Élection de Trump: l’oligarchie progressiste face à une révolution?
Partout en Europe, dans une Europe passoire sans frontières protégées, submergée au demeurant par une immigration incontrôlée, le plus souvent illégale, gangrenée par une violence exponentielle, et livrée aux narcotrafics, les États profonds et les technostructures mondialisées recherchent par tous les moyens à empêcher la libre expression populaire, qui tente de s’opposer à la disparition de la civilisation millénaire, qui depuis Athènes et Rome, en passant par le Christianisme bâtisseur de nos Cathédrales, avaient façonné nos pays, nos lois, nos mœurs, nos coutumes, nos traditions et ont apporté au monde les splendeurs absolues de la littérature, de la peinture, des arts, de l’architecture, la France étant de surcroît "mère des arts, des armes et des lois", comme la décrivait Joachim du Bellay dans son recueils Les Regrets en 1558.
Dans une envolée lyrique dont il avait le secret, Charles de Gaulle avait déclaré: "Il ne peut y avoir d’autre Europe que celle des États en dehors des mythes, des fictions, des parades". Il avait rajouté: "Je ne crois pas que l’Europe puisse avoir aucune réalité vivante si elle ne comporte pas la France avec ses Français, l’Allemagne avec ses Allemands, l’Italie avec ses Italiens, etc. Dante, Goethe, Chateaubriant appartiennent à toute l’Europe, dans la mesure même où ils étaient respectivement et éminemment Italien, Allemand et Français. Ils n’auraient pas beaucoup servi l’Europe s’ils avaient pensé et écrit en quelque espéranto ou volapük intégré". (Conférence de presse du 15 mai 1962)
Mais depuis, les temps ont bien changé. Désormais, c’est tout le contraire qui est entrepris pour broyer les peuples, les supprimer, les nier, pour les agglomérer dans un magma informe et infect. Cette politique totalitaire se retrouve partout.
En Roumanie, avec le scandale des annulations des élections qui allaient porter au pouvoir un anti-européiste convaincu largement gagnant dès le premier tour de scrutin.
En Pologne, où la mobilisation bruxelloise a fini par faire revenir Tusk au pouvoir, mais heureusement n’a pas pu empêcher la victoire du nationaliste Karol Nawrocki.
En Géorgie, où tout est entrepris pour forcer la mainmise de Bruxelles.
En France, avec des tripatouillages électoraux qui ont empêché la victoire du RN en 2024 et la prise de pouvoir de juges non élus, qui entendent phagocyter la libre expression des citoyens par des révolutions institutionnelles et juridiques des plus dictatoriales, retoquant certaines lois sur des motifs les plus stupéfiants et interdisant à certains candidats capables de parvenir au plus haut de se présenter.
Il faut surveiller de près les prochaines élections en Moldavie, et l’an prochain en Hongrie, où les appareils internationaux se mobilisent comme jamais. La Grande-Bretagne, pays à la pourtant longue tradition des libertés publiques, malmènent ses opposants, n’hésitant pas à les emprisonner pour de simples délits d’opinion.
Mais c’est en Allemagne où les éléments se déchaînent avec le plus de force contre le peuple allemand. Et c’est l’AfD qui est au centre de toutes les attentions mortifères, pour l’éliminer, la dégager, et l’empêcher d’exister. Depuis sa création en 2013, elle est au centre d’une incroyable série de procédures policières, administratives et juridiques, car elle gêne, elle dérange et ses immenses succès électoraux ravivent les intentions d’ostracisme à son égard.