un réel éclat.

    Dans les années cinquante et soixante, on avait, très vivant en esprit, le souvenir des souffrances de la 2e guerre mondiale et des ravages de la guerre, du sacrifice des soldats, de la peur et la douleur des civils.

    Les enfants des écoles devaient aller -avec leurs camarades- au pied du monument aux morts (qui représentaient aussi les Poilus de 14-18) pour accompagner les vétérans des deux guerres et chanter l'Hymne National, la Marseillaise….

    Pour faire passer la mémoire des temps anciens et ne jamais oublier…

    Vive la France éternelle

     

    image générée par I.A. par moi

  • "Par le sang versé"

    "Qui sait si l’inconnu qui dort sous l’arche immense,

    Mêlant sa gloire épique aux orgueils du passé,

    N’est pas cet étranger devenu fils de France,

    Non par le sang reçu mais par le sang versé". (Capitaine Pascal Bonetti, 1920)

    La bataille de Camerone, le 30 avril 1863, se fête avec Légionnaires, à Nîmes, Aubagne, Orange ou… La Rochelle.

    Camerone, c’est ce combat épique qui opposa une soixantaine de Légionnaires, assiégés dans l’hacienda de Camarón de Tejeda, à une armée de 2000 fantassins et cavaliers mexicains. Après onze heures de combat, par une chaleur torride, les six survivants encore debout, mais à court de munitions, chargèrent baïonnette au canon. Un officier mexicain – d’origine française – somme alors les survivants de se rendre.

     

    Le caporal Maine lui répond:

    "Nous nous rendrons si vous nous faites la promesse la plus formelle de relever et de soigner notre sous-lieutenant et nos camarades atteints, comme lui, de blessures ; si vous nous promettez de nous laisser notre fourniment et nos armes. Enfin, nous nous rendrons, si vous vous engagez à dire… que, jusqu’au bout, nous avons fait notre devoi ".

    L’officier mexicain lui répond: "On ne refuse rien à des hommes comme vous". Les rescapés sont présentés au colonel Milan, qui s’écrie:

    "¡Pero estos no son hombres, son demonios!" (" Mais ce ne sont pas des hommes, ce sont des démons").

    Plus tard, on construisit, au Mexique, un monument sur lequel sont gravés les mots suivants: "Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée. Sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats français".

     

    Depuis, chaque fois qu’un détachement militaire mexicain passe devant le monument de Camarón de Tejeda, il présente les armes.

    Camerone, une défaite contre un ennemi mieux armé, à un contre trente, est entrée dans l’histoire – comme Bazeilles pour les "Marsouins" ou Diên-Biên-Phu pour les paras et (encore!) la Légion – parce qu’elle symbolise l’acte gratuit, le courage, la volonté, l’honneur et la fidélité à la parole donnée.

  • Nous sommes en situation pré-révolutionnaire

    Je viens de lire, au chapitre 13 du quatrième livre des "Mémoires d’outre-tombe" de Chateaubriand, le texte suivant que je soumets à votre réflexion:

    "A cette époque, tout était dérangé dans les esprits et dans les mœurs, symptôme d’une révolution prochaine. Les magistrats rougissaient de porter la robe et tournaient en moquerie la gravité de leurs pères. Les Lamoignon, les Molé, les Séguier, les d’Aguesseau voulaient combattre et ne voulaient plus juger. Les présidentes, cessant d’être de vénérables mère de famille, sortaient de leurs sombres hôtels pour devenir femmes à brillantes aventures. Le prêtre, en chaire, évitait le nom de Jésus-Christ et ne parlait que du législateur des chrétiens ; les ministres tombaient les uns sur les autres ; le pouvoir glissait de toutes les mains. Le suprême bon ton était d’être américain à la ville, anglais à la cour, prussien à l’armée, d’être tout excepté d’être français. Ce que l’on faisait, ce que l’on disait, n’était qu’une suite d’inconséquences. On prétendait garder des abbés commendataires, et l’on ne voulait point de religion, nul ne pouvait être officier s’il n’était gentilhomme, et l’on déblatérait contre la noblesse, on introduisait l’égalité dans les salons et les coups de bâtons dans les camps"

    Cette relation pré-révolutionnaire ressemble à la situation que vit l’Occident en général et la France en particulier. La révolution de 1789 devait suivre ces désordres qui portait l’Empire avec lequel l’ordre de la nation fut la résultante des heures de barbarie suivies par la dictature napoléonienne.

    L’Histoire bégaie, dit-on. Nous sommes en situation pré-révolutionnaire.

    Le wokisme est assimilable au comportement des bobos qui perdent tout repère moral, l’islamisme qui devient la religion dominante au dépens du christianisme, qui est rejeté comme trop à droite et incompatible avec la nouvelle religion et le wokisme. L’autorité judiciaire qui se prend à légiférer en lieu et place du Parlement qui devient une chambre inaudible, et les abandons dans tous les sens qui font craindre le pire avec la guerre qui menace un peu partout dans le monde.

    Nous sommes confrontés à un bis repetita si l’Occident ne réagit pas comme le fait le président Trump dans l’intérêt égoïste des États-Unis.

    Guy Sebag

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • Je m’appelle France

    Sur les sillons de mon destin, de grands hommes, des héros, fidèles gardiens de ma mémoire, ont gagné des combats, périssant de leur âme pour sauvegarder l’honneur et la dignité de mon identité, faisant de moi une belle et grande nation.

    Mon étendard tricolore debout, noble témoin sacré de tous ces braves tombés par leur sang versé, pour que moi, France, ne tombe jamais.

    Je me suis élevée par la force, le courage et l’amour de mon peuple.

    Les rênes de mon existence à la solde d’un pouvoir.

    Locataires intérimaires de mon État, de ma Constitution, de mes valeurs.

    Ils parlent, agissent en mon NOM !!

    Leur devoir assuré avec pérennité, la prospérité de toutes les richesses que je porte, veiller sur mon peuple, qu’il ne connaisse jamais la faim, la misère, en le protégeant de tout ennemi, lui assurant la liberté, l’égalité, la fraternité.

    Oui, j’affirme, mon peuple et non le leur, ils décident en mon NOM !! Sur mon territoire, mais je ne leur appartiens pas !!

    Mon parcours ne fut pas sans larmes et pourtant combien de gloire en mon honneur ? Chaque grain de poussière sur mes terres est gravé par tant de pleurs et de sacrifices.

    Que font-ils de moi, où est ma place ?

    Dans une Europe clamant l’union ! Bâillonnée, à la merci de grands penseurs imbus de leurs propres lois se proclamant les maîtres de nos destins, ne donnant aucune parole, aucun choix à la liberté de mon peuple.

    Je n’ai pas besoin d’être la soumise ni l’esclave de qui que ce soit, entraînant ma patrie à l’agonie…

    Mes couleurs sont huées, piétinées, brûlées, devant mes forces de sécurité maltraitées et muselées.

    Sur la place publique de ma dite République, on ose s’aplatir d’excuses et de repentances sur la mémoire de mon histoire, me dilapidant vulgairement sur les trottoirs de la honte et du déshonneur.

    Des hommes venus d’autres nations, sans aucune distinction de race ou de couleur, ont combattu en donnant leur sang, leur vie, reposant sur le lit de ma patrie. Ils méritent dignement le respect aux côtés de mes valeureux soldats de France.

    Terre d’accueil bienveillante envers ceux qui me respectent et on me traite de vieille ringarde égoïste et raciste.

    Je préserve ma culture, ma religion, mes traditions, je ne tolère pas que l’on vienne renier, anéantir mes racines, mon berceau, la chrétienté. Je suis ouverte dans le respect et dans l’égalité, mais pas polygame.

    Mon hospitalité est complaisante, sans discrimination, mais quand ma bonne grâce devient une orgie opulente, sans foi, irrespectueuse de mes lois, là oui, je me rends égoïste, car on ne profite pas de moi au détriment de tous les miens.

    S’en prendre à tous mes citoyens, me défier, me piller sur mon propre sol en faisant couler le sang de la haine ignoblement, là, je n’ai aucune pitié. Vous ne récolterez que ma colère… On ne touche pas à mon peuple !

    Mon étendard vacillant, mon identité menacée, mon Histoire en péril, au temps jadis, j’ai traversé l’époque des sans-culottes, si vous croyez que je baisserai la mienne, n’y comptez jamais !

    N’oubliez pas que je m’appelle France !! Digne héritière de la Gaule…

    Pauline Saint-James

  • Petite mise au point historique à l’attention d’Aphatie!

    Je me pose la question de savoir dans quel bac des ordures ménagères il me serait possible de déposer le déchet APHATIE? Le gris, le vert, le jaune ou le bleu? J’hésite encore. Mais avant de prendre ma décision qu’il me soit permis de l’informer sur ce que je pense de lui: à une époque précédente, avant 1962, il aurait, sans aucun doute, fait partie des " porteurs de valises " du FLN. Par ses déclarations ordurières il pourrait rejoindre Jean-Paul Sartre dans le même bac, le talent en moins bien sûr.

    Pourquoi expulser vers l’Algérie les minables influenceurs alors que le véritable "porte-parol" du gouvernement algérien, Jean-Michel Apathie, se pavane quotidiennement sur certains médias nationaux français? Qu’il me soit permis tout de même de l’informer que l’Algérie n’existerait pas sans la colonisation française. Tout ce qui s’est produit, construit, développer, dans ce territoire devenu "Algérie" en 1839, ne l’a été que grâce à la colonisation française et les images, les films, les documentaires, présentés sur l’Algérie indépendante, le prouvent, puisque tout ce que l’on voit a été réalisé par la colonisation française.

    Je n’en veux, pour preuve irréfutable, que le seul hôpital fonctionnant en Algérie indépendante, est l’hôpital de Mustapha, fondé en 1854. Quant au "génocide" organisé par la colonisation française, il est facilement comptabilisé: moins de 2 millions d’Arabes avant 1830.

    Plus de 2 millions 300.000 en 1856, après la guerre de conquête.

    4.500.000 en 1900, plus de

    8.500.000 en 1954 et, enfin, près de 10 millions en 1962.

    Comme "génocide" on peut faire mieux, non?

    Qu’il se renseigne auprès des Turcs en ce qui concerne le génocide arménien et l’actuel génocide Kurdes!

    Oui, il y a bien eu un "Oradour-sur-Glane " en Algérie. C’était le 28 mai 1957. Ce jour-là, à Melouza, plus de 300 enfants, femmes, vieillards furent massacrés, démembrés, décapités, parce qu’ils refusaient de rejoindre l’ALN.

    Et je pourrais offrir d’autres "Oradour-sur-Glane" à l’APHATIE à l’actif de l’ALN et du FLN.

     

    Pour information à l’APHATIE: bien plus d’Arabes se sont massacrés entre eux dans les années 1995/1998 que durant toute la guerre de conquête. Mais il s’agit là d’une autre histoire, n’est-ce-pas?

    Pour conclure, un conseil à Olivier Dartigolles, qui a le privilège d’être présent dans "L’heure des pros 2":

    Qu’il sélectionne de bonnes informations afin de ne pas débiter quelques absurdités:  il n’y a jamais eu de villages (avec femmes et enfants) "enfumés" dans des grottes, lors de la conquête de l’Algérie. Il est préférable quelquefois de se taire afin de ne pas passer pour l’idiot de service.

    Manuel Gomez

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • TRADITION  FRANCAISE: LA CHANDELEUR

    Origine et signification de la Chandeleur

    La Chandeleur est une fête chrétienne célébrée tous les 2 février, soit 40 jours après Noël. Le terme de Chandeleur vient de "fête des chandelles", lui-même traduit du latin festa candelarum. Il s'agit pour les fidèles de célébrer le fait que "Jésus est lumière", ainsi que la pureté de la vierge Marie.

    En effet, la Chandeleur commémore la présentation de Jésus au Temple, la tradition juive voulant que chaque premier-né mâle de la famille soit amené au Temple 40 jours après sa naissance afin d'être consacré au seigneur. Cette durée de 40 jours correspond à la période durant laquelle les mères étaient considérées comme impures par la loi juive après leur accouchement, interdiction leur était donc faite de se rendre sur un lieu de culte. Une fois ce délai écoulé, les mères pouvaient se rendre au temple afin d'y effectuer un sacrifice animal et recouvrer ainsi leur pureté. 1.

    Le jour où Marie et Joseph emmenèrent Jésus au Temple, l'évangile de Luc raconte qu'un homme nommé Siméon y vint, poussé par l'Esprit Saint et la promesse qu'il ne mourrait pas avant d'avoir vu le Messie. Il y prit Jésus dans ses bras et dit

    "Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s'en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut.

    Salut que tu as préparé devant tous les peuples, Lumière pour éclairer les nations. Et gloire d'Israël, ton peuple". 2.

    C'est donc cet événement religieux précis que les fidèles se remémorent lors de la Chandeleur.

    Toutefois, il semble que cette fête ait des origines plus anciennes, et pourrait être la reprise d'un rite romain, les amburbiales, lié à la purification de la ville. Rite célébré par des processions au flambeau autour de Rome. 3.

    La christianisation de ce rite païen serait l'œuvre du pape Gélase 1er (en 494) ou de l'empereur Justinien (dans un édit de 542), les sources divergeant à ce sujet.

    CELEBRATION DE LA CHANDELEUR

    Dans la religion catholique, la Chandeleur donne lieu à une bénédiction des cierges, puis à une procession aux chandelles jusqu'à l'église où a lieu une messe solennelle, cela afin de rappeler aux fidèles la montée de Joseph et Marie, portant Jésus au Temple.

    À l'issue de cette messe, chaque fidèle rapporte chez lui un cierge auquel on prête des vertus purificatrices selon les traditions locales ou nationales.

    LA CHANDELEUR DANS LA CULTURE POPULAIRE : LES CREPES

    Aujourd'hui, comme Mardi Gras, cette fête est associée aux crêpes que l'on cuisine à cette occasion. Tradition que l'on fait remonter à la coutume de distribuer des galettes aux pèlerins venant à Rome 4, ou plus simplement, pour se rappeler que la fin de l'hiver approche et que l'on a encore des réserves de nourriture.

    Cette pratique associant fête des Lumières à la consommation d'un dessert "gras" se retrouve aussi dans la tradition juive qui consiste à manger des beignets lors de la fête de Hanoucca (fête des Lumières du judaïsme). 5.

    De plus, lorsqu'on cuisine la première crêpe, il est courant de la faire sauter plusieurs fois de suite afin de conjurer le mauvais sort pour l'année à venir. Une vieille tradition rapporte que les paysans avaient coutume de le faire en tenant une pièce de monnaie dans la main gauche (un louis d'or pour les plus riches) afin d'attirer sur eux bonheur et prospérité...6

    LA CHANDELEUR DANS LE MONDE

    Au Luxembourg, la tradition actuelle hérite de la procession aux flambeaux, car actuellement, les enfants parcourent en groupes les rues pendant la soirée du 2 février en tenant un lampion ou une baguette. Ils chantent des chansons traditionnelles en espérant recevoir des sucreries en échange.

    Au Mexique, la Chandeleur est un jour férié, mais aussi l'occasion de manger des tamales, des papillotes à base de farine de maïs qui peuvent être salées ou sucrées et fourrées avec de la viande ou des fruits.

    De plus, aux États-Unis et au Canada, on associe à la date du 2 février une autre fête, le "jour de la marmotte" (Groundhog Day) où la tradition veut qu'on observe la réaction d'une marmotte à la sortie de son terrier.

    Si elle en sort et ne voit pas son ombre (du fait des nuages dans le ciel), c'est signe que l'hiver finira bientôt. Au contraire, si elle voit son ombre (du fait du ciel dégagé), cela signifiera que l'hiver durera encore 6 semaines; 7.

    Références

    Voir Lévitique 12. http://www.bible-en-ligne.net/bible,03O-12,levitique.php

    Voir Luc 2: 29 – 2: 32. http://www.info-bible.org/lsg/42.Luc.html#2

    http://www.cnrtl.fr/definition/amburbial

    https://web.archive.org/web/2016/http://cuisine.journaldesfemmes.com/magazine/dossier/0501crepes/tradition.shtml

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Hanoucca

    http://www.loretlargent.info/or/chandeleur-pieces-d’or/3611/

    http://www.fetes-traditionnelles.fr/fete-de-la-