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Science/Tech

  • Extraits du grand bêtisier des écolo-réchauffistes

    "Les gens meurent de faim en Afrique parce que nous ne mangeons pas assez de produits naturels". Mathilde Panot, qui a la chance d’avoir un bon boucher halal car, visiblement, elle n’est pas trop dénutrie.

    "À pied, on rejette plus de CO2 qu’avec une voiture électrique. Ce n’est pas bon pour les ours polaires. Eva Joly, jugesse, écolotte, qui fut eurodéputée en 2009, sur la liste menée par le pédagogue Cohn Bendit.

    "On éteint la lumière pour faire des économies d’énergie et puis on envoie un mail un peu rigolo aux amis avec une pièce jointe et on consomme beaucoup plus d’énergie". Agnès Pannier-Runacher, énarque, ministre de la Transition écologique (2018-2024)

    "Le réchauffement climatique provoque une augmentation de la température cérébrale, ce qui explique la baisse du quotient intellectuel" a dit Sardine Rousseau qui n’a pas la clim chez elle.

    VOICI REVENU LE TEMPS DES ASTROLOGUES ROYAUX

    Al Gore, ex-vice président de Clinton, en 2009: "Dans cinq ans (en 2014), nous aurons un océan Arctique totalement libre de glaces".

    En 2021 Thomas Pesquet, astronaute: "Depuis la station spatiale internationale, j’ai vu le réchauffement climatique". Ça vaut Greta qui voyait et sentait le CO2.

    En 2021 toujours, la blonde ministresse Barbara Pompili se prend les pieds dans le tapis: "Je suis fière de mon vélo électrique qui ne pollue pas. Mais quand il n’y a pas assez de vent pour faire tourner les éoliennes, on doit bien allumer les centrales à charbon et au gaz".

    Le 26 septembre 2021, le LFI David Guiraud: "Si on ne fait rien d’ici 2030, on va avoir des villes sous l’eau et des pics de chaleur à 55°C". Ce grand scientifique qui prépare toujours sa licence de lettres n’a pas compris que Waterworld sauverait le monde. Tous dans le bain pour se rafraîchir! Sinon, à 55 °C, le cytoplasme humain ne survivrait pas.

    SALAUDS DE PAUVRES !

    Le bobo Yann Arthus-Bertrand, estampillé gauche caviar, assène sur Cnews le 31 octobre 2021: "Il n’y a pas de lobby qui nous oblige à manger de la viande industrielle qui détruit la planète, et qui détruit la vie sur terre. C’est nous-mêmes qui avons le pouvoir dans nos mains".

    Salauds de pauvres qui achètent de la viande à prix abordable à Carouf ou à L’hideul, ils participent à la destruction de la vie sur terre! Un bon boucher halal, y’a rien de tel pour manger sain et écolo!

    Avec la salade naturelle de Marine Tondelière, l’herbivore cheffesse d’Europe Écologie Les Verdâtres. La verdure cultivée selon ses critères "écolo citoyens" mettrait les concombres à 50 € le kilo, les tomates à 100 €, la botte de radis à 50 € et le kilo d’aubergine à 140 €.

    Selon "le Monde" du 9 novembre 2021, la neuvième journée de la COP 26 a été consacrée à l’étude de la situation plus vulnérable des femmes face au changement climatique. Ils doivent confondre "réchauffement climatique" et "bouffées de chaleur " à la ménopause.

    TOUS VEULENT ETRE PROPHETES DANS LEUR PAYS

    Le 12 octobre 2022, la première ministresse de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern, annonce vouloir taxer les pets des vaches. Elle a convoqué un colloque de scientifiques pour leur demander de trouver une méthode anti-méthane. Et si elle montrait l’exemple en taxant ses propres pets! Ou à défaut en se mettant un bouchon…

    L’inénarrable Tondelière, encore elle, délire sur le plateau de C dans l’air le 9 juin 2023: "Les enfants qui naissent cette année, on ne peut pas leur garantir que la terre sera encore habitable dans trente ans". En effet, si on emmerde trop les Ruskofs, ça peut faire boum badaboum!

    Année 2023 fertile, puisque Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, prédit en juillet 2023: "L’ère du réchauffement climatique est terminée, place à l’ébullition mondiale". On sait au moins que, chez lui, ça chauffe tout le temps sous le casque.

    Ça vaut la déclaration de l’éminent covidologue, Olivier Véran, ministre à ses moments perdus, qui a annoncé le 4 octobre 2023: "Le réchauffement climatique, on en a la preuve, entraîne une recrudescence des punaises de lit". On se demande quelle mouche l’a piqué après le vaccin qui rend fou.

    14 décembre 2023: François Gemenne, politologue qui émarge au GIEC, conseiller politique de Nicolas Hulot et de Yannick Jadot, prétend que "les chats et les chiens sont des catastrophes pour la biodiversité et le réchauffement climatique". Il n’ose pas dire qu’il faudrait tous les exterminer, mais il est probable qu’il y pense.

    Comme Ceausescu et Kim Jong Un. Ils avaient condamné à mort les animaux de compagnie qui apportent souvent un soutien affectif aux enfants et moral aux malades.

    La docteur ès sciences pataphysiques Greta Thunberg a déclaré le 11 juin 2018: "Le changement climatique anéantira toute l’humanité d’ici cinq ans (2013) si nous continuons à utiliser des combustibles fossiles". Je roule toujours au diesel et le ciel ne m’est pas tombé sur la tête.

    Greta est un vrai génie. Passer directement du niveau cancre qui triple le CM1 à celui de chercheur post doctoral, par une translation quantique instantanée qui défie les lois de la physique, cela mérite le respect.

    Elle a publié il y a deux ans "Le grand livre du climat" dans l’indifférence générale. Parmi les "scientifiques" qui ont préfacé l’ouvrage, Naomi Klein, journaliste fémino-gauchiste canadienne, Margaret Atwood, romancière nonagénaire, l’économiste français Thomas Pinketty, célèbre pour avoir tabassé son ex, et la sous-ministresse socialotte, Aurélie Filippetti.

    ÉCOLOS POLLUEURS ET COMPLÈTEMENT GIVRES

    En Suède, le pays merveilleux mais glacial de la mongolienne inspirée où triomphe l’écologie militante, on dégivre les pales des éoliennes avec un mélange d’eau et de glycol chauffé grâce à un brûleur au fioul de 260 kW. Des hélicoptères volent ensuite vers les éolienne dont les pales sont givrées (y’a pas que les pales!).

    À chaque rotation, il faut 850 litres de ce mélange antigel pulvérisé, non récupéré, qui part ensuite dans la nature.

    Il n’y a pas que Choupinet qui ruine la France en engraissant des consultants américains, inutiles et hors de prix: le ministère de la Transition écologique a dépensé 44 millions d’euros pour des cabinets de conseil extérieurs, au 1er semestre 2022, en raison notamment de "prestations d’appui pour le déploiement de l’éolien en mer". Depuis, les chiffres ne sont plus publiés.

    OBJECTIF: terroriser les gens, et d’abord les jeunes, pour les inciter à voter pour l’extrême gauche qui va sauver le monde

    14 sept 2021: L’enquête climat réalisée par des chercheurs de l’université britannique de Bath auprès de 10 000 jeunes dans 10 pays révèle que 75% jugent le futur effrayant et 39% refusent de faire des enfants. Pas grave, l’invasion islamique pourvoira au déficit démographique.

    Pour égarer un peu plus les populations, les idiots utiles du catastrophisme prônent une décroissance idéologique. Le rapport Meadows "The limits to growth" (les limites de la croissance) prédisait en 1972 notre avenir avec ses modèles informatiques. Or les modèles ne recrachent que les données qu’on y entre et ne les traitent que selon les algorithmes qu’on y implémente. Ainsi on peut décider des résultats avant de commencer l’analyse.

    Tout était faux!

    Les réserves de 90 milliards de tonnes de pétrole seraient épuisées avant l’an 2000. Or elles représentaient 245 milliards de tonnes en 2021, soit 54 ans de consommation au rythme actuel, et la prospection continue. Mais Delphine Batho, partie à la dérive sans compas ni gouvernail, ex-ministresse de l’Écologie, soutenait 50 ans plus tard, en août 2021: "La voie de la décroissance est la seule possible".

    Pour feu Rajendra Pachauri, président du GIEC de 2002 à 2015: "S’il n’y a aucune action avant 2012, il sera trop tard". En effet, selon les prédictions de ce bouffon, les atolls du Pacifique ont été engloutis en 2020, et les glaciers de l’Himalaya ont tous fondu avant 2025.

    Que feront les dictateurs réchauffards lorsque les faits confirmeront que le climat global va vers un refroidissement général?

    Enfermeront-ils les vrais scientifiques dans des camps de rééducation pour les obliger à nier la réalité?

    Il neige dans le Sahara et des pluies diluviennes pourraient restaurer le Sahel vert d’il y a 10.000 ans, dont subsistent les gueltas et des peintures rupestres.

    C’est trop injuste pour les défenseurs de la Nature. Elle ne coopère pas!

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com

  • Ils ont osé! délit de désinformation climatique

    En France, créer un nouveau délit est le monopole du Parlement mais ça ne les arrête pas...

    C'est dans l'article 34 de la Constitution: "La loi fixe les règles concernant (…) la détermination des crimes et délits ainsi que les peines qui leur sont applicables".

    Même si Macronescu s'est affranchi de la Constitution pendant la dictature sanitaire pour restreindre les libertés publiques et inventer des "contraventions" assorties de peines supérieures à celles des délits, cela ne confère pas à des officines non élues, sanitaires, médiatiques, climatiques ou autres, le droit de légiférer.

    Or là, en matière de réflexion critique sur le réchauffement climatique, l'ARCOM menace Sud Radio de sanctions pour avoir permis l'expression à l'antenne de propos climato-sceptiques.

    Ce verrouillage de l'info à sens unique est d'autant plus intolérable que les gens de l'ARCOM n'ont aucune compétence en la matière. Je ne suis renseigné sur le pedigree des cenSSeurs:

    Hervé Godechot journaliste à la télé d'État FR 3, spécialité économie, aucun bagage scientifique.

    Roch-Olivier Maistre sciences Po + ENA, haut fonctionnaire, aucune formation scientifique.

    Juliette Théry conseillère juridique spécialisée en droit de la concurrence, aucun bagage scientifique.

    Benoît Loutrel haut fonctionnaire, expert en économétrie, a travaillé dans des banques et à l'INSEE. Mathématicien, sa formation scientifique ne portait pas sur la climatologie.

    Anne Grand-d'Esnon, agrégée de lettres, docteur en philosophie, une thèse sur les violences sexuelles. Rien à voir avec la climatologie.

    Laurence Pécaut-Rivolier conseillère à la Cour de cassation, chambre sociale, rien à voir avec les climats.

    Denis Rapone, haut magistrat, conseiller à la chancellerie. "Personnalité qualifiée". En quoi? Certainement pas en climatologie.

    Antoine Boilley HEC qui a fait carrière à la télévision d'État. Aucune formation scientifique en physique de l'atmosphère.

    Bénédicte Lesage productrice de petits films bien pensants avec sa boîte " Mascaret " . Aucune qualification scientifique.

    Toutes les données concernant ces personnes ont été relevées sur le site de l'ARCOM qui invite à faire connaissance avec ses membres. Sans vergogne, ils reconnaissent être un de ces fromages de la ripoublique où l'on coopte les copines et les copains. Omniscients par définition. Puisque les hauts fonctionnaires et les journaleux main stream ont la science infuse dans tous le domaines. Mieux que Greta.

    Et comme l'interdiction ne suffit pas à museler les opposants, la sanction financière leur clouera le bec.

    Cette ignominie est un grand classique dans la France totalitaire, aggravé depuis que le dictateur Macronescu se mêle de tout et impose ses vues sur n'importe quel sujet. Si on parvient à le virer, il sera urgent d'assécher les assoces et de privatiser l'audiovisuel public.

    Comme dans bien des cas de délits d'opinion, et maintenant d'intention, la procédure est activée par une association hyper ultra gauchiste. Ici, Quotaclimat qui exige 20% de temps de parole dans les médias pour sauver la planète... Et en attendant, désinforme allégrement en prétendant sur son site que 82% des Français seraient d'accord avec eux sur l'urgence climatique.

    Les leaders de cette association n'ont aucun bagage scientifique dans le domaine où ils pontifient. Eva Morel sciences Po. Anne-Lise Vernières, collaboratrice parlementaire. Lola Morel sciences Po. Et un certain Jean Sauvignon, informaticien à la RATP et militant écolo.

    L'inquiétant est qu'ils se rengorgent sur Linkedin de leur victoire auprès de l'ARCOM, et font part de leur intention d'interdire ou de contrôler la parole sur tous les sujets climatiques. Ils disent: "C’est une première étape indispensable pour réguler la qualité de l’information environnementale dans l’audiovisuel français. "

    Et pour ceux qui n'auraient pas bien compris: " Si la désinformation climatique venait encore à se répéter, Sud Radio s’exposerait à une mise en demeure, puis à une sanction financière".

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/

  • Il fait chaud l'été, froid l'hiver

    Aux États-Unis, le premier amendement de leur Constitution garantit la liberté d’expression. Les réchauffards ont beau glapir qu’il s’agit d’un déni de faits sur lequel tous les scientifiques seraient d’accord… Les plus de 35.000 signataires de l’Oregon Petition, universitaires, ingénieurs et chercheurs du monde entier leur rentrent leurs mensonges dans la gorge.

    On ne peut bâillonner tous les hérétiques. Tout au plus les discréditer. En mettant en cause leurs compétences. Quand on sait que le GIEC a été dirigé par des gens qui n’avaient qu’une formation et une pratique très limitées en climatologie. Un ingénieur ferroviaire et un physicien atomiste auxquels ont succédé des laborantins et des petits profs. Le dernier en date serait un expert en énergies renouvelables.

    En Europe, et tout particulièrement en France où fleurissent les délits d’opinion, on voudrait vous faire rentrer les bonnes pensées dans le crâne à coups de marteau sur la tête. Interdits de séjour sur les médias audio-visuels, leurs éditeurs menacés de contrôle fiscal, leurs sites web caviardés ou fermés sans préavis, les climato-réalistes semblaient en mauvaise posture depuis le début du troisième millénaire.

    Les réchauffards s’en félicitaient cyniquement au moment de l’Accord de Paris de 2015 qui était censé nous donner le coup de grâce. Entre fermetures des labos, mises à la retraite d’office ou déclassement dans des bureaux des scientifiques fonctionnaires, seuls des électrons libres pouvaient continuer le combat pour dénoncer ces supercheries.

    Mais au désarroi des verdâtres qui fêtaient leur victoire idéologique, un retournement d’opinion s’est opéré. Les gesticulations du lunatique Macron pour capter quelques voix écolos ont déconsidéré le réchauffisme. La loi Climat Résilience de 2021 votée à la hâte a fait pschitt.

    Difficile de faire gober au plus grand nombre les fariboles du réchauffement quand les moyens de communication modernes montrent qu’il a neigé plusieurs fois dans le Sahara et en Arabie, que des otaries de l’Antarctique viennent batifoler dans les eaux de la Polynésie, que les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu comme prévu, et que les atolls qui devaient être engloutis avant 2020, sont toujours là…

    Le bon sens semble reprendre ses droits malgré le matraquage des médias serviles. Pas besoin d’être titulaire d’un Ph.D pour comprendre qu’il est normal qu’il fasse froid l’hiver et chaud l’été, et que les cycles climatiques ont toujours existé, de façon naturelle, en fonction des variations d’intensité du soleil et des évolutions de l’orbite terrestre. Même si Greta croit que Milankovitch était un vendeur de bicyclettes.

    FINALEMENT, TOUT ÇA C’EST LA FAUTE DE L’EXTREME DROUATE!

    Un certain Christophe Cassou du CNRS (la planque des chercheurs qui ne trouvent rien), membre éminent du Gang International des Escrocs du Climat, s’est plaint d’avoir été critiqué par des climato-sceptiques sur le web. C’étaient des patriotes qui plus est.  Circonstance aggravante !

    Cet homme qui se dit ouvert à la discussion ne palabre que si on est d’accord avec lui. Toute argumentation susceptible de remettre en cause ses croyances est perçue comme une agression haineuse et violente. Pour ce militant "les attaques climato-sceptiques sont nauséabondes, délétères et puantes". On retrouve là toute la dialectique pavlovienne des gauchistes frénétiques. Entre secte et croyances aveugles.

    Sous divers aspects, le réchauffisme est une religion laïque comme le communisme au siècle dernier. Avec son dogme, ses rites, ses grand messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa bureaucratie, sa sainte gourdasse, sa propagande, ses interdits alimentaires ("devenez végétariens pour sauver le monde") et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

    Cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable!

     

    "REPORTERRE"  CELLULE GAUCHISTE RIPOLINEE EN VERT S’AFFOLE

    Ils se disent "indépendants". Mais ils défendent les escrolos violents qui nous bassinent. Soutiennent les opposants à Poutine, comme ils attaquaient naguère Bolsonaro. Et bien sûr prennent le parti du Hamas contre les Israéliens. Symptômes de la peste gauchiste qui veut donner des leçons au monde entier. Alors qu’ils ne représentent qu’eux-mêmes.

    C’est dire si j’ai été heureux de lire l’aveu dépité de ces crapules, reconnaissant leur échec. "Alors que les effets du changement climatique (fini le réchauffement?) sont de plus en plus couverts par les médias, les climato-sceptiques prospèrent".

    Ces prophètes de malheur admettent mal qu’un nombre croissant de scientifiques, en dehors du microcosme des subventionnés et des médiatisés, récupèrent les mêmes données satellite, croisent les mêmes statistiques et utilisent les mêmes algorithmes qu’eux… Et en tirent, par le raisonnement et le calcul, des conclusions diamétralement opposées.

    Lueur de réalisme dans ces esprits bornés, ils avouent que, selon un sondage IPSOS et Cevipof de 2023, la moitié des Français ne croient plus à la fable du réchauffement anthropique. Et cette lucidité est partagée par des chefs d’États comme Xi Jinping (Chine), Vladimir Poutine (Russie), Javier Milei (Argentine), Salman Al Saoud (Arabie), des leaders en orbite d’attente comme Geert Wilders (Hollande) et Trump (USA), et d’anciens présidents influents comme Jair Bolsonaro (Brésil).

    En outre, en Australie, aux USA, au Canada, en Finlande, en Norvège, une forte proportion de la population, jusqu’à 65%, ne gobe plus les fables du GIEC. Malgré la cenSSure de Google, YouTube, MSN, Chrome, Twitter, Facebook, au service des réchauffards… Le CO2 peut-il faire oublier la pédophilie de certains de leurs dirigeants, clients assidus de Jeffrey Epstein et autres salopards du même tonneau?

    Plutôt que de reconnaître leurs erreurs, les enfumeurs du GIEC voudraient punir les coupables de leur perte d’influence

    Les climato-réalistes reviennent de loin. Les brimades et exclusions des réseaux dont certains ont changé de nom comme des voyous après un mauvais coup ne sont rien à côté des menaces de quelques fous furieux menés par le fantasque ex vice-président US Al Gore.

    Cet autre "Mozart de la finance" qui, lors de la crise des subprimes a planté Goldman Sach de 10 milliards de dollars, renfloué sur des fonds fédéraux, voulait instaurer un crime contre l’humanité de climato-scepticisme. Avec une cour pénale façon Nuremberg pour condamner à la prison à vie tous ceux qui réfuteraient les élucubrations du GIEC.

    PREDICATEURS OU PREDATEURS, LES OBJECTIFS DES RECHAUFFISTES

    Les gens du GIEC racontent n’importe quoi pour satisfaire leurs sponsors. Ils en attendent des dividendes sous forme d’honneurs, de postes convoités, de crédits de recherche, de publications favorisées et bien sûr de rémunérations confortables. À ce tarif-là, ils justifient par tous les moyens trois objectifs principaux :

    D’abord assujettir les États-Nations à une plate-forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats financiers. Avec au début des simulacres d’élections, sans que les dirigeants désignés soient responsables devant le peuple. Le tout enrobé d’une propagande menaçante que chacun doit reprendre en chœur s’il veut éviter l’exil intérieur.

    Ensuite détourner le regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle de l’invasion migratoire qui est en train modifier radicalement leurs équilibres sociétaux ainsi que leurs modes de vie… Tout en attirant au profit des banksters des foules de manœuvres aisément manipulables ou remplaçables, pour peu qu’on satisfasse leurs lubies religieuses.

    Enfin parachever une paupérisation généralisée compensée par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation.

     

    Avec à la clé une restructuration économique destinée à favoriser la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure... Sans se priver du bonus de la docilité des peuples muselés. Abrutis par les mass médias et assez soumis pour avoir subi, sans se rebiffer, les diktats expérimentés de façon concluante lors de la crise sanitaire provoquée.

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/

  • Les ARN utilisés comme vaccins ou traitements

    ... doivent encore être améliorés

    Il faut avoir fait de sacrées études pour comprendre cette note mais bon, on voit qu'il y a des effets secondaires reconnus et documentés

    L’utilisation d’ARN a été un progrès spectaculaire qui a permis, dans des délais très courts, la mise au point de vaccins efficaces contre la covid-19. A la suite de recherches menées depuis des années, dont celles des deux prix Nobel de médecine 2023, Katalin Karikó et Drew Weissman, qui ont démontré le potentiel de cette approche et permis de lever plusieurs obstacles, les laboratoires Moderna et Pfizer-BioNTech ont pu produire des vaccins dont l’antigène (en l’occurrence, la protéine S du virus de la covid-19) est remplacé par une chaine d’ARN capable de diriger la synthèse de la protéine dans les cellules des personnes vaccinées.

    Pour atteindre leur cible, les ARN sont encapsulés dans des nanoparticules lipidiques qui fusionnent avec la membrane cellulaire. La méthode a plusieurs avantages, qui ont été exposés dans une actualité du 22 novembre 2020. Elle permet en particulier de s’adapter rapidement à des antigènes modifiés ou nouveaux, puisqu’il suffit de modifier la séquence codante de l’ARN en utilisant toujours la même plateforme de synthèse.

    L’ARN utilisé dans les vaccins n’a pas tout à fait la même composition que les ARN produits naturellement dans les cellules des êtres vivants. En effet, bien que l’ARN ne soit pas normalement considéré comme antigène par notre système immunitaire, certains ARN peuvent être reconnus comme étrangers par des mécanismes de défense innés (système des récepteurs Toll-like).

    Ils déclenchent alors des mécanismes qui aboutissent à leur dégradation et à l’activation de processus inflammatoires, ce qui contribue à la protection contre certaines infections. Comme les ARN introduits dans les vaccins ont des séquences d’origine virale, il a fallu inventer un moyen de limiter les effets indésirables en relation avec des réactions de défense et d’éviter la dégradation des molécules pour leur laisser le temps de diriger la synthèse des protéines antigéniques.

    On s’est appuyé pour cela sur les travaux des deux prix Nobel, qui ont montré que le remplacement de l’une des quatre bases qui composent l’ARN, l’uridine, par une forme modifiée, la N1-méthylpseudouridine, améliorait la tolérance et la durée de vie des ARN artificiels. Les vaccins développés contre la covid-19 ont utilisé cette modification, ils ont été administrés à des centaines de millions de personnes, souvent plusieurs fois, et se sont montrés efficaces et très généralement bien tolérés.

    A côté des cas de myocardite-péricardite apparus surtout dans certains groupes de population (préférentiellement des hommes jeunes), restés rares (et moins fréquents après vaccination qu’après infection) et d’évolution généralement favorable, les effets indésirables ont été ceux habituellement rencontrés avec les vaccins, quelle que soit leur nature.

    L’étude qui vient de paraître dans Nature indique toutefois que des améliorations des ARN utilisés comme vaccins ou médicaments chez l’Homme pourraient être nécessaires et sont possibles (1). Les travaux publiés, commencés il y a plus d’un an, montrent que la modification de l’ARN utilisée dans les vaccins anti-covid peut être à l’origine d’altérations de la traduction, l’étape durant laquelle la machinerie cellulaire "lit" l’ARN pour synthétiser la protéine antigénique.

    Les résidus de méthylpseudouridine entrainent des décalages de lecture ("frameshifting") qui aboutissent soit à des interruptions de la synthèse, soit à la synthèse de protéines dont une extrémité est "aléatoire", en tout cas différente de celle qui était programmée. Bien que le phénomène soit minoritaire, inconstant et limité dans le temps, puisque tous les ARN finissent par être dégradés, il peut faire apparaître des protéines non attendues en quantité suffisante pour provoquer, elles aussi, une réponse immunitaire. Les auteurs de l’étude ont d’ailleurs mis en évidence, de manière inconstante, une réponse immunitaire de type cellulaire contre ces protéines issues du décalage de lecture, à côté de celle correctement dirigée contre la protéine S du virus, chez des individus ayant reçu le vaccin covid-19 de Pfizer.

    Malgré un recul important sur l’utilisation des vaccins à ARN et une surveillance soutenue, aucun effet indésirable n’a jusqu’ici pu être imputé au mécanisme mis en évidence. Toutefois, on peut penser que des conséquences pourraient se manifester en cas d’utilisation d’ARN modifiés en grande quantité, de façon prolongée ou répétée, comme cela pourrait être le cas dans d’autres applications que les vaccins. Des pistes sont déjà évoquées pour corriger le problème constaté, comme l’introduction de codons "stop" dans tous les cadres de lecture pouvant résulter d’un "frameshifting".

    Référence

    T.E. Mulroney, T. Pöyry et coll. N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribosomal frameshifting

  • UNE VERITE DE PLUS

    35.000 signataires de l’Oregon Petition, dont de prestigieux universitaires et directeurs de recherche, ainsi qu’une brochette de Prix Nobel, pour qui « Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat.» Un article mis en ligne le 4 juillet, intitulé "L’humanité n’est pas responsable du réchauffement climatique". Son auteur, un certain Pascal Mainsant, ingénieur de recherche à l’Inrae y développe des arguments connus depuis les premières mises à plat de Claude Allègre qui, déjà en 1995, dénonçait un danger imaginaire inventé par des lobbies. Mais il est toujours utile de rappeler ce qui, pour les scientifiques non sponsorisés par le GIEC, officine de propagande du gouvernement mondial, relève de connaissances élémentaires du niveau d’un étudiant de première année. Les réchauffements climatiques du passé historique L’auteur écrit : « Aussi bien au Moyen Âge que pendant l’Empire romain, les glaciers alpins étaient encore plus reculés qu’aujourd’hui » En effet, en l’an 218 avant notre ère, Hannibal a fait franchir les cols des Alpes à 40 éléphants de guerre pour attaquer les Romains par surprise. Et sur leur route, les pachydermes ne sont pas gelé les orteils dans les glaciers et les neiges éternelles. En 985, les Vikings s’étaient installés au Groenland libre de glaces… Et, en 994, Hugues Capet régnant en France, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs, témoins à l’époque, relatent une "chaleur infernale" pendant plus de 3 mois! Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1684… Et ça continua ainsi jusqu’au XXème siècle. Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit en France 45.000 morts sur 40 millions d’habitants (en 2003, 19.000 morts pour 60 millions de personnes) Emmanuel Leroy Ladurie (pourtant pro GIEC auparavant) relève dans son "Histoire du climat depuis l’an mil"» que des lieux dits des Alpes, qui n’ont pas changé de nom jusqu’à aujourd’hui, figuraient au Moyen Âge comme fermes, pâturages ou forêts sur des actes notariés, alors qu’ils sont en partie ou en totalité recouverts par des glaciers de nos jours. Les mensonges du GIEC pour affoler les populations L’auteur qui s’adresse aux décideurs nationaux, exécutifs régionaux et hauts fonctionnaires, expose qu’il n’y a pas plus de canicules, de cyclones, d’inondations, de sécheresses ni de record de température maintenant que depuis 3000 ans. Et que les mensonges sur la réalité de la situation climatique servent l’objectif inavouable du GIEC: convaincre l’humanité de sa responsabilité dans un réchauffement cataclysmique. Tout cela pour accéder au statut de sauveur avec les récompenses que l’on peut en attendre: Renommée, argent et pouvoir. Le dioxyde carbone, obsession des réchauffards, n’est pas un poison Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C’est l’aliment de base des plantes. Avec l’eau et le rayonnement solaire. Sans le CO2, qui ne représente que 0,04% de l’atmosphère, il n’y aurait pas de plantes et une grande partie de l’air que nous respirons ne se renouvellerait plus. D’ailleurs, si la concentration de CO2 dans l’atmosphère a légèrement augmenté à la fin du siècle dernier, aujourd’hui le niveau est stable, et même en très légère baisse sans que l’intervention humaine y soit pour quelque chose. Dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s’est accrue de 20%. La déforestation est un autre mythe des catastrophistes. Au temps des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million ou 106) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l’époque d’une flore et d’une faune géantes d’une extraordinaire diversité. D’ailleurs est-ce un hasard si les agriculteurs en serres y injectent trois fois plus de CO2 qu’il n’y en a dans l’atmosphère? Résultat observable: Les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes, leurs fruits sont plus gros, et grâce à une photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau. Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l’ordre de 400 ppm, conduirait inexorablement à l’extinction d’une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s’en nourrissent. Avec à l’horizon la famine pour la plupart des humains. Incluant les végans qui divaguent. En outre, rappelons que près des trois quarts de l’oxygène que nous respirons provient du phytoplancton (et pas des forêts!) C’est le vrai poumon de la planète, lequel se nourrit de CO2. Réduire de façon drastique le CO2 mènerait à une catastrophe planétaire. Les dépenses pour une transition énergétique fantasmée sont de l’argent dilapidé, mais pas perdu pour tout le monde Un minimum de 90.000 milliards de US dollars est prévu afin de réduire la teneur en CO2. Le seul résultat tangible sera d’engraisser les multinationales ripolinées en vert du Nouvel Ordre Mondial, les apôtres de la bonne pensée subventionnée, les commissaires politiques du comportement conforme, et les politicards qui prélèveront leur dîme au passage. L’auteur continue sur sa lancée, provoquant l’effroi puis la haine de ses critiques. Il ose écrire : "La hausse des températures provient d’une augmentation du champ magnétique du soleil qui favorise l’ensoleillement. Et si un réchauffement naturel tendait à augmenter la teneur de l’atmosphère en CO2, l’activité humaine y serait marginale. Conclusion : La thèse du GIEC est dépourvue de toute base scientifique. Sa diabolisation des énergies fossiles est notoirement fausse". LES VARIATIONS DE TEMPERATURE DEPENDENT A 99% DU SOLEIL Avant l’ère spatiale, les scientifiques croyaient que l’irradiation solaire totale était constante. À partir de 1978, on a pu la mesurer par les satellites. Leurs données combinées ont prouvé que la TSI (total solar irradiance) varie d’environ 0,1 % du minimum au maximum du cycle solaire. Ça paraît peu. En astronomie c’est énorme. L’intensité de la radiation de notre étoile varie en fonction des taches solaires qui sont plus sombres et plus froides que la surface du Soleil. Ces taches s’accompagnent de points lumineux qui augmentent l’intensité des radiations solaires qui régulent nos climats. Dès lors une période avec peu de taches n’annonce pas un réchauffement mais un refroidissement ! Ainsi, le petit âge glaciaire entre 1550-1860 a correspondu à un très faible nombre de taches solaires. Et même à une disparition complète de celles-ci entre 1665 et 1700. Et en 2020 alors que l’Europe subissait une canicule "jamais vue" selon les médias-menteurs, l’Institut Météorologique Danois affirmait que "L’Arctique connaît son été le plus froid depuis 64 ans". Les réchauffards s’étranglent quand Christian Gérondeau, polytechnicien, ancien haut fonctionnaire et scientifique climato-réaliste, conclut que "la vision uniformément négative de l’évolution de la planète et de l’humanité qui nous est constamment ressassée ne correspond pas à la réalité". Graphiques sur https://climatorealist.blogspot.com

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  • Des grillons au repas : la dérive

    Et voilà que de nouveaux ingrédients sont autorisés dans la composition des pains: poudre d’Acheta domesticus (grillons) partiellement dégraissés. Ce joli cadeau de nos instances européennes pour permettre une alimentation plus écocompatible n’est probablement pas vraiment adaptée à nos organismes qui bien qu’étant omnivores nous fera renouer avec les belles époques de famine où le peuple mangeait des racines et des rats…

    Plus grave ! Depuis plusieurs années les professionnels de la boulangerie se sont ingéniés à éliminer tous les numéros E autorisés et soumis à déclaration comme les propionates, acidifiants, conservateurs, émulsifiants qui faisaient tache sur les étiquettes.

    Pour obtenir des produits clean label les ingrédientistes ont élaboré une machine de guerre pour produire des pains à mie bien alvéolée et des croûtes bien dorées. Pour le goût ils inventent des poudres de perlimpinpin et faux levains qui colorent et aromatisent lesdit pains qui bientôt n’auront plus de pain que le nom…

    Le secret: les enzymes

    Pour qu’une pâte devienne pain on peut agir sur deux composantes de la farine : l’amidon et le gluten. Le premier qui est un sucre source de CO2 qui agit sur le "gonflement" de la pâte et le deuxième qui devient la structure permettant de retenir la production gazeuse du premier. Un peu comme un ballon : l’enveloppe permet de retenir l’air insufflé.

    Les pains modernes ont donc soit ajouté du gluten au mélange en corrigeant par des émulsifiants (E471-E472 par exemple) soit corrigé l’activité enzymatique. Cette dernière est dépendante de la qualité du blé qui contient naturellement des enzymes (alpha, beta amylases par exemple) mais de qualité variable car dépendantes des sols, de la technique de culture, de la pluviosité, du climat etc.

     

    Donc nos petits chimistes bricoleurs ont cultivé des enzymes fongiques OGM à forte activité. De plus, ils ont également bricolé des enzymes bactériennes qui ont la particularité de résister à la chaleur et donc ne sont pas tuées pendant la cuisson du pain. Ces dernières vont donc se retrouver dans nos estomacs avec des conséquences encore non identifiées.

    LE MONDE DU LAIT ET DES FROMAGES notamment pasteurisés utilise cette technique des enzymes depuis bien longtemps et il n’est pas étonnant que nous n’ayons plus aucun fromage français dans le top ten mondial…

    De MEME LES VIGNERONS s’amusent également à bricoler des enzymes…

    Les allergies alimentaires ont de beaux jours devant elles…

    Le scandale dans toute cette affaire c’est que nos penseurs européens (et français) ne songent pas un instant à obliger les fabricants à déclarer les enzymes entrant dans la composition de leurs produits.

    Douce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !

    Des grillons pour les gueux et des côtes de boeuf pour nos élus. Ça permet de limiter l’élevage de ruminants péteurs

    Le monde devient fou. On s’active à interchanger les " genres », maintenant on veut modifier le système alimentaire. La Re-création est en marche. L’Homme veut devenir dieu.