interdiction de se défendre !
Dans la région d’Annecy également, comme partout ailleurs, les racailles n’ont plus aucune retenue et se frottent désormais aux militaires. Preuve qu’ils ne respectent absolument rien et surtout pas la France.
Quinze militaires du 27e bataillon de chasseurs alpins faisant leur footing le matin ont été suivis et harcelés par une bande de racailles bien décidées à en découdre.
Les racailles ont suivi les militaires, leur ont fait des croche-pieds, les ont insultés, des coups ont été échangés. Ils voulaient évidemment en découdre en provoquant les militaires. Une plainte a été déposée, qui n’aboutira probablement à rien.
Les militaires ont réussi à se débarrasser de la racaille et sont rentrés par un autre chemin pour “ne pas envenimer la situation“. On croit rêver. Nos militaires ne peuvent donc plus circuler librement dans leur propre pays! … C’est céder à la racaille. C’est céder à l’ennemi.
Des clients d’un magasin ont appelé les secours. On se demande bien pourquoi. C’est surréaliste. Les militaires n’ont-ils pas les moyens de se défendre tout seuls comme des grands?
Dans le cas présent, les chasseurs alpins étaient une quinzaine mais n’ont rien pu faire en raison des règlements qui les paralysent. Voilà une bande de racailles qui paralyse une quinzaine de militaires : ils sont sur le bon chemin pour paralyser toute notre armée, un jour.
Les militaires devraient selon moi pouvoir se défendre directement et faire immédiatement taire les agresseurs, dont le comportement n’est absolument pas acceptable.
Dans le bon vieux temps, un tel harcèlement n’était ni tolérable ni toléré, les militaires étaient rarement agressés et quand ils l’étaient, ils réglaient leurs compte eux-mêmes, de manière virile par une bonne expédition punitive, et personne ne les critiquait.
Je me souviens d’un fait divers qui m’a été raconté par quelqu’un qui y a participé. Un membre des commandos Marine du poste de commandement des sous-marins nucléaires à Houilles (78) s’était fait sauvagement agresser dans le RER en rentrant d’une permission, il y a environ vingt-cinq ans.
Les commandos ont voulu savoir qui était l’agresseur. Ils ont arpenté la ville tous les soirs, en marchant au pas en rangers et survêtements. Cela durait plusieurs heures. Une marche au pas, ça fait du bruit, et on n’entendait plus que cela dans les rues, le soir.
Au bout de quelques jours, les habitants de Houilles en ont eu assez, et ils ont indiqué qui étaient les auteurs de l’agression.
Les commandos sont allés donner une bonne leçon à ces agresseurs, ils leur ont cassé la figure en bonne et due forme.
Plus aucun militaire de retour de permission ne s’est fait agresser dans le RER pendant longtemps et à Houilles les commandos ont eu la paix.
Mais aujourd’hui les militaires ont affaire à des racailles qui sont soutenues en haut lieu et qui ne sont jamais lourdement sanctionnées comme elles le devraient. De plus, ces racailles sont armées et n’hésitent pas à se servir de leurs armes. Enfin quand les militaires se défendent, on parle de bavure, toutes sortes de marches blanches ont lieu pour les soi-disant victimes et toutes sortes de « bonnes âmes » montent au créneau pour cracher sur les militaires. Les médias aux ordres ne sont pas en reste.
Un militaire qui se défend contre une racaille risque le tribunal et d’être chassé de l’armée en cas de condamnation.
Bref, le mot d’ordre donné aux militaires est « fermez votre gueule et laissez-vous agresser en silence. On ne veut pas en entendre parler.»
L’urgence aujourd’hui est de ne plus permettre que nos militaires soient agressés. Il en va du respect dû à notre pays. Même des gens comme le minable Micron devraient le comprendre. À travers notre armée, c’est nous tous qui sommes agressés et Macron l’est aussi, doublement : en tant que Français et en tant que chef des armées.
La racaille se sent forte. Forte de son impunité. Forte de sa victoire annoncée. Que les racailles maliennes qui sont en nombre en France aillent se battre au Mali et on en reparle, mais elles n’ont même pas ce courage élémentaire.
Nous avons les gouvernants les plus bêtes et les plus lâches du monde. Nous espérons tous retrouver des jours meilleurs où ceux qui ont la belle mission de nous défendre pourront cesser de baisser la tête devant les sauvages. Mais ce n’est pas gagné.
Sophie Durand