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  • Manipulations des gauchiasses

    L’agression de Michel Zecler qui a eu lieu le 21 novembre dernier arrive, elle, à point nommé pour contrarier l’adoption de la loi dite " Sécurité Globale ", et spécialement pour que soit supprimé son article 24, qui interdirait de filmer les visages des policiers à l’occasion des manifestations.

    Il faut comprendre que si l’article 24 est maintenu, il enlèverait à la gauche et à l’extrême-gauche un outil précieux de propagande et un prétexte commode à invectives envers les forces de l’ordre. Ce genre d’outil étant grandement utile, ne serait-ce que pour leur conserver l’attention et l’adhésion de la population des quartiers dit "défavorisés".

    Et puis, il n’est pas interdit de penser qu’une autre manœuvre s’est ralliée à la mascarade, diligentée celle-ci par l’Elysée ; elle viserait à déstabiliser le ministre de l’Intérieur en raison de ses prises de positions, réputées favorables à la police en général, et aux factions extrêmes de celle-ci en particulier.

    Enfin, cette nouvelle affaire de "violences policières" est révélée quelques jours seulement après l’installation sauvage de migrants afghans sur la place de la République à Paris. Une action menée par un groupe gauchiste, dont l’intention était de provoquer une fois de plus les forces de l’ordre, et  de créer d’inévitables heurts.

    Avant de poursuivre, une parenthèse – culturelle.

    J’ai jeté un coup d’œil à la rue des Renaudes dans le 17e arrondissement. Le studio de Zecler y est bien répertorié, au 57. 

    Sachez qu’une personnalité, et pas des moindres, a vécu au n°7 de cette artère parisienne, de 1928 jusqu’à sa mort 7 ans plus tard: le capitaine Alfred Dreyfus. Quant à Georges Figon, un fils de famille qui avait mal tourné et pris part aux préparatifs de l’enlèvement du leader marocain exilé en France, Mehdi Ben Barka, il avait un studio rue des Renaudes en 1966, où il trouva la mort par balles, alors que la police venait l’arrêter (suicide, ou pas?). Yves Boisset se servira de son personnage trouble pour “L’Attentat” (1972), fiction transparente sur l’affaire Ben Barka.

    Revenons à “l’affaire Michel Zecler”  !

    Le 21 novembre 2020, il est 19h40 à la hauteur du 57 rue des Renaudes.

    Les journalistes de la chaîne de radio “France Bleu” ont pu consulter le PV de la déposition des policiers. Voici ce qu’ils rapportent:

    “Un individu non porteur du masque se dirige d’un pas rapide vers la rue des Renaudes. Il ne cesse de jeter des coups d’œil en direction de notre véhicule sérigraphié, paraissant nerveux”.

    Les policiers l’interpellent, aux fins de contrôle. C’est alors qu’ils s’avisent que l’intéressé porte un "gros sac en bandoulière". Une forte odeur de matière stupéfiante émane de sa personne.

    “L’homme continue son chemin, et alors que nous tentons de le saisir par le bras, pour le maintenir sur place, il se débat en nous repoussant à l’aide de ses mains, et se précipite vers la porte d’un établissement recevant du public.

    Il se trouve qu’il s’agit d’un studio d’enregistrement.”

    La suite du PV narre grosso-modo ce que l’on peut distinguer en visionnant la vidéo.

    Si l’on s’en tient à la déposition des policiers, il est clair que Michel Zecler leur est apparu " inquiet ", jetant sans cesse des coups d’œil en direction de la voiture balisée. Rappelons ici qu’il a été condamné, il y a quinze ans, pour vol à main armée. Les policiers le savent-ils? Peu probable. Le sac et l’odeur, semble-t-il, les ont mobilisés, plus que l’absence de port de masque.

    La suite de l’affaire tient à la vidéo que tout un chacun peut visionner. Sur les images la confusion est totale. La pénombre de l’entrée n’autorise pas, quoi qu’on en dise, une interprétation claire des images, et donc de trancher en faveur des déclarations des uns (les policiers) plutôt que de l’autre (Zecler). Certes, les attaques violentes de l’un des policiers, en civil, sont les plus visibles. Mais quant à celles-ci, je dirai plus loin ce qu’elles m’inspirent.

    Du côté de Michel Zecler, il me semble inutile de retranscrire sa déposition. Elle a été largement diffusée. En revanche, intéressons-nous à la suite des événements. Ils sont, de mon point de vue, révélateurs de la discordance des récits, que ce soit celui des policiers, ou celui de la "victime".

    Michel Zecler est donc emmené menotté au commissariat après une scène de rue qui aurait pu figurer dans un film de série "B", risquant cependant de paraître un peu surchargé dans la dramaturgie, ne serait-ce qu’à cause d’un des policiers, revolver au poing, menaçant on ne sait qui… Le menotté reste quarante-huit heures en garde à vue. Les journalistes, qui ont eu accès au PV des policiers, ne disent rien de la déposition de Zecler. Personne ne l’évoque, ni ne la montre. Après la GAV, il aurait été conduit à l’hôpital – le nom de l’établissement hospitalier n’étant indiqué nulle part.

    Remarque.

    Michel Zecler serait donc resté quarante-huit heures avec un visage tuméfié, une plaie ouverte sur le crâne, des marbrures de sang sur le visage. Il  faut donc imaginer que le gradé de service ce soir-là au commissariat du 17e arrondissement aurait volontairement refusé de l’envoyer à l’hôpital, même sous escorte – de même que les gradés suivants, et ce jusqu’à la fin des 48 heures ! J’ai interrogé deux de mes amis, capitaines de police. En guise de réponse à ma question, j’ai été gratifié d’un immense éclat de rire.

    Des photos nous sont livrées – elles auraient été prises par l’avocat de Zecler dans la nuit du samedi 21 novembre "afin de constater les blessures. " Parfait. Elles montrent, en effet, le visage abîmé de Zecler. Mais, questions: Où et quand ont-elles été prises?

    Si nous examinons le décor derrière l’intéressé, nous pouvons envisager qu’elles ont pu être prises dans un "lieu médical". Deux ou trois éléments nous le font croire. Mais avec une lecture plus attentive, nous constatons que la peinture des murs derrière Zecler paraît identique à celle de la pièce où il accepte de témoigner devant l’écran d’un ordinateur. Ce qui pourrait signifier que les photos ont été réalisées au studio d’enregistrement du 57 rue des Renaudes.

    Voyons maintenant les blessures et l’état du visage. Pas de tuméfactions au visage, rien autour des yeux. Compte tenu de la pseudo-violence aperçue dans l’entrée du studio, et à suivre la déclaration dans laquelle il dit que les policiers l’auraient traîné par la tête (sic) sur 500 mètres (?) sur le trottoir, nous devrions constater au moins un œil au beurre noir. Au moins ça! Également des hématomes encore visibles, et aussi, la trace d’ecchymoses. Or, rien de tout cela. Une photo montre son crâne aux cheveux ras portant une blessure ayant requis deux agrafes; deux jours après, il a retrouvé sa chevelure épaisse habituelle. Comme le dit un internaute: il cicatrise vite !

    J’ai examiné à la loupe les traces des blessures. Les maquilleurs de cinéma, spécialisés dans les films d’horreur, auraient bien mieux fait que ce qui nous est donné à voir. Du travail d’amateur. Je suis bien placé pour l’affirmer, ayant réalisé deux films de ce genre.

    Avant de conclure, je veux revenir sur la “mêlée”, qui a eu lieu à l’entrée du studio. Nous voyons nettement le policier en civil asséner de violents coups de poing. Il s’agit là d’une technique employée au cinéma: faire de grands moulinets avec les bras, afin de créer l’illusion que les coups portent. Ce qui évidemment, n’est pas le cas…

    Il y aurait encore beaucoup à dire sur les anomalies présentées par les blessures infligées (?) à Zecler.

    Mais, à quoi bon poursuivre ce panorama?

    Il s’agit d’un faux, d’une fiction mal conçue, par des amateurs. Le tout emmené par le pire des journalistes qui soit, le gauchiste David Perrotin dont on peut dire: "Sa malhonnêteté est celle d’un militant politique, pas celle d’un journaliste ".

    À qui profiteront l’agitation et la haine qui ne vont pas manquer de se manifester et de croître? Tandis que j’écris, j’apprends que des manifestations ont lieu en France, à différents endroits du pays, à la suite de l’”affaire Michel Zecler”. Bilan: 37 policiers blessés, et l’un d’entre eux quasiment lynché.

    Comme le dit si justement Yves Mamou sur le site “goldnadel.tv”: " La France tient son George Floyd ". Je ne serai pas surpris de voir apparaître d’ici peu la trépidante Assa Traoré, vitupérant comme elle sait si bien le faire. Et n’oublions pas Mélenchon. Rétabli de son lumbago depuis l’affaire George Floyd, il va pouvoir remettre un genou en terre, poing levé – il est habitué à l’exercice maintenant.

    Le pouvoir politique, toutes formations confondues, joue avec le feu,  entre folie et haine. Cette fois, plus que jamais, nous sommes proches du PIRE.

    Raphaël Delpard

    Source:

     

     

  • Fraudes massives aux U.S.A.

    Ce que les merdias français ne disent pas

    Exemples de témoignages devant le sénat américain

    Gregory Stenstrom, témoin (01:06:44)

    Je viens du comté de Delaware. Je suis un ancien officier de la Marine. Je suis un spécialiste de l’analyse des données et un expert en sécurité et en fraude informatiques.

    Le jour du scrutin, je me suis rendu au centre de comptage de Chester, à 18 heures, avec quatre autres observateurs Républicains. Nous n’avons été autorisés à entrer que 5 heures après, à 23 heures, et cela après que nous ayons obtenu une injonction grâce à notre avocat.

    Suite à ce que j’ai vu, en tant qu’expert, je pense qu’il est impossible de confirmer la validité d’environ 100 000 à 120 000 bulletins de vote, sur les 300 000 enregistrés.

    Ce que j’ai vu, c’est un processus électoral qui était destructif, dans la manière dont il était mené, avec les enveloppes séparées des bulletins de vote envoyés ensuite de l’autre côté de la salle. J’ai constaté qu’il n’y avait aucun traçabilité pour les enveloppes, ni pour les bulletins de vote par correspondance, ni pour les clés USB [utilisées pour stocker les votes des machines à voter]. Dans tous les cas, les procédures de traçabilité définies par le Bureau des élections n’ont pas été suivies.

    J’ai personnellement observé le superviseur du centre de comptage en train de télécharger des clés USB sur les machines à voter, à plusieurs reprises, sans vérification. Je l’ai porté à l’attention du shérif adjoint et du greffier des élections, et je leur ai dit: " Je ne peux pas voir ce qu’il fait ". Dans nos affidavits, nous avons des photos de cette personne arrivant avec des sacs de clés USB. Et il mettait ces clés USB dans les machines. Cela s’est produit à 24 reprises. Nous avons plusieurs autres témoins qui ont vu cela, y compris des observateurs Démocrates.

    Le lendemain, j’ai découvert que 47 clés USB manquent et sont introuvables. On m’a dit personnellement que 24 à 30 cartes qui avaient été téléchargées sur les machines avaient disparu.

    Quand nous avons voulu entrer dans les arrière-salles, il nous a fallu trois jours pour qu’ils obéissent à l’ordonnance du tribunal que nous avions obtenue. J’ai été le premier à être autorisé à y entrer à 13 h 30 le jeudi, puis de nouveau à 15 h 30, et pendant seulement cinq minutes. Ce que j’ai observé dans cette pièce, c’est 70 000 bulletins de vote non ouverts, rangés dans des boîtes de 500 empilées proprement. Un observateur Démocrate qui était entré avec moi a estimé leur nombre à 60 000. Le problème, c’est qu’à ce moment-là, les bulletins de vote par correspondance avaient déjà été enregistrés, et ils étaient au nombre de 120 000. Ma question est la suivante: où sont passés ces       70 000 bulletins de vote non ouverts? Personne ne le sait. Ils sont restés là pendant environ trois heures, puis ils ont disparu.

    Quand on nous a informé qu’il y avait 120 000 bulletins de vote par correspondance enregistrés, on nous a dit qu’il restait 6 000 bulletins de vote à dépouiller au total. Mais quand nous sommes revenus, ce ne sont pas 126 000 votes qui étaient enregistrés, mais 200 000. C’est un problème.

    Quand j’ai protesté, ils m’ont dit qu’ils avaient conservé tous les documents de l’élection, mais nous venons d’apprendre il y a deux jours que tous les documents électoraux de traçabilité, dossiers, feuilles de décompte, et tous les enregistrements informatiques ont disparu. Le résultat, c’est que 100 000 à 120 000 bulletins de vote sont compromis. Il n’y a pas de remède pour cela.

    Je dis donc que si vous ne pouvez pas certifier 100 000 votes sur les   300 000, donc que vous ne pouvez pas certifier le comté de Delaware.

    (On annonce que la représentante Kathy Rap a rejoint l’audience par Zoom.)

    Phil Waldron, témoin (01:22:36)

    Je suis colonel de l’armée à la retraite. La dernière moitié de ma carrière a été consacrée à la guerre de l’information en tant qu’officier des opérations psychologiques et officier des opérations de l’information. J’ai mené des opérations concernant les réseaux informatiques, la guerre électronique, l’espionnage, le contre-espionnage et quelques autres spécialités.

    Les systèmes de vote aux États-Unis et en Pennsylvanie ont été conçus pour être manipulés. Ils ont été utilisés dans des élections volées dans le monde entier, au Venezuela, en Italie, en Argentine, à Singapour et en Bolivie il y a deux semaines à peine. Philadelphie utilise ESNS, Pittsburgh utilise Dominion, d’autres comtés de Pennsylvanie utilisent Dominion et d’autres systèmes, alors quel est le problème? Tous ces systèmes électoraux ont un ADN commun. L’entreprise Smartmatic a vendu les logiciels de vote “Sequoia” à Dominion en 2010, puis la société Debold a transféré ses machines à voter “Premier” à Dominion à la suite d’un procès anti-trust. Donc, l’essentiel est que ces systèmes ont un code similaire et des fonctions similaires.

    Ces systèmes ne sont pas ce que l’on vous a dit. Ils sont connectés à Internet et à des serveurs en dehors des États-Unis. Il n’y a aucune transparence, sur la manière dont les informations sur les électeurs sont traitées, comment et où elles sont stockées. L’enregistrement du vote peut être modifié et/ou supprimé par les opérateurs, les administrateurs et des ennemis extérieurs. Les opérateurs peuvent attribuer au candidat de leur choix les bulletins de vote remplis, les bulletins blancs et les bulletins erronés en grand nombre. De nombreux experts ont dénoncé la facilité avec laquelle ces machines peuvent être piratées pour manipuler les votes. En fait, un expert en piratage de mon équipe a déjà découvert un malware présent sur les serveurs électoraux, qui capture chaque connexion et chaque mot de passe de chaque opérateur jusqu’au niveau de la circonscription électorale.

    En plus, comme vous le savez probablement, le 30 septembre dernier, un centre de stockage électoral a été cambriolé dans votre État. 30 clés USB ont été volées ainsi qu’un ordinateur portable.

    Ainsi, ces systèmes permettent aux utilisateurs autorisés et non autorisés d’annuler des votes, d’intervertir les votes, de pré-charger des votes, d’attribuer des bulletins blancs à un candidat, le tout en temps réel et en grand nombre. Notre équipe a examiné ces systèmes et il existe une douzaine de façons de manipuler les bulletins de vote, de scanner et d’attribuer des votes blancs.

    Nos experts et d’autres universitaires estiment que jusqu’à 1,2 million de votes en Pennsylvanie auraient pu être modifiés ou seraient frauduleux. C’est ce que nous avons découvert au cours des 22 derniers jours [depuis l’élection]. En réalité, seule une analyse informatique légale détaillée des machines et des logiciels révélera vraiment combien de citoyens de Pennsylvanie ont vu leurs droits civiques violés.

    Maintenant, je veux partager avec vous un graphique. Notre équipe s’est concentrée sur les “anomalies de pointe”. Ce sont des événements où un grand nombre numérique de votes est traité dans un laps de temps qu’il n’est pas mécaniquement possible de traiter dans des circonstances normales. Il y a un taux de vitesse spécifié par le fabricant pour qu’un certain nombre de bulletins de vote puissent être scannés et traités. Les “anomalies de pointe” dans ce graphique montrent vraiment où nous devons rechercher de manière légale pour déterminer réellement ce qui s’est passé avec ces votes.

    Au début du graphique, il y a une “anomalie de pointe”: 337 000 votes qui ont été ajoutés en une seule fois. Normalement, vous vous attendez à voir la courbe monter doucement, pas avec des grands pics. Donc, ce grand pic qui se produit est un indicateur important de vote frauduleux.

    (Les auditions continuent encore pendant près de deux heures.)

    Maxime Lépante

    Notes:

    (1) Almost no Trump voters consider Biden the legitimate 2020 election winner

    https://www.cnbc.com/2020/11/23/2020-election-results-almost-no-trump-voters-consider-biden-the-winner.html

    (2) Article II de la Constitution des États-Unis

    https://fr.wikipedia.org

    (3) Voir notre article suivant, dans lequel nous expliquons en détails ce processus:

    Révélations sur la stratégie de Trump pour être réélu !

    Source:

    (4) Resolution Disputing the 2020 General Election Statewide Contest Results

    https://www.legis.state.pa.us

  • Ben voyons!

    Des migrants algériens protestent à Palma de Majorque : parmi les revendications, une chambre avec vue sur mer

    A Ibiza, en Espagne, des migrants algériens ont annoncé, jeudi 19 novembre, être en grève de la faim. Ils ont formulé des revendications auprès des autorités.

    les faits on eu lieu vendredi dernier, à l’hôtel s’Arenal à Ibiza en Espagne, où son hébergés les migrants algériens qui arrivent de manière illégale sous le surveillance d’une patrouille de police.

    (…) Des vols, des bagarres, et même des comportements inappropriés envers le personnel de l’hôtel ont été signalés. D’après Ultima Hora, un migrant algérien récemment arrivé dans cet hôtel s’est plaint de ne pas avoir une vue sur mer dans la chambre dans laquelle il a été placé.

    (…) Visa Algérie

    Ultima Hora

     

    …et un âne pour “monter“ dessus?

  • Pauvre Joe le bidet

    Affolé, Biden menace les juges américains

    Source:

    Et si, finalement, Trump l’emportait? Le camp Biden commence à vaciller et laisse  planer le spectre du chaos, en cas de basculement de l’élection.

    Preuve que la fraude est bien là et que le tricheur devient fébrile.

    Et surtout, preuve que le basculement est très possible!!

    Soulignons la qualité exceptionnelle des articles de Maxime Lépante, qui nous livre depuis plusieurs jours des informations de premier ordre, à des années- lumière de la désinformation diffusée par nos médias, qui ne savent que rabâcher, tels des perroquets hystériques : “pas de preuves”, “pas de preuves”!

    La vérité est que la fraude est tellement colossale que plus personne, à part Biden, n’ose encore affirmer que ce n’est qu’un pur fantasme de la Maison Blanche. Et c’est bien ce qui va perdre Biden: l’ampleur démentielle de la triche, à des niveaux jamais vus, impossible à cacher, preuve indéniable d’une machination parfaitement orchestrée au plus haut niveau.

    On comprend pourquoi Biden n’a pas jugé bon de faire campagne… avec les dés pipés d’avance.

    Aucun juge intègre, qu’il soit républicain ou démocrate, ne peut tolérer une fraude électorale pratiquée à l’échelle industrielle avec le logiciel Dominion, ou les énormes malversations locales, indignes d’une grande démocratie.

    Il est impensable que la justice fédérale puisse faire passer tranquillement à la trappe ce putsch électoral. Et des juges intègres, il en reste, heureusement.

    Le dernier article de Maxime Lépante est remarquable et remet les pendules à l’heure, dans cet océan de mensonges et d’hystérie collective anti-Trump. Tout est dit sur les dernières actions en cours.

     

    Source:

     

    https://www.youtube.com/watch?v=2DZy284Y4VA

     

    La bataille judiciaire se poursuit donc dans les 6 États-clés, y compris l’Arizona, avec un Donald Trump très loin de capituler, malgré les dires de la presse occidentale qui instrumentalise tout évènement anecdotique, pour “prouver” que le milliardaire accepte enfin la défaite.

    Que Sydney Powell confirme qu’elle ne fait pas partie de l’équipe judiciaire de Trump, et c’est aussitôt  la preuve que le navire républicain prend l’eau de tous côtés.

    Que Trump autorise finalement une transition en douceur, pour ne pas bloquer l’énorme machine administrative, et c’est la preuve incontestable qu’il accepte donc la victoire frauduleuse du tricheur Biden.

    Tels des chacals affamés, les médias Français se précipitent en meute sur le premier os à ronger.

    Bien entendu, il n’en est rien et c’est même tout le contraire. La fraude est de plus en plus palpable et les audits se poursuivent partout, grâce à quelques juges courageux qui font leur job, au grand dam des Démocrates.

    Biden devient d’ailleurs menaçant, signe qu’il n’est pas tranquille.

    Tandis que Trump, loin de désarmer, appelle ses partisans à inverser le résultat du scrutin frauduleux:

    “Nous devons inverser cette élection”, a-t-il déclaré hier. “Les démocrates ont triché. Ça a été un scrutin frauduleux.”

    Biden, de son côté, annonce le 25 novembre, lors de son discours de Thanksgiving, que les Américains n’accepteraient pas que les résultats de l’élection du 3 novembre ne soient pas respectés.

    Source:

    C’est le tricheur qui voudrait se poser maintenant en victime! “Moi ou le chaos”, en quelque sorte!

    Autrement dit, il faudrait entériner la fraude, accepter l’inacceptable et laisser un tricheur accéder à la Maison Blanche, pour éviter des émeutes.

    Ce qui reviendrait à reconnaître devant le monde entier que les États-Unis sont un État mafieux, capable de trahir le peuple et de truquer une élection majeure en toute impunité. Il ose tout!

    Espérons que les juges fédéraux et la Cour suprême mettront un point d’honneur à ne pas reculer et à faire triompher la vérité et la justice, face aux ennemis de la démocratie, capables du pire pour voler sa victoire à Trump. 

    "Je pense que cette sombre saison de divisions et de diabolisation va céder la place à une année de lumière et d’unité", a lancé le Démocrate dans une allocution depuis sa ville de Wilmington, dans le Delaware.

    “Nous avons des élections libres et justes”, ose déclarer Biden.

    "Notre démocratie a été mise à l’épreuve cette année. Et voilà ce que nous avons appris: le peuple de cette nation a été à la hauteur ", a-t-il estimé.

    " En Amérique, nous avons des élections libres et justes, et nous en respectons les résultats. Les habitants et les lois de ce pays n’accepteront pas autre chose ", a-t-il prévenu.

    La menace est claire. Pas question d’accepter un renversement de la situation, pas question d’accepter une décision de la Cour suprême favorable à Trump, pas question de rendre justice au peuple américain.

    Pour le leader démocrate, qui n’a cessé de faire pression sur l’opinion en se déclarant vainqueur prématurément, mettant ainsi le monde entier devant le fait accompli, dans l’espoir d’intimider les juges, il faudrait entériner la fraude pour éviter le chaos!

    Et pour faire passer la pilule, Biden promet de tendre la main au camp adverse. Le tricheur veut jouer les grands seigneurs!

    " Vous voulez des solutions, pas des cris. De la raison, pas de l’hyper-sectarisme. De la lumière, pas des flammes", a-t-il martelé.

    " Vous voulez que nous nous écoutions les uns les autres à nouveau, que nous nous regardions les uns les autres à nouveau, que nous nous respections les uns les autres à nouveau. Vous voulez que nous travaillions ensemble, Démocrates, Républicains, et Indépendants ", a ajouté Biden, qui a promis de tendre la main au camp adverse malgré les divisions sans précédent qui traversent la classe politique américaine.

    C’est renversant!

    Nous avons assisté à la plus grande escroquerie électorale de tous les temps, et c’est le tricheur qui ose parler de réconciliation, après avoir volé sa victoire au peuple américain!

    Même en Afrique, on ne voit pas pareille trahison et pareil mépris du peuple!

    Jacques Guillemain

    Source:

  • Ho mon dieu: j'ai été cambriolée par une chance pour la France!

    Mais, enfin: on fait tout ce qu'on peut pour les protéger, ces pauvres immigrés!

    Cambriolage au domicile de la procureure de Nanterre : 30 000 euros d’espèces et de bijoux dérobés

    C’est en rentrant du tribunal judiciaire de Nanterre mercredi soir que la magistrate a constaté le cambriolage. Selon les premières investigations effectuées par les policiers du 1er district de police judiciaire (1er DPJ), le – ou les – monte-en-l’air aurait escaladé la façade de l’immeuble situé dans l’Ouest parisien pour atteindre le balcon, puis forcé la fenêtre sur laquelle des marques de pesée étaient alors visibles.

    La porte d’entrée était, elle, bloquée de l’intérieur. C’est en tournant la clé de son domicile que Catherine Denis s’est rendu compte de quelque chose d’inhabituel.

    Le gardien de l’immeuble a pu l’aider à entrer dans son logement, où la procureure de Nanterre n’a pu que constater les dégâts. Des espèces et des bijoux pour un montant évalué à 30 000 euros ont été dérobés. À ce stade, la police n’a pas eu connaissance de disparition d’ordinateur ou de documents liés à des procédures en cours.

    www.lepoint.fr

  • Des milliards dépensés pour des voleurs étrangers...

    et des Français, pendant ce temps-là, crèvent avec leur bébé!

    À Bordeaux, un couple et leur nourrisson se sont retrouvés durant six mois à la rue après une expulsion. Dormant dans leur voiture, ils ont reçu un total de 13 000 euros de PV pour ne pas avoir payé l’horodateur durant 141 jours.

    En mai dernier, un couple et leur nourrisson ont été expulsés de leur logement. Depuis, ils dormaient, en partie pour la femme et son enfant, dans leur voiture. Après 141 jours d’occupation de l’espace public sans avoir payé l’horodateur, ils ont reçu un total de 13 000 euros de PV à payer.

    En octobre 2018, le père avait été licencié de son entreprise. Puis selon les informations de Sud-Ouest, le couple a été prié de quitter le logement, car le propriétaire de l’appartement souhaitait y loger son petit-fils. Malgré leurs réclamations, le couple a dû quitter le logement, leur expulsion étant confirmée le 13 mars 2020. Entre temps, le 22 décembre dernier, leur enfant est venu au monde.

    Finalement la famille se retrouve à la rue en mai, avec leur nourrisson de six mois. Depuis, le couple ne parvenait pas à retrouver un logement. La mère et le nourrisson enchaînaient les séjours de courte durée, chez des amis, leurs parents, à l’hôtel ou bien dans leur voiture, selon Sud-Ouest. De son côté, le père a dû dormir dans leur voiture, à Bordeaux, pour son nouvel travail.

    Toutefois, n’ayant alors pas de domicile pour recevoir ces amendes, le père a dû faire face à une saisie de salaire de 2 000 euros, qui lui a coûté son nouvel emploi.

    Ouest-France

     

    ET ALORS? qu'est-tu fout, Moussa? et toi, Macrouille, tu laisse crever les Français!!!