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La forfaiture de la gauchiasse

France: la dette invisible des 3.200 milliards d’euros du “hors-bilan” que rien n’arrête…

Les derniers “coups de pouce” annoncés par le gouvernement sont pointés du doigt comme étant des “cadeaux” qui vont un peu plus creuser la dette publique. Sauf qu’une autre dette, bien plus imposante que l’officielle, continue à croître bien loin des radars de l’opposition.

C’est le même rituel à chaque fois que l’exécutif décide d’engager des dépenses supplémentaires, vues comme des “cadeaux” par ses opposants (comme actuellement pour les enseignants, les instituteurs ou les élus municipaux): le rappel du montant de la dette. Avec en sus, une petite tape sur les doigts de la part de Bruxelles, qui appelle la France à ne pas creuser un peu plus sa dette publique. Qui s’élève approximativement, en ce milieu d’année 2016, à 2.100 milliards d’euros, et commence à se rapprocher de la barre symbolique des 100% du PIB.

Problème: il existe un autre type de dette, qui n’apparaît pas dans les chiffres officiels communiqués pour connaître l’Etat du budget français, et dont le passif ferait tourner de l‘œil ceux qui s’inquiète déjà du chiffre de 2.100 milliards.

Le “hors-bilan”, comme son nom l’indique, représente l‘ensemble des engagements futurs de l’Etat, c’est-à-dire soit les dépenses déjà prévues au-delà de l’année en cours, soit de sommes que l’Etat s’engage à payer si un autre acteur, dont il est caution, devient défaillant. En France, en 2016, le montant du “hors-bilan” atteint approximativement le chiffre de 3.200 milliards d’euros. Plus de 1.000 milliards de plus donc que ce déficit qui fait tant couler d’encre, et sur lequel les futurs programmes politiques seront sommés de se positionner.

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