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Insécurité: Pierre Brochand nous donne les pistes pour sortir de l’ornière…

Comment sortir la France de ce marasme venu des années Mitterrand et si bien préparé par un Pompidou malade et un Giscard d’Estaing à la ramasse

Hormis sans doute le général de Gaulle

Parce que ce n’est pas seulement de la faute à Macron! Les ex-présidents ont fait leur part du gigantesque chantier de démolition et d’enterrement de la France.

Giscard et Chirac (1974-1981) pour le regroupement familial. Le Conseil d’État pour interdire à Raymond Barre de le supprimer. Un Conseil d’État dont personne à droite ou à gauche n’aura songé à modifier la composition de la magistrature en y mettant des patriotes plus enclins à modérer ce penchant immigrationniste.

Mitterrand et Chirac (mai 1981-2007) pour abattre les tours de la vérité, les forces vives patriotes et la mise en place des collabos.

Sarkozy (mai 2007-2012) pour déblayer les gravats, et faire de la France un terrain de l’UE de type Mossoul ou Gaza.

Hollande et Macron (mai 2012-2027)

Cela veut dire simplement que les moins de 50 ans ne peuvent imaginer ce qu’était la France en 1970.

Des pères, peut-être des grands-pères ignorent tout de cette France des enfants qui partaient à l’école à pieds, portaient une blouse en classe, se levaient quand les maîtres d’école entraient, apprenaient à lire, à écrire et à compter après avoir lu au tableau, la phrase de morale de la journée. Les maîtres d’école s’adressaient, depuis une estrade, à des élèves respectueux. Au pire, quelques chuchotements vite remis au silence. Pas question de se plaindre aux parents d’une remontrance, sans prendre le risque de s’en prendre une autre par les parents.

On entrait en secondaire que si l’on était dans les premiers de classes en primaire, ou en passant un examen d’aptitude.

Les autres allaient au certificat de fin d’étude (CEP) et en apprentissage à 14 ans, dans un métier de bouche (pâtissier, cuisiniers, charcutiers, etc., souvent nourris et logés), ou apprentis en bâtiments (maçons, plombiers, couvreurs, etc.) ou simplement à l’usine de papa ou de maman. Fallait ramener la paie à la maison.

Beaucoup de ces "recalés du secondaire" ont su souvent se réaliser bien mieux par la suite dans leur vie, que bien des "secondaires". L’intelligence, la chance, les opportunités, le travail, etc.

Quand je vois la tête des mômes de maintenant, un smartphone greffé à la main, la mine délicate du mitigé, celle moqueuse de l’inculte, parfois l’ironique d’un pseudo-étudiant, et souvent, l’indélicate envers les parents, ou pire, l’ injurieuse du p’tit con qui s’exhibe dans nos rues de France! Oui, je suis inquiet.

 Pierre Brochand, ancien directeur général de la DGSE, n’y va pas par quatre chemins. Pour lui, ce n’est pas une simple réformette qu’il faut, mais une vraie révolution des mentalités.

Les solutions seront "inévitablement féroces". Ce sera celui "d’un radicalisme sans remords".

    Réduire les flux d’entrée à leur plus simple expression

    Reprendre le contrôle des diasporas

    Rétablir l’ordre public

    Prendre des mesures immédiatement opérationnelles en matière d’immigration

    Mettre en place un gel des régularisations

    Une réduction drastique des naturalisations et raréfaction des visas des pays à risque

 

Et ce qui fera hurler l’ensemble des partis politiques de gauche et de droite molle:

    Enjamber les différents préambules constitutionnels qui sont indispensable au rétablissement des droits, collectifs et autonomes, du peuple français

Revenir aux textes voulus par le général De Gaulle sur la Cinquième République, ceux qu’ont pervertis les présidents du Conseil constitutionnel, en particulier Robert Badiner.

Le peuple de France, sans être un forcené du droit, le sait, même confusément. Il sait qu’il est cadenassé par des traités, des directives, des lois auxquels il n’a jamais donné son accord de façon explicite.

Je me souviens d’un échange avec Madame Morano au sujet du référendum de 2005, aboli par Sarkozy, qui osa me dire que les Français en élisant Sarkozy en 2007, avait donné leur aval à cette abolition du référendum de 2005. Quelle honte.

Pierre Brochand écrit d’autres nécessités:

    Externaliser les demandes d’asile,

    Ramener à zéro l’attractivité sociale et médicale de la France

    Dégonfler les diasporas en agissant sur les titres de séjour

    Muscler la laïcité en l’étendant à l’espace public

    S’attaquer au virus mortel de l’impunité, par une réforme pénale décomplexée

Il conclut sur une évidence: si nous persistons à céder au biais de normalité, pour repousser à plus tard ce qui aurait dû être fait hier, nous ne préparons pas à nos descendants des lendemains qui chantent.

Gérard Brazon

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