20 000 euros par "retenu" en centre, contre 961 euros par ancien
Qui parle des centres de rétention administrative, pudiquement appelés CRA? Personne, jamais. Pourquoi? Parce que c’est un scandale.
Dans ces centres, chaque "retenu" coûte précisément à la France la somme de 649 euros par jour soit quelque 20 000 euros par mois…
À côté de cela, l’allocation du minimum vieillesse atteint 961 euros par mois (à condition qu'il ne soit pas propriétaire, car, au décès, l'Etat récupère -sur l'actif successoral- tout l'argent versé), Quel scandale. Et ces vieux trop polis ne descendent pas très souvent dans la rue. Ils devraient.
20 000 euros par mois, pourquoi, comment?
La France place en rétention une partie des hommes tout juste sortis de prison – c’est le cas, ici, pour trois hommes sur quatre -, des OQTF (obligation de quitter le territoire français), des étrangers que la justice éloigne de gré ou de force du territoire national, mais aussi des femmes et des familles. Tous attendent, aux frais du contribuable, que ce départ soit possible.
Il y aurait selon la Cimade 15 000 personnes retenues en France en ce moment. Il y a 26 CRA en France.
Sans parler des mineurs non accompagnés, qui ne sont ni mineurs ni non accompagnés, et nous coûtent également un pognon de dingue, ni de tout le reste. L’insécurité a explosé en France : 185 cambriolages par jour. 120 attaques au couteau par jour. 67 viols pas jour. Des jeunes femmes tuées de façon atroce, comme Lola, Axelle Dorier, ou cette ravissante italienne découpée en morceaux et mise dans une valise par vous savez qui.
Les églises attaquées à la machette, incendiées chaque jour, pendant que les mosquées prolifèrent, ça suffit.
La gare du Nord, qui n’est plus la France, selon Amine Elbahi, juriste français d’origine kabyle. 80 % des détenus font le ramadan. Par ce chiffre, on sait qui remplit majoritairement les prisons.
Qu’attendons-nous? Que la France tout entière soit comme la gare du Nord, qu’elle ne soit plus la France ?
Cessons tout d’abord, de toute urgence en cette période de crise, de dépenser "un pognon de dingue" pour ces gens et contre nous-mêmes.