Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

histoire - Page 5

  • Adieu à ma France

    En substance, la France “organique, rurale et paysanne, s’effondre en silence et si elle tente de se révolter épisodiquement, elle est éradiquée physiquement. Contrairement à “Théo Luhaka”, vous n’entendrez pas de concerts de protestation ni ne verrez, d’ailleurs, d’émeutes paysannes. J’ai même lu des accès de joie chez des loyalistes pour qui la police a, par essence, raison.

    Les Français alternent, sans y voir de contradiction, entre culte de l’état et anarchisme. Les Français, dont l’être collectif se résume à ce stade à l’État lui-même, voit dans l’écrasement des personnes par ce monstre froid une victoire personnelle, croyant qu’il s’agit de leur volonté quand il ne s’agit, en réalité, que de celle de leurs maîtres. C’est d’une certaine façon le dernier stade du socialisme.

    La France est déjà tombée, tout n’est que simulacre

    Dans le même temps, les politiciens démocrates courtisent ouvertement l’islam que rien ne semble devoir arrêter.

    En d’autres termes, la violence étatique ne sert plus qu’à empêcher la victime indigène de se rebeller.

    L’illusion électorale participe de ce même effort : nombreux sont ceux qui remettent à plus tard une rupture car ils croient que demain, “dans le respect de l’état de droit”, tout changera. Rien ne changera car l’origine de la crise se situe dans le type d’hommes qui sert de base au système actuel.

    Il me paraît nécessaire de faire le seul constat qui s’impose : la France est déjà tombée. Ce à quoi nous assistons est la simple liquidation post-reddition. Le désarmement du vaincu. Et cette capitulation a été proclamée par ce fatras de politiciens et de journalistes, soutenus par les rentiers de ce système, en particulier la génération née durant l’après-guerre.

    Si rien ne vient stopper cette mise en coupe réglée, l’islam s’imposera définitivement en France et en Europe de l’Ouest.

    Bien sûr, dans les profondeurs du territoire français, probablement même dans une bonne moitié de celui-ci, une opposition s’organise électoralement et socialement. Cette moitié qui a placé le Front National en tête lors du premier tour des élections présidentielles.

    Mais – et c’est le pari d’Emmanuel Macron – cette “Gaule Chevelue” n’importe pas suffisamment pour imposer sa volonté. Ce sont les métropoles cosmopolites, pré-islamiques, qui importent. Ce sont elles qui contrôlent les moyens de production, qui concentrent les sièges sociaux, les nœuds de communication et de transport. Les métropoles françaises ne sont que des dépendances de Paris, qui est elle-même une simple excroissance d’un réseau global intégrant Londres et New-York.

    Ce réseau de mégalopoles occidentales s’est émancipé des peuples qui l’ont initialement engendré.

    Ces métropoles, selon le très cité Guilluy, concentre 40% de la population. Elles ont les moyens financiers, politiques et médiatiques nécessaires pour agir à leur guise. La démocratie, “la loi du nombre”, ne jouant pas en leur faveur, l’accumulation d’africains et de musulmans devient chaque jour plus nécessaire ainsi que leur “naturalisation”.

    Au reste, les centres urbains sont les moteurs des évolutions socio-politiques. Et ce que nous voyons émerger dans ces métropoles françaises n’est, ni plus ni moins, que ce qui émergera dans les villes moyennes puis petites, enfin dans les villages.

    Nous ne pouvons pas dire que nous ne savons pas. Les démocraties d’Europe de l’Ouest, coalisées au sein de l’UE, ont un agenda que nous connaissons parfaitement. Et l’Europe de l’Ouest sombre dans un nouvel âge sombre, une sorte de féodalisme où pauvreté du tiers-monde, archaïsme islamique et technologies nouvelles se côtoient.

    Les Blancs, dans ce contexte, sont pris en étau entre cette oligarchie nihiliste établie dans les grandes villes et les masses d’africains et de musulmans toujours volontaires pour servir de janissaires.

     

    La nouvelle présidence française va organiser plus à fond ce processus. C’est ce que défend le maire de Lyon, Gérard Collomb : la “métropolisation” à outrance.

    Nous avons tous pu voir muter, à une allure toujours plus rapide, le type de peuplement de ces métropoles. Cela ne va pas faire que s’amplifier.

    Que faire ?

    A la question “que faire ?”, je répondrai qu’il faut d’abord stabiliser le front et lui donner une profondeur stratégique de telle sorte que l’ennemi ne puisse le pénétrer aisément.

    Le cas de Donald Trump démontre que la conquête de l’exécutif central d’un état occidental n’est pas de nature à briser la domination stratégique adverse. L’ennemi contrôle les “corps intermédiaires” lui permettant d’opposer, le cas échéant, une résistance asymétrique, à l’intérieur du système. Il mobilise dans le même temps ses relais internationaux, qu’ils soient politiques ou médiatiques. Trump a ainsi été intensément diabolisé pendant et après sa campagne, tant pour le contenir que pour empêcher l’expansion du phénomène hors des frontières US.

    Cela doit faire comprendre à chacun que le souverainisme franco-français – ou belge, allemand, etc. – ne pourra pas contenir une hydre globale comme celle que les indigènes d’Europe affrontent.

    Ce que n’ont pas compris les souverainistes stato-nationalistes français, c’est qu’ils sont dans l’incapacité d’imposer leur propre souveraineté sur leurs compatriotes concentrés dans les métropoles. Le souverainisme français, prisonnier d’une vision idéalisée d’une nation qui n’existe plus en pratique, élabore ses théories sur la base d’une population hétéroclite, profondément divisée, qui ne peut en aucun former un bloc homogène régi au profit des indigènes.

    Le souverainisme français, pour être “opérationnel”, transige donc avec les allogènes dans l’espoir de les détourner de leurs maîtres du moment. Une sorte d’alliance de substitution. Autant dire qu’un tel projet n’est pas de nature à séduire les auxiliaires étrangers du système. Il y a une divergence qui dépasse les seuls intérêts ponctuels : elle est ontologique. Allogènes et indigènes sont dans une guerre permanente que leur impose leur condition. Quiconque prétend l’inverse ment et n’est qu’un idiot utile.

    Les métropoles exercent leur souveraineté transnationale contre les masses indigènes et n’entendent pas voir de rébellions locales la remettre en cause. Les états à cet égard ne sont plus les garants de la souveraineté des peuples mais les relais de la souveraineté du système occidental décrit plus haut.

    Pour gagner en profondeur stratégique, la défense doit à la fois s’étendre en largeur et en longueur, ce qui rendra beaucoup plus difficile pour l’ennemi la concentration de ses forces contre la résistance autochtone. Nous devons garder à l’esprit que nous ne disposons pas de moyens équivalents, de telle sorte que dans une lutte frontale – institutionnelle et financière – nous ne pouvons pas soutenir l’effort. Il faut donc créer les conditions de l’épuisement de l’ennemi.

    En étendant la longueur du front à l’Europe de l’Est, c’est ce que nous faisons. Nul ne doit cependant oublier que cette partie de l’Europe est aussi dans le système UE, et est donc exposée à la pénétration ennemie. Mais, paradoxalement, cette exposition est un atout car l’UE y est bien moins solidement établie. Elle peut donc y être défaite plus aisément. Des appuis politiques doivent y être recherchés.

    Développer le sécessionnisme gaulois

    Pour la largeur – c’est-à-dire la profondeur – du front, les Français de souche doivent apprendre à vivre sous un stress permanent et développer à ce titre un système organisationnel conçu pour tenir dans la durée, en toute indépendance des politiques de l’état central et imperméable au simulacre démocratique. Le seul échelon démocratique pertinent, à ce stade, va du municipal au régional. Et ceci dans les zones ethniquement préservées.

     

    Très concrètement, il serait souhaitable que les périphéries bétonnent leurs positions, développent un sentiment sécessionniste et refusent de plus en plus de consentir à l’impôt central.

    D’une manière générale, l’affaiblissement de l’état central, donc de l’état-providence et de ses politiques sociales tournées vers les allogènes, devrait être une priorité politique. Un axiome : tout ce qui renforce les périphéries doit être soutenu, tout ce qui affaiblit le centre également.

    Le diptyque fédéralisation/désétatisation offre aux Français de souche les moyens de conserver la maîtrise politique de leur destin à l’échelle des territoires qu’ils peuplent en orientant le fruit de leur travail vers la défense de leurs seuls intérêts.

    Paris – qui a voté à 5% seulement pour le Front National – doit être désigné comme l’ennemi, à l’instar du jacobinisme institutionnel et de ses relais. Le rôle des préfets dans la dissémination arbitraire des migrants de Calais aura été un avertissement spectaculaire à ce titre.

    L’organisation de l’économie autochtone hors du champ d’action du gouvernement central est une condition essentielle pour la survie de ces zones.

    Nombreux sont ceux qui, par nostalgie, refuseront de regarder la réalité en face et continueront de rêver d’une conquête de l’état. Ce qui reviendrait en fait à conquérir un marais sur le modèle de l’élection de Donald Trump.

    Bien qu’encore possible “électoralement”, elle ne servirait à rien si elle n’organisait pas elle-même le séparatisme racial puis l’expulsion massive des allogènes. Cette option paraît, actuellement, irréalisable compte tenu de l’état psychologique des masses autochtones.

    Il y a une guerre civile en cours pour déterminer lequel de ces deux acteurs l’emportera : le camp autochtone périphérique ou le camp globaliste urbain.

    Il faut être lucide : en cas de victoire ponctuelle, le cœur de l’empire – l’oligarchie contrôlant les USA – réagirait par un soutien massif aux allogènes et aux opposants sur le modèle yougoslave ou syrien. La démocratie est une et indivisible et aucune part ne peut lui être retranchée sans que tout le système ne soit en danger. Ce qui nécessite de la part du système la destruction de toute organisation ethno-nationale et religieuse qui s’oppose à cet éclatement racial de l’Europe.

    Plutôt que de conquérir le centre de ce pouvoir, fondamentalement hostile, il convient de créer de nouveaux centres de pouvoir inaccessibles à l’ennemi.

    La “gouvernance” du système doit être déstabilisée autant que faire se peut et le seul véritable moyen pour cela consiste à soutenir les forces centrifuges dans une logique du faible au fort. C’est en affaiblissant le centre que l’on renforcera les périphéries sous contrôle effectif de la résistance autochtone.

    Ce sont ces forces centrifuges que redoutent le système et qu’il combat activement.

    La constitution de fronts intérieurs à caractère ethnique et irrédentiste est donc la seule réponse susceptible de créer cette stabilisation stratégique de la défense dont j’ai parlé, stabilisation qui procède de la déstabilisation de l’ennemi.

    http://borislelay.com/

  • Notre nouveau président? ADIEU LA FRANCE!

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    La France elle m'a laissé tomber.

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    C'est ma dernière volonté.

    J'étais un bateau gigantesque

    Capable de croiser mille ans.

    J'étais un géant, j'étais presque

    Presqu'aussi fort que l'océan.

    J'étais un bateau gigantesque.

    J'emportais des milliers d'amants.

    J'étais la France. Qu'est-ce qu'il en reste ?

    Un corps-mort pour des cormorans.

    Ne m'appelez plus jamais "France ".

    La France elle m'a laissé tomber.

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    C'est ma dernière volonté.

    Michel Sardou

     

  • La fumisterie à l’âge du Big Data

    Il y a d’abord eu les politiciens, puis les médias, et avec ce qui se passe présentement aux États-Unis, il y aura sans doute les tribunaux… Mais les prochaines victimes de la perte de confiance d’une partie de la population pourraient bien être les scientifiques, bien que ce soit déjà le cas dans certains dossiers, comme celui des changements climatiques.

    Jusqu’ici, peu de scientifiques ont été impliqués dans des scandales financiers. Le public en est conscient, ce qui explique qu’ils sont beaucoup mieux cotés que les politiciens et les journalistes. Mais selon Ugo Bardi[1], professeur de chimie physique à l’Université de Florence en Italie, le problème n’est pas lié aux individus ou à certaines disciplines en particulier, mais à la science en général. Dans son livre Big Gods (Princeton, 2013) le professeur de psychologie sociale de l’Université de Colombie britannique, Ara Norenzayan, soutient que les gens ont un détecteur de mensonge intégré, une sorte d’algorithme heuristique qui évalue la justesse d’un propos sur la base de la cohérence. Non seulement le message doit-il être cohérent, mais le comportement du messager doit aussi être conséquent.

    Les fausses promesses et l’incohérence du message

    Malheureusement, la science présente actuellement deux visages. D’un côté, il y a ceux qu’on perçoit comme des prophètes de malheur parce qu’ils explorent les limites imposées par la nature et qu’ils invitent à faire des sacrifices pour éviter les crises qui nous menacent. De l’autre côté, il y a ce que Bardi appelle les scientifiques " du Père Noël " qui promettent des lendemains ensoleillés. Le message de ces derniers n’est pas nouveau, il a commencé dans les années 1950. Il consiste à dire " donnez-nous de l’argent et nous inventerons un truc magique pour résoudre les problèmes ". Mais ce message sonne de plus en plus creux parce que le public est en mesure de constater que les promesses de ces scientifiques sont encore loin de leur matérialisation (pensons à la fusion nucléaire ou à l’économie hydrogène annoncée par Jeremy Rifkin en 2002), tandis que d’autres ont empiré les choses (ex : la fracturation hydraulique ou la résistance aux antibiotiques). Pourtant, certains scientifiques n’hésitent pas à faire encore ce genre de promesses, claironnées par les médias, en partie pour gonfler leurs budgets de recherche.

    Lire la suite

  • Anniversaire de La Marseillaise

    14 février 1879.

    La Chambre des députés adopte la Marseillaise comme hymne national français. Composé pour l’armée du Rhin en 1792 par l’officier Claude Rouget de Lisle, ce texte était déjà le chant qui symbolisait la France révolutionnaire mais n’avait jamais été officialisé. L’hymne, aux accents guerriers, suscitera ensuite quelques débats polémiques, notamment sur le passage du "sang impur [qui] abreuve nos sillons".

    Dans les années quatre-vingt, Serge Gainsbourg créera une version reggae de l’hymne et provoquera la colère des anciens combattants.

    “Entendez-vous dans nos campagnes, mugir ces féroces soldats,

    ils viennent jusque dans nos bras

    Egorger nos fils et nos compagnes.

    Aux armes Citoyens, Formez vos bataillons

    Marchons, marchons, qu'un sang impur, abreuve nos sillons!

     

    0a0.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • La mémoire collective, l’identité sociale et individuelle, le sacré, la communauté: c'est l'humanité comme elle est, n'en déplaise aux assassins radicalisés.

    Pourquoi les vieilles pierres nous fascinent-elles à ce point?

    Stéphane Stapinsky

    A l’ère du tourisme mondialisé, de nombreuses enquêtes nous apprennent que les destinations les plus prisées, année après année, sont encore et toujours les vieux pays, comme la France et l’Italie, dont les visiteurs apprécient particulièrement le patrimoine architectural et artistique. Apportant avec eux leur quincaillerie électronique dernier cri, les voyageurs d’aujourd’hui aspirent néanmoins à faire un retour vers le passé lorsqu’ils cherchent à se dépayser. Même les personnes qui ignorent l’histoire, ou qui n’en n’ont cure, paraissent sensibles à ce charme. Elles sentent intuitivement qu’il y a là une profondeur bien réelle. La mode et le conformisme ne sont donc pas la seule explication de l’attrait des gens pour des villes comme Paris, Athènes ou Rome.

    D’autres études ont par ailleurs montré que, s’ils en avaient la possibilité, bien des gens préféreraient vivre dans d’authentiques bâtiments anciens, qui laissent voir la patine du temps, plutôt que dans des édifices modernes, ou dans du simili-vieux.

    Et, dans un tout autre ordre d’idée, faut-il rappeler le sentiment d’horreur et de révolte, qu’inspirent, de manière universelle, les destructions de sites antiques par l’État islamique, des sites que la plupart d’entre nous n’ont jamais visités, et sur lesquels nous connaissons bien peu de choses. N’empêche. C’est comme si, en accomplissant ces actes barbares, on profanait quelque chose de sacré, la couche la plus enfouie de notre humanité.

    Pourquoi donc les vieilles pierres nous fascinent-elles à ce point? C’est d’autant plus surprenant que nous vivons à une époque qui a le culte de la technologie et de la nouveauté perpétuelle. Pourquoi, donc, cette fascination?

    C’est la question à laquelle cherche à répondre une livraison récente, de belle facture et au contenu original, du Forum Journal, publication périodique du National Trust for Historic Preservation, organisme américain établi à Washington et voué à la conservation du patrimoine historique bâti.

    J’ai recensé, il y a quelques mois, un ouvrage collectif sur l’importance du " lieu " pour l’identité sociale et collective. Le présent numéro de la revue (" Why Do Old Places Matter? " -- printemps 2015, vol. 29, no 3), qu’on peut télécharger gratuitement en ligne, aborde un aspect particulier de la problématique générale du lieu, à savoir les lieux chargés d’histoire.

    L’origine de ce numéro de revue est une réflexion initiée sur le blogue du National Trust for Historic Preservation par Tom Mayes, conseiller de l’organisme et lauréat, en 2013, du Prix de Rome dans le domaine de la conservation, décerné par l’Académie américaine de Rome. Celui-ci s’explique : " Je suis allé à Rome pendant six mois afin de réfléchir plus à fond sur des questions qui m’habitent depuis plus d’une décennie : Pourquoi les lieux chargés d’histoire sont-ils importants? Quelle différence y a-t-il, pour les gens, entre le fait de sauver, de recycler ou de simplement continuer à utiliser de la même façon les bâtiments historiques (ou de ne pas faire toutes ces choses)? Est-ce que la présence de lieux historiques améliore la vie des gens? Si oui, de quelle manière?" (1)

    On peut lire en ligne les textes des plus stimulants que Mayes a écrits sur les lieux historiques et les rapports qu’ils entretiennent avec des thèmes comme la mémoire collective, l’identité sociale et individuelle, le sacré, la communauté, l’économie, le développement durable, l’économie, la créativité, etc.

    Un autre thème abordé de manière intéressante par Mayes est celui de la beauté, que l’Agora a retenu comme élément fédérateur des réflexions de ses collaborateurs pour 2016-2017. La beauté d’un bâtiment ancien, d’un quartier ou d’une ville historique, est souvent la raison principale qui motive les efforts faits en vue de leur conservation. Certes, la notion de beauté demeure sujette à discussion, et l’histoire de la philosophie le démontre bien.

    Lire la suite

  • La femme qui dit NON!

    Indéniable courage de cette journaliste, risquant par ses propos sa vie à tout moment, en raison de l’éventuel caprice d’un prétendu “savant" décidant d’une fatwa à son endroit, avec les déclarations d’indignes femmes européennes, qu’elles soient responsables politiques ou simples adhérentes d’associations dites "féministes" qui entérinent  par leur silence ou leurs simagrées, le machisme ambiant de cette fausse religion.

     

    https://youtu.be/onCBaE1ypDM

     

    Regardez ensuite, avec quelle fougue, cette jeune femme (instruite) démontre en seulement quelques minutes, que les islamistes sont les premiers responsables de leurs malheurs, et ne peuvent accuser l’occident de tous leurs maux; le summum étant quand elle assène à son interlocuteur que "depuis 1400 ans nous nous entretuons simplement parce que l’un prie d’une manière et l’autre d’une manière différente. Les Etats-Unis n’existaient pas il y a 1400 ans … nous nous battons et versons du sang depuis 1400 ans, et maintenant nous blâmons les Etats-Unis et l’Angleterre?".

     

    https://youtu.be/KhpCqT-6fMM

     

    Il est donc bien compréhensible que dans beaucoup de pays arabes où règnent les purs et durs, l’instruction des filles soit carrément interdite, d’une part parce que d’après eux leur place est à la maison, ou accompagnée d’un mâle si elle se déplace, mais surtout parce que d’autre part, leur donner de l’instruction, c’est leur donner la possibilité de raisonner par elles-mêmes et non de gober tout cru l’enseignement arriéré du coran.

    Raison pour laquelle, nos socialopes, n’osant pas recourir à de telles méthodes, s’acharnent tout simplement à détruire le rigoureux enseignement des écoles françaises … en perpétuel déclin depuis les assauts successifs des nuisibles Vincent Peillon, Benoit Hamon et Najat Vallaud-Belkacem … dont les deux premiers ont le toupet de se présenter à la prochaine élection présidentielle!

    Mais puisqu’on vous dit que tout baigne, que vous ne risquez rien parce que l’islamcépaça, et que grâce à Musclor-Cazeneuve, la police est sous contrôle et ne risquera pas de vous nuire… ou très peu

    Avec tout çà, nos dirigeants ne voient toujours rien et trouvent toujours encore des excuses bidons du racisme, de l’Islamophobie et autres escroqueries caches misères du même genre, pour continuer leurs marches forcées contre la volonté des peuples européens!

    Ces gens là, sont des dangereux criminels, ils ont du sang sur les mains, ce sont des assassins avec leurs politiques criminelles.

    Ils doivent être dénoncés pour crimes contre l’humanité!

    c’est un génocide contre la civilisation occidentale, Nuremberg pour ces ordures!

    http://ripostelaique.com/nos-dirigeants-traitres-devront-etre-juges-pour-haute-trahison.html

     Il faudra bien que du plus profond du peuple de France, des âmes, des esprits, des cœurs se soulèvent. Il faudra bien que d’autres Geneviève, d’autres Jeanne, et des Charlotte viennent, et soient nos nouvelles héroïnes révoltées, celle de la résistance.

    Il faudra bien que demain, ce peuple de France se soulève et fasse savoir à ces élites de la trahison, et de la honte, qu’ils devront être jugés d’une manière ou d’une autre.

    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne?  Ohé citoyens de France, ingénieurs, techniciens, ouvriers, chômeurs et paysans, c’est l’alarme. Soyons partisans!

    Nous connaissons les ennemis de la France, ils portent tous de beaux habits à la télévision, et ils nous bercent aux 20h, continuent à nous endormir le matin par leurs beaux discours à contretemps. Ils pérorent le plus souvent, nous trompent et se déguisent en bergers. Mais sous les beaux habits, c’est l’odeur nauséabonde de la trahison.

    "Une porte a livré passage à tous les malheurs qui frappèrent la France à travers son histoire; C’est la porte où avaient fui les enseignements du passé! La fin de l’espoir est le commencement de la mort“ disait De Gaulle.

    Il est temps de ressortir, la fameuse machine du docteur Guillotin, pour toutes ces crapules qui ont tenté de détruire notre pays, la France! Réagissons, révoltons nous et mettons tous ces collabos hors d’état de nuire!