Le réchauffisme est une secte perverse comme furent le trotskysme ou l’hitlérisme au siècle précédent. Avec ses gurus, son dogme, ses rites, ses officiants, ses adeptes, sa propagande pesante et son inquisition maniaque. Grotesque si elle n’était pas aussi nocive. Intolérante et agressive contre les blasphémateurs et les hérétiques.
Parmi les victimes les plus connues de la vindicte réchauffiste
Hendrik Tennekes viré du poste de directeur de la recherche de l’institut météorologique hollandais,
Aksel Winn-Nielsen, ancien directeur de l’Organisation Météorologique Mondiale, éjecté,
Suzan Crockford, docteur en zoologie, virée de l’université de Victoria, pour avoir révélé que les populations d’ours polaires augmentaient régulièrement.
Les éminents universitaires italiens Alfonso Sutera et Antonio Speranza privés de tout crédit de recherche, coupables d’avoir contesté les fondements du prétendu réchauffement climatique anthropique.
Mais aussi Peter Ridd, enseignant à la James Cook University Queensland renvoyé pour avoir attribué le dépérissement des coraux à la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, au lieu de dénoncer comme unique cause le soi-disant réchauffement anthropique.
Au procès, les attendus de la cour furent révélateurs: " Ridd a été victime de persécutions, de brimades, et d’un harcèlement hystérique jusque dans sa vie privée, sans autre reproche que d’avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. "
En 2022, selon l’Institut australien des sciences de la mer, la grande barrière de corail dont la disparition était annoncée à cause du réchauffement a atteint des niveaux de couverture inégalés depuis 36 ans. Bonne nouvelle pour les zékolos? Que nenni ! Entre chantages aux carrières et copinages politiques, ils ont exigé que les magazines et émissions axés sur l’environnement n’en parlent pas !
Quant à la France, est-il utile de rappeler le tombereau d’injures déversé par les médias aux ordres sur Claude Allègre, médaille d’or du CNRS et membre de l’Académie des Sciences? Avec cet argument spécieux: "Il n’est pas climatologue!".
Sans dire que les 2 patrons du GIEC de l’époque, le Français Jouzel et l’Indien Pachauri étaient l’un physicien atomiste, et l’autre ingénieur ferroviaire.
En France le crétinisme et la soumission sont des vertus appréciées
On est loin de l’esprit soixante-huitard pour qui le prof n’est pas là pour imposer ses théories que chacun doit apprendre par cœur. Ce sont les étudiants qui, en discutant, doivent analyser des données concrètes et en extraire des concepts. Avantage de la démarche: on apprend à peser le pour et le contre pour se forger une opinion, et à défendre son point de vue en argumentant.
En France, l’enseignement secondaire et supérieur des 50 dernières années se sont ingéniés à diluer le sens critique, émasculer l’esprit frondeur, condamner le goût des discussions hors piste, et rejeter cet extraordinaire stimulus pour l’esprit qu’est la remise en cause des théories qu’on croit acquises pour en explorer de nouvelles. En dehors de la doxa fixée par le Nouvel Ordre Mondial et ses banksters, point de salut !
La climatologie du GIEC est une variante de la pataphysique
Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d’en tirer une loi, avant d’en vérifier les tenants et aboutissants lors d’expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs… Méthode scientifique classique, hors physique quantique…
Les gens du GIEC sélectionnent des statistiques, ou les truquent, et assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, en écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.
Des voyants à la vue trouble
L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on parvient à sérier séparément mais dont on a le plus grand mal a déterminer l’inter connectivité parce que celle-ci est conjoncturelle et imprévisible. Prétendre maîtriser l’ensemble de ces données, en les confiant à un ordinateur qui pratique des tris croisés et des extrapolations selon le programme qu’on lui a implémenté, témoigne d’une extraordinaire suffisance confinant à l’arrogance.
La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque: prédire et justifier le réchauffement global. Et une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tous les maux !
C’est tout simplement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau.
H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%)
Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à la folie obsessionnelle (la trogne agitée de Greta est contagieuse) alors que dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et en fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1.
C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infra-rouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !
En outre, les " savants " du GIEC ignorent l’effet du gradient thermique vertical: l’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12° à 2000 m.
Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit du fait de la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.
Pour Richard Lindzen, professeur au MIT et physicien spécialiste de l’étude de l’atmosphère: " Il n’y a pas de consensus, unanime ou non, sur les tendances de long terme du climat et sur leurs causes (…) Nous ne sommes pas en position d’attribuer avec suffisamment de confiance les changements climatiques passés au dioxyde de carbone, ou de prédire ce que le climat sera dans le futur".
Tandis que feu Frédérick Seitz, physicien en structure des matériaux et rayonnements ionisants, et président de l’Académie des Sciences des USA, disait:
"Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat".
Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l’activité solaire ont émis l’hypothèse qu’on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle consécutive au "minimum de Maunder" à partir de 2030.
Pensée magique contre paramètres de Milankovitch
Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques.
Ce sont les paramètres de Milankovitch validés par la science expérimentale:
L’analyse des isotopes de l’oxygène dans les glaciers, la paléoclimatologie confirme les corrélations entre les éruptions et taches solaires et les ralentissements ou accélérations d’activité de notre étoile.
La cyclo-stratigraphie entérine la théorie astronomique des climats, par l’analyse des cycles sédimentaires qui sont autant d’indicateurs dans les dépôts des sédiments marins carbonés, de l’influence de la précession, de l’obliquité et de l’excentricité.
La dendrochronologie sur des périodes plus courtes de l’ordre de 10.000 ans, étudie des cernes des arbres y compris fossilisés, révélant la succession des période chaudes, froides, sèches, humides et leur durée.
Mais qu’importe ! Les réchauffistes persuadés de savoir distinguer le Vrai du Faux, le Bien du Mal, comme leur simplette Greta voit et sent le CO2, se sont auto-investis de la mission sacrée de protéger l’espèce humaine contre ses propres erreurs. Ils annoncent des cataclysmes qui correspondent à des événements climatiques extrêmes comme on en a toujours connu, en taisant cette statistique qui donne à réfléchir: En 1931 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu’entre temps, la population mondiale a quadruplé.
Pour les chamanes de la secte réchauffarde, tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont dans le Faux et le Mal, et menacent la survie de l’humanité. Les réchauffistes ont donc un devoir impératif de museler tous ceux qui contestent leurs lubies. C’est une logique d’inquisiteur. De nazillon ou de stalinien. Ou de khmer rouge repeint en vert.
Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !
Christian Navis