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occitanie - Page 230

  • L’antifascisme, le vrai.

    […]

    Histoire de remettre les idées en place, le 18 juin, j’ai relu cette page des Mémoire de guerre ou de Gaulle décrit son arrivée à Londres: "je m’apparaissais à moi-même, seul et démuni de tout, comme un homme au bord d’un océan qu’il prétendrait franchir à la nage“.

    Pour faire bonne mesure, je me suis repassé plusieurs documentaires, surtout ceux d’Antoine Casubolo intitulés "les derniers compagnons". Ensemble de témoignages de ces Français libres distingués par le titre de "Compagnons de la Libération" qui leur fut décerné par de Gaulle. Au-delà de l’émotion et de l’admiration que l’on éprouve à entendre tous ces héros s’expliquer avec tant de simplicité, on ne peut s’empêcher de se poser, lancinante, la question: comment quelques garçons de 20 ans, de toutes origines sociales, géographiques et politiques, ont pu faire le choix, alors que tout était perdu, la nation effondrée, les élites légitimes appelant à la soumission, de partir sans armes, sans bagages, sans même savoir où aller, simplement pour continuer le combat? Je dis quelques, car ils furent peu nombreux. Comme l’a dit Elizabeth de Miribel qui fut la secrétaire de Charles de Gaulle, Londres n’était pas une ville où on arrivait, c’était une ville dont on partait… André Maurois, Raymond Aron, Jean Monnet, Alexis Léger, tous les notables fuyaient pour le confort et la sécurité des États-Unis. Alors, chacun de ceux qui étaient à l’époque, de très jeunes hommes donne son explication. Tous, quelle que soit leur origine ou leur parcours, parlent à leur façon, de la France, du caractère inacceptable de la défaite. Et de la nature de l’ennemi. Et ils racontent le combat, la victoire, le difficile retour à la vie civile.

    Maurice Halna du Fretay a été tué aux commandes de son avion lors du raid canadien sur Dieppe en août 42. Il avait rejoint l’Angleterre en novembre 40 après avoir, remonté pièce à pièce un vieil avion qu’il avait réussi à faire à atterrir en terre anglaise. Interrogé, après cet exploit, sur ses motivations il avait répondu simplement: " Je suis pauvre comme Job, je suis libre comme l’air. Je ne suis plus vaincu".Dans la sociologie particulière de ce groupe étrange, les aristocrates étaient les plus nombreux. En général les cadets de famille. Ils eurent le taux de pertes le plus élevé. Normal.

    Il y avait, beaucoup de bretons, de ces marins têtus qui payèrent un si lourd tribut à la bataille de l’Atlantique. Des intellectuels, des enseignants, des étudiants. Peu de paysans et d’ouvriers, catégories assommées par la défaite et la destruction du Parti Communiste. Ils se rattraperont.

    Il y avait des juifs, aussi comme André Zirnheld jeune professeur de philosophie alsacien, premier officier parachutiste français tué à l’ennemi en juillet 1942 et auteur de la fameuse prière du para. Lazare Pytkowicz, "Petit Louis" qui commença la résistance en novembre 40 à l’âge de 12 ans! Il s’enfuit du Vel’ d’Hiv’ en juillet 42. Devint agent de liaison. Arrêté trois fois par la Gestapo. Évadé trois fois. Il aura affaire à Klaus Barbie. Torturé, on lui demande s’il aurait parlé. Il répond non en souriant, jamais! Puis se reprend et dit, confondant de modestie: "Mais, attention, je n’ai pas subi le supplice de la baignoire. Seulement les coups". Il attendra en vain au Lutétia, ses parents et ses sœurs restés à l’intérieur du Vél d’Hiv. Sa Croix de la Libération lui sera remise dans le bureau du proviseur où il a été convoqué pendant la classe qu’il a reprise à la Libération.… Il a 16 ans.

    Le communiste Jean Devé chef de district à la gare de Villedieu les Poêles rejoint Londres en juin 40. Il organise la sortie de Bir Hakeim en juin 42, s’élance  le premier sur son Bren Carriers, pour ouvrir la voie aux ambulances chargées des blessés transportables, "hurlant à la bataille", arrêté par un obus antichar en pleine poitrine.

    "Une mère, ça ne doute de rien". Madame Moore habite à Louvigné-du-Désert, à quelques kilomètres de Villedieu les Poêles. Ses deux fils, Fred et Gaston, sont partis en Angleterre, en bateau à voile le 19 juin 1940. Depuis, aucune nouvelle. Au soir du 3 août 1944, la grand-rue de Louvigné résonne du passage incessant des troupes alliées qui viennent de s’engouffrer dans le sillage de la percée de Patton." Mme Moore, Mme Moore, il y a des français, c’est l’armée Leclerc! " C’est pourtant vrai! Madame Moore avise un gaillard dans son half track:

    "-Dites moi, vous n’auriez pas connu les frères Moore?

    -Fred et Gaston? Ils sont justes derrière. Mon lieutenant, on vous demande! "

    "Ce furent les retrouvailles" nous dit sobrement Fred d’une voix qu’il essaie d’affermir.

    Des ecclésiastiques aussi, comme le truculent abbé de Naurois, antinazi farouche, Compagnon de la Libération et Juste parmi les nations, qui débarqua le 6 juin 1944 avec le commando Kieffer armé de son seul missel. Daniel Cordier, bien sûr, personnage extraordinaire. Dont la voix se brise lorsqu’il raconte son arrivée à l’Olympia Hall, lieu de rassemblement de la poignée de français " qui ne s’étaient pas couchés devant l’ennemi " au début du mois de juillet 1940. Arrivée de nuit, toutes les fenêtres éteintes. Qui s’allument les unes après les autres et des voix qui se répondent parlant du pays d’où elles viennent: Brest! Concarneau! Bayonne! Rouen! Paris! Et la marseillaise qui éclate. "La plus belle que j’ai jamais entendue". On veut bien vous croire, Monsieur.

    Des militaires, finalement pas mal. Égaux à eux-mêmes. Leclerc, Koenig,  Amilakvari, le prince géorgien, tant d’autres. J’ai une prédilection particulière pour Edgar de Larminat. Que de gaulle gratifiait d’une amitié " circonspecte".  Dont je recommande la lecture des " chroniques irrévérencieuses " particulièrement savoureuses. Sa définition de Leclerc en 1943: "“ c’est le gaillard qui vient vous regarder sous le nez d’un air méchant, vous écrase le pied en vous bousculant et vous chipe votre mouchoir. Au moment où vous allez-vous rebiffer, vous vous apercevez qu’avec ce mouchoir il a fait un service de table complet alors vous ne dites rien et donnez votre chemise“. “

    Tous antifascistes. Tous. Mention particulière pour ce juif tunisien qui n’avait jamais mis les pieds en France et a débarqué, un des 177 du commando Kieffer le 6 juin 44. Qui décrit cette journée, avec son accent pied-noir à couper au couteau et une mine rigolarde. Les Anglais qui s’effacent quand la barge, touche le sable,  en leur disant: " Messieurs les Français rentrez chez vous les premiers". La prise du Casino d’Ouistreham. Les camarades tombés.  Sa voix qui change et se brise dans un sanglot  lorsqu’il raconte l’honneur retrouvé. Comment, au soir du combat, le colonel anglais,  commandant le régiment, blessé à la tête, se redresse pour les saluer et les pointant du doigt, leur dit: " vous, les Français, vous avez fait du bon travail. "

    On terminera avec ceux pour qui le "no pasaran" veut vraiment dire quelque chose. Ces Espagnols de la retirada qui ont rejoint la France libre et formé une compagnie célèbre: "la Nueve " celle qui rentrera la première dans Paris en août 44 commandé par le capitaine Dronne à qui Leclerc avait dit:" Je vous donne le commandement des Espagnols. Ils font peur à tout le monde. Ils ne sont pas vraiment faciles. Vous devriez vous en sortir…. " Antifascistes ceux là aussi, des vrais, des rudes. Qui à leur grand désespoir, après neuf ans de combat, ne pourront pas rentrer dans leur patrie.

    Ce vieil homme retiré dans sa maison de retraite en Bretagne, qui a combattu au Tchad, en Libye, libéré Paris avec la Nueve, qui n’a jamais voulu retourner en Espagne et reçoit dans sa chambre aux murs de laquelle est accroché le drapeau de la République espagnole au côté  de la photo de son chef, Philippe Leclerc de Hautecloque,  est-il le Miralles, dont parle Javier Cercas dans son magnifique roman, "Les soldats de Salamine"?

    "Il pense à un homme fini qui eu du courage et l’instinct de la vertu et pour cela ne se trompa jamais ou ne s’est pas trompé au moment où il fut vraiment important de ne pas se tromper….à un soldat seul dans un interminable désert ardent, brandissant le drapeau d’un pays qui n’est pas le sien, d’un pays qui est tous les pays à la fois et qui n’existe que parce que ce soldat brandit son drapeau renié". Antifascisme…

    Il y a probablement plusieurs façons d’être antifasciste. Mais c’est une chose sérieuse. Ceux que l’on vient de saluer l’ont été dans des circonstances particulières, celles où l’on payait le prix dans sa chair. C’est la raison pour laquelle il faut traiter tout cela avec précaution et ne pas galvauder. Le ventre serait encore fécond…?  Certainement, certainement, mais il ne faut pas manier les symboles et la mémoire n’importe comment. Et puis écouter, et réfléchir à ce que nous disent ces gens-là.

    Que pour être antifasciste il faut d’abord être patriote.

    Source: Vu du droit, Régis de Castelnau, 09-07-2013

    http://www.les-crises.fr/2013-lantifascisme-le-vrai-par-regis-de-castelnau

     

     

  • Macron: celui qui lèche le cul des musulmans radicaux! Ne votez pas Macron, par pitié!

    Les liaisons dangereuses de Macron avec l’islamisme

    Vendredi 21 avril à l’antenne de RTL, Emmanuel Macron a répondu "je ne vais pas inventer un programme de lutte contre le terrorisme dans la nuit" à Elisabeth Martichoux qui lui faisait remarquer qu’elle n’avait rien vu dans son programme sur les fichiers S et plus généralement sur la lutte contre le terrorisme islamique.

    En matière de "foutage de gueule" Macron bat tous les records. Ce serait risible si ça n’était pas à pleurer si il n’avait pas été et à l’Elysée et Ministre pendant la mise en place de l’Etat d’urgence.

    Le problème de Macron en matière d’islamisme et donc de terrorisme est lié directement à sa campagne.

    1ère séquence: La colonisation crime contre l’humanité

    Les déclarations d’Emmanuel Macron sur la colonisation "crime contre l’humanité" et la Manif pour tous " humiliée " avaient été qualifiées de premiers faux pas par la presse. Il ne s’agissait pas de faux pas mais bel et bien de gages aux musulmans les plus radicaux.

    2ème séquence: Sur Beur FM il justifie le radicalisme de Mohammed Saou

    “Il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux, c’est ça qui est compliqué. Mais à côté de ça, c’est un type qui est très bien Mohamed en plus”. Alors que Mohamed Saou se refuse à condamner l’attentat contre Charlie Hebdo mais affiche publiquement son soutien à l’imam Tarik Chadlioui (Ibn Ali), qui a radicalisé un kamikaze du Bataclan. Et ça c’est la partie immergé de l’iceberg.

    3ème séquence: La présence de barbus et de femmes ostensiblement voilés faisant campagne pour Macron

    Depuis déjà 4 mois, la présence de femmes ostensiblement voilés et de barbus (qui ne sont pas des hipsters à fixies) qui distribuent des tracts et font campagne pour Macron (Pour ne prendre que quelques exemples avérés à Montrouge (92), Malakoff (92), Villeurbanne (69), Firminy (42), Mulhouse (68), Marseille (13), Valence (26), Nice (06) etc...). Des militants d’En Marche s’en sont ouverts auprès des instance de la campagne d’Emmanuel Macron et se sont vus dans le meilleurs des cas se faire traiter de mythomanes, dans le pire menacés. Nombres d’entre eux, écœurés, ont purement et simplement quittés la campagne.

    4ème séquence: Pas de politique de lutte contre le terrorisme et les fichiers S

    Dixit Macron lui-même "je ne vais pas inventer un programme de lutte contre le terrorisme dans la nuit". Mais déjà le 23 novembre 2015, le Ministre Macron déclarait "que la société française porte " une part de responsabilité " dans la radicalisation des terroristes à l’origine des massacres du 13 novembre". "Je ne crois pas pour ma part qu’il faille inventer de nouveaux textes, de nouvelles lois, de nouvelles normes, pour aller chasser le voile à l’université, pour aller traquer ceux qui lors des sorties scolaires peuvent avoir des signes religieux" déclarait-il encore.

    5ème séquence: A fond dans la discrimination positive ; Plus loin que le droit de vote: la nationalité française au rabais

    Mardi 7 mars 2017, dans un entretien à l’AFP, Emmanuel Macron enfonce le clou en voulant systématiser une politique de discrimination positive. Politique qui a largement fait la preuve au mieux de son inefficacité, au pire de son danger puisque tous les pays en pointe sur le sujet en sont revenus.

    Toujours au cours de ce même entretien à l’AFP, Emmanuel Macron, l’air de rien, va plus loin que l’obtention du droit de vote aux étrangers, puisqu’il propose une massification de l’octroi de la nationalité française plutôt que le droit de vote. Autrement dit, il propose ni plus ni moins qu’une dilution programmée de la France.

    On pourrait enchaîner les séquences sur les liaison dangereuses et coupables de Macron avec l’islamisme. On retrouve bien là #EmmanuelHollande qui à chaque nouvel attentat fait mine de découvrir le problème en prenant bien soin de ménager l’islam dans sa version la plus radicale

    En savoir plus sur http://www.lagauchemorale.com/actualites/article/les-liaisons-dangereuses-de-macron-avec-l-islamisme#60ErrqOMDlo4oOSe.99

     

    pitié, ne votez pas Macron!

     

     

  • Le fils est plus vieux que le mari de sa mère? qui???? Macron, bien sûr!

    Chez nous, on appelle cela: La Famille Tuyau de Poêle!
     
    Allez une petite dernière pour la route... Vous voulez ? 

    Si je vous dis Sébastien Auzière... ça vous parle ? Non, c'est normal.
     
    C'est juste le fils aîné de Brigitte Trogneux devenue Macron. A 42 ans, soit 3 ans de plus que l'actuel mari de sa maman, il est devenu Senior Vice Président de la société Kantar... Kantar Health à capitaux en partie qataris ... qui a acheté il y a quelques années l'institut de sondages Sofres devenu depuis Kantar-TNS-Sofres, filiale de WPP, leader mondial des études d'opinions (basé depuis 2009 à Jersey).
     
    De là à sous-entendre que certains instituts de sondages rouleraient plus spécialement pour Macron, il n'y a qu'un pas que naturellement je ne franchirai pas.
     

  • Macron-Le Pen: indignes!

    Un débat à la hauteur de la campagne qui l’a précédé

    David Desgouilles

    Blogueur et romancier.

    On aurait aimé en plaisanter. On aurait aimé dire qu’on attendait patiemment que l’un des deux protagonistes explique à l’autre quelle était sa recette du pot au feu, comme dans le film La gueule de l’autre.

    Mais à vrai dire, on n’a pas le cœur d’en plaisanter. Car il devait s’agir du débat entre deux personnalités concourant pour la magistrature suprême de la cinquième puissance mondiale. Au lieu de cela, nous avons assisté à un spectacle indigne. Même un débat sur une chaîne info en plein été à onze heures du soir entre éditorialistes de troisième zone aurait été de meilleure qualité.

    Ce débat était à l’image de cette "recomposition low-cost" dont nous avons ici décrit la mise en place. La véritable recomposition avait trop attendu. Elle disposait, au moment où elle devait intervenir, sans doute il y a quinze ou vingt ans, de personnalités à la hauteur, cultivées et complexes. Les vieux partis, accrochés à leurs prébendes, l’ont retardée avant de subir l’énorme échec du premier tour de cette élection présidentielle. Nous en récoltons le résultat: une foire d’invectives entre deux personnages caricaturaux et manifestement indignes de la fonction présidentielle.

    L’abstention leur dit merci!

    Mais que pouvions-nous attendre d’autre, au terme de la pire campagne présidentielle de la Ve République, naviguant entre le pathétique et le grotesque? Après le débat, les journalistes sur les plateaux avaient beau jeu de fustiger ce spectacle affligeant. Notre presse ne fut guère à la hauteur et a contribué grassement à la mise en scène de ce naufrage du débat public. Rappelons-nous l’émission-phare du service public de télévision, "L’Emission politique", avec ses invités-mystères, ses clashs prémédités et son cynique et irresponsable Monsieur Loyal, David Pujadas. Ce dernier avait d’ailleurs l’eau à la bouche avant le face-à-face d’hier soir, en empruntant à la sémantique du commentaire sportif.

    On peut prévoir que l’abstention ne soit pas découragée dimanche prochain après l’écœurement suscité par cette foire d’empoignes. Reste à savoir quel camp sera le plus démobilisé. Quel que soit le vainqueur, même si Emmanuel Macron semble le plus probable, on peut légitimement se demander s’il est raisonnable de lui envoyer une majorité à l’Assemblée nationale. Nous en sommes là: voir dans une France ingouvernable un moindre mal. Et tout cela dans un monde dangereux. Hier soir, je me suis souvenu de Philippe Séguin posant il y a bien longtemps le diagnostic sur notre démocratie malade et sur notre crise morale. Nous sommes en phase terminale.

    http://www.causeur.fr/debat-macron-le-pen-presidentielle-44132.html

     

  • Macron qui prétend nous protéger!..... il rêve le mec!

    Témoignage: comment mon pays s’est islamisé, votez bien pour ne pas vivre cette horreur et disparaître

    Les discussions au sujet de l’élection présidentielle française me surprennent, car mon entourage se préoccupe beaucoup plus des aspects économiques du programme des deux candidats que de leur plan de lutte contre l’insécurité en général et le terrorisme en particulier.

    L’aspect économique a son importance, mais je crois que le véritable enjeu de ces élections est civilisationnel.

    La question cruciale est celle de l’immigration incontrôlée, et de sa conséquence directe, qui est l’islamisation de la France et du reste de l’Europe.

    Un pays peut survivre à une crise économique, mais pas à sa propre disparition!

    Ceux qui se soucient de l’économie ne réalisent-ils pas le coût abyssal de l’immigration massive et de l’islamisation de la France,

    Soit nous votons pour un candidat dont le patriotisme ne fait aucun doute, soit nous coulons.

    Ne comptons pas sur d’autres signes alarmants avant le basculement du pays. Il y a déjà eu suffisamment de signes avant-coureurs de notre naufrage imminent.

    Des signes alarmants, il y en a eu aussi dans le pays où je suis née, où chrétiennes comme musulmanes portaient des mini-jupes en ville, et des bikinis à la plage. Le jour où un homme a tranché d’un trait de rasoir horizontal la peau de l’arrière des genoux d’une jeune fille en mini-jupe, nous avons cru à un incident isolé, car cela ne s’était jamais produit auparavant. Nous n’étions pas en Arabie, tout de même!

    Mais je me souviens avoir ressenti un profond malaise en apprenant qu’un policier musulman présent sur les lieux a souri en voyant les jambes ensanglantées de la jeune fille paniquée, et n’a pas tenté de lui porter secours. A l’époque, il n’y avait pas de groupes islamistes visibles dans le pays.

    Quand un parti islamiste a été fondé, et que deux barbus sont entrés à la Chambre des Députés du pays, certains ont ri: comment ces deux guignols allaient-ils s’y prendre pour islamiser un pays comme le nôtre, en marche vers le progrès (grâce aux chrétiens), et où l’illettrisme était en voie de disparition (grâce aux écoles chrétiennes),

    Aujourd’hui, les chrétiens ne sont plus majoritaires dans le pays, il y a une bonne quinzaine de barbus à la Chambre des Députés, qui ne font plus rire personne.

    Ensuite quelques jeunes musulmanes commencèrent à circuler voilées. C’était si rare que nous nous retournions sur leur passage. Quand elles sont devenues plus nombreuses, on nous a dit qu’elles étaient payées par un pays musulman étranger pour porter le voile, mais que le jour où elles ne seraient plus payées, elles ne se voileraient plus. Donc il n’y avait pas d’inquiétude à avoir.

    Aujourd’hui, elles sont toujours voilées, et elles sont plus nombreuses que lorsque j’étais petite.

    Puis quand le pays s’embrasa, j’étais si jeune que j’ai cru ceux qui nous ont rassurés: c’étaient juste des "évènements", des "heurts inter-confessionnels" qui allaient se tasser, puisque nous étions, à ce qu’il paraît, un exemple de cohabitation pacifique entre différentes communautés religieuses.

    Mes grands-parents n’étaient pas de cet avis, et m’avaient raconté par la suite comment les musulmans turcs (qui étaient les maîtres de la région durant quatre siècles) avaient organisé un blocus pendant la première guerre mondiale pour affamer les chrétiens montagnards du pays, réussissant à en tuer 200.000, sur un total de 400.000 (1)

    Ils m’ont aussi parlé des terribles massacres de chrétiens perpétrés longtemps avant leur naissance, entre 1840 et 1860, par leurs voisins et compatriotes musulmans, sous l’oeil complaisant de la puissance turque.

    Fidèle à sa tradition de protectrice des chrétiens d’Orient depuis le Roi de France Saint Louis, la France a dû intervenir, sur ordre de Napoléon III, pour mettre un terme à ces massacres. Les forces militaires françaises sont restées stationnées dans le pays pendant un an, pour assurer la sécurité des chrétiens.

    Chacune de ces horreurs générait un sentiment d’insécurité et de perte de confiance chez les chrétiens survivants, régulièrement endeuillés, et qui ne pouvaient plus retourner dans leurs villages, retrouver leur maison, leur travail, leurs repères. Ils subissaient une sorte d’exil intérieur, ne se sentaient plus chez eux sur la terre de leurs ancêtres, et étaient donc acculés à quitter leur pays. Une vague d’émigration de chrétiens, notamment vers les Etats-Unis, suivait chaque massacre.

    On veut donc nous faire croire que nous sommes un exemple de cohabitation entre chrétiens massacrés et musulmans massacreurs, sous prétexte que cela fait quelques décennies qu’il n’y a pas eu de génocide contre les chrétiens, mais juste des petites tueries deci delà. On nous fait espérer que les conflits vont s’arranger, qu’il y a forcément un moyen de " vivre-ensemble " avec les musulmans, qui sont pourtant responsables de l’invasion et l’islamisation forcée de 57 pays, entraînant la mort de plus de 270 millions de victimes en 14 siècles.

    En grandissant, j’ai réalisé que les non-musulmans survivent mal au vivre-ensemble avec l’islam. Ils ont toujours la peur au ventre, n’osent pas faire des projets sur le long terme, investir, construire, car ils vivent en permanence avec l’épée de Damoclès de l’islam au-dessus de leur tête.

    Ce climat de peur existe actuellement en France: dans les banlieues islamisées, la vie n’est guère facile pour les non-musulmans, et beaucoup d’entre eux ont soit déménagé, soit se sont convertis à l’islam " de leur plein gré ", sans couteau sous la gorge, mais à force de pressions " amicales ": c’est à dire pour avoir la paix.

    En France aussi, on ose vous parler de vivre-ensemble avec l’islam. Et on cherche à vous faire croire que l’islam est un danger nouveau pour la France, une idéologie que vous ne connaissez pas bien, et sur laquelle vous n’avez pas le droit d’émettre un avis, sauf si c’est un avis positif.

    Pourtant l’islam est l’ennemi traditionnel de la France et du reste de l’Europe. Et la France s’est construite non seulement avec le christianisme, mais surtout contre l’islam, sa barbarie, et ses incessantes tentatives d’invasion de l’Europe.

    Quand je suis arrivée en France, mes amis français voyaient régulièrement à la télévision les ruines de ma ville natale suite aux combats qui faisaient rage. Ils me disaient parfois:

    "Eva, tu verrais mon appartement en ce moment, tout y est à l’envers! Il ressemble à ta ville natale“!

    Ma ville était donc synonyme de chaos. Mes amis ne l’avaient vue que dans cet état lamentable. Mais elle n’avait pas toujours été ainsi. Dans ma ville, il y avait un conservatoire de musique, une cité sportive, des jardins, des écoles, beaucoup d’écoles, un centre-ville vibrant, un port en pleine activité, une vie nocturne, une vie culturelle, des cinémas, des piscines, des universités, des hôpitaux, un club d’équitation. Et quelques musées et théâtres aussi.

    Des artistes, locaux et étrangers, venaient se produire dans un site archéologique grandiose, devant le grand temple romain remarquablement bien conservé. Sous la voûte étoilée du ciel, dans l’air tiède du soir, mes parents y ont assisté à un ballet de la troupe de Maurice Béjart. Ils ont été charmés d’y voir Rudolph Noureev danser " Roméo et Juliette ", le ballet composé par Sergueï Prokofiev. Ils ont également écouté dans ce cadre féérique l’orchestre philharmonique de Berlin, sous la baguette de Herbert Von Karajan.

    Je n’ai jamais décrit à mes amis français ma vie d’avant le chaos, dans la sérénité de mon quartier chrétien, mes promenades d’enfant au crépuscule, quand je rentrais de l’église silencieuse où j’allais me recueillir quotidiennement pour un court moment. Je ne leur ai pas raconté les effluves de gardénia ou de jasmin qui m’enveloppaient quand je longeais les arcades des maisons traditionnelles, qui me consolaient de la laideur des immeubles en béton. L’odeur vivifiante de l’iode faisait partie de mon univers olfactif, car la mer n’était jamais loin.

     

     

    De la terrasse de notre appartement familial, je voyais tous les matins le disque presque blanc du soleil se lever pudiquement de derrière la montagne, qu’il nimbait d’un halo éblouissant. Tous les soirs, il se couchait presque écarlate dans une mer qu’il faisait flamboyer.

    Quand je vais à Nice dans le sud de la France, ou à Thessalonique (2) dans le nord de la Grèce, et que je vois les jolis immeubles alignés sur le front de mer, je ne peux pas m’empêcher de penser avec amertume que c’est à cela que ma ville natale aurait pu ressembler si le père de Mahomet s’était retiré à temps.

    Alors quand mes amis français comparaient leur appartement dévasté à ma ville natale, j’avais envie de protester que ces ruines qu’ils voyaient aux informations télévisées, ce déluge de feu, ce chaos, cette désolation…avant, c’était un pays!

    C’était mon pays.

    Refusons que ce même malheur frappe la France. En votant le 7 mai prochain, ne pensons pas à notre pouvoir d’achat, ni à nos avantages sociaux, mais à la survie de la France, menacée par l’islam et par l’immigration massive et incontrôlée en provenance de pays musulmans.

    Cela fait des années que j’entends les musulmans médiatisés chanter le même refrain:

    "Arrêtons de parler de l’islam, les Français ont des problèmes bien plus importants, le chômage, la baisse du pouvoir d’achat, la précarité…c’est de cela que nous devrions parler“.

    Faut-il que ces musulmans éprouvent un profond mépris pour les Français, pour tenter de faire diversion d’une manière aussi triviale! Pensent-ils que si les Français atteignent un niveau de vie correct, ils vont fermer les yeux sur l’islamisation de leur pays, et tolérer que leurs enfants soient en danger à chaque fois qu’ils sortent de la maison, à cause du terrorisme et de l’insécurité liés à l’islam,

    J’ai écouté attentivement les consignes de vote des imams, des organisations islamistes, et des islamo-collabos. Tous ont conseillé le même candidat, sans donner la raison de leur choix, à part celle de " faire barrage " à l’autre candidat, qui est connu pour son patriotisme, et qui est la bête noire des islamistes. (3)

    Ni Emmanuel Macron, ni son porte-parole n’ont rejeté le soutien des islamistes ou des organisations islamistes:

    http://www.fdesouche.com/848223-marion-le-pen-au-porte-parole-de-macron-rejetez-vous-le-soutien-des-islamistes-de-luoif-il-ne-repond-pas?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

    Il est donc évident qu’un patriote doit voter pour le candidat que redoutent les imams, les islamistes, et les islamo-collabos. Car ce candidat ne s’est jamais compromis avec des islamistes, et n’a jamais dit qu’un musulman ayant commis des actes radicaux est néanmoins " un type très bien ":

    Sur #BeurFM, #Macron ne sait pas que le live n’est pas coupé et confie que son référent #MohamedSaou est radical mais que c’est un type bien pic.twitter.com/fQwJrrsiYz

         — Madame Lenvie

  • En marche droit vers le gouffre!

    ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2017 - Alors que les derniers sondages sur la présidentielle reflètent une chute d'Emmanuel Macron, Marine Le Pen enregistre un soutien de poids. Le résultat au 2eme tour de l'élection semble se resserrer. Le direct.

    Dernier sondage : Macron chute lourdement

    Sondage présidentielle 2017 - Le tout dernier sondage sur la présidentielle lui donne 6 points de moins. Un autre, publié un peu plus tôt, chiffre la dégringolade à 4 points. Si Emmanuel Macron reste en tête des intentions de vote pour ce 2eme tour de l'élection présidentielle, les résultats des derniers sondages, ce vendredi, montrent à quel point le candidat d'En Marche est à la peine. Selon le sondage BVA pour l'Express et la presse régionale publié ce soir Macron est crédité de 59% des voix contre 65% avant le premier tour.

    Marine Le Pen monte mécaniquement de 35% à 41% dans la même enquête. Selon un sondage Odoxa pour Le Point publié un peu plus tôt, Emmanuel Macron tombe aussi à 59% d'intentions de vote et lâche quatre points à Marine le Pen (41%) depuis le début de la semaine. En comptant les non-exprimés, Emmanuel Macron n'est qu'à 47%, Marine Le Pen à 33% et il y a 20% d'indécis.

    Ces deux sondages hebdomadaires confirment de manière spectaculaire la chute progressive d'Emmanuel Macron dans les "rollings" quotidiens depuis dimanche. Selon le dernier sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud Radio, le candidat d'En Marche (60%) perd encore 0,5 point face à Marine Le Pen (40%) et revient à son score de lundi. Selon le "PrésiTrack" Opinionway-Orpi pour Radio Classique et Les Echos, Emmanuel Macron (60%) gagne néanmoins un point face à Marine Le Pen (40%).

    Mais c'est la première hausse du candidat d'En marche dans ce sondage depuis le 19 avril. Découvrez une synthèse de tous les sondages du 2eme tour grâce à notre compilateur.

    http://www.linternaute.com/actualite/politique/1357555-presidentielle-2017-resultat-dernier-sondage-macron-en-danger-2eme-tour/

     

    Je recommence à croire à l'intelligence des Français.....

    Sortez la gauchiasse: ça urge!

     

     

Blog d'une Française de FRANCE: vive la laïcité, vive la FRANCE et la République Française!