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Le cauchemar français ne fait que commencer

image générée par I.A.

Le cauchemar que je crains risque d’arriver bientôt en France où j’ai cru trouver la tranquillité face à la violence islamique lorsque j’ai décidé de m’y installer.

Et à mon grand regret, j’ai découvert que la France des Lumières, que je croyais à l’abri de la cavalerie d’Allah, est désormais sur le point de basculer dans l’inconnu.

La terreur islamique que j’avais quittée la peur au ventre, je viens de la retrouver au pays du blasphème.

Il est fort probable que la nuit de l’islam " des Lumières "  sera effective en France, la fille de l’Église, dans une décennie ou deux. Son étendard s’étirera alors de Dunkerque à Marseille.

Ce jour-là, on n’entendra sur les grands boulevards parisiens que des salems-salems et oksimou biallah (je jure par Allah). Au loin, tels des fantômes, on apercevra des femmes enveloppées dans un linceul noir qui arpentent dans un silence mortifère les ruelles, loin des regards des mâles dominants. Ces images seront comparables à celles que renvoient actuellement les villes de Kaboul ou de Médine. D’ailleurs, cette situation est déjà visible dans de nombreux quartiers de France et de Navarre livrés à l’ivresse et à la violence islamiques (vols à l’arraché, cambriolages, meurtres et viols des femmes de 10 ans à 99 ans).

"Pas de quartier pour les mécréantes, c’est Allah qui l’exige", doit-on dire.

Ce cauchemar ne saurait tarder face au nombre et la démographie galopante. Aucune force politique actuelle ne songe à ce fascisme noir rampant qui, tel une coulée de lave d’un volcan en éruption, est en train d’étouffer les verdoyantes plaines et les sommets enneigés de la douce France.

Le crépuscule islamique déploie son étendard en ville comme en campagne. Le peuple de France semble hypnotisé par les prêches mielleux enrobés dans la sauce de la taqîya.  Et peu à peu, ce cauchemar deviendra réalité. Il sera la norme bientôt.

Un jour, inchallah, viendra où les lumières de la démocratie s’éteindront et l’agora de la liberté ne sera qu’un lointain souvenir. Ce jour-là, la caste ne trouvera aucun endroit pour se réfugier, car les nations éveillées auront barricadé leurs frontières pour ne pas subir la nuit islamique.

Ces nations éveillées n’ont pas la mémoire courte comme l’oligarchie politico-médiatique française qui réclame matin et soir la soumission à Allah et son prophète.

Elles mesurent le degré de dangerosité que représente l’islam avec sa barbarie qu’elles ont déjà subie dans leur chair. Elles n’ont pas mis l’histoire sous séquestre.

Le cauchemar ne fait que commencer pour les Français qui n’ont pas déjà  le droit de pénétrer dans les quartiers libérés et soumis à l’islam. Et pour s’y rendre, ils doivent afficher leur soumission.

Et pendant ce temps, l’oligarchie régnante ne semble pas mesurer l’ampleur du désastre culturel qu’elle a causé par son inconscience mondialiste et son impuissance à prendre les mesures adéquates pour mettre un frein à la colonisation islamique.

La lâcheté, la haine de soi, la peur et l’individualisme font que les Français n’osent plus désigner leur ennemi héréditaire: l’islam. Au contraire, l’oligarchie leur fait croire que leur ennemi existentiel est la Russie.

Mais est-ce que ceux sont les Cosaques qui agressent dans les transports publics les femmes de Paris?

L’oligarchie a le devoir moral et démocratique de répondre à cette brûlante question.

Il y a danger en la demeure et pendant ce temps, la caste et ses sbires sont dans le déni. Ils ont nourri l’ogre islamique durant des décennies avec l’argent des Français. Et pour ne pas être désignés comme étant les vrais responsables du désastre culturel que vivent les Français, ils se cachent derrière le dévoilement des droits de l’homme et de la liberté du culte.

Le temps est venu de dire stop au voile, au halal et mettre fin à la construction des mosquées qui ne sont que des forteresses où se forment les régiments de la conquête et où Allah est omniprésent matin et soir pour dogmatiser et inciter ses adeptes au djihad armé.

Quant aux hommes d’Église, ils se montrent indifférents à la pression islamique qu’ils subissent et aux agressions du christianisme qui sont devenues monnaie courante.

Qu’attendent-ils pour réagir avant que le ciel ne leur tombe sur la tête?

La hiérarchie de l’Église doit comprendre que l’islam " religion de paix et d’amour " est un miroir déformant la réalité qui permet au déni d’être le vrai gagnant dans cette guerre de civilisation  qui oppose le christianisme à l’islam.

Si réellement le pape Léon XIV est un augustinien comme il le prétend dans ses écrits, il aurait déjà tiré la sonnette d’alarme du danger auquel l’Église fait face sur ses propres terres!

Ce n’est pas en allant s’agenouiller à Iznik (anciennement Nicée) devant ceux qui ont pris d’assaut la sasilique Sainte-Sophie qu’il mettra fin à la conquête du Vatican qui se prépare.

Peut-être est-il en train d’offrir à Allah une parcelle du Vatican pour  la construction d’une mosquée, dans le but d’obtenir des hassanates ( bonnes actions)? Qui sait?

La paix ne se décrète pas, elle s’affirme par la puissance, car l’ennemi d’en face ne fait que l’étaler. Ce n’est pas en présentant la joue à celui qui agresse  qu’on arrivera à arrêter la conquête islamique.

 "Tu n’auras pas ma haine" ne suffira pas pour mettre fin à l’agression. Il faut se référer aux écrits de saint Augustin (La Cité de Dieu, Livre XIX) pour stopper la colonisation islamique.

En effet, saint Augustin a dit:

 "Quiconque observe quelque peu les choses humaines et notre commune nature, le reconnaîtra avec moi: de même que tous désirent la joie, il n’est personne qui n’aime la paix. Puisque même ceux-là qui veulent la guerre ne veulent rien d’autre assurément que la victoire, c’est donc à une paix glorieuse qu’ils aspirent à parvenir en faisant la guerre. Qu’est-ce que vaincre, en effet, sinon abattre toute résistance?

Cette œuvre accomplie, ce sera la paix. C’est donc en vue de la paix que se font les guerres, et cela même par ceux qui s’appliquent à l’exercice des vertus guerrières dans le commandement et le combat. D’où il est clair que la paix est le but recherché par la guerre, car tout homme cherche la paix en faisant la guerre, et nul ne cherche la guerre en faisant la paix. Quant à ceux qui veulent que la paix dont ils jouissent soit troublée, ils ne haïssent pas la paix, ils désirent seulement qu’elle soit changée à leur gré.

Ce qu’ils veulent donc, ce n’est pas qu’il n’y ait plus de paix, mais qu’il y ait la paix qu’ils veulent. Et finalement, même s’ils se séparent des autres par la rébellion, ils ne peuvent réaliser leur dessein qu’à condition de sauvegarder quelque apparence de paix avec leurs partisans ou conjurés.

Aussi les brigands eux-mêmes, pour s’attaquer à la paix d’autrui avec plus de violence et de sûreté, tiennent-ils à garder la paix avec leurs compagnons ".

Halte à l’impuissance spirituelle, à la trahison et à la dhimmitude.

Hamdane Ammar

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