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Société - Page 201

  • Comment couler encore plus la France?

    Plafonnement des paiements en espèces: les entreprises françaises en péril

    quand les sur-transpositions de Bercy portent atteinte aux entreprises françaises.

    Les directives européennes, au moins depuis l’année 2005, ont imposé des obligations de vigilance auxquelles sont soumises les personnes négociant des biens dès lors qu’elles effectuent ou reçoivent des paiements en espèces pour un certain montant, que la transaction soit effectuée en une fois ou sous la forme d’opérations fractionnées qui semblent être liées.

    C’est ainsi que la 3e directive européenne du 26 octobre 2005 (n°2005/60/CE) a imposé la mise en place d’un seuil de vigilance de 15 000€; seuil rabaissé à 10 000€ dix ans plus tard par la 4ème directive européenne du 20 mai 2015.

    La France, faisant preuve d’une lecture particulièrement restrictive de ces textes, décide alors d’imposer non pas des seuils de vigilance mais des seuils d’interdiction de paiements en espèces au-delà de 1 000€ pour les résidents français (3 000€ pour les monnaies électroniques) et de 10 000€ pour les non-résidents (et 15 000€ pour les transactions relevant du secteur du luxe).

    En légiférant ainsi, les pouvoirs publics n’ont pas pris en compte l’impact significatif qu’engendraient de telles mesures sur le secteur du luxe, du commerce de l’art, des antiquités et du tourisme.

    En effet, la France qui accueille plus de 80 millions de visiteurs par an se prive de ce fait de toute une clientèle particulièrement aisée (ressortissants chinois, japonais, brésiliens, russes et moyen-orientaux) qui a l’habitude de procéder à des transactions au moyen de paiements en espèces: lorsque ces clients apprennent l’existence de cette réglementation au moment du paiement en boutique, 34 % d’entre eux renoncent à l’achat (Xerfi France, Étude d’impact, septembre 2016). Rappelons ici incidemment que pour 44 % des touristes chinois, le shopping est un critère déterminant dans le choix de destination.

    Quant au seuil d’interdiction touchant les résidents français, l’étude XERFI indique qu’une vente sur 4 est annulée du fait de cette restriction à 1 000 €, laquelle était ignorée par 79,6 % des clients avant l’achat.

    Non seulement l’instauration de tels seuils d’interdiction porte atteinte à la libre circulation des capitaux et des moyens de paiement telle que définie à l’article 63 du traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne, mais elle contribue surtout à créer d’importantes distorsions de concurrence entre les entreprises européennes.

    En effet, de nombreux autres États membres de l’Union Européenne disposent d’une législation beaucoup plus souple: par exemple, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Luxembourg, l’Autriche ou encore l’Irlande ne fixent aucun seuil pour les paiements en espèces, mais bien des procédures de surveillance. Ces seuils de surveillance, tels qu’imposés par Bruxelles garantissent, de plus, la traçabilité des personnes qui payent en cash au-delà de 10 000 €. En imposant des interdictions, la France se coupe de cette traçabilité et donc de surveillance. De plus, cette inégalité de traitement des espèces contribue à déporter injustement une partie des échanges commerciaux vers les autres États européens et États frontaliers.

    La Commission européenne le reconnaît: dans son dernier rapport du 12 juin 2018, elle relève que les restrictions aux paiements en espèces " peuvent inciter les consommateurs et les entreprises à renoncer à effectuer une transaction, à déplacer la transaction dans un pays où ces restrictions n’existent pas, de sorte qu’elles contribuent à des déplacements artificiels d’activités commerciales. "

    C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de déposer un recours administratif pour faire évoluer l’état du droit actuel, et redonner au luxe à la française la compétitivité économique qu’il mérite.

    Avocate fiscaliste docteur en droit conseillère régionale d’Île-de-France, 1er Vice-président de l’Alliance Centriste. 

    Déléguée générale du comité Vendôme. ↩

    Déléguée générale UBH union de la bijouterie et de l’horlogerie.

  • Christophe Castaner à Beauvau?

    C’est quelqu’un qui est ambigu sur le communautarisme et qui, face à l’islamisme, a toujours été dans le laxisme. Castaner a dit que le voile islamiste était comparable aux foulards de nos grands-mères et il a expliqué que le terroriste qui a tué le colonel Beltrame n’était pas dans la radicalité religieuse. Nommer un homme comme lui ministre de l’Intérieur, un poste aussi stratégique, cela m’inquiète....

    Les femmes se mettaient un foulard sur la tête en signe du respect pour le lieu où Dieu les écoutaient....

    pas pour éviter la convoitise des hommes..... ces raclures qui ne pensent qu'à violer et tuer plus faibles qu'eux.... des lâches!

     

  • Violences gratuites en augmentation

    Depuis janvier, 170.000 personnes ont été victimes d’agressions gratuites,

    "lynchées pour un sourire, une cigarette refusée ou un regard"

    Les violences gratuites sont en hausse en France. Policiers et gendarmes en dénombrent plus de 700 chaque jour.

    Pour un jeune homme de 25 ans, tout a basculé pour un sourire, sur le parking d’une discothèque de Perpignan (Pyrénées-Orientales). "Une personne m’a posé la question: “’pourquoi tu souris?" et je lui ai dit “pourquoi je n’ai pas le droit de sourire?" et de là c’est parti (…) une dizaine d’agresseurs m’ont porté des coups", raconte-t-il sous couvert d’anonymat. Six minutes d’un déchaînement de violence gratuite. Bilan: un traumatisme crânien, des dents cassées et de multiples hématomes.

    Comme lui, près de 170 000 personnes ont été victimes d’agressions gratuites, sans aucun motif crapuleux, depuis janvier dernier. Une augmentation de 7,7% en un an, qui comprend aussi les violences domestiques. Parfois, ces agressions débouchent sur des drames. Il y a eu 134 morts depuis le début de l’année, le plus souvent dans des conflits banals. Parmi eux, Adrien Perez tué alors qu’il s’interposait dans une bagarre devant une discothèque de l’Isère, en juillet 2018.

    FranceTvinfo

     

  • Au lieu de se faire apprécier…

    on va les exécrer tellement que ça finira mal, très, très mal! La coupe est -déjà- archi-pleine

     

    G-B : elle veut vandaliser une fresque en hommage aux étudiants morts durant la 1ère Guerre parce qu’ils sont tous blancs

    La présidente des étudiants de l’Université de Southampton (G-B) a exigé la destruction d’une fresque murale commémorant les étudiants qui sont morts au combat pendant la Première Guerre mondiale, car les hommes représentés sont tous “blancs“.

    Emily Dawes, la présidente de l’Union des étudiants de l’Université de Southampton, a juré de vandaliser le mémorial à moins qu’il ne soit démoli.

    La fresque, exposée au cœur du campus de l’université, représente des soldats tombés au champ d’honneur – qui étaient étudiants avant de partir combattre pendant la Grande Guerre – en train d’obtenir les diplômes qu’ils auraient du recevoir.

    “Croyez-moi, nous enlèverons la fresque murale d’hommes blancs même si je dois la repeindre moi-même“», a déclaré Mme Dawes sur son compte Twitter.

    Mais, il faut l'enfermer jusqu'à la fin de ses jours, cette con….se

    Plus tard, elle a ajouté: “En tant que Blancs, nous sommes tellement ignorants et fermés d’esprit sans même nous en rendre compte. Écoutez vos amis/collègues/étudiants noirs et demandez leur comment vous pouvez être l’allié qu’ils souhaitent !!!!!!!"

    Le syndicat étudiant s’est excusé pour ses commentaires, mais n’a pas supprimé le message original de Twitter. Le site Web de l’université indique que la murale Rothenstein, qui se trouve dans la salle du Sénat du campus Highfield, a été peinte en 1916 “en souvenir des membres des universités britanniques ayant servi pendant la Grande Guerre“.

     

  • Macrouille est en train de se planter

    (et ce n’est pas réjouissant)

    Le chômage est toujours aussi haut, les dépenses publiques et la dette continuent leur marche en avant triomphale et les prélèvements obligatoires crèvent tous les plafonds.

    Redevenir le maître des horloges, mettre un terme à la séquence estivale d’effondrement du macronisme, redonner du sens et de l’élan au quinquennat – tel était certainement l’objectif d’Emmanuel Macron lorsqu’il s’est adressé aux Français mardi 16 octobre dernier, au soir de l’annonce du remaniement ministériel. Mais dans les faits, on a eu droit à une allocution sinistre, délivrée sur un ton sinistre, dans une ambiance sinistre. Ou comment apparaître plus affaibli que jamais.

    Ce petit exercice télévisé hésitant et mal goupillé m’a irrésistiblement rappelé celui de François Hollande quand il nous a annoncé qu’il ne se représenterait pas. Même ton pitoyable, même mine d’enterrement, mêmes concessions formelles aux erreurs qui ont pu être commises… et pourtant, chez les deux hommes, même satisfaction du travail accompli.

    Si Hollande a finalement été acculé à déserter la scène présidentielle, Macron, après seulement 17 mois d’exercice du pouvoir, n’a pas d’autres choix que de tenter de reprendre la main pour mener son mandat jusqu’au bout. Or curieusement, et contre toute logique, alors qu’il sait " toutes les blessures de notre vieux pays, ses doutes, ses peurs et ses colères aussi ", il fait allègrement l’impasse sur toute auto-critique et annonce qu’il ne changera rien:

    Allocution d’Emmanuel Macron: " Il n’y a aujourd’hui ni tournant, ni changement de cap ou de politique " pic.twitter.com/5Co2PCY38y

        — franceinfo (@franceinfo) 16 octobre 2018

    Est-ce à dire qu’on va continuer à passer en revue systématiquement, fébrilement et superficiellement tous les chapitres de nos exceptions françaises, changer deux ou trois virgules de place, remplacer deux ou trois mots par-ci par-là et passer rapidement au thème suivant en se félicitant une fois de plus d’avoir mené des réformes inédites qui vont à l’évidence faire de la France la grande puissance " économique, éducative, sociale et environnementale " qu’elle aspire à être? Qu’on va continuer à empiler les textes législatifs, s’extasier sur leur nombre ébouriffant et ne surtout pas s’attaquer aux structures en profondeur?

    Force est de constater qu’après 17 mois d’exercice du pouvoir, on observe aucune inflexion nulle part dans les grandeurs qui seraient censées attester de la réalité des réformes. Le chômage est toujours aussi haut, les dépenses publiques et la dette continuent leur marche en avant triomphale et les prélèvements obligatoires crèvent tous les plafonds. C’est d’autant plus décourageant qu’Emmanuel Macron a bénéficié en début de mandat (comme Hollande avant lui) d’une période de croissance économique qui permettait d’agir.

    Aujourd’hui, Emmanuel Macron est un Président très affaibli. Non seulement sa cote de popularité stagne au plus bas, 29% selon la dernière livraison du baromètre Ifop- JDD, mais l’on voit surtout qu’il subit un désamour qui le vise personnellement dans la mesure où son Premier ministre rebondit à 41% après une chute à 34 % en septembre.

    Entre les deux, l’action politique n’étant pas en cause, c’est le style qui pose problème. D’abord cette façon erratique de lancer des petites phrases, une fois dans un sens quand il parle du " pognon de dingue " que nous coûte notre système social, puis une fois dans l’autre quand il vante les mérite de " notre amie l’Urssaf ", n’aboutissant ainsi qu’à entretenir la confusion sur les orientations de sa politique.

    Ensuite cet abus de coups de com’ tout aussi erratiques qui le font passer de la solennité régalienne des palais de la République à la démagogie la plus imbécile quand il transforme le perron de l’Élysée en boîte électro pour la Fête de la Musique ou quand il se fait photographier en compagnie de deux énergumènes qui ont si peu de respect pour la fonction présidentielle qu’ils n’hésitent pas à faire un doigt d’honneur sur la photo. Que tout ceci se retourne contre lui alors que chômage et impôts continuent à grimper n’étonnera personne.

    Son parti La République en Marche n’est pas en meilleure forme. Hâtivement formé de bric et de broc sur les sables mouvants d’un changement jamais clairement défini pendant la campagne électorale, plus basé sur le lyrisme échevelé de beaux discours calculés pour envoûter que par un programme précis, on constate maintenant très logiquement qu’il est saisi des tentations " plurielles ", ou " frondeuses ", au choix, qui ont si bien réussi au Parti socialiste. Penser de plus que l’étincelante Marlène Schiappa postule pour en prendre la tête en dit long sur la fragilité du mouvement et son vide conceptuel.

    Les perspectives d’avenir ne sont pas plus plaisantes. L’embellie sur la croissance s’étant évanouie, il devient difficile de compter sur une amélioration des conditions économiques à court terme.

    Pour arranger le tout, la mise en place du prélèvement à la source à partir de janvier 2019 sera forcément une nouvelle occasion de bourdes et de mécontentement. Aussi bien Emmanuel Macron qu’Édouard Philippe ont montré qu’ils avaient des doutes sur le sujet. On se demande vraiment ce que Gérald Darmanin peut avoir comme moyen de pression pour imposer cette réforme, stupide en elle-même du fait des hyper-complexités spécifiques à la fiscalité française et stupide dans son calendrier d’application puisque les inévitables premiers couacs se feront sentir dans les mois qui précèdent les élections européennes. Le gouvernement voudrait s’offrir un échec électoral  fracassant qu’il ne procéderait pas autrement.

    Il était pourtant possible de ne pas se retrouver dans cette impasse.

    Et si notre exécutif s’occupait enfin d’assurer sérieusement ses fonctions régaliennes qui consistent à protéger les personnes et les biens, plutôt que de mettre au point des usines à gaz juridiques pour traquer des "fake news" qui n’ont jamais tué ni volé personne et qui, de toute façon, ne peuvent être intelligemment combattues que par le débat d’idées dans un espace public ouvert, certainement pas par la pénalisation?

    Et si le gouvernement s’occupait de baisser significativement les impôts pour redonner aux agents économiques des moyens d’investir et de consommer, avec tous les effets bénéfiques induits sur la baisse du chômage et la hausse du pouvoir d’achat, plutôt que de fomenter des plans santé et des plans pauvreté coûteux qui n’auront pas d’autres effets que de retirer encore un peu plus de capitaux du secteur productif, entraînant inéluctablement hausse du chômage et pauvreté?

    Et si Emmanuel Macron, notre startupeur en chef, décidait de faire confiance aux entrepreneurs –ces entrepreneurs qui innovent, produisent, embauchent et paient des salaires– plutôt que de les fliquer en permanence pour vérifier si les écarts de paie entre les hommes et les femmes ou entre les plus hauts et les plus bas salaires sont conformes à l’idée purement théorique et idéologique qu’il se fait d’un niveau de rémunération acceptable?

    On pourrait continuer la liste assez longuement.

    S’avisant peut-être qu’une dose de catastrophisme l’aiderait à reconstruire son rôle de rempart contre tous les populismes, Emmanuel Macron concluait son allocution télévisée de la semaine dernière en des termes annonçant la tempête:

    "Le monde se fracture, de nouveaux désordres apparaissent et l’Europe bascule presque partout vers les extrêmes et, à nouveau, cède aux nationalismes. Ceux qui ne voient pas ce qui est en train de se passer […] décident implicitement d’être les somnambules du monde qui va. "

    Mon Dieu, oui, en effet. Et il est certain que les alternatives politiques disponibles à l’extrême-gauche comme à droite ou à l’extrême-droite n’ont pas fait la démonstration qu’elles seraient plus aptes à sortir la France de son ornière étatiste et lui redonner des degrés de liberté.

    Mais à ce compte et au vu de ce qu’Emmanuel Macron a fait jusqu’à présent, n’est-il pas lui-même le premier " somnambule du monde qui va"?

    N’est-il pas celui qui, par son intenable "en même temps" et son progressisme infantile, freine la libéralisation du pays, empêche des résultats concrets d’apparaître et cristallise les incompréhensions et les colères de ceux qui voient le fruit de leur travail ravagé par l’impôt et leur art de vivre plombé par l’insécurité?

    contrepoints.org

     

  • Une connerie inouï

    Chaque jour, je me dis qu'on ne peut pas être plus con que cela, mais bien sûr, tous les jours, une connerie plus énorme encore, chasse celle de la veille!

    L’association américaine de défense des animaux Peta demande de ne plus boire de lait, symbole de suprémacisme blanc

    L’association américaine de défense des animaux considère que le lait est utilisé comme symbole pour la pureté raciale.

    L’organisation fait référence à des articles de presse relayés par des partisans de l’extrême droite qui utilisent un emoji d’un verre de lait sur leurs réseaux sociaux ou déclarent fièrement qu’ils "tolèrent le lactose". Un symbole pour la pureté raciale.

        Cows' milk has long been a symbol used by white supremacists.

         One more reason to #DitchDairy. https://t.co/EcHYpUmBux

     

        — PETA ❤️

     

    il y a une imbécile en France qui dirait que le lait devrait être noir... comme elle.

    elle nous a déjà fait le coup avec l'intérieur des pansements....

    elle passe sur LCI toutes les semaines, avec des chiffons tarabiscotés dans ses cheveux aussi tarabiscotés que son intelligence...

    et dire qu'elle a fait des études supérieures PAYÉES PAR LA FRANCE pour venir nous faire des leçons de perverse égocentrique....

    combien de ces gens-là dans les médias??? pervers égocentriques, je veux dire.