La ville de Tarbes est de nouveau endeuillée par la perte d’un jeune soldat du 1er régiment de hussards parachutistes, stationné au quartier Larrey et créé sous Louis le XVe par le colonel-comte Berchemy sur le modèle de ceux de son pays d’origine, la Hongrie, Fille aînée de l’Église.
Né à Mahazarivo (Repoblica Malagazy, anciennement Madagascar) le 20 octobre 1994, le jeune Tojohasina Razafintsalama s’est engagé en 2018 et il a été déployé ce 14 juillet au Mali dans le cadre de l’opération Barkhane ayant pris en 2014 la suite de l’opération Serval. Célibataire, il a choisi de servir la France, ancien colonisateur de Madagascar alors la Perle de l’océan Indien.
Ce 23 juillet, au matin, son véhicule blindé de l’avant a été heurté par un véhicule suicide, rempli d’explosifs, dirigé par les jihadistes lors d’une reconnaissance sur la route nationale N 16 reliant Gossi à Gao ; cette technique barbare du véhicule suicide rappelle celle du FLN qui pratiquait aussi celle tout aussi barbare du minage des voies de communications pendant la guerre d’Algérie. Malgré l’intervention rapide des médecins, ce soldat de 1re classe n’a pu être sauvé ; deux de ses camarades ont été gravement blessés et évacués, puis rapatriés.
Depuis 2013, il est le 43e soldat français tombé au champ d’honneur au Mali pour la France… tandis que les jeunes Maliens envahissent la France pour y jouir sans entraves de multiples allocations sans y travailler, voire s’y livrer à des trafics aussi divers que rémunérateurs alors qu’ils devraient être les premiers à rejoindre les forces armées maliennes pour défendre l’intégrité territoriale de leur pays. Tout comme les soldats français seraient bien plus utiles en France pour rétablir l’ordre dans les banlieues, ces territoires de non-droit ou plutôt de droit chariaque de la gueuse. Ou encore à la surveillance des frontières afin d’empêcher l’intrusion en France des réfugiés-migrants néanmoins clandestins, généralement afro-arabo-mahométans ou encore en provenance de l’ex-État islamique en Irak et en Syrie ou bien encore d’Afghanistan-Pakistan, deux contrées à la civilisation aussi brillante que leur affection immodérée pour la France.
Souffrant d’un manque cruel d’équipements modernes, les soldats français combattent avec les matériels ayant l’âge de leurs parents. Il est temps de consacrer aux armées tous les budgets nécessaires pour leur remise à niveau au lieu de financer l’immigration sauvage afro-arabo-mahométane, les folies sociétales contre-nature lgbtiaqqxyz +++ ou encore à multiplier les radars de toutes sortes, modernes bandits manchots de grand chemin destinés à rançonner et racketter les automobilistes. Cela éviterait bien de trop nombreuses cérémonies funèbres dues à l’impéritie républicaine en marche depuis de longues années dans laquelle le gouvernement casse-tête du maquereau macron en langue picarde se complaît, ce dernier n’ayant pas accompli de service militaire au demeurant, tout en se prétendant chef des armées face aux meilleurs généraux français.
Honneur à ce jeune hussard parachutiste et qu’il repose en paix avec la reconnaissance des Français dans le sillage du colonel-comte Berchemy. Saint Michel veille sur eux.
Fernand CORTES de CONQUILLA
Cercle Légitimiste de France
Pendant ce temps, les Traoré, des Maliens, nous emmerdent...
Hé oui, la soupe est bonne en France!
Mais, attention, à force de crever les petits-blancs, il n'y aura plus de pognon à récupérer... c'est pas les noirs qui bossent le plus en France!
ils vont devoir émigrer dans un autre pays à ravager!