L’Europe vieillit, l’Inde vieillit, la Chine vieillit, la Russie vieillit, les EU vieillissent, le Brésil vieillit, le Japon vieillit, la Corée vieillit. Taux de fécondité très en dessous du seuil minimum de 2,3 enfants par femmes en âge de procréer pour perpétuer les populations. Le nombre des personnes de plus de 60 ans flambe, plus d’un milliard deux cents millions retraités dans ces pays à l’horizon 2050, et quelques dizaines de millions de centenaires, pendant que les pays d’Afrique noire majoritairement musulmans sont en plein boom démographique.
Un pays comme le Niger a multiplié sa population par 9 depuis son indépendance. Le planning familial n’est pas dans la culture africaine.
Si l’on extrapole, à l’horizon 2100, on ne sera pas loin de deux milliards de plus de 60 ans et, eux, ils auront triplé voire quadruplé leur population.
Un remplacement qui semble inévitable et contre lequel il n’y a guère de remède pour inverser la TENDANCE. C’est la loi de la nature, sauf cataclysme écologique ou guerre mondiale.
Des populations disparaissent et d’autres s’y substituent.
Qui va accompagner les personnes âgées, les aider dans leur quotidien, payer leurs retraites, les soigner avec une pyramide des âges inversée?
Le Grand remplacement est le résultat d’une faillite démographique qui aurait pu être évitable. En Chine et en Inde, pays qui comptera près de 400 millions de plus de 60 ans en 2050, on a fait le choix d’une politique répressive et sélective démographiquement. Enfant unique en Chine et "pas de filles" en Inde. Deux pays qui verront leur population réduite de moitié dans 70 ans tandis que le Nigeria passera à 800 millions d’habitants en 2100.
Aucun rideau de fer ne saura arrêter les Noirs africains dans leur quête de subsistance dont les prémices commencent à se faire sentir avec la vague migratoire qui inonde d’ores et déjà la Libye, la Tunisie et l’Algérie, en train de devenir des camps de transit pour les migrants sub-sahariens.
Salem Benammar
120 attaques au couteau par jour, de simples faits divers selon Macron!
Macron, le pire fossoyeur de la France, nie ouvertement l’insécurité qui détruit le quotidien des Français, mais s’entoure prudemment d’une puissante garde prétorienne pour assurer sa protection personnelle.
Depuis 2017, pas moins de 50 policiers de la préfecture de police ont été transférés à l’Élysée pour renforcer les 77 membres du GSPR. Et en 2018, au plus fort de la crise des Gilets jaunes, 600 policiers et gendarmes protégeaient notre Président tétanisé, terré dans son bunker élyséen.
Le peuple quant à lui, abandonné à la violence de rue, paie au prix fort la démission et la lâcheté du pouvoir. Le naufrage sécuritaire que vivent les Français atteint des proportions dévastatrices.
Avec 44 000 attaques au couteau par an, chiffre ahurissant qui est bien entendu occulté par les médias, voire nié par nos apôtres du multiculturalisme, la France confirme d’année en année son titre de pays le plus dangereux d’Europe.
L’insécurité a été multipliée par cinq depuis les années 1960. La violence au quotidien c’est:
100 000 viols par an, quasiment tous impunis;
3 000 agressions par jour dont seulement 1 000 déclarées;
120 attaques au couteau quotidiennes, de plus en plus souvent mortelles;
Des dizaines de commissariats attaqués par des bandes de mineurs assurés de l’impunité;
Un narcotrafic qui explose et se tient à ciel ouvert comme un commerce légal;
Des milliers d’armes de guerre qui dorment dans les caves des cités alors que Macron, qui a désarmé les Français, n’ose pas donner l’ordre de les vider;
Des tirs quotidiens à la kalachnikov en pleine rue rue, comme on joue du klaxon un 14 juillet;
Des écoles, des urgences, des transports, devenus le réceptacle de toutes les violences alors qu’ils étaient des sanctuaires;
Des scènes de guérilla urbaine incessantes, avec vitrines saccagées, magasins pillés et forces de l’ordre attaquées par des émeutiers décidés à se faire un flic, encouragés par un laxisme judiciaire criminel qui désintègre la nation;
25 membres des forces de l’ordre tués chaque année et 30 blessés par jour.
La justice de gauche a tué la liberté d’expression et encouragé la criminalité.
Il faut s’appeler Gérard Collomb pour avoir le droit de dire: "Aujourd’hui, on vit côte à côte. Mais je crains que demain, on vive face à face".
Il faut s’appeler Jack Lang pour avoir le droit de dire que " les 2/3 des détenus sont musulmans".
Car chacun sait que le lien insécurité-immigration est une fable d’extrême droite, même si 7% d’étrangers occupent 25% des places de prison.
Ce qui n’empêche pas Macron d’accueillir 500 000 immigrés par an, sans parler des clandestins. Plus l’échec de l’intégration est patent, plus il ouvre les frontières.
Il n’y a rien à attendre d’un pouvoir mondialiste qui nie le naufrage de l’intégration, avec le soutien inconditionnel des juges et des médias, un pouvoir incapable de protéger ceux qui assurent notre protection mais qui n’ont plus le droit de se défendre.
Caillassées d’un côté et lynchées médiatiquement de l’autre, à la moindre interpellation un peu musclée, les forces de l’ordre n’ont plus aucun pouvoir ni soutien de leur hiérarchie. Pour bien des juges, il y a en chaque policier un raciste qui sommeille.
Le système monte en épingle une violence policière quasi inexistante, mais nie une violence quotidienne bien réelle, qui n’a rien d’un simple sentiment d’insécurité.
Depuis des années, zadistes, black-blocs, antifas et malfrats en tous genres font la loi. La France n’est un pays de droit que pour les hors-la-loi hyperprotégés.
Mais le pire est que l’immense majorité des politiques s’est résignée à cette violence, par peur d’être taxée de racisme et d’islamophobie.
Comme l’a dit Philippe de Villiers à Macron:
"Vous êtes le chef des dhimmis, vous êtes houellebecquisé".
Jacques Guillemain