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La violente charge

de Zineb El Rhazoui contre les immigrés

Par Auteur valeursactuelles.com

Invitée sur LCI, la journaliste a estimé que “parfois, il n’y a pas tellement une volonté d’intégration de la part de ceux qui viennent”.

Zineb El Rhazoui n’a pas mâché ses mots. La journaliste était invitée sur LCI ce mercredi 4 septembre et a notamment évoqué l’intégration des immigrés en France. Elle a tenu à rappeler qu’en France "les étrangers obtiennent très facilement la citoyenneté pleine, ils ont les mêmes droits que ceux qui ont la citoyenneté française depuis des siècles". "Le racisme est interdit par la loi, ce n’est pas une opinion comme dans d’autres démocraties occidentales", a-t-elle ajouté, concluant que "ce qu’il faut rappeler, c’est que parfois il n’y a pas tellement une volonté d’intégration de la part de ceux qui viennent".

"On peut avoir un prénom étranger et être parfaitement intégré"

Dans son analyse, Zineb El Rhazoui est allée plus loin, affirmant qu’il était légitime de se poser la question "sur des gens qui viennent en France parce que la France offre des avantages économiques certains, mais qui souhaitent continuer à vivre à l’afghane, à la pakistanaise, la marocaine".

Selon la journaliste, on peut reprocher à ces personnes "de ne pas véritablement faire un effort pour s’intégrer" car "l’effort d’intégration ne doit pas toujours être à sens unique". Cette question sur l’intégration lui a été posée alors que le prénom Mohamed a, pour la première fois en France, fait son entrée dans le top 20 de l’Officiel des Prénoms, se classant directement à la 18e place. Le prénom est-il un marqueur d’assimilation en France? Selon Zineb El Rhazoui, la réponse est à la fois "oui et non" car "on peut avoir un prénom étranger et être parfaitement intégré, assimilé, se sentir chez soi et ne pas avoir d’autre chez soi que ce pays".

Mais, pour la journaliste, il faut aussi se poser la question "sur des enfants issus de troisième ou quatrième génération d’immigrés et qui portent toujours des prénoms étrangers". Pour Zineb El Rhazoui, le prénom est "bien sûr un marqueur d’assimilation" mais "il n’est pas le seul".

La journaliste cite alors son propre exemple, rappelant que si elle a "un prénom étranger" elle a "choisi de donner un prénom français à [s]a fille", notamment pour "faciliter" son intégration“.

En soi, ce n’est pas grave que quelqu’un s’appelle Mohammed ou n’importe quel prénom étranger, c’est l’éducation qui sera donnée à cet enfant, c’est le storytelling identitaire qui lui sera donné", qui est important, conclut Zineb El Rhazoui.

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