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La vérité sur l’insurrection démocrate à Los Angeles

Ce qui se dit en France sur les émeutes de Los Angeles relevant le plus souvent de la désinformation de gauche, il importe de rétablir les faits.

Au cours des années Biden, des millions d’immigrants illégaux sont entrés aux États-Unis. Parmi eux, des assassins et autres criminels sortis de prison dans leur pays d’origine et envoyés vers les États-Unis, des membres de gangs de la drogue latino-américains et des gens venus tenter leur chance d’obtenir une vie meilleure.

Le résultat a été une explosion de la criminalité dans les grandes villes du pays, une très forte hausse du nombre d’overdoses mortelles touchant largement les adolescents, victimes du Fentanyl, une drogue venue de Chine communiste vendue sous la forme de bonbons à l’allure innocente, mais aussi une prolifération de petits bidonvilles peuplés par des sans-abri.

Les grandes villes américaines sont presque toutes gérées par le Parti démocrate, qui est devenu un parti d’extrême gauche, et sont des villes sanctuaires: des villes où la police de la ville a ordre de ne pas arrêter les immigrants illégaux, même quand ils commettent des délits mineurs et de ne pas coopérer avec les autorités fédérales si celles-ci entendent procéder à des actions d’expulsion d’immigrants illégaux.

Los Angeles est une ville sanctuaire (tout comme San Francisco), et la Californie elle-même est un État sanctuaire, ce qui signifie que la police d’État reçoit les mêmes ordres que les polices municipales.

Los Angeles est devenue une ville insalubre, défigurée. Il est difficile d’y trouver une rue ou une avenue qui ne soit pas jonchée de tentes abritant des immigrants illégaux. Les excréments et l’urine, les seringues d’injection de drogue accompagnent les tentes. Des maladies éradiquées depuis longtemps aux États-Unis ont refait leur apparition. Les vols dans les magasins sont fréquents (voler pour une somme inférieure à 950$ est un délit mineur). À la sortie d’un restaurant, dans de nombreux quartiers, des gens font de la mendicité.

S’ajoute à Los Angeles une lugubre particularité: la ville est très peuplée (10 millions d’habitants pour le Los Angeles County), elle est très étendue (12 000 kilomètres carrés), et elle est à 2 heures de route du Mexique. Cela a créé des opportunités pour les gangs de la drogue latino-américains. Ceux-ci ont fait passer pendant les années Biden l’essentiel des immigrants illégaux, et ont fait une différence entre les immigrants illégaux qui peuvent payer le passage et ceux qui ne peuvent pas payer et à qui il est proposé un arrangement. Ils entrent aux États-Unis, mais ils doivent travailler pour les gangs, et les gangs ont monté des ateliers clandestins où des immigrants illégaux sont en situation de travail forcé, et traités peu ou prou comme des esclaves.

Des parents ont aussi envoyé leurs enfants traverser la frontière en payant des passeurs, et le travail forcé est aussi effectué par des enfants esclaves. Ces activités immondes ont proliféré sous Biden. La police de Los Angeles a été incitée à fermer les yeux. La police fédérale et l’ICE ont été, sous Biden, empêchées d’agir.

Les maires qui se succèdent depuis des années à la tête de Los Angeles sont de plus en plus à gauche, et au cours de la présidence Biden, ils ont pratiqué l’aveuglement volontaire. La maire actuelle, Karen Bass, est d’extrême gauche et est une admiratrice de Fidel Castro et de Nicolas Maduro. La police municipale (LAPD) est sous les ordres de Karen Bass et applique à la lettre tout ce qui fait de Los Angeles une ville sanctuaire. Jusqu’en décembre 2024, le procureur général du comté de Los Angeles, Georges Gascon, était le procureur le plus laxiste des États-Unis et relâchait les criminels aussi vite que possible, y compris les meurtriers. Il a été battu aux élections de 2024 (les procureurs généraux, aux États-Unis, sont élus) par un homme un peu moins laxiste que lui.

La possibilité que la ville de Los Angeles repasse aux mains d’un maire républicain est nulle: des millions d’immigrants illégaux installés dans la ville ont été naturalisés sous Biden, reçoivent des assistances de la mairie démocrate et votent massivement démocrate. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, appartient lui-même au Parti démocrate et à l’extrême gauche, et la Californie, un superbe État, a basculé du côté de l’extrême gauche la plus délirante. Il y existe des zones républicaines, du côté de la vallée centrale et de la sierra, dans la banlieue lointaine des grandes villes. Alors que la Californie a tout pour être très riche, elle est un État ruiné.

Donald Trump a été élu sur un programme qui inclut le retour à la loi et à l’ordre, et ce programme implique l’expulsion des immigrants illégaux (21 millions selon les chiffres officiels), à commencer par les criminels de toutes sortes. À Los Angeles, ce programme ne peut, bien sûr, qu’impliquer l’abolition des ateliers d’esclaves.

Les Démocrates sont hostiles à cette politique et font tout pour empêcher sa mise en œuvre.

Dans le reste du pays, ils ne parviennent pas à empêcher cette mise en œuvre, et l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) parvient à faire son travail. Des juges d’extrême gauche mis en place par Obama et Biden font tout ce qu’ils peuvent pour entraver les expulsions (certains ont même violé la loi en hébergeant des immigrants clandestins et se sont retrouvés en prison), mais il n’y a pas d’émeutes.

Les Démocrates ont décidé de faire de Los Angeles la ville de la confrontation avec l’ICE, parce que le terrain leur est très favorable, maire d’extrême gauche, police municipale aux ordres de la maire, gouverneur d’État d’extrême gauche, ville sanctuaire dans un État sanctuaire.

Les émeutes se sont enclenchées lorsque l’ICE a fait intrusion dans un atelier d’esclaves, à Paramount, quinze kilomètres au sud du centre-ville (et en aucun cas devant un magasin Home Depot, contrairement à ce qui se dit). Un élu démocrate se trouvant à proximité de l’atelier a immédiatement commencé à créer une mobilisation. Un responsable syndical qui l’accompagnait (David Huerta du SEIU) a agressé des membres de l’ICE et est présentement emprisonné.

Les agents de l’ICE et leurs véhicules se sont retrouvés face à des émeutiers violents sans que la police n’intervienne. Les bâtiments de l’ICE situés au centre-ville et le centre de détention voisin ont subi des assauts sans que la police n’intervienne, là encore, et les agents de l’ICE, dont ce n’est pas la mission, ont dû se défendre seuls. Les policiers de la ville avaient reçu de la mairie l’ordre d’éviter les " provocations".

Dans une situation semblable, le gouverneur est censé faire intervenir la garde nationale de l’État. Gavin Newsom n’a rien fait.

Donald Trump a dû, comme il en a le droit, fédéraliser la garde nationale de Californie, autrement dit, la placer sous ses ordres et suspendre le pouvoir de Gavin Newsom la concernant. Cette décision était indispensable, et sans cette décision, les pillages, les destructions et les menaces auraient continué et la situation serait devenue plus grave.

La police de Los Angeles, depuis que la garde nationale est là, fait davantage son travail: ce qui se passe est sous le regard des caméras du monde entier, et Karen Bass n’a pu que changer d’attitude. La garde nationale de Californie veille sur les bâtiments de l’ICE et tous les bâtiments fédéraux. La police de Los Angeles s’efforce de repousser les émeutiers et procède à des arrestations. Des pillages de magasins ont eu lieu.

Des drapeaux ont été distribués: des drapeaux mexicains, surtout, mais aussi des drapeaux "palestiniens", et même des drapeaux du Hamas. UnidosUS (anciennement, National Council of La Raza) CAIR (Council on American–Islamic Relations), branche américaine des Frères musulmans a appelé à rejoindre le "mouvement de protestation". De nombreux véhicules ont été brûlés, et les taxis électroniques sans chauffeur de la firme WayMo, une filiale d’Alphabet, l’entreprise propriétaire de Google, ont été particulièrement visés. La mairie de Los Angeles a décrété un couvre-feu commençant à huit heures du soir, au bout de cinq jours d’émeutes, décision extrêmement tardive et a demandé au LAPD d’arrêter quiconque viole le couvre-feu.

Des émeutes supplémentaires se sont enclenchées au sud de la ville à Santa Ana. Une base des US Marines, Camp Pendleton, est soixante kilomètres plus au sud, et le secrétaire à la défense, sur demande de Donald Trump, a envoyé 700 US Marines sécuriser Santa Ana.

 

Karen Bass, Gavin Newsom, d’autres politiciens démocrates disent que Trump fait de la "provocation", ce que répètent, de manière complice, les médias français: c’est l’inverse absolu de la réalité et ces propos des Démocrates montrent ce que le Parti démocrate est devenu, un parti qui soutient les criminels et ceux qui violent la loi. Des politiciens démocrates lancent des appels à un soulèvement insurrectionnel généralisé des villes sanctuaires contre la "politique dictatoriale" de Trump, et des manifestations ont pris forme dans quatre autres villes sanctuaires: Seattle, Chicago, New York, Philadelphie. Les Démocrates veulent la déstabilisation de l’administration Trump par la violence.

La loi et la démocratie sont du côté de Trump. Donald Trump respecte la loi et la Constitution américaine, Karen Bass, Gavin Newsom, les politiciens démocrates sont du côté du crime. Ceux qui ont voté Trump, et j’en fais partie, veulent que Trump fasse ce qu’il a promis de faire. Et en ce moment la cote de popularité de Trump est en hausse.

Les émeutes à Los Angeles, cela doit être précisé, ont été organisées.

Des camions ont rapidement livré des palettes entières de briques et de parpaing en divers endroits de la ville pour que briques et parpaings soient à disposition des émeutiers. D’autres camions ont livré des boucliers rectangulaires, des casques de protection et des lunettes de plongée, et tout cela a été distribué aux émeutiers.

Des agitateurs sont arrivés en minivans, bien équipés pour le combat.

Des affiches ont été rapidement imprimées et distribuées.

Des documents montrent que des organisations d’ultra-gauche ont reçu ces dernières années des financements de la ville de Los Angeles et de l’État de Californie, plusieurs millions de dollars annuels. L’une d’elle est le Party for Socialism and Liberation (PSL), auquel l’assassin de deux diplomates israéliens à Washington a longtemps appartenu. Le PSL a eu pour slogan il n’y a pas si longtemps Exterminate Zionists.

Trump décrit les émeutiers comme des insurgés, c’est exactement ce qu’ils sont. Il est vraisemblable que les gangs qui tiennent les très lucratifs ateliers d’esclaves apportent leur contribution. Tom Homan, qui dirige l’ICE, explique ce qui doit l’être et que j’explique ici à longueur d’interviews sur FoxNews et Newsmax.

Les Démocrates avaient réussi à semer le désordre dans une large part des États-Unis au cours de l’été 2020, grâce au mouvement marxiste Black Lives Matter, et Trump avait eu beaucoup de mal à rétablir l’ordre: il n’avait pu fédéraliser des gardes nationales et avait été trahi par le chef d’état-major des armées, l’infâme général démocrate Mark Milley, qui avait refusé d’obéir aux ordres du Président.

Cette fois, la situation est très différente. Trump a toutes les cartes en main.

Il est crucial que l’ordre soit rétabli, et il le sera. Il faudra ensuite que le FBI et la justice s’intéressent de près au financement des émeutes et aux organisations d’ultra-gauche qui s’en sont chargées. Ces organisations ne sont pas des organisations politiques, mais des organisations criminelles. Il faudra que l’ICE puisse continuer son travail.

En France, non seulement les journalistes reprennent quasiment tous à leur compte le discours des Démocrates, donc de l’extrême gauche américaine, et accusent Trump, mais ils occultent tout ce qui peut permettre de comprendre ce qui se passe.

On peut voir ce qui serait survenu si, par malheur, Kamala Harris avait été élue: elle a publié un communiqué soutenant le soulèvement et accusant Trump d’être responsable du désordre.

Tout retour au pouvoir des Démocrates à Washington serait un danger majeur pour le pays et pour le monde. Le Parti démocrate n’est plus le parti du temps de Bill Clinton et est moins encore le parti du temps de John Kennedy.

Qu’il soit impossible en France de dire la vérité dans les grands médias montre à quel point la France s’est éloignée de la démocratie.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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