Erasmus : " je suis venue découvrir la culture française, je repars en ayant découvert la culture africaine " pic.twitter.com/CQW8Rprsfu
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) 12 octobre 2017
Il faut savoir que les résidences universitaires sont des dortoirs à Africains. (1)
Dans la tête du concon français de base les résidences universitaires c’est pour loger les jeunes Français qui font leurs études, mais entre les étudiants erasmus et les Africains il y a moins de 5 % de Français, c’est surréaliste.
L’Europe est perdue…
(1) Note de Christine Tasin
Les critères d’obtention de chambre en résidence universitaire privilégient l’éloignement et les ressources des parents… Quand vous venez d’Afrique vous passez devant tout le monde, même devant le petit Marseillais désireux d’entrer dans les grandes universités parisiennes. Rêve auquel il devra renoncer, faute de moyens pour payer un loyer à Paris…
Et s’il n’y avait que les résidences universitaires ?
Mais à Chalon sur Saône, 50 pour cent des élèves ne mangent pas de porc dans les cantines de la ville.
Mais partout en France le con-tribuable paye des myriades d’associations pour faire découvrir, aimer, pratiquer… la culture africaine et/ou l’islam.
Un exemple entre mille autres, Orléans :
Conséquences à en tirer.
La première est que l’agressivité de certains de ceux que l’on accueille est si souvent présente dans les faits divers, sans parler du terrorisme, qu’il s’agit bien d’une guerre qui nous est menée et d’un conflit de civilisation renvoyant aux heures les plus sombres de l’histoire de l’humanité.
La deuxième est que la réaction des politiques et des polices (dirigées par les politiques) est claire: fermez vos gueules, subissez et attendez que ça passe. C’est la préférence étrangère. C’est Pétain et les nazis. Main dans la main.
La troisième est que les nôtres n’en peuvent plus (ça on le savait) mais l’élément nouveau ce sont les réactions de masse, réactions qui sentent l’insurrection proche.
Un attentat de trop, une agression de trop… et ça pourrait être le feu aux poudres. Et là, malgré les hordes barbares tapies dans les territoires perdus de la République, malgré police et armée aux ordres, ça pourrait barder pour tous. Agresseurs et leurs complices institutionnels. Quand on n’a plus grand-chose à perdre, on a des ressources insoupçonnées. Un petit bout de femme peut faire des choses étonnantes avec une fourche ou de simples produits ménagers. Et les politiques l’auront voulu qui ne nous protègent pas, qui nous exposent délibérément.
Ce sera(it) le début d’une guerre, qu’on l’appelle défensive ou civile, guerre dont personne ne veut mais que tout le monde devra faire le jour dit, pour ne pas mourir, pour ne pas laisser nos enfants et notre civilisation mourir.
On se souvient de la votation qui devait mener à l’expulsion des immigrés délinquants… pas mis en application parce que le Conseil Fédéral, sur les injonctions de Bruxelles, s’y oppose…