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Quelques vérités sur l’Algérie et les Franco-Algériens

Arrêtons de voir le racisme partout et en quoi est-ce du racisme que de mettre des mots sur des situations qui empoisonnent le quotidien des Français et de rompre avec l’omerta entourant l’origine nationale ou ethnique des fauteurs de troubles?

Leur renvoyer au visage le vent de haine de la France qu’ils font souffler est un signe de lucidité et de courage politique.

Ce n’est pas leur témoigner une quelconque hostilité que de leur signifier que le pays des droits de l’homme n’est pas le pays du tout permis et du tout est dû.

On reconnaît la grandeur des peuples à leur force de faire respecter leur loi sans concession ni compromis. Or, en l’espèce, la France se montre trop laxiste et conciliante avec les populations importées. Elle les ménage, elle se compromet, elle les couve comme une mère-poule et les caresse dans le sens du poil, les flattant et louant leurs mérites comme si elles étaient un don du ciel pour elle. Une aubaine, une chance inouïe pour elle selon les défenseurs de la cause immigrationniste.

Elle a fait de leur progéniture des pourris-gâtés.

Elle n’était pas consciente que lesdites populations ne sont pas juives, polonaises, russes, italiennes, espagnoles, portugaises ou chrétiennes d’Orient ou d’Afrique voire chinoises pour en faire une composante à part entière de sa communauté nationale.

De par son vécu colonial, elle aurait dû anticiper sur le péril qu’elle a transporté chez elle, ces populations majoritairement illettrées et analphabètes ne sont pas les Juifs pour lui apporter une plus-value intellectuelle, humaine, culturelle, économique et scientifique, elles sont héritières d’une culture archaïque, rétrograde et suprémaciste qui, partout où elles s’installent, transforment leur milieu de vie en terres arides et en paysage lunaire.

Qu’a fait l’Algérie de l’héritage qu’elle lui a légué à son départ et que peut-elle espérer d’une main-d’œuvre qui n’était pas capable de le faire fructifier?

Que leur descendance aux 2e et 3e degrés soient des Français de plein droit, cela ne change rien à leur comportement, leur psyché et leur substrat culturel et religieux transmis par leurs parents auxquels souvent la France  a donné la dignité dont ils étaient dépourvus dans leurs pays d’origine.

Ils ne se considèrent pas Français et ne sentent pas concernés par son destin politique et humain, la France est un pays de kouffars, de mécréants qui a osé un jour leur infliger l’injure suprême de les coloniser. Aujourd’hui elle leur offre l’occasion rêvée de se venger de l’outrage qu’elle leur a fait subir.

Elle a créé elle-même les conditions favorables à leur mainmise irréversible sur elle.

Des pans entiers de son territoire sont vidés de leurs habitants d’origine. Une sorte de nettoyage ethnique qui ne dit pas son nom. Les cités ouvrières des Trente Glorieuses sont devenues des cités "blédardes" où les mosquées ont remplacé les églises, les imams les curés et les kebabs les bars du quartier, où l’on parle toutes les langues sauf le français comme le dit à juste titre Chevènement.

Ils ne s’adaptent pas, ils façonnent leur nouvel espace de vie à leurs villages qu’ils ont laissés derrière eux. Si cela ne tenait qu’à eux, ils les auraient reconstruits à l’identique en torchis.

Ils ne sont pas venus pour s’enrichir et s’imprégner d’une nouvelle culture et de savoir-faire qu’un jour ils pourraient transposer chez eux, mais chez eux c’est aussi la France, terre d’Allah à conquérir, ils sont là pour tirer profit des opportunités que la France leur offre et qui sont aussi le piège qu’elle s’est tendu elle-même.

À cause la générosité de son système social et sa politique nataliste avantageuse pour les familles nombreuses, la France s’est faite la meilleure alliée de ses ennemis.

Incapable d’assumer son passé colonial et d’établir un véritable bilan entre le sien et celui de leurs occupants turcs et arabes. Elle a peur de se regarder dans son miroir passé comme si elle avait honte de ce qu’elle fut. Alors que comparé au colonialisme arabe, elle peut être quelque peu fière du sien.

Un colonialisme arabo-turc qui avait fait d’un peuple fier et entreprenant un peuple servile et indolent qui ne sort de sa torpeur que pour cracher son venin sur la France et les Juifs. Victime d’un génocide lors de l’invasion arabo-musulmane, nié et voilé à image de leurs femmes. 1400 ans de sclérose civilisationnelle en dehors des éclaircies du colonialisme français sauf dans le cas de la Tunisie où feu Habib Bourguiba avait su s’inscrire dans la continuité de cette France qui n’était pas une mauvaise élève de la classe coloniale.

Salem Benammar

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