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histoire - Page 2

  • Terrible offense impardonnable!

    Croira-t-on une seule seconde que le président de la République n’ait pas en main le sinistre tableau de l’état de nos Armées: soldats littéralement épuisés, casernes démunies, matériels obsolètes, à qui on n’a pas prévu de remplaçants, reliquats dangereusement vieillissants de coupes budgétaires successives? L’écart entre les besoins et les moyens se chiffre à plusieurs milliards.

    Qu’on ne blâme donc pas dans ces conditions le chef d’état-major d’avoir, devant la représentation nationale, dit vertement qu’il se sentait trahi, quand même le président macronien de la commission de la Défense de l’Assemblée déclare ce 14 juillet regretter les choix budgétaires du gouvernement. Le général de Villiers a parlé au nom de l’ensemble des soldats de notre pays. C’était son devoir. Mais il a fait davantage: il a parlé au nom de la Nation tout entière. Ce sera sa gloire. Car l’Armée demeure le bras armé de la Nation. Ainsi en va-t-il –il faudrait que M. Macron le comprenne vite, très vite même– depuis la Révolution française et la naissance, face à l’ennemi, de cette armée du peuple qui, tant de fois, étonna l’univers.

    Il ne suffira donc pas au président de la République de taper du poing sur la table, comme un enfant gâté se fâche tout rouge dans un énième caprice. Les Armées françaises, comme la Nation, ont besoin que le chef de l’Etat se pénètre de cette réalité terrible et incontournable: nous sommes en guerre. Une guerre nouvelle aux fronts multiples et mouvants. Une guerre totale car notre ennemi, l’islamisme conquérant, se sent porté par le vent de l’Histoire et qu’il a décrété notre soumission ou notre anéantissement. Il n’existe aucune alternative: nous devons gagner cette guerre et pour cela déployer les moyens nécessaires aux succès de nos armes.

    Dans la violence du propos se cache une de ces fautes qui ne s’effacent pas

    Voilà pourquoi l’humiliant rappel à l’ordre de ce 13 juillet est une offense sans nom. Quand on connaît le sens du sacrifice, quand on mesure le prix du sang qu’ont juré de verser nos soldats pour notre Liberté, on ne s’adresse pas à eux en les accusant "d’indignité" et de "mauvaises habitudes", on ne remet pas en cause leur "sens du devoir" ni leur "sens de la réserve".

    Cette blessure restera béante car, dans la violence du propos, en plein temps de guerre, se cache une de ces fautes qui ne s’effacent pas.

    http://www.valeursactuelles.com/societe/loffense-faite-aux-armees-86421

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    Cela me rappelle ce chant, appris à l'école communale... il y a bien longtemps

    LE CHANT DU DEPART

    La victoire en chantant nous ouvre la barrière.
    La liberté guide nos pas,
    Et du Nord au Midi la trompette guerrière.
    A sonné l'heure des combats.
    Tremblez, ennemis de la France!
    Rois ivres de sang et d'orgueil!
    Le peuple souverain s'avance:
    Tyrans, descendez au cercueil!
    Refrain: La République nous appelle,
    Sachons vaincre ou sachons périr:
    Un Français doit vivre pour elle,
    Pour elle un Français doit mourir!

    La mère d'une famille:
    De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes;
    Loin de nous de lâches douleurs!
    Nous devons triompher quand vous prenez les armes.
    C'est aux rois à verser des pleurs.
    Nous vous avons donné la vie,
    Guerriers! Elle n'est plus à vous;
    Tous vos jours sont à la patrie:
    Elle est votre mère avant nous!

    Deux vieux hommes:
    Que le fer paternel arme la main des braves!
    Songez à nous, au champ de Mars;
    Consacrez dans le sang des rois et des esclaves.
    Le fer béni par vos vieillards;
    Et rapportant sous la chaumière.
    Des blessures et des vertus,
    Venez fermez notre paupière.
    Quand les tyrans ne seront plus!

    Un enfant:
    De Barra, de Viala, sort nous fait envie:
    Ils sont morts, mais ils ont vaincu.
    Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie;
    Qui meurt pour le peuple a vécu:
    Vous êtes vaillants, nous le sommes:
    Guidez-nous contre les tyrans;
    Les républicans sont des hommes,
    Les esclaves sont des enfants!

    Une épouse:
    Partez, vaillants époux, les combats sont vos fêtes,
    Partez, modèles des guerriers.
    Nous cueillerons des fleurs pour enceindre vos têtes,
    Nos mains tresseront vos lauriers.
    Et, si le temple de mémoire
    S'ouvrait a vos mânes vainqueurs,
    Nos voix chanteront votre gloire,
    Nos flancs porteront vos vengeurs. Refrain:

    Une jeune fille:
    Et nous, sœurs des héros, nous, qui de l'hymène
    Ignorons les aimables nœuds,
    Si pour s'unir un jour à notre destinée
    Les citoyens forment des vœux,
    Qu'ils reviennent dans nos murailles
    Beaux, de gloire et de liberté,
    Et que leur sang dans les batailles
    Ait coulé pour l'égalité.
    Refrain:

    Trois guerriers:
    Sur ce fer, devant Dieu, nous jurons à nos pères,
    A nos épouses, à nos sœurs,
    A nos représentants, à nos fils, à nos mères
    D'anéantir les oppresseurs.
    En tous lieux, dans la nuit profonde
    Plongeant l'infâme royauté,
    Les Français donneront au monde
    Et la paix, et la liberté.

     

  • Savez-vous ce qu'est la rétrocognition?

    C'est la faculté de pouvoir lire dans le passé afin de raconter la vie, les sentiments, les situations, la psychologie des ancêtres.

    Si, comme plus de 15 millions de Français votre généalogie vous intéresse….

    Le pendant de la rétrocognition est la voyance (qui lit dans l'avenir).

    Peu de “voyant-e“ sont capable de réaliser cela.

    J'ai l'honneur d'en être.

    A vous de vous faire votre propre idée.

     

     

  • Je cherche personne compétente pour m'aider à mettre des vidéos en direct sur Youtube

    Bonjour

    J'entre dans ma 35e année de professionnelle de la voyance. Pour fêter cet anniversaire de “noces de rubis“, j'ai pensé offrir à quelques personnes des informations sur un de ses ancêtres ayant vécu avant 1850.

    Cela s'appelle: la rétrocognition (faculté de lire dans le passé) au contraire de la voyance qui, bien sûr, lit dans l'avenir.

    J'ai expliqué maintes fois ce qu'est la rétrocognition dans le blog de mon site

    www. josyanejoyce.com.

    Cette faculté, les bons et vrai-es voyant-es la déclenchent facilement (même si le fait de se mettre en concentration -pour ce faire- demande beaucoup d'énergie “mentale“).

    D'ailleurs, vous allez pouvoir vous en rendre compte. Je vais offrir quelques réminiscences de la vie d'un ancêtre en direct sur Youtube.

    Je ne suis guère douée en informatique et donc, j'ai besoin de l'aide d'un-e toulousain-e averti-e en ce domaine. En échange, je lui raconterai la vie de DEUX de ses ancêtres (pourvu que la personne aie “monté“ son arbre généalogique, s'entend) ou deux consultations de voyance.

    Veuillez laisser votre candidature en commentaires… (sans oublier une adresse courriel que vous pourrez supprimer).

    Pendant ce temps-là, je demande aux personnes qui ont monté leur arbre généalogique de bien vouloir m'adresser en commentaire, le nom de l'aïeul-e et sa date de naissance et décès. Les indications qu'elles possèdent sur cette personne: nombre d'enfants par exemple (facile puisque vous avez tracé l'arbre de la famille). Je choisirai au hasard; cette demande implique que vous comprenez que je ne peux répondre à tout le monde et que je me réserve le droit de suspendre cette proposition sans avoir à donner d'explication.

    Restriction: je ne veux raconter que la vie d'arrière-grands-parents, nés au plus récent avant 1850, ce qui n'interdit pas d'aller le plus loin possible dans le passé… même au temps des cavernes mais là, je doute que vous ayez le nom d'un ancêtre de ces temps-là. (Ceci pour expliquer qu'il est possible d'aller le plus loin possible, aussi bien en arrière que dans l'avenir… lorsque l'on possède des vraies compétences de voyance!).

    La meilleure façon de prouver ces compétences, c'est de vous les montrer… n'est-ce pas?

    Je choisirai quelques ancêtres au hasard, puis je donnerai à la personne un numéro de portable pour m'appeler et je tenterai, donc, de tracer le portrait psychologique de l'aïeul(e) EN DIRECT sur Youtube. Attention, je ne pourrais pas répondre à tout le monde. D'autant que je vais devoir acheter des numéros de téléphone que je n'utiliserais QUE pour UNE seule réponse en direct.

    Inutile donc de vous passer le numéro et tenter de me déranger.

    Pour les personnes souhaitant une rétrocognition anonyme, le tarif est de 150 € pour 40 minutes à plus (sans dépassement de la somme).

    J'espère que nous passerons de bons moments de convivialité respectueuse ensemble!

    Mme Josyane JOYCE

  • Adieu à ma France

    En substance, la France “organique, rurale et paysanne, s’effondre en silence et si elle tente de se révolter épisodiquement, elle est éradiquée physiquement. Contrairement à “Théo Luhaka”, vous n’entendrez pas de concerts de protestation ni ne verrez, d’ailleurs, d’émeutes paysannes. J’ai même lu des accès de joie chez des loyalistes pour qui la police a, par essence, raison.

    Les Français alternent, sans y voir de contradiction, entre culte de l’état et anarchisme. Les Français, dont l’être collectif se résume à ce stade à l’État lui-même, voit dans l’écrasement des personnes par ce monstre froid une victoire personnelle, croyant qu’il s’agit de leur volonté quand il ne s’agit, en réalité, que de celle de leurs maîtres. C’est d’une certaine façon le dernier stade du socialisme.

    La France est déjà tombée, tout n’est que simulacre

    Dans le même temps, les politiciens démocrates courtisent ouvertement l’islam que rien ne semble devoir arrêter.

    En d’autres termes, la violence étatique ne sert plus qu’à empêcher la victime indigène de se rebeller.

    L’illusion électorale participe de ce même effort : nombreux sont ceux qui remettent à plus tard une rupture car ils croient que demain, “dans le respect de l’état de droit”, tout changera. Rien ne changera car l’origine de la crise se situe dans le type d’hommes qui sert de base au système actuel.

    Il me paraît nécessaire de faire le seul constat qui s’impose : la France est déjà tombée. Ce à quoi nous assistons est la simple liquidation post-reddition. Le désarmement du vaincu. Et cette capitulation a été proclamée par ce fatras de politiciens et de journalistes, soutenus par les rentiers de ce système, en particulier la génération née durant l’après-guerre.

    Si rien ne vient stopper cette mise en coupe réglée, l’islam s’imposera définitivement en France et en Europe de l’Ouest.

    Bien sûr, dans les profondeurs du territoire français, probablement même dans une bonne moitié de celui-ci, une opposition s’organise électoralement et socialement. Cette moitié qui a placé le Front National en tête lors du premier tour des élections présidentielles.

    Mais – et c’est le pari d’Emmanuel Macron – cette “Gaule Chevelue” n’importe pas suffisamment pour imposer sa volonté. Ce sont les métropoles cosmopolites, pré-islamiques, qui importent. Ce sont elles qui contrôlent les moyens de production, qui concentrent les sièges sociaux, les nœuds de communication et de transport. Les métropoles françaises ne sont que des dépendances de Paris, qui est elle-même une simple excroissance d’un réseau global intégrant Londres et New-York.

    Ce réseau de mégalopoles occidentales s’est émancipé des peuples qui l’ont initialement engendré.

    Ces métropoles, selon le très cité Guilluy, concentre 40% de la population. Elles ont les moyens financiers, politiques et médiatiques nécessaires pour agir à leur guise. La démocratie, “la loi du nombre”, ne jouant pas en leur faveur, l’accumulation d’africains et de musulmans devient chaque jour plus nécessaire ainsi que leur “naturalisation”.

    Au reste, les centres urbains sont les moteurs des évolutions socio-politiques. Et ce que nous voyons émerger dans ces métropoles françaises n’est, ni plus ni moins, que ce qui émergera dans les villes moyennes puis petites, enfin dans les villages.

    Nous ne pouvons pas dire que nous ne savons pas. Les démocraties d’Europe de l’Ouest, coalisées au sein de l’UE, ont un agenda que nous connaissons parfaitement. Et l’Europe de l’Ouest sombre dans un nouvel âge sombre, une sorte de féodalisme où pauvreté du tiers-monde, archaïsme islamique et technologies nouvelles se côtoient.

    Les Blancs, dans ce contexte, sont pris en étau entre cette oligarchie nihiliste établie dans les grandes villes et les masses d’africains et de musulmans toujours volontaires pour servir de janissaires.

     

    La nouvelle présidence française va organiser plus à fond ce processus. C’est ce que défend le maire de Lyon, Gérard Collomb : la “métropolisation” à outrance.

    Nous avons tous pu voir muter, à une allure toujours plus rapide, le type de peuplement de ces métropoles. Cela ne va pas faire que s’amplifier.

    Que faire ?

    A la question “que faire ?”, je répondrai qu’il faut d’abord stabiliser le front et lui donner une profondeur stratégique de telle sorte que l’ennemi ne puisse le pénétrer aisément.

    Le cas de Donald Trump démontre que la conquête de l’exécutif central d’un état occidental n’est pas de nature à briser la domination stratégique adverse. L’ennemi contrôle les “corps intermédiaires” lui permettant d’opposer, le cas échéant, une résistance asymétrique, à l’intérieur du système. Il mobilise dans le même temps ses relais internationaux, qu’ils soient politiques ou médiatiques. Trump a ainsi été intensément diabolisé pendant et après sa campagne, tant pour le contenir que pour empêcher l’expansion du phénomène hors des frontières US.

    Cela doit faire comprendre à chacun que le souverainisme franco-français – ou belge, allemand, etc. – ne pourra pas contenir une hydre globale comme celle que les indigènes d’Europe affrontent.

    Ce que n’ont pas compris les souverainistes stato-nationalistes français, c’est qu’ils sont dans l’incapacité d’imposer leur propre souveraineté sur leurs compatriotes concentrés dans les métropoles. Le souverainisme français, prisonnier d’une vision idéalisée d’une nation qui n’existe plus en pratique, élabore ses théories sur la base d’une population hétéroclite, profondément divisée, qui ne peut en aucun former un bloc homogène régi au profit des indigènes.

    Le souverainisme français, pour être “opérationnel”, transige donc avec les allogènes dans l’espoir de les détourner de leurs maîtres du moment. Une sorte d’alliance de substitution. Autant dire qu’un tel projet n’est pas de nature à séduire les auxiliaires étrangers du système. Il y a une divergence qui dépasse les seuls intérêts ponctuels : elle est ontologique. Allogènes et indigènes sont dans une guerre permanente que leur impose leur condition. Quiconque prétend l’inverse ment et n’est qu’un idiot utile.

    Les métropoles exercent leur souveraineté transnationale contre les masses indigènes et n’entendent pas voir de rébellions locales la remettre en cause. Les états à cet égard ne sont plus les garants de la souveraineté des peuples mais les relais de la souveraineté du système occidental décrit plus haut.

    Pour gagner en profondeur stratégique, la défense doit à la fois s’étendre en largeur et en longueur, ce qui rendra beaucoup plus difficile pour l’ennemi la concentration de ses forces contre la résistance autochtone. Nous devons garder à l’esprit que nous ne disposons pas de moyens équivalents, de telle sorte que dans une lutte frontale – institutionnelle et financière – nous ne pouvons pas soutenir l’effort. Il faut donc créer les conditions de l’épuisement de l’ennemi.

    En étendant la longueur du front à l’Europe de l’Est, c’est ce que nous faisons. Nul ne doit cependant oublier que cette partie de l’Europe est aussi dans le système UE, et est donc exposée à la pénétration ennemie. Mais, paradoxalement, cette exposition est un atout car l’UE y est bien moins solidement établie. Elle peut donc y être défaite plus aisément. Des appuis politiques doivent y être recherchés.

    Développer le sécessionnisme gaulois

    Pour la largeur – c’est-à-dire la profondeur – du front, les Français de souche doivent apprendre à vivre sous un stress permanent et développer à ce titre un système organisationnel conçu pour tenir dans la durée, en toute indépendance des politiques de l’état central et imperméable au simulacre démocratique. Le seul échelon démocratique pertinent, à ce stade, va du municipal au régional. Et ceci dans les zones ethniquement préservées.

     

    Très concrètement, il serait souhaitable que les périphéries bétonnent leurs positions, développent un sentiment sécessionniste et refusent de plus en plus de consentir à l’impôt central.

    D’une manière générale, l’affaiblissement de l’état central, donc de l’état-providence et de ses politiques sociales tournées vers les allogènes, devrait être une priorité politique. Un axiome : tout ce qui renforce les périphéries doit être soutenu, tout ce qui affaiblit le centre également.

    Le diptyque fédéralisation/désétatisation offre aux Français de souche les moyens de conserver la maîtrise politique de leur destin à l’échelle des territoires qu’ils peuplent en orientant le fruit de leur travail vers la défense de leurs seuls intérêts.

    Paris – qui a voté à 5% seulement pour le Front National – doit être désigné comme l’ennemi, à l’instar du jacobinisme institutionnel et de ses relais. Le rôle des préfets dans la dissémination arbitraire des migrants de Calais aura été un avertissement spectaculaire à ce titre.

    L’organisation de l’économie autochtone hors du champ d’action du gouvernement central est une condition essentielle pour la survie de ces zones.

    Nombreux sont ceux qui, par nostalgie, refuseront de regarder la réalité en face et continueront de rêver d’une conquête de l’état. Ce qui reviendrait en fait à conquérir un marais sur le modèle de l’élection de Donald Trump.

    Bien qu’encore possible “électoralement”, elle ne servirait à rien si elle n’organisait pas elle-même le séparatisme racial puis l’expulsion massive des allogènes. Cette option paraît, actuellement, irréalisable compte tenu de l’état psychologique des masses autochtones.

    Il y a une guerre civile en cours pour déterminer lequel de ces deux acteurs l’emportera : le camp autochtone périphérique ou le camp globaliste urbain.

    Il faut être lucide : en cas de victoire ponctuelle, le cœur de l’empire – l’oligarchie contrôlant les USA – réagirait par un soutien massif aux allogènes et aux opposants sur le modèle yougoslave ou syrien. La démocratie est une et indivisible et aucune part ne peut lui être retranchée sans que tout le système ne soit en danger. Ce qui nécessite de la part du système la destruction de toute organisation ethno-nationale et religieuse qui s’oppose à cet éclatement racial de l’Europe.

    Plutôt que de conquérir le centre de ce pouvoir, fondamentalement hostile, il convient de créer de nouveaux centres de pouvoir inaccessibles à l’ennemi.

    La “gouvernance” du système doit être déstabilisée autant que faire se peut et le seul véritable moyen pour cela consiste à soutenir les forces centrifuges dans une logique du faible au fort. C’est en affaiblissant le centre que l’on renforcera les périphéries sous contrôle effectif de la résistance autochtone.

    Ce sont ces forces centrifuges que redoutent le système et qu’il combat activement.

    La constitution de fronts intérieurs à caractère ethnique et irrédentiste est donc la seule réponse susceptible de créer cette stabilisation stratégique de la défense dont j’ai parlé, stabilisation qui procède de la déstabilisation de l’ennemi.

    http://borislelay.com/

  • Notre nouveau président? ADIEU LA FRANCE!

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    La France elle m'a laissé tomber.

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    C'est ma dernière volonté.

    J'étais un bateau gigantesque

    Capable de croiser mille ans.

    J'étais un géant, j'étais presque

    Presqu'aussi fort que l'océan.

    J'étais un bateau gigantesque.

    J'emportais des milliers d'amants.

    J'étais la France. Qu'est-ce qu'il en reste ?

    Un corps-mort pour des cormorans.

    Ne m'appelez plus jamais "France ".

    La France elle m'a laissé tomber.

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    C'est ma dernière volonté.

    Michel Sardou

     

  • La fumisterie à l’âge du Big Data

    Il y a d’abord eu les politiciens, puis les médias, et avec ce qui se passe présentement aux États-Unis, il y aura sans doute les tribunaux… Mais les prochaines victimes de la perte de confiance d’une partie de la population pourraient bien être les scientifiques, bien que ce soit déjà le cas dans certains dossiers, comme celui des changements climatiques.

    Jusqu’ici, peu de scientifiques ont été impliqués dans des scandales financiers. Le public en est conscient, ce qui explique qu’ils sont beaucoup mieux cotés que les politiciens et les journalistes. Mais selon Ugo Bardi[1], professeur de chimie physique à l’Université de Florence en Italie, le problème n’est pas lié aux individus ou à certaines disciplines en particulier, mais à la science en général. Dans son livre Big Gods (Princeton, 2013) le professeur de psychologie sociale de l’Université de Colombie britannique, Ara Norenzayan, soutient que les gens ont un détecteur de mensonge intégré, une sorte d’algorithme heuristique qui évalue la justesse d’un propos sur la base de la cohérence. Non seulement le message doit-il être cohérent, mais le comportement du messager doit aussi être conséquent.

    Les fausses promesses et l’incohérence du message

    Malheureusement, la science présente actuellement deux visages. D’un côté, il y a ceux qu’on perçoit comme des prophètes de malheur parce qu’ils explorent les limites imposées par la nature et qu’ils invitent à faire des sacrifices pour éviter les crises qui nous menacent. De l’autre côté, il y a ce que Bardi appelle les scientifiques " du Père Noël " qui promettent des lendemains ensoleillés. Le message de ces derniers n’est pas nouveau, il a commencé dans les années 1950. Il consiste à dire " donnez-nous de l’argent et nous inventerons un truc magique pour résoudre les problèmes ". Mais ce message sonne de plus en plus creux parce que le public est en mesure de constater que les promesses de ces scientifiques sont encore loin de leur matérialisation (pensons à la fusion nucléaire ou à l’économie hydrogène annoncée par Jeremy Rifkin en 2002), tandis que d’autres ont empiré les choses (ex : la fracturation hydraulique ou la résistance aux antibiotiques). Pourtant, certains scientifiques n’hésitent pas à faire encore ce genre de promesses, claironnées par les médias, en partie pour gonfler leurs budgets de recherche.

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