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Savoir - Page 3

  • En France,

    10% du patrimoine religieux sera détruit ou abandonné d’ici cinq ans

    Entre actes de vandalisme, incendies, attentats et profanations, les églises sont constamment dégradées.

    https://christianophobie.fr/carte

    En 2024, près de 50 tentatives d’attaques et incendies criminels contre des lieux de culte catholiques ont été recensés. Le plus surprenant, c’est la vitesse supersonique à laquelle la christianophobie se propage. La stratégie est toujours la même, la tactique évolue, devient de plus en plus imaginative.

    https://escaledenuit.com/la-liste-des-eglises-brulees-en-france/

    D’une part, les églises qui brûlent, de l’autre, les profanations et les vols. L’incendie de l’Immaculée Conception à Saint-Omer, avec sa flèche et tout le reste, engloutis par les flammes sur le modèle de Notre-Dame, n’est qu’un exemple des plus récents et des plus spectaculaires, sans le moindre coupable.

    Saint-Hilaire-le-Grand de Poitiers, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et où deux incendies se sont déclarés en octobre, détruisant toutes ses statues, cinquième victime d’actes de vandalisme en deux ans rien qu’à Poitiers.

    Trois au cours des six derniers mois seulement: l’église Saint-Porchaire qui a vu l’antique statue du Sacré-Cœur de Jésus brisée en mille morceaux; l’église de Sainte-Thérèse qui aujourd’hui ne possède plus aucune statue intacte et dont les bancs ont été incendiés; tandis qu’à Saint-Jean-de-Montierneuf le tabernacle a été volé. "

    Toute la France est touchée par la férocité antichrétienne. La barbarie des "jeunes".

    Célébrations eucharistiques perturbées. À Saint-Germain-en-Laye, par exemple. À Noël une racaille montait sur l’autel, criant “Allah Akbar” exhibant ses fesses aux fidèles.

    À Pâques l’année dernière, un attentat planifié par l’État islamique contre plusieurs églises pendant la Nuit Sainte, déjoué.

    Il devient impossible de prétendre que ces attaques, au nom d’Allah, n’ont rien à voir avec l’islam! C’est le christianisme qui est visé en tant que tel. L’assassinat du père Hamel, les trois personnes massacrées à Nice, en sont des exemples.

    Remarquons que presque personne ne manifeste sa solidarité avec les chrétiens lorsqu’ils sont attaqués. Certains sont même pris d’un fou rire.

    Aucun Laurent Nuñez ne mettra tout en œuvre pour retrouver les auteurs de ces "actes abjects".

    Les autorités ignorent sciemment la gravité et l’ampleur du désastre. Entre 2015 et 2019, une vague de raids contre des croix installées le long des Pyrénées. Auteurs jamais identifiés.  Des croix qui pèsent plus de 40 kilos: pour les abattre, ils arrivaient équipés de broyeurs et, une fois déracinées, les jetaient dans le vide. Aujourd’hui, toutes les croix qui caractérisaient le paysage là-haut ont disparu.

    Macron, exaspéré (on comprend son ire, touché personnellement, le vénérable nom figurait en toutes lettres sur la partie faciale supérieure d’une des bestioles!) a pompeusement  exprimé son "soutien" à la communauté musulmane. Lui qui gloussait avec son acolyte, alors que la Dame de pierre était livrée aux flammes comme une sainte au bûcher.

    Chez nous, une église disparaît toutes les deux semaines, incendiées, vendues, démolies. Les deux tiers sont d’origine criminelle: si nous continuons ainsi, notre héritage sera complètement détruit.

    Mais personne pour évoquer "Une lâcheté insondable" (expression réservée aux crânes de porcs)

    L’Observatoire recense un millier d’attaques antichrétiennes par an, des incendies, des destructions de statues et des vols d’hosties. Cela signifie que cinq mille églises risquent de disparaître à cause du manque de volonté – tant de la part des hiérarchies politiques que religieuses – de maintenir vivant un patrimoine qui est l’esprit de la France.

    Les autorités devraient s’attaquer à la question de l’investissement de plus de ressources pour poursuivre les auteurs. Mais, aujourd’hui, entre leur paresse et leur indolence, nous n’assistons qu’à l’accélération d’une déchristianisation oppressive et violente. (Sources: Europe1/La Nuova Bussola Quotidiana – Trad. à partir de belgicatho/DICI n°454 – FSSPX.Actualités)

    Pas mieux en Allemagne: selon le service de communication de l’Église protestante en Saxe, 70 églises, dont 55 protestantes, ont été vandalisées en un an. Ces églises ont été victimes d’actes de vandalisme près de 70 fois au cours des douze derniers mois. L’Église régionale protestante a enregistré à elle seule 55 cas, tandis que le diocèse catholique de Dresde-Meissen en a recensé douze.

    “Les églises prennent des mesures pour lutter contre le vandalisme, en installant des systèmes d’alarme, en appliquant des revêtements anti-graffiti sur les bâtiments et en faisant appel à des agents de sécurité bénévoles”. Et ce sont les nigauds qui paient.

    Vite, vite, un chapelet de protestataires dans nos rues. Et un apport généreux de ZemmourVita®, cure de vitalité citoyenne. Serions-nous plus lâches que les Anglais?

    Anne Schubert

  • France: Pays d’une censure délirante, copiée par l’Union européenne

    Henri Queuille (1884 – 1970), radical socialiste français qui fut trois fois Premier ministre sous la IV° République écrivit: "L’art de la politique ne consiste pas à résoudre des problèmes mais à faire taire ceux qui les mettent en lumière".

     Même si on pourrait à raison être scandalisé par le cynisme d’une telle déclaration, ce qui est surtout frappant c’est l’actualité de ces mots qui collent à merveille à la situation que connaît la France, mais également l’Europe. Ce que J.D. Vance, vice président des États-Unis a confirmé dans un discours prononcé à la mi-février 2025 à Munich qui constitua un sacré pavé jeté dans la mare. Ainsi, il pointa à la stupéfaction générale trois dangers majeurs que l’Europe générait: une censure totale de la liberté d’expression, une persécution avérée des chrétiens et une politique délibérément favorable à l’immigration de masse. Nous nous limiterons à la liberté d’expression et à la censure en Europe et surtout en France dans cet article.

    En préalable, nous rappellerons ce que dit le 1er amendement de la Constitution américaine au sujet de la liberté d’expression: "Le Congrès ne fera aucune loi qui touche l’établissement ou interdise le libre exercice d’une religion, ni qui restreigne la liberté de la parole ou de la presse, ou le droit qu’a le peuple de s’assembler paisiblement et d’adresser des pétitions au gouvernement pour la réparation des torts dont il a à se plaindre".

    En lisant le contenu de ce 1er amendement personne ne peut s’étonner de la déclaration de Vance à Munich. Durant la domination démocrate aux États-Unis les autorités avaient abondé dans le sens des pratiques de censure en vigueur en Europe. Mais à son retour au pouvoir début 2025, Trump a mis un terme à ces dérives totalitaires et imposé un retour au strict respect du 1er amendement.

    La démocratie et la liberté d’expression signifient à nouveau quelque chose aux États-Unis et de ce point de vue, l’Europe et surtout la France ne peuvent apparaître que pour ce qu’elles sont: des dictatures qui ne disent pas leur nom mais sont pourtant bien réelles. Comment les choses se passent-elles dans notre pays en matière de liberté d’expression et de censure? Petit tour d’horizon.

    En préalable, ayons à l’esprit quelques éléments importants. Le premier réseau social en ligne a été créé en 1996 et vu le jour en 1997, celui-ci s’appelait sixdegrees.com, il fut créé par Andrew Weinreich et la société Macroview à New York. S’agissant des principaux réseaux sociaux, en 2003 apparaît LinkedIn, en 2004 c’est Facebook, en 2005 YouTube, en 2006 Twitter (devenu X), en 2009 WhatsApp, en 2010 Instagram, en 2011 Snapchat et en 2016, c’est au tour de TikTok de voir le jour.

    Quant au nombre de personnes qui s’y connectent on les compte en milliards pour la planète et en millions en France. Ainsi, en 2025, 67,9% de la population mondiale utilise Internet. On compte 5,24 milliards d’utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux soit une hausse de 4,1% en un an. Plus de 50 millions de Français utilisent les réseaux sociaux, soit trois Français sur quatre.

    Enfin, en France l’utilisation des réseaux sociaux par tranche d’âge se répartit ainsi: 12-17 ans… 76%, 18-24 ans… 93%, 25-39 ans… 82%, 40-59 ans… 59%, 60-69 ans… 34% et 70 ans et plus… 14%. Ce qui représente donc pour la tranche d’âge 12-60 ans… une moyenne de 78% en arrondissant c’est-à-dire près de 80%, ce qui est absolument considérable.

    Autre élément à garder en tête, avant l’apparition des réseaux sociaux, les gens n’avaient guère que le mail pour s’échanger rapidement des messages. Si le premier mail fut envoyé en 1973 sur le réseau Arpanet, la technologie en restera limitée aux états, universités et armées pendant encore de longues années. Le véritable envol des mails se fera à partir de 1996 avec la création de Hotmail, promptement racheté par Microsoft en 1997.

    En résumé, on peut donc noter que jusqu’à la fin des années 1990 – début des années 2000, la circulation de l’information pour les citoyens était très restreinte et les pouvoirs n’avaient guère de difficulté à la contrôler. Les seuls moyens de circulation de masse étant la télévision, les radios et les journaux, tous beaucoup moins nombreux qu’aujourd’hui et surtout sous contrôle pour la plupart. Le tournant des années 2000 va donc poser un sérieux problème aux autorités: comment contrôler cette circulation d’information avec l’apparition et la généralisation des nouveaux outils numériques? Comment cacher certaines informations? Comment faire circuler de fausses informations ou à l’inverse empêcher des vérités d’être annoncées largement à travers le pays?

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  • Les retraités ont des revenus inférieurs aux actifs,

    mais ils sont jetés en pâture à la vindicte publique

    Les retraités sont désignés comme les boucs émissaires des dépenses publiques. Pour réduire celles-ci, rien de plus facile que de ne plus indexer leurs pensions ou d’en retarder l’échéance, ce que propose le gouvernement Barnier en reportant l’indexation sur l’inflation du 1er janvier au 1er juillet, soit 4Md€ de gain pour le budget public.

    L’ETAT NE RESPECTE PAS SES ENGAGEMENTS

    Pourtant, les retraites françaises, assurées selon un système dit de répartition, relèvent d’une sorte de contrat tacite entre l’Etat, les actifs et les pensionnés. La puissance publique exige des actifs de cotiser à une caisse de retraite qui distribue aussitôt (ou presque) l’argent reçu aux pensionnés. Les actifs acceptent de cotiser à des niveaux élevés (28% de leur salaire brut, soit un des taux les plus élevés au monde) en échange de la promesse de recevoir ensuite à leur tour les cotisations de leurs successeurs en activité quand ils prendront leur retraite.

    Mais alors que la démographie et le nombre d’actifs sont à la baisse tandis que le nombre de retraités augmente significativement par suite d’allongement de la durée moyenne de la vie, les systèmes de répartition sont tous en difficulté.

    De plus, l’Etat utilise depuis des lustres les caisses de retraite pour faire de la politique. Il verse aux agents publics des retraites très supérieures (d’environ 40 md€) à leurs cotisations, il prend en charge les déficits des retraites avantageuses accordées dans divers régimes spéciaux (SNCF, RATP, Industries d’électricité et gazières…), il a multiplié les réductions de cotisations retraite (environ 15 Md€) sur les bas salaires…

    La conséquence est que les caisses de retraite sont en déficit. Elles ont de plus en plus de peine à verser les pensions dues aux retraités. L’Etat qui assume le tiers (130 Md€ en 2023) de la charge totale des pensions versées aux retraités français et qui de fait est appelé à combler les déficits du système, a trouvé un moyen simple pour réduire sa charge: ne pas respecter ses engagements.

    Selon les articles L 161 et suivants du Code de la sécurité sociale, les pensions sont revalorisées chaque année par indexation sur la moyenne annuelle des prix à la consommation, hors tabac. Mais l’Etat piétine allègrement la loi, en la changeant à sa guise.

    Bien sûr, comme l’a dit M. Retailleau, quand la loi est mauvaise il faut la changer, ce qui ne s’appelle pas nécessairement une violation de l’Etat de droit. Mais quand l’Etat a pris des engagements, il doit les tenir. L’une des caractéristiques majeures de l’Etat de droit tient au fait que le droit est respecté par le souverain lui-même. En France, il s’en exonère promptement, ouvrant la voie à l’arbitraire.

    LE PRÉTEXTE DE L’EGALITE

    Pour justifier la baisse des pensions, le gouvernement et certains partis ont instillé dans l’opinion l’idée que la justice et l’égalité la commanderaient dès lors que les revenus des retraités seraient en moyenne supérieurs à ceux de la population en âge de travailler.  Mais cette assertion est erronée.

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  • La grande sécheresse des années 1942-1949

    La sécheresse actuelle, touchant la quasi-totalité du territoire français, succédant à des sécheresses de plus faibles ampleur survenues en divers endroits en 2018, 2019 et 2020, provoque des réactions alarmistes selon lesquelles ces événements météorologiques seraient sans précédent et seraient la preuve d’une avancée vers l’abîme climatique.

    Mais est-ce exact?

    LA GRANDE SECHERESSE DES ANNEES 40

    Et bien non. Un rapport intitulé “la Sécheresse des années 1942-1949”, écrit en 1950 par Joseph Sanson, vice-directeur de la météorologie nationale, et Maurice Pardé, professeur à l’école nationale supérieure d’hydraulique, nous montre que ces années ont été anormalement sèches, et sans doute bien plus qu’aujourd’hui par endroit.

    Les auteurs notent d’abord qu’un déficit pluviométrique a été constaté 7 années de suite dans les massifs montagneux Français, et que plusieurs de ces années ont vu des épisodes anticycloniques de longue durée empêcher les perturbations atlantiques de venir arroser l’ensemble du territoire. Ainsi, en 1948-1949, un tel épisode anticyclonique a duré 254 jours.

    Cette succession d’événements secs a provoqué un assèchement des principaux bassins fluviaux, et plus particulièrement de la Seine, de la Loire et de la Garonne, surtout observés entre 1947 et 1949. Les auteurs expliquent qu’un régime de pluies faibles et rares amplifie les déficits de débit fluvial, les pluies faibles étant d’abord captées par les sols et les nappes. De plus, contrairement à ce qui s’était produit lors de la grande sécheresse de 1921, qui succédait à 10 années très humides, les successions de sécheresses avaient vidé les réserves souterraines capables de soutenir les débits. Cela explique que de nombreux cours d’eau, notamment secondaires, étaient à sec ou quasiment à sec lors de l’été 1949.

    UNE SECHERESSE IMPREVISIBLE ET D’AMPLEUR SUPERIEURE A CELLE D’AUJOURD’HUI

    Les auteurs ajoutent que de telles basses valeurs de débit étaient parfaitement impossibles à prévoir sans changement du climat avant 1941, tant elles se sont écartées des pires mesures antérieures. Ainsi par exemple, la Loire, à la station de Montjean (Maine et Loire, entre Angers et Nantes), a connu un déficit cumulé de débit de 41% sur les 8 années 41-49, alors que les mesures antérieures sur un grand fleuve français n’avaient pas dépassé 25% de déficit pour la Seine entre 1857 et 1865. Plus particulièrement, entre octobre 1948 et septembre 1949, le débit mesuré à cette même station a été 5 fois moins élevé que la moyenne. Le précédent record, en 1920-1921, n’était “que” de 3,3 fois.

    Les auteurs soulignent qu’en dehors des alpes et de l’aval rhodanien, relativement épargnés, la pénurie hydrologique observée alors était “sans précédent connu, (…) peut être 2 à 3 fois plus graves que lors des années antérieures les plus défavorisées depuis 118 ans”.

    Si aujourd’hui, certains alarmistes diffusent sur les réseaux sociaux des photos du lit de la Loire presque à sec, notamment à Varades, à quelques kilomètres en aval de Montjean, ils oublient de mentionner que le débit actuel du fleuve mesuré à cette station est de 94m3/s, alors que le record mesuré le 23 Août 1950 s’établit à 50m3/s. La mesure actuelle reste également supérieure aux minima de 1921 (67m2/s) et 1911 (74m3/s). Rien ne dit que la mesure actuelle ne descendra pas encore, mais nous restons pour l’heure loin des minima historiques.

    Les auteurs notent également que malgré la sécheresse globale, quelques bassins versants ont quand même subi des épisodes de crue, notamment pendant l’hiver 1944-45, et les crues d’Alsace Lorraine de décembre 1947 ont établi des records dont certains restent en vigueur aujourd’hui.

    LES CONSEQUENCES DE LA SÉCHERESSE NE SONT PAS LES MÊMES AUJOURD’HUI

    Sanson et Parcé notent que ces années furent le siège de récoltes agricoles en forte baisse, mais, compte tenu du contexte de guerre jusqu’en 1945, ils refusent fort justement d’en attribuer la cause uniquement aux seuls aléas météorologiques.

    Ils notent aussi que la production hydro-électrique fut divisée par 3,5 par rapport aux normales d’avant-guerre sur la période 1948-1949, et que plusieurs réservoirs de barrages hydro-électriques étaient à sec, entraînant des coupures de courant récurrentes. Les auteurs, loin de crier à l’apocalypse climatique, font preuve de beaucoup de modestie, et s’estiment incapables de prédire si la tendance observée doit se poursuivre ou si un retour à la normale doit être envisagé.

    Ce retour à la normale, de fait, eut bien lieu dans les années 50, le régime du bassin versant de la Garonne restant toutefois assez sec jusqu’en 1958.

    Les sécheresses d’hier ne sont pas celles d’aujourd’hui, lesquelles ne seront pas celles de demain. En effet, les conditions influant sur la perception de la sécheresse ont changé. En 1948, notre population n’était que de 42 millions d’habitants, et beaucoup de foyers ruraux n’étaient alors pas raccordés à l’eau potable.

    Les prélèvements pour l’eau potable, tant pour les ménages que pour la production d’électricité ou toutes les activités économiques, ont été multipliés par 3 entre 1955 et 1985 (source). La tendance s’est inversée depuis, et la consommation d’eau baisse depuis les années 90, tant du fait d’une légère baisse de celle des ménages depuis le début des années 2000 que de l’amélioration des réseaux de distribution et de l’efficacité hydraulique des industries et de l’agriculture.

    Cependant, les prélèvements pour l’eau potable restent 2,7 fois plus importants qu’à l’immédiat après-guerre. Le risque de pénurie est donc plus sensible aujourd’hui, même à niveau de sécheresse moins dur d’un point de vue météorologique.

    CONCLUSION

     Il apparaît donc que ni la sécheresse de 2022 ni la succession d’épisodes secs depuis 2018 ne sont sans précédent, et que la période comprise entre 1942 et 1949 a été hydrauliquement plus dure que l’actuelle. Mais l’évolution de nos modes de vie modifie le seuil d’occurrence d’un risque de pénurie. Naturellement, la série actuelle de sécheresses est en cours, et il est encore trop tôt pour conclure quoi que ce soit quant à l’évolution à long terme de notre climat, mais à l’évidence, crier à l’apocalypse climatique et à la fin de l’eau en France est prématuré et non constructif. La meilleure façon de lutter contre les effets des sécheresses réside dans la poursuite de nos efforts technologiques (désalinisation, recyclage, efficacité hydraulique industrielle et agricole) pour réduire nos prélèvements sur la ressource fluviale et souterraine.

    Vincent Bénard

     

    P.S. autour du mois d'août 1950, et le 10 pour être précise, il faisait 40° dans TOUTE la France… heu, je me suis renseignée car c'est la date de mon anniversaire

  • Les "animalistes" veulent interdire les salons d’animaux

    image générée avec une I.A. par moi

    Comme il est rituel maintenant, des associations dites "animalistes", c’est-à-dire qui défendent les "droits des animaux", s’opposent à la tenue des salons animaliers, notamment des chiens et des chats.

    Cela a été encore le cas lors du salon Univers du chiot organisé à Fontainebleau les 23-24 août (Le Parisien, 23 août 2025), lors du salon du chiot à Nantes les mêmes jours (Ouest-France, 12 août 2025), comme cela avait été le cas lors du salon Animal Expo au Parc Floral de Paris en septembre de l’année dernière (Le Parisien, 16 septembre 2024), lors du salon du chiot à Vannes les 8-9 février de cette année (Ouest-France, 6 février 2025) ou encore lors de celui de Chantilly les 2-3 août (Le Parisien, 3 août 2025), la liste n’étant évidemment pas exhaustive.

    Si nous ne doutons pas que ces réactions partent, au moins pour quelques-unes, de bons sentiments, il ne faut pas être naïfs pour autant, les "intentions" et l’idéologie sous-jacente étant claires.

    LES ANIMALISTES VEULENT EFFACER LES FRONTIERES JURIDIQUES ENTRE LES ETRES HUMAINS ET LES ANIMAUX

    L’association Projet animaux zoopolis (PAZ) s’indigne que ces salons fassent du "business sur l’élevage des chiens", alors que "les animaux ne sont pas des marchandises ni des attractions à exhiber dans un salon" et qu’il y a tant d’abandons dans notre pays.

    Le Parti animaliste a déploré que le salon de Nantes, "comme tant d’autres, encourage l’achat impulsif".

    La correspondante locale dudit parti a même osé: "Notre objectif est clair: mettre fin à ces foires animalières qui déshumanisent (sic) l’animal et le réduisent à un objet de transaction". Le Parti animaliste exige donc l’interdiction législative des salons de chiots sur l’ensemble du territoire.

    Il faut rappeler que, depuis 2014, la vente des chiens et des chats dans les animaleries est interdite; qu’un "certificat d’engagement et de connaissance" doit être signé avant tout achat d’animal de compagnie depuis 2022; que les animaux sont juridiquement des "êtres sensibles" depuis une modification du code civil, mais qu’ils ne sont pas dotés de la personnalité juridique car il ne s’agit pas d’êtres humains.

    La volonté limpide des animalistes, et plus largement des écologistes extrémistes ou autres "antispécistes", est d’effacer les frontières juridiques entre les êtres humains et les êtres "non-humains", avant sans doute de les effacer entre les êtres vivants et les êtres "non-vivants".

    Il s’agit, sur fond de bons sentiments et d’une comparaison implicite et plus qu’hasardeuse avec l’esclavage, d’une perversion de l’humanisme qui caractérise la civilisation occidentale.

    Il n’est dès lors guère surprenant que le Groupe communiste et citoyen de Paris se soit exprimé en février dernier "contre la marchandisation des animaux"…

    Jean-Philippe Feldman

  • Françaises, Français,

    Sauvons la France: exigeons un référendum sur l’immigration

    Nous sommes à l’heure de l’urgence vitale. L’immigration n’est plus un problème parmi d’autres: c’est la question centrale, celle qui commande toutes les autres. Nous sommes en train de changer de peuplement. Nous sommes en train de changer d’art de vivre. Nous sommes en train de changer de civilisation. Si nous ne faisons rien, c’est la fin de la France.

    Depuis les accords de Schengen qui ont démantelé nos frontières, notre pays n’est plus qu’un hall de gare. Bruxelles a confisqué notre souveraineté, et les gouvernements successifs ont multiplié les pompes aspirantes: regroupement familial sans frein, aides sociales sans condition, régularisations massives. Ainsi s’organise la disparition d’un peuple.

    Ne comptez pas sur la classe politique pour enrayer cette mécanique infernale de l’effacement national. Elle ne fera rien. Elle est impuissante ou complice. Tant que nous resterons prisonniers de ces politiciens, rien ne changera.

    Il n’existe qu’une issue: rendre la parole au peuple. Quand les élites oublient la France, c’est au peuple de rappeler les élites à l’ordre. Il n’y a qu’un seul chemin pour affronter le problème majeur de notre temps — l’immigration, qui nous submerge et nous transforme: le référendum. L’enjeu n’est rien de moins que la survie de la France.

    Mais ce référendum, le président ne l’accordera pas de lui-même. Il faudra l’y contraindre. Par la pression populaire. Comme pour la loi Duplomb: une pétition a voulu sauver les abeilles, les oiseaux, les sols. Aujourd’hui, ce sont les Français qu’il faut sauver. Les derniers Français. Avant qu’il ne soit trop tard.

    Voilà pourquoi je lance cette pétition. Pour exiger un référendum sur l’immigration. Pour dire haut et fort:

    "RENDEZ LA PAROLE AU PEUPLE!"

    Signez, faites signer, multipliez vos voix. Que ce cri soit si puissant qu’il devienne impossible à étouffer. L’heure n’est plus aux commentaires. L’heure est venue d’agir.

    Pour nos enfants.

    Pour nos morts qui nous regardent.

    Pour la France éternelle.

    Philippe de Villiers

     

    https://referendum-immigration.com