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loisirs

  • Halloween symbolise le pourrissement moral de l’Occident

    "La laideur a ceci de supérieur à la beauté: elle dure" (Daniel Mussy).

    Aujourd’hui, je vais m’autoriser un coup de gueule contre une horreur, une ode à la laideur, à la vulgarité macabre, une démonstration hideuse, satanique, de la pourriture morale (et mentale) de l’Occident. Je veux parler – fût-ce avec colère – d’Halloween, cette fête malsaine qu’on voudrait nous imposer pour occulter et faire disparaître nos fêtes chrétiennes, la Toussaint et la Fête des morts, les 1er et 2 novembre de chaque année. Chasser le catholicisme est une lubie des francs-macs depuis la Révolution. Je suis bien obligé d’admettre, même si ce constat est douloureux, que ça a plutôt bien fonctionné. La France compte aujourd’hui entre 2 et 3% de catholiques pratiquants et l’islam est de loin, de très loin, la religion la plus importante, et surtout la plus pratiquée, dans notre pays.

    On connaît la propension de la France à suivre – avec quelques années de retard – toutes les inepties, les modes les plus débiles, les films les plus violents, les mœurs les plus dépravées ou les dérives "sociétales" les plus salaces qui nous arrivent massivement des États-Unis.

    Dans l’immédiat après-guerre, l’"American way of life" faisait surtout rêver les Français de droite. Les gentils cow-boys – venus nous libérer en 1944 – nous avaient apporté, entre autres, le café soluble, le frigidaire, le rock’n’roll, les westerns de John Wayne, les polars avec Humphrey Bogart, la plastique de Marilyn Monroe et le vertigineux "balcon" de Jayne Mansfield (qui aurait fait passer Gina Lollobrigida pour une planche à pain).

    Et puis, ces "Amerloques", c’était nos libérateurs; il était mal venu d’oser les critiquer. La France libérée, sous "plan Marshall", n’avait pas encore compris qu’elle avait été piégée par les accords de Bretton Woods.

    Et, naïve, elle ne réalisait pas non plus que l’"allié américain" – cet ami qui lui voulait du bien – travaillait en sous-main pour la chasser de son empire colonial. À l’époque, pour les gens de droite, l’ennemi, le mal absolu, c’était le communisme, la "peste rouge" incarnée par l’URSS… que tous nos intellectuels de gauche adulaient.

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  • L’avenir est-il vraiment à la bagnole électrique?

    "Le réchauffement climatique est une invention défendue par les Nations Unies pour créer un nouvel ordre mondial autoritaire…".                 

    (Maurice Newman, homme politique australien(2000)).

    "La climatologie est un art divinatoire visant à déduire du comportement humain l’avenir climatique de la terre, dans l’idée de prescrire à chacun des actions de pénitence".

    (Benoît Rittaud,"Le mythe climatique". (2012)).

    Depuis que les "Khmers verts" ont conquis plusieurs grandes villes, l’automobiliste et le motard sont invités à y rouler à…30 km/heure, soit en gros la vitesse de pointe d’un vélo électrique. On voit d’ailleurs de plus en plus de bécanes électriques, chevauchées par des "Bobos" casqués car cette engeance imbécile adhère comme un seul homme (1), sans esprit de rébellion, à la moindre ineptie, à condition que ce soit "bon pour la planète".

    Le panurgisme – la servilité moutonnière – est un des nombreux maux de notre époque décadente. Et c’est un mal qui fera, soyez-en certains, beaucoup de casse humaine et de dégâts sur notre économie déjà bien malade!

    Les écolos et leurs complices (2) sont taraudés, obsédés, par l’idée de faire disparaitre le moteur à explosion. Ils avancent une date proche: 2035 et même avant, si possible. Et ils ne veulent plus de moteurs hybrides. L’avenir est au moteur électrique: CQFD, c’est une évidence (3)!

    Habitué à subir les sornettes des Hulot, Pompili, Tondelier, Rousseau ou de l’épouvantable Greta Thunberg, je suis prêt à tout entendre: on peut être un franchouillard, climato-sceptique, amoureux des belles mécaniques et faire preuve, de temps en temps, d’ouverture d’esprit. On nous serine que la voiture électrique, c’est la solution d’avenir, la seule voie pour sauver la planète, et la France s’est engouffrée tête baissée dans le " tout électrique" sans discernement. Nos dirigeants ont enjoint les constructeurs de tout miser sur l’électrique. Bruxelles leur interdit de faire de la publicité pour les voitures qui ne sont pas électriques (ou hybrides), alors même que nous étions devenus leaders en matière de moteurs thermiques. Selon " les Echos" la suppression des motorisations essence ou diesel va tuer 41 000 emplois nets en France dans les années à venir. D’autres médias parlent de 100 à 150 000 emplois appelés à disparaître.

    On va donc encore tuer un secteur industriel sur notre sol; UN DE PLUS! Mais qu’est-ce que ça signifie pour le Français moyen?

    D’abord, l’installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes et autoroutes, car les bagnoles électriques les plus performantes ont une autonomie maximale de 500km. Et encore, à condition de ne pas utiliser les phares, le chauffage, les essuie-glace, le dégivrage ou la climatisation. Ensuite, il faut des batteries capables de stocker cette énergie.

    Or, ces batteries sont lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares. Dans celle de la "Tesla Model S" qui fait rêver les bobos parisiens, il y a plus de 16 kg de nickel..!

    Or, le nickel est rare, très rare, sur cette terre qu’ils prétendent  sauver. Le patron de "Tesla France"  déclarait récemment  que "le goulet d’étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel" ce qui revient à dire, en langue-de-bois, que le nickel est très difficile à trouver.

    Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie.  Et son extraction est une vraie galère: on ne le trouve jamais à l’état pur. Dans les minerais, il n’existe qu’en très faible proportion. Il faut creuser, broyer, cribler, hyrocycloner pour un résultat à peine à la hauteur de nos besoins. Cette extraction entraîne des tonnes de résidus que l’on déverse la plupart du temps… dans la mer!

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