À Vannes, Philippe, 63 ans, vit dans des toilettes publiques depuis deux ans. Ce sont des choses qui se passent en France. Dans notre pays, il vaut mieux être migrant que SDF français. Philippe n’avait qu’à être migrant, c’est simple!
Philippe, ancien ouvrier chez Michelin, a installé un matelas et quelques couvertures dans les toilettes pestilentielles de la ville de Vannes. Il reçoit régulièrement des visites de Pascale, qui est Gilet jaune, et aussi de la Croix-Rouge, les restaurants du coin lui donnent leurs restes. Malheureusement il ne peut pas avoir de réserves, car il se les fait voler sur-le-champ par d’autres sans-abris.
C’est pour cela qu’il ne peut être logé dans un hébergement d’urgence : il se fait automatiquement dépouiller de ses pauvres biens.
Le cabinet du maire, alerté, répond qu’il va trouver une solution. Mais cela fait un an et demi que le cabinet du maire fait cette réponse.
Il y a une centaine de sans-abris autour de Vannes. Dans toute la France, il y a une augmentation de sans-abris. Je vous parlais la semaine dernière d’un SDF de 72 ans à La Seyne-sur-Mer (Var).
Tout cela est très choquant mais quand on connaît les priorités de La Seyne-sur-Mer, on est scandalisé. Dans cette ville viennent d’arriver ce qu’on appelle par un détournement du langage, des mineurs non accompagnés. J’en ai rencontré deux ou trois lors d’un passage dans le Var, et suis prête à parier qu’ils avaient plutôt 25-30 ans. Ils sont quarante. Ils sont hébergés au fort Saint-Elme, près de la plage des Sablettes.
Lors d’une petite conférence, un responsable des Orphelins apprentis d’Auteuil chargés de ce projet, a raconté que ces mineurs non accompagnés (qui ne sont parfois ni mineurs ni non accompagnés) sont logés, nourris, blanchis, habillés, "accompagnés" par des "éducateurs", tout cela pour la modique somme de 125 euros par jour, ce qui fait quand même 4 600 euros par mois.
Évidemment, les 25 accompagnateurs doivent recevoir un salaire. Les MNA, et toutes les associations qui gravitent autour comme des mouches à miel, c’est un business, un pactole, une mine de diamants pour tous les opportunistes sans éthique et sans conscience qui se servent et s’engraissent.
25 accompagnateurs pour 40 jeunes?… C’est beaucoup, non? Les scouts se débrouillent beaucoup mieux, avec deux ou trois chefs pour 25 ou 30 scouts…
125 euros pour ces MNA, c’est un minimum; dans certaines villes cela va jusqu’à 200 euros par jour, soit 6 000 euros par mois pour une personne.
De 4 600 euros par mois à 6 000 euros par mois selon les communes, voilà ce que coûte un mineur non accompagné. Sans parler de l’argent de poche parfois versé en sus, et des cartes bancaires "d’urgence". Ni des soins médicaux.
Ce que n’a pas dit ce responsable, c’est que les travaux du fort Saint-Elme pour accueillir ces mineurs qui ne sont pas mineurs, ont coûté 450 000 euros, payés par le conseil départemental.
Le conseil départemental pourrait s’intéresser d’abord aux Seynois de souche, dont beaucoup sont en galère, comme on dit.
Mais, concluait le responsable à la fin de sa conférence, "il faut s’occuper de ces mineurs, sinon ce sont eux qui s’occuperont de nous. " Menace à peine voilée. De toutes manières, ils s’occupent déjà de nous par leurs prédations diverses et variées…
Dorian Munoz, candidat RN à La Seyne-sur-Mer, donne des explications intéressantes:
En effet, c’est totalement à sens unique. On ne demande aucune contrepartie, aucun effort à ces "mineurs non accompagnés "et surtout pas de se lever le matin pour faire leur lit, ranger leur chambre ou essayer de trouver un travail. Un responsable d’une de ces villes ayant visité un de ces centres me racontait qu’on laissait ces " djeunes " faire la grasse matinée et qu’il ne pouvait visiter leurs chambres parce qu’ils dormaient.
En prime, souvent ces mineurs non accompagnés, pour se faire de l’argent de poche, dealent et se livrent à toutes sortes de trafics, et on les retrouve dans de nombreuses agressions sexuelles, mais chuut! il ne faut pas le dire.
En décembre 2017, nous avions sur le sol français environ 25 000 mineurs non accompagnés. Et aujourd’hui?…
La politique d’accompagnement des mineurs nous coûterait deux milliards d’euros par an :
Ce sont des chiffres qu’on se garde bien de crier sur tous les toits.
Un lycéen en France coûte à l’État entre 6 000 et 10 000 euros par an. C ‘est bien moins qu’un mineur étranger.
Rappelez-moi combien un agriculteur touche comme retraite. Et le minimum retraite est de 702 euros par mois.
Nous ne devons absolument rien à ces MNA qui ne sont pas français, sont trop souvent illettrés et ne sont souvent pas employables ni intégrables dans la société française.
Philippe, ou le SDF de 72 ans de La Seyne-sur-Mer ou encore n’importe quel SDF de France et de Navarre aimerait toucher ne serait-ce qu’une toute petite partie du scandaleux pactole donné en pure perte aux MNA, qui ne nous le rendront jamais.
Ayant travaillé et cotisé en France, étant français, ces SDF devraient être prioritaires. Mais voilà: nos idéologues préfèrent financer l’invasion.
Qu’on se rassure, cela ne durera pas éternellement. Un jour les caisses seront vides. Un jour, le Français moyen sans dents alimentant cette poule aux œufs d’or, sortira sa fourche pour mettre tout ce beau monde dehors.
Un pays qui ne prend pas soin de ses aînés et qui les laisse dormir dehors, préférant s’occuper d’étrangers ingérables, agressifs, et animés de mauvaises intentions, est un pays qui perd ses valeurs, qui perd les pédales et qui va mourir.
Sophie Durand
https://ripostelaique.com/lhotel-pour-les-migrants-les-toilettes-publiques-pour-philippe-63-ans.html