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Un sinistre ministre

C’est l’homme qui s’illustra dans un mensonge d’État, autour de la finale de la Coupe d’Europe, à Saint-Denis, où, suite aux agressions des racailles locales, les supporters anglais seront accusés d’être les responsables du retard de plus d’une demi-heure du coup d’envoi, alors qu’ils en étaient les principales victimes. Darmanin maintiendra sa fausse version pendant un mois, avant de se rétracter piteusement, tout en conservant son poste.

Il allait à nouveau se distinguer lors des émeutes ethniques ayant suivi la mort de la racaille Nahel Merzouk, avec six jours de pillages et de vandalisme. Là encore, Darmanin sera pris la main dans le sac, devant la représentation nationale, en osant dire, contre les images que tous les Français avaient vues, que beaucoup de pilleurs s’appelaient Kevin et Matteo.

Mais il y eut pire. Il envoya une circulaire à tous les préfets de France, leur demandant d’interdire toute manifestation ou tout rassemblement patriote susceptible de créer des troubles à l’ordre public et d’inciter à la haine.

Après la mort du jeune Thomas Perroto, 16 ans, poignardé à Crépol par des racailles venues du quartier de la Monnaie à Romans, il commencera par envoyer ses troupes de choc contre… des jeunes Français qui, spontanément, venaient exprimer leur colère contre la mort de leur compatriote. Laissant une paix royale aux racailles qui ont failli lyncher un jeune manifestant, Darmanin et son préfet feront arrêter une vingtaine de jeunes, qui seront traduits en comparution immédiate et lourdement condamnés.

Il a osé instrumentaliser la mort des deux enseignants, Samuel Paty et Dominique Bernard, et, comme toujours, pour mieux protéger ses amis, voire ses coreligionnaires musulmans, il a osé accuser Poutine de refuser de reprendre les nombreux délinquants russes, c’est bien connu, qui ensauvagent la France, lui faisant porter la responsabilité de la mort des deux professeurs, parce que les assassins étaient tchétchènes, donc russes.

Bien sûr, un tel mensonge d’État ne pouvait pas ne pas faire réagir la sœur de Samuel Paty, Mickaëlle, qui, indignée, s’est exclamée: "Je suis stupéfaite d’entendre de la bouche de la porte-parole du gouvernement que le rôle de la Russie est engagé dans l’attentat contre mon frère Samuel Paty, alors que rien, durant toute l’enquête, n’a permis de faire le moindre lien entre le terroriste Anzorov, réfugié en France, et la Russie".

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