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  • C'est ça les Français: parfois aussi, un peu débiles

    Confinement, délations, petites dictatures et autres réjouissances françaises

    Le confinement semble autoriser tous les débordements " citoyens ": de la délation de voisin au rejet du touriste. Une situation hélas déjà vue dans le passé, dont nous n’avons rien retenu.

    Tout est bon pour lutter contre le coronavirus, même et surtout les mesures les plus stupides. Certains maires vont jusqu’à prendre des arrêtés municipaux qu’ils sont obligés d’annuler au bout de quelques jours tellement ils entrent en contradiction avec la Constitution ou avec la loi.

    Voici un florilège des décisions et des déclarations les plus étonnantes. À méditer pour de futurs choix électoraux lorsque ceux-ci seront de nouveau à l’ordre du jour…

    Interdiction d’acheter une seule baguette

    Ferdinand Bernard, maire de Sanary, a interdit aux habitants de sortir à plus de 10 mètres de chez eux.

    Il n’en était pas à son premier essai: agacé que certains aillent acheter leur pain ou leurs cigarettes et "en profitent" pour se promener, il avait tenté de faire passer une interdiction d’acheter un seul produit: il était donc obligatoire d’acheter plusieurs baguettes et plusieurs paquets de cigarettes! Il a finalement annulé ces deux arrêtés.

    Interdiction des locations saisonnières

    Dans les stations balnéaires ou à la montagne, on prend des mesures drastiques. Outre l’interdiction de l’accès aux plages, à Belle-Ile les locations saisonnières sont devenues interdites. Idem aux Sables-d’Olonne. Rappelons que les locations appartiennent non pas aux communes, mais à des propriétaires qui s’acquittent en retour d’un certain nombre d’impôts et de taxes.

     

    À Morlaix, la mairie a interdit de 9 h à 15 h l’usage des outils bruyants, tant pour jardiner que pour bricoler chez soi, au motif de permettre aux soignants de se reposer. Que ne ferait-on pas pour votre bien.

    La montagne, ça vous perdra

    Mais c’est dans un petit village de montagne que les mesures prennent un tour consternant.

    Le maire de Saint-Gervais-les-Bains, excédé par quelques personnes venues occuper leur résidence secondaire, critique la présence de ces habitants ponctuels:

    "Il y en a quelques-uns et ce sont quelques-uns de trop. On le voit à quoi ? Ce sont les voisins qui voient les chalets qui sont subitement allumés, qui mettent un message en disant:  "Mais pourquoi ils sont là? Qu’est-ce qu’ils viennent faire? Qu’ils restent chez eux, du début à la fin!"/

    La France, décidément, garde de vieilles habitudes bien ancrées. Que de voisins bien intentionnés qui veillent sur vous…

    Jean-Marc Peillex, le maire de Saint-Gervais, poursuit:

    "Ils auraient choisi Saint-Gervais pour se confiner, pas de souci ; ils auraient été accueillis à bras ouverts, mais ce n’est pas à la carte".

    Les habitants ponctuels de son village sauront apprécier la variabilité de l’accueil au moment où ils s’acquitteront de leurs taxes foncière et d’habitation, qui, elles, ne souffrent pas de paiement "à la carte".

    D’ailleurs ce charmant village donne surtout envie de ne plus y mettre les pieds, avec une formule du maire, qui fleure bon la menace et l’appel au règlement de comptes:

    "On est un petit village et les gens se souviendront que telle famille n’a pas respecté, que telle famille est venue".

    Certains commerçants râlent aussi, au motif que quelques touristes viennent leur faire prendre des risques:

    "Dans les Bauges aussi, certains commerçants locaux s’agacent de recevoir ces jours-ci la visite de clients… qui étaient absents jusqu’à présent. C’est le cas du chocolatier Jacob qui à l’approche de Pâques voit certains vacanciers dans son magasin. Il leur demande de rester en dehors de la boutique ou de se faire livrer à domicile" explique France Bleu.

    Le confinement monte les gens les uns contre les autres

    Au lieu de voir une opportunité économique dans l’apport d’une poignée de touristes, les gens ont pris peur, se dénoncent les uns les autres, se surveillent.

    On pleurera sur l’arrêt de l’activité économique, mais on ne veut pas de touristes qui font vivre les commerces. On pleurniche sur les " lits froids ", que dénonce souvent le même Jean-Marc Peillex, ces lits inoccupés et ne rapportant rien à la commune. Mais on n’en veut pas, de ces touristes.

    D’ailleurs on se demande si ces maires ont bien compris que l’avenir de leur commune est lié à la manne financière apportée par les touristes et les propriétaires de résidences secondaires. Même eux finissent par mordre la main qui les nourrit. Jean-Marc Peillex, toujours très remonté contre les résidents secondaires de sa station de ski, déclare:

    "Pour eux ce n’est pas un problème d’argent ou d’amende. Celui qui a un beau chalet dans les Alpes, une belle maison sur la Côte d’Azur ou sur la côte atlantique, 135 euros ou 500 euros ce n’est pas grand-chose", constate Jean-Marc Peillex, impuissant devant cette situation. "

    Ces salauds de riches sauront apprécier.

    Délation, encore et toujours

    Certes, des idiots n’ont rien compris au mode de contamination. Mais monter dans sa voiture, faire 1, 10, 100 ou 500 km, et en descendre pour rester dans sa résidence secondaire ne contamine personne d’extérieur à la famille.

    Marcher sur un chemin ou une route, seul, ou accompagné de ces mêmes personnes ne contamine personne non plus.

    Il serait temps de mettre fin à ce zèle délétère, temps d’arrêter de faire passer quelques touristes pour des criminels.

    Par Margot Arold.

    Sur Contrepoint.org

  • Avertissement

    Journalistes français en Italie: "Pour que la France prenne enfin la mesure du danger"

    Dans un texte adressé aux autorités françaises et européennes, les journalistes français qui travaillent en Italie appellent les dirigeants à prendre "enfin la mesure du danger" face à la progression fulgurante du coronavirus.

    Journalistes français en Italie: "Pour que la France prenne enfin la mesure du danger"

    "Journalistes en Italie pour des médias français et francophones, nous couvrons depuis le début la crise épidémique du coronavirus dans la péninsule. Nous avons pu constater la progression fulgurante de la maladie et avons recueilli les témoignages du personnel de santé italien. Beaucoup nous font part de la situation tragique dans les hôpitaux, les services de thérapie intensive saturés, le triage des patients, ceux – les plus faibles – que l’on sacrifie faute de respirateurs artificiels suffisants.

    "Par conséquent, nous considérons qu’il est de notre responsabilité d’adresser un message aux autorités publiques françaises et européennes pour qu’elles prennent enfin la mesure du danger. Tous, nous observons en effet un décalage spectaculaire entre la situation à laquelle nous assistons quotidiennement dans la péninsule et le manque de préparation de l’opinion publique française à un scénario, admis par l’énorme majorité des experts scientifiques, de propagation importante, si ce n’est massive, du coronavirus.

    "Hors d’Italie aussi, il n’y a plus de temps à perdre. Nous estimons qu’il est de notre devoir de sensibiliser la population française. Souvent, les retours qui nous arrivent de France montrent qu’une grande partie de nos compatriotes n’a pas changé ses habitudes. Ils pensent qu’ils ne sont pas menacés, surtout lorsqu’ils sont jeunes.

    Or, l’Italie commence à avoir des cas critiques relevant de la réanimation dans la tranche d’âge 40-45 ans. Le cas le plus éclatant est celui de Mattia, 38 ans, sportif et pourtant à peine sorti de dix-huit jours de thérapie intensive. Il est le premier cas de Codogno, fin février, au cœur de la zone rouge dans le sud de la Lombardie.

    "Par ailleurs, certains Français n’ont pas conscience qu’en cas de pathologie grave, autre que le coronavirus, ils ne seront pas pris en charge correctement faute de places, comme c’est le cas en Italie depuis plusieurs jours. Soulignons aussi que le système sanitaire impacté aujourd’hui est celui du Nord, soit le meilleur d’Italie, un des meilleurs en Europe.

    La France doit tirer les leçons de l’expérience italienne."

    Manuella Affejee, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Delphine Allaire, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Salvatore Aloïse, correspondant d’Arte;

    Olivier Bonnel, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Bertrand Chaumeton, réalisateur radio;

    Marie Duhamel, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Ariel F. Dumont, correspondante de Marianne, le Quotidien du médecin;

    Antonino Galofaro, correspondant du Temps;

    Bruce de Galzain, correspondant permanent de Radio France en Italie;

    Marine Henriot, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Arthur Herlin, directeur de l’agence i. Media;

    Richard Heuzé, politique internationale;

    Blandine Hugonnet, journaliste pigiste; Franck Iovene, AFP;

    Eric Jozsef, correspondant de Libération et RTS;

    Anne Le Nir, correspondante de RTL et la Croix;

    Marc-Henri Maisonhaute, journaliste pigiste; Francesco Maselli, correspondant de l’Opinion;

    Alban Mikoczy, correspondant de France 2-France 3;

    Jean-Charles Putzolu, de Radio Vatican;

    Quentin Raverdy, journaliste pigiste;

    Xavier Sartre, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Eric Sénanque, correspondant RFI au Vatican;

    Valérie Segond, correspondante du Figaro;

    Nicolas Senèze, envoyé spécial permanent de la Croix au Vatican; Anne Tréca, correspondante RTL;

    Valentin Pauluzzi, correspondant de l’Equipe;

    Arman Soldin, envoyé spécial d’AFPTV;

    Matteo Cioffi, correspondant sportif de RFI;

    Natalia Mendoza, correspondante de France 24;

    Manuel Chiarello, JRI indépendant.

    https://www.liberation.fr/planete/2020/03/12/journalistes-francais-en-italie-pour-que-la-france-prenne-enfin-la-mesure-du-danger_1781450

     

     

     

  • France, orange mécanique - 4

    Coups de couteau et tabassages explosent : Macron s’en fout !

    À la veille des municipales, le pouvoir feint de s’emparer des sujets régaliens et notamment de la sécurité, devenue le premier souci des Français, devant le pouvoir d’achat et le climat.

    Mais à l’approche des 1 000 jours du quinquennat, on ne peut que faire le sinistre constat de l’incompétence et de l’hypocrisie flagrante de Macron, dans la lutte contre la délinquance.

    Car au-delà des beaux discours mensongers pour tromper le peuple français, nous assistons à une explosion sans précédent de l’insécurité.

    C’est un désastre, pour la simple raison que ce fléau n’a JAMAIS été la priorité de Macron, qui refuse de faire l’amalgame immigration-criminalité, pourtant bien réel quand on regarde les statistiques de la DCPJ et de la DCSP, ou que l’on observe l’origine des 3/4 des détenus.

    D’ailleurs la carte des agressions dans les départements se superpose parfaitement à celle des fortes concentrations d’immigrés. C’est incontestable.

    Combattre la violence de rue, c’est placer l’immigration dans le collimateur de la justice et de la police, ce à quoi l’establishment bien-pensant répugne au plus haut point.

    D’où l’absence totale de réponse pénale qui encourage les multirécidives.

    Et notre Président ne trouve rien de mieux que d’humilier et de mépriser nos policiers, en posant  avec un t-shirt représentant un félin éborgné, marqué LBD 2020 ! Révoltant ! Il les insulte, mais face aux Gilets jaunes, il n’a cessé de renforcer sa protection personnelle, pendant que celle des Français est oubliée. Son bilan, le voici :

    1 000 agressions gratuites par jour.

    970 homicides, 76 morts de plus qu’en 2018.

    2 507 tentatives d’homicide, soit une hausse de 105% en 6 ans !!

    Coups de feu, coups de couteau et tabassages explosent (Alain Bauer).

    Le grand sport chez les " jeunes" est  de "ramollir" leur victime, la tabasser jusqu’à ce qu’elle devienne molle. À 10 contre 1 de préférence, c’est plus amusant.

    Coups et blessures en hausse de 9%.

    Violences sexuelles en hausse de 12%, alors que 90% des viols ne sont pas déclarés.

    100 000 peines de prison ferme non effectuées faute de places.

    Abandon pur et simple du projet de construction de 15 000 places de prison, promesse de campagne.

    Seulement 25% des amendes pour escroquerie ou trafic de stupéfiants sont recouvrées. (Xavier Bertrand)

    Baisse de 11% des moyens attribués à la police, avec une baisse des crédits de 123 millions d’euros !

    Explosion du nombre de zones de non-droit et 150 quartiers passés aux mains des islamistes selon la DCRI.

    Les 3/4 des citoyens ne se sentent plus en sécurité nulle part.

    Il en est de l’insécurité comme de l’immigration : discours de fermeté trompeur, pendant que Macron signe le Pacte de Marrakech qui légalise l’immigration clandestine.

    Mais ce n’est pas avec un parc de 61 000 places de prison qu’on va régler le problème de l’insécurité. Il en faudrait le double.

    La justice répugne à incarcérer les malfrats. Avec 117 détenus pour 100 000 habitants, dont 22% d’étrangers, la France incarcère proportionnellement cinq fois moins que les États-Unis.

    Le laxisme judiciaire se résume à ce simple constat: Depuis 1950, le taux de criminalité a été multiplié par 7.

    Et Macron reste les bras ballants, n’ayant pour seule obsession que de vider les prisons pour limiter la surpopulation carcérale, actuellement dans le collimateur de Bruxelles.

    Plus il ouvre les frontières en accordant un nombre de visas historique, plus l’insécurité explose.

    Au hit parade des villes les plus dangereuses d’Europe, Marseille rafle la mise.

    https://fr.sputniknews.com

    Évidemment, les autorités locales contestent. Mais selon le Canard enchaîné, les statistiques de la police marseillaise sont bidouillées à la baisse.

    Au rythme actuel de l’immigration et du renoncement du pouvoir, tout ne peut qu’empirer et faire de la France un des pays les plus dangereux d’Europe.

    Jacques Guillemain

    https://ripostelaique.com/coups-de-feu-coups-de-couteau-et-tabassages-explosent-macron-sen-fout.html

     

     

  • Manif: intimidations musulmanes devant CNews pour empêcher Zemmour de parler!

    EXTRAIT

    Contre Zemmour, donc contre la liberté d’expression. Faut pas toucher à l’islam, ils sont de plus en plus vindicatifs, hargneux et menaçants… Attendons demain les réactions des journaleux et des politiques…

    Qui osera dénoncer cette déclaration de guerre?

    https://ripostelaique.com

     

    VOYANCE FRANCE 2020

     

     

  • Petite revue de presse

    Emmanuel Macron ressemble de plus en plus à Benito Mussolini

    Marion Maréchal au ban des proscrits (LFI aussi…). Le Medef se couche sur ordre de LREM.

    Je maintiens : nous sommes entrés dans une forme de fascisme mou évoquant la période de prise du pouvoir par Mussolini.

    La Marche sur Rome est ici remplacée par la "“ Prise de Paris“ " objectivement réussie par Macron, ses sbires et ses barbouzes, ses milices, ses marionnettes parlementaires et médiatiques, ses soutiens économiques et industriels, sans oublier sa police.

    Reste l’Armée, mais comme dans les années 20, elle suivra, étêtée, sous contrôle mental, forcée au loyalisme par sa majorité carriériste.

    Mussolini fut au moins patriote. Rien de tel concernant Choupinet. Gouvernée par des traîtres, des pleutres et des conformistes au service d’un spectre, la France bascule avec, à l’intérieur de son corps, creusant son kyste, l’ennemi le plus redoutable et le plus impatient qu’elle ait eu à affronter depuis son combat séculaire contre l’expansionnisme allemand.

    J.S.

    https://www.huffingtonpost.fr/entry/marion-marechal-invitee-lrem-menace-le-medef-de boycott_fr_5d14efade4b082e55365e71b

     

    ÉCHOS DE LA COLLABORATION

    Services publics et "radicalisation", ici, à la Ville de Paris, rayon ordures et poussière sous les tapis, de prière, bien sûr. Article à déguster sans perdre son flegme si possible : novlangue, non-dits, édulcorations et prises de pincettes pour ne pas risquer de "stigmatiser", tout y est. Un monument à côté duquel les besogneux de Vichy n’étaient que des amateurs.

    https://www.marianne.net/societe/radicalisation-au-sein-des-services-publics-le-cas-du-service-de-propete-de-paris?fbclid=IwAR29-WbKHXZoEhJvt8pQ7XVXUyid-4y6Vq6ODEmsL9FHolR7MtvZuKRkKOA

     

    À ce propos, voici le témoignage fort instructif d’un travailleur social, sur FB. Les cas de ce genre sont légion. Il convient d’insister sur le mot "collaboration" et sur ses victimes dont le nombre est appelé à gonfler comme une baudruche en burqa dans une baïne de Lacanau.

    Anthonin Lamoureux 

    "Sur la montée de l’islamisme dans la fonction publique, je rappelle juste que je me suis fait virer de la mairie de Paris pour avoir critiqué le Coran lors d’une conversation privée.

    Le seul témoignage manuscrit contre moi, d’une déléguée syndicale lesbienne qui a retranscrit un témoignage d’une musulmane, a été validé par le tribunal administratif de Paris.

    Cet écrit n’était pas dans mon dossier de fonctionnaire lorsque mon avocat l’a récupéré. La mairie de Paris a donc des dossiers en parallèle alors que c’est strictement interdit.

    Et le tribunal administratif a validé un document faisant état de mon opinion religieuse: "il y a beaucoup de violences dans le coran".

    Dossier caché, opinion religieuse et les juges valident les pratiques de la maire de Paris.

    Je me suis fait virer comme une merde, moi travailleur social reconnu pour ses résultats auprès des plus précaires, à 8h en arrivant au travail: 10 mn pour vider mon bureau dans un sac poubelle et rendre badge et clefs.

    Ni syndicats ni collègues travailleurs sociaux n’ont réagi à l’époque.

    Et je me suis retrouvé dans un méga merdier (merci encore aux rares personnes à m’avoir aidé à l’époque)“.

    Radio France, 13 semaines de vacances.

    Treize, putain ! Ce service public devenu porte-coton du pouvoir, surpaye des journalistes dont le job essentiel est de cracher sur ces salauds de fainéants, xénophobes et antisémites français, avec pour obligation contractuelle la mission de pérenniser le plus longtemps possible la présence de Choupinet à l’Élysée.

    https://www.capital.fr/economie-politique/les-journalistes-de-radio-france-meritent-ils-leurs-13-semaines-de-vacances-1343249?utm_content=bufferf69aa&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=Facebook_Capital&fbclid=IwAR1_cVySzjYnlgNzU9aoHaXQ5HK8bNSosXWyfAeS2s9O1LWCso4Peh-w4YU

    Tiens le petit Piolle, trouvant certainement plus facile d’évoquer Tunis plutôt que des piscines de sa ville, sort de son silence pour s’astiquer les valeurs et se pignoler l’État de Droit. Je suis grossier? Jamais, s’agissant des branleurs qui nous trahissent… à jets continus.