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Science/Tech - Page 2

  • Il faut être idiot pour signer la pétition contre la loi Duplomb

    Ces dernières semaines, l’agriculture conventionnelle a subi une violente campagne de désinformation médiatique, dans la presse, à la télévision et sur les réseaux sociaux. Une manipulation de l’opinion publique scandaleuse, disons-le d’emblée, qu’il est nécessaire de dénoncer: car les faits scientifiques eux, ne mentent pas.

    La campagne, d’une rare virulence, vise l’irrigation des cultures et les retenues d’eau appelées "bassines", le glyphosate et la loi Duplomb adoptée récemment à l’Assemblée nationale.

    Celle-ci poserait un problème majeur de santé publique; en cause, la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride, néonicotinoïde pourtant autorisé partout en Europe et dans le monde.

    Une pastèque, Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Ecologie Les Verts, parle de la loi "poison". Le 8 juillet, sur X, elle estimait que "tous les députés qui voteront pour la loi Duplomb voteront pour l’empoisonnement de vos enfants et la destruction de la biodiversité".

    SANS RIRE

    Une nouvelle étude au protocole bancal pour dénigrer le glyphosate

    Le 12 juin dernier, la presse relaye abondamment une nouvelle étude italienne qui démontrerait "qu’une exposition prolongée au glyphosate, dès la vie prénatale, entraîne une augmentation significative des cas de leucémies et de nombreux autres types de tumeurs".

    Le journal Charente Libre, qui ne rate pas une occasion de vilipender l’agriculture et la viticulture, estime que c’est un "scandale sanitaire en puissance" ignoré par les autorités sanitaires.

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  • Un chercheur de l’Inserm sur la loi Duplomb:

    ON NE CONNAIT RIEN, OU PRESQUE, SUR L’ACETAMIPRIDE

    Si on demandait aux un million et demi de pétitionnaires contre la loi Duplomb ce qu’ils connaissent de l’acétamipride, on obtiendrait une série de lieux communs avec pour dénominateur commun: "C’est hyper dangereux". L’Express est allé demander son éclairage à un toxicologue, directeur de recherche de l’Inserm, Xavier Coumoul.

    Pour savoir s’il faut ou non réintroduire l’acétamipride, nœud des tensions autour du texte législatif voté début juillet par les députés, ce spécialiste ne préconise qu’une seule chose: étudier les données, s’en remettre aux études, rien qu’à elles. L’expert regrette que les travaux sur les risques pour les écosystèmes ou la santé humaine ne soient pas davantage mis en avant.

    Xavier Coumoul: "Pour comprendre les enjeux scientifiques autour de ce texte législatif, il est nécessaire de préciser de quoi on parle. La loi Duplomb regroupe une série de mesures à destination des agriculteurs, dont une en particulier suscite le débat. Le texte prévoit notamment une réintroduction très contrôlée, et limitée dans le temps, d’un pesticide appelé acétamipride, très efficace pour protéger les cultures des insectes. Ce produit ne pourra être utilisé que jusqu’en 2033, et à titre exceptionnel".

    "L’acétamipride appartient à la famille des néonicotinoïdes. Ce sont des produits de synthèse qui imitent la nicotine, et qui détraquent le système nerveux des insectes. En 2018, la France a décidé d’interdire leur épandage, en raison, entre autres, de leur toxicité sur les écosystèmes, et de l’émergence de plusieurs signaux d’alerte sur la santé humaine. Or, et c’est tout le problème, la Commission européenne, pourtant saisie par les autorités françaises, n’a pas jugé justifié d’élargir cette mesure à l’ensemble de l’Union européenne. Cette situation a créé une concurrence qu’on peut qualifier de déloyale, entre les agriculteurs français et les autres exploitants".

    "L’acétamipride a, évidemment, un effet nocif sur les insectes, notamment ceux qui parasitent les cultures, c’est pour cette raison qu’il a été développé. Il est certes difficile d’établir avec exactitude les effets du recours aux pesticides sur la faune et la flore, mais, ce qui est certain, c’est que ce n’est jamais sans conséquence, étant donné les forts liens d’interdépendance entre les différentes espèces du règne animal".

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  • Éoliennes: pourquoi leurs infra-sons sont cachés

    Dans le cas des mesures des infra-sons, l’industrie éolienne utilise une propagande (Bernays 1928) similaire à celle que les cigarettiers ont pu se permettre durant 70 ans. Pour mettre fin aux mensonges des cigarettiers, il a fallu qu’un de leurs biologistes rende public un de leurs très anciens rapports qui mesurait avec précision l’augmentation des cancers du poumon chez les fumeurs. Il aura fallu attendre 70 ans une réaction utile! Le tabac rapporte beaucoup d’argent…

    À proximité des éoliennes, la puissance des infra-sons est largement nocive. Et quand on sait que, contrairement aux sons qui sont absorbés par le milieu, les infra-sons ne sont absorbés ou atténués par RIEN d’autre que la distance, car la  distance croissante ajoute au volume de matière mis en vibration, on peut imaginer les dégâts sur l’organisme humain. Ces dégâts sont possibles sur plusieurs kilomètres!

    Précisons que les infra-sons des éoliennes – sons de moins de dix cycles par seconde et donc inaudibles – rendraient sourds sur-le-champ tous les passants qui les entendraient, qui subiraient leur puissance si c’étaient des sons émis dans les fréquences audibles.

    L’exploit le plus brillant des fabricants d’éoliennes est d’avoir réussi à éviter sur toute la planète qu’un pays fixe des normes contrôlées en matière d’infra-sons des éoliennes… malins comme les cigarettiers!

    En 1985, la Belgique a même décidé de fixer des normes pour toutes les vibrations et elle l’a fait… Sauf pour les infra-sons.

    Les infrasons des éoliennes sont totalement différents de ceux dans lesquels les citadins sont habituellement plongés: ils sont toujours les mêmes et, donc, si un de vos organes internes entre en vibration et frotte d’autres organes, cette vibration est permanente, ce qui est très rarement le cas dans le milieu urbain de comparaison.

    Le Dr. Steven Crazier (1) constate que 20% des gens se plaignent. Si un mal atteint 20% de la population, n’est-il pas temps d’enquêter? Et en attendant, un moratoire sur la multiplication des éoliennes s’impose.

    Même le respect des normes en matière de sons audibles des éoliennes (45dbA) n’est jamais contrôlé dans la réalité. Et certaines formes de mortalité liées aux éoliennes et mesurées en 2017 par Eric Zou (2) grâce à son analyse de registres de population aux USA, sont parfaitement ignorées des responsables.

    Il y a des centaines de milliers d’éoliennes et de fumeurs. Le nombre ne rend pas la cigarette sans danger, pas plus que les éoliennes et leurs infra-sons. L’autorisation officielle d’enquêter m’a été refusée par la ministre de la Santé, Maggie De Block, vers 2014.

    Claude Brasseur       

     

    (1) International Conferences on Wind Tuirbine Noise (11e Edition of the) Copenhagen, Denmark – 10 to 13 June 2025)

     (2) Eric Yongchen Zou: " The Impact of Wind Farms on suicide ". Wind Turbine Syndrome

     

  • L’État va vous empapaouter, pour faire travailler les étrangers

    L’État va augmenter une taxe de 5,5 à 20% de TVA sur l’électricité pour faire travailler nos migrants.

    Des surcoûts résultant des mécanismes de soutien aux énergies renouvelables et à la cogénération, de la péréquation tarifaire dans les zones non interconnectées (ZNI), de certains dispositifs sociaux bénéficiant aux ménages en situation de précarité et du soutien à l’effacement.

    https://www.presse-citron.net/un-coup-de-massue-fiscal-en-vue-la-tva-sur-lelectricite-senvole-de-263-en-aout/

    L’installation des parcs éoliens et photovoltaïques nécessite une main-d’œuvre de gros œuvre non qualifiée ou très peu qualifiée pour travailler dans des conditions difficiles. Les 60% d’immigrants travaillant font une main-d’œuvre idéale pour des chantiers colossaux rapportant beaucoup d’argent (sauf à l’État qui subventionne). Quant aux 40% de migrants qui ne travaillent pas, eux bénéficieront des dispositifs sociaux bénéficiant aux ménages en situation de précarité.

    50% des parcs éoliens et photovoltaïques sont aux mains d’étrangers, particulièrement les Nord-Américains et les Allemands qui bénéficient de nos subventions et des bénéfices, quel que soit le montant des taxes, qui nous sont de toute façon toujours répercutées.  Depuis 2003, ce soutien public s’est monté à 43 milliards d’euros, dont 11,5 milliards pour l’éolien terrestre et 24,6 milliards pour le solaire (2020)… ce n’était que le début.

    Le montant total des subventions publiques aux énergies renouvelables devrait atteindre entre 116,1 et 130,3 milliards d’euros d’ici 2028… Sans subventions, il n’y a pas d’énergies renouvelables.   

    https://www.transitionsenergies.com/subventions-energies-renouvelables/

    Un important changement se profile dans quelques semaines sur la facture énergétique des Français. Ainsi, la TVA qui est appliquée au gaz et à l’électricité passera de 5,5% à 20% dès le 1er août. Mais le gouvernement a promis que cela serait indolore grâce à la baisse d’une autre taxe. Faisons le point. L’accise sera en effet réduite au même moment alors qu’elle est actuellement à 33,70 euros par MWh, elle passera à 29,98 euros par MWh en août, pour l’électricité. Le même mécanisme s’applique au gaz.

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  • Les B2 de Trump ne suffiront pas, seule la chute des mollahs ramènera la paix

    Le triomphalisme que Trump affiche à grand renfort de superlatifs pour commenter les frappes américaines en Iran ne doit abuser personne. Le businessman nous fait son habituel show hollywoodien dès qu’il s’agit de vanter le retour de la grande Amérique.

    C’est en effet plus glorifiant que l’humiliante débandade de Kaboul face aux talibans. Aussi bien les Israéliens que les Américains viennent de réaliser deux très belles opérations aériennes qui consacrent le savoir-faire et la supériorité technologique de ces deux armées. Je ne connais aucune aviation européenne capable de lancer un raid aérien de plus de 200 avions sur un territoire ennemi situé à          2 000 km de distance. Bravo à tous.

    La guerre en Ukraine et l’offensive contre l’Iran prouvent une fois de plus que l’Europe est devenue un nain militaire après 35 ans passés à récolter les dividendes de la paix. Le droit international n’est plus qu’un paillasson. Ce qui compte, c’est la force, surtout avec des entités terroristes ou des États qui les financent.

    Quant à la France, qui a divisé son format des armées par plus de deux depuis la chute de l’URSS, elle est à ce jour incapable de faire la guerre au-delà de quelques opex face à des va-nu-pieds. Les discours martiaux de Macron ne sont donc que poudre aux yeux. La France est ruinée et n’est pas près de consacrer 3 % de son PIB, 90 milliards, à sa défense. Elle préfère partager les 1000 milliards de son budget social avec toute la planète. C’est un choix irresponsable mais elle achète la paix sociale plutôt que sa sécurité.

    DES FRAPPES INDISPENSABLES MAIS INSUFFISANTES

    Les bombardements successifs sur les installations nucléaires iraniennes ont indéniablement occasionné de très gros dégâts et largement compromis le programme nucléaire des mollahs. Du moins à court terme.

    Mais de là à annoncer un anéantissement total des sites nucléaires, cela me paraît présomptueux, même si la précision des monstrueuses bombes de 13 tonnes larguées par les bombardiers B2 sont prévues pour creuser la tombe des savants iraniens le plus profondément possible. L’uranium enrichi a dû être évacué en lieu sûr.

    Les Iraniens ne sont pas des idiots et si ces bombes pénètrent à 80 mètres de profondeur avant d’exploser et de tout détruire, certains sites restent inaccessibles.

    Quand vous creusez un tunnel de plusieurs centaines de mètres sous une montagne, ce ne sont pas 80 mètres de roches ou de béton qu’il faut percer mais toute la montagne.

    Les sites de Fordo, Natanz et Ispahan ont sans aucun doute subi des dégâts hors du commun, mais je ne crois pas qu’ils soient irréversibles. À ce jour, personne ne connaît le bilan réel des frappes. Le message politique passé par Netanyahou et Trump aux mollahs est à mon avis plus important que le bilan des dégâts. La théocratie chiite ne vacille pas encore mais elle est déstabilisée.

    Il y a des années que les Iraniens ont disséminé et enfoui leur installations. Il n’est pas certain que tous les sites soient connus des Israéliens. Ce sont les plus accessibles qui ont été ciblés.

    C’est ainsi que l’Iran disposerait d’autres installations situées sous une autre montagne et encore plus profondément enterrées. Un site invulnérable, construit sous une montagne qui s’élève à près de 1600 mètres au-dessus du niveau de la mer, et qui dépasse de près de 800 mètres le mont Fordo.

     

    https://www.lefigaro.fr/international/iran-kuh-e-kolang-gaz-la-cette-autre-montagne-qui-pourrait-accueillir-un-nouveau-site-nucleaire-souterrain-20250623

     

    "Selon David Albright, de l’Institut pour la science et la sécurité internationale, cité par le New-York Times, un tel site muni de centrifugeuses modernes permettrait à l’Iran de se doter de dix-neuf armes nucléaires en trois mois".

     

    Seul un changement de régime à Téhéran mettra fin à la menace nucléaire

    Il n’y a aucune illusion à avoir. Quel que soit le succès des frappes, les mollahs ont une telle haine d’Israël qu’ils ne stopperont jamais leur programme nucléaire. Ils auront le soutien du Pakistan musulman pour le relancer.

    Téhéran, loin de capituler comme le demande Trump, vient de frapper une base américaine au Qatar, sans grands dégâts. Une riposte soigneusement calibrée qui n’a rien d’une escalade. A priori, c’est la carte politique visant à déstabiliser le régime iranien qui devrait prendre le relais de l’opération militaire.

    Le peuple iranien rêve de se débarrasser du joug des mollahs, tout autant que le peuple israélien, mais il est clair que le système est parfaitement verrouillé par les Gardiens de la révolution. La traque des opposants est sans pitié.

    À ce jour, seul Netanyahou a annoncé la couleur: il vise la fin du programme nucléaire, la destruction de l’outil militaire et le renversement du régime chiite. Trump, quant à lui, a annoncé qu’il ne ciblait que les installations nucléaires mais pas le régime en place.

    C’est donc le peuple iranien et le Mossad qui détiennent la clé du problème…

    C’est Netanyahou qui a raison. Tout compromis avec les mollahs ne serait qu’un répit. Un recul pour mieux sauter. Les peuples d’Israël et d’Iran méritent de vivre en paix et de renouer les liens d’amitié qui prévalaient au temps du Chah entre les deux pays.

    Et il ne peut y avoir de paix avec un régime qui finance le terrorisme.

     

    Jacques Guillemain

  • Les climato sceptiques sont des grands malades,

    mais je ne fais pas de politique!

    Ainsi parlait un certain Guillaume Séchet, monsieur Météo sur BFM TVMacron. Outré que des climato-réalistes lui remontent les bretelles sur les Réseaux sociaux, où il ne peut pas faire son kéké comme sur son plateau, avec l’appui du gouvernement et de l’ARCOM.

    Il paraît que ce mec fait la pluie et le beau temps depuis seize ans sur la chaîne la plus pourrie du PAF et du bourre-pif. C’est la première fois que j’entends parler de lui. Célèbre mais pas trop. Juste ce qu’il faut pour être admiré par sa concierge et son chat.

    J’ai épluché son CV. Les médias menteurs le présentent comme un grand scientifique. Il a une maîtrise de géographie et un diplôme d’écologie. Il n’y a rien de déshonorant dans ce cursus. Mais on est loin d’un Ph.D ou d’un titre d’ingénieur. Après, il s’est intéressé à la météorologie, comme je m’intéresse à l’astronautique. Puisque cela en fait un spécialiste du climat, je peux me dire cosmonaute.

    Le gars est assez satisfait de lui et pas mal sectaire. Les deux vont ensemble. Il considère que les gens qui doutent du prétendu réchauffement climatique ont atteint un niveau de bêtise à peine croyable. Alors, compliment pour compliment, je lui retourne que la météo à la télé est réservée aux journaleux débutants, aux bimbos bien roulées, et aux vieux trop nuls pour faire autre chose.

    Rester scotché pendant seize ans dans cette niche n’est pas une preuve de compétence ni d’ambition. À cinquante six balais, son cas est plié. Son avenir derrière lui. Se faire passer pour une victime des fachos pourrait être un baroud d’honneur. Avec peut-être l’espoir de rebondir?

    On m’a insulté, le monde devient fou!

    Déstabilisé et courroucé, le pépère pousse un énorme coup de gueule contre la politisation des sujets écologiques et climatiques, qu’il qualifie de "scientifiques". La Tondelière, Greta, Aymeric Caron et Claire Nouvian sont en effet de grands savants. Des Nobel en perspective. Experts en climatologie, en virologie covidienne, en géopolitique orientale et en exégèse coranique.

    Le Séchet ignore-t-il que le GIEC est un organisme politique fondé en 1988 par Margaret Thatcher et Ronald Reagan. Pour mettre au pas les mineurs britanniques trop souvent grévistes au goût de Margaret, et faire accepter l’énergie nucléaire à une opinion publique réticente…

    Et pour Ronald, donner une impulsion afin de sortir du marasme économique par des innovations, incitant les financiers à investir dans des secteurs à défricher en quête de nouveaux profits, conformément aux principes de destruction créatrice de Schumpeter. Pour faire simple, on casse tout et on reconstruit sur les décombres. Ainsi naquit le capitalisme ripoliné en vert.

    Ce Séchet a-t-il oublié les forfaitures de ses maîtres? Quand Al Gore, après avoir abusé de ses pouvoirs de vice-président des USA pour vendre des " crédits-carbone", droits de polluer en novlangue, menaçait les climato-réalistes d’un nouveau procès de Nuremberg! Encourageant sur son réseau de télé privée un lobby réchauffiste regroupant quelques énergumènes du GIEC, à faire campagne pour la création d’un crime mondial de climato-scepticisme! Mais ce n’était pas de la politique.

    Il a été entendu par l’ARCOM une officine au service des Macronescu, dont aucun des membres ne possède de bagage scientifique, et qui a décidé, en violation de l’article 34 de la Constitution, de créer un nouveau délit de désinformation climatique afin de sanctionner les médias qui ne rabâchent pas la doxa. Au nom d’un consensus sur le climat qu’ils sont les seuls à voir. Puisque 35.000 scientifiques de haut niveau ont signé l’Oregon Petition dénonçant les sordides magouilles climatiques.

    Réaction classique des gens proches du pouvoir qui veulent remplacer par une répression aveugle leur absence d’arguments. Comme si la science se démontrait à coups d’anathèmes et d’excommunications lors de procès en sorcellerie menés par des inquisiteurs fanatiques.

    La pire crainte des climato frénétiques est de trouver en face d’eux des debaters d’un niveau suffisant pour réfuter leurs allégations. Comme feu Frederick Seitz, physicien de classe internationale et président de l’Académie des Sciences des USA qui disait:

    "Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat".

    Pauvre Séchet, tu ne fais pas le poids. Tu as raté une belle occasion de te taire. On t’ignorait. Maintenant, les vilains-méchants fachos t’ont dans le nez. Ça craint pour toi!

    Tout est parti d’une intervention de Séchet, le 15 juin, sur le réseau social X. Se croyait-il encore sur Twitter dont je fus exclu pour avoir refusé de reconnaître mes torts, condition exigée pour garder mon compte. Pourquoi aurais-je plaidé coupable et demandé pardon, alors que je citais à l’appui de mes propos, des universitaires et des chercheurs climato-réalistes cent fois plus compétents que les CenSSeurs. Des vrais savants auxquels la réalité a donné raison. Mais ce n’était pas politique.

    Le pauvre Séchet qui n’a pas la carrure pour la baston dénonce une avalanche d’insultes, en réponse à son annonce de la vague de chaleur saisonnière, tout à fait normale, qui a atteint la France. Blessé dans son ego, il a préféré supprimer son post. Pour nous punir en nous privant de sa prose.

    S’il était vraiment météorologue, au lieu de donner dans le catastrophisme, il aurait rassuré les gens. En relativisant. En rappelant qu’en l’an 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant les poissons. La chaleur enflamma des forêts avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures dépassant 42°C pendant au moins 5 à 6 semaines. Les clercs de l’époque évoquent une " chaleur infernale " pendant 3 mois!

    Des canicules qui duraient, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que les humains et le bétail mouraient de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tua 500.000 Français.

    Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Avec des pics de mortalité et de chaleur pour lesquels il serra difficile d’incriminer les camions, les avions et les centrales à neutrons.

    Plus près de nous, la canicule de 1911 avait asséché les étangs, transformé les rivières en rigoles, brûlé les moissons et exterminé les troupeaux, faisant plus de 40.000 morts chez les humains.

    Versez votre larmichette, face à la violence et à la haine, Guillaume Séchet se dit contraint à l’autocensure et dénonce les attaques en ligne à propos de ces sujets qui sont de plus en plus à la mode. La faute à qui? Mais il ne fait pas de politique.

    Il ne lui vient pas à l’idée qu’un nombre croissant de gens en ont ras le bol de la dictature des maîtres penseurs, dont l’arrogance n’a d’égale que l’incompétence. Le réchauffisme est un des volets de leurs lubies dominatrices avec le covidisme, la russophobie, l’anti-sémitisme au nom de l’anti-racisme, l’européisme et l’immigrationnisme.

    Il se trouve qu’en bon petit soldat de la dictature qui s’expose à découvert, Séchet sert de bouc émissaire à des personnes qui canalisent sur lui non pas leur haine mais leur ressentiment d’être toujours pris pour des imbéciles par les cuistres donneurs de leçons du cirque politico-médiatique. Même s’il a été débordé par des trolls velus qu’il qualifie de " nids de guêpes ", auxquels il a eu l’imprudence de répondre, entrant dans leur jeu. Peut-être parce qu’à la télé, il a toujours le dernier mot?

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/