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La gauchiasse, toujours la gauchiasse…

 

J’ai vu l’étrange complaisance dont bénéficient les casseurs gauchistes

Jeudi 5 décembre 2019, Paris, manifestation pour les retraites, devenue manifestement celle d’un chaos ordinaire, orchestré à la fois par le sadique décomplexé de la préfecture de police de Paris et les groupuscules d’ultra-gauche, de plus en plus rejoints par des paumés abîmés par la vie qui, hélas, se laissent trop aisément leurrer par le mirage anarchiste, lequel ne se repaît que de sang, de feu et de larmes…

Donc, cette manifestation contre la réforme des retraites à venir a traîné dans son sillage une ribambelle de "casseurs" – dont certains ne se cachent plus dans leurs intentions de tuer policiers et gendarmes. D’ailleurs, ils voient des infiltrés partout comme une autre jadis voyait des nains! J’ai été pris à partie par l’un d’eux et je n’ai dû mon salut qu’à mon tempérament peu conciliant…

Et lorsque cette engeance, par des raccourcis douteux, se compare aux étudiants de Hong Kong, je suis tenté de rappeler que lesdits étudiants se battent contre un régime autrement plus meurtrier. Régime qui se réclame de Mao, tellement encensé dans les rangs de l’ultra-gauche. On n’en est plus à un paradoxe près…

Comme chacun pourra le constater dans la vidéo que j’ai réalisée ce jour-là, la manifestation s’est rapidement heurtée à ses enfants terribles aux environs de la place de La République. Je dis "ses enfants" car il me semble que les syndicats, ouvertement à gauche, entretiennent cette haine farouche de tout ce qui constitue la France charnelle, traquant sans relâche l’extrême-droite, comme si les " prolos " qui votent Rassemblement national n’étaient pas dignes d’avoir une retraite convenable, eux. C’est beau la démocratie sélective ! Quant au fameux service d’ordre de la CGT, il s’est montré très discret, au moins autant que l’Arlésienne…

Revenons du côté de l’ultra-gauche. C’était un mélange pour le moins hétéroclite – pas sûr que la plupart d’entre eux aient lu Marx ou Bakounine –, avec une caractéristique commune: une dangerosité à toute épreuve, qui s’est notamment exprimée en brûlant un engin de chantier au pied d’un immeuble où se trouvaient – excusez du peu ! – des bombonnes de gaz…

https://www.youtube.com/watch?v=3hlALX6r1zU

Curieusement, et pour en avoir couvert quelques-unes, cette guérilla urbaine n’a pas énormément de dégâts matériels à son actif si on la compare avec le 16 mars dernier sur les Champs-Élysées, par exemple. Sans doute parce que le but affiché était de se faire du flic. Il fallait voir les assauts successifs, avec n’importe quoi à leur balancer, dont des bouteilles d’acide. Le pire c’est que dans cette "joyeuse" bande, il y avait des gamins agissant avec l’intelligence d’un poulpe.

J’en profite pour démentir la version officielle: les forces de l’ordre macroniste n’ont rien contenu et se sont fait régulièrement déborder. Vivement le retour de la police digne de ce nom, qui agira avec la fermeté en amont qu’on attend d’elle. Si on peut emmerder les Identitaires sous n’importe quel prétexte, ça doit être techniquement possible de le faire avec l’ultra-gauche…

Ne négligeons pas non plus les ordres imbéciles qui commandent à des motards de la Brav – brigade de répression de l’action violente – de couper le cortège en début de manifestation et d’exciter ainsi une colère qui n’en demandait pas tant. Face au nombre, les motards en question se sont résignés à faire demi-tour. Idem, ces contrôles intempestifs et inefficaces, dont un journaliste traité, dans la gare de l’Est, comme un vulgaire délinquant, ça rime à quoi? Comme lancer à un manifestant lambda qui veut fuir une nasse et les lacrymogènes: "Fallait pas venir!".

Bien sûr, je ne suis pas le perdreau de l’année et je sais bien que ces remarques sont souvent le fait d’hommes et de femmes épuisés. Il n’empêche, on est tous dans le même bateau et il prend l’eau de partout. Maintenir l’ordre ne signifie pas céder aux fantasmes d’impuissants qui vous dirigent, messieurs-dames de la police et la gendarmerie, et qui vous méprisent, ne l’oubliez pas…

Quand on a dit tout ça, il faut se rendre à l’évidence: pour la survie du pays, Emmanuel Macron doit, dans un premier temps, dissoudre l’Assemblée nationale et, dans un second temps, avoir l’élémentaire décence de ne pas se représenter. Faute de quoi, le pays risque de s’enflammer au sens propre. Car il devient évident que les événements actuels ne sont qu’un prélude au pire.

Je reconnais que la logique du pire est une marque de fabrique de Macron et sa caste. Caste à qui l’on doit à peu près tous les maux qui minent la France: démantèlement de notre industrie, immigration sauvage, destruction de notre identité culturelle, etc.

Toutes ces choses étant dites, il faut avoir une sacrée dose de saloperie – excusez mon langage ! – pour en appeler à tuer des gosses sous prétexte qu’ils sont des enfants de flics. Aussi, non seulement j’assure les forces de l’ordre – sans complaisance pour ceux qui ont délibérément blessé des Gilets jaunes et doivent être sanctionnés en conséquence – de mon soutien, mais je leur dis encore de protéger les leurs de toutes les manières possibles. Ces menaces de mort – à peine déguisées – qu’ils ont reçues par courrier, sont parfaitement immondes et dignes d’INAZIS, néologisme de ma façon pour parler d’INTERNATIONAL-SOCIALISTES ; ce qui a le mérite d’être clair !

Comme d’habitude, les pompiers ont été exemplaires d’abnégation et de courage…

Charles Demassieux

(Photos & vidéo: Charles Demassieux pour Riposte laïque)

https://ripostelaique.com/jai-vu-letrange-complaisance-dont-beneficient-les-casseurs-gauchistes.html

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